Orgon

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Orgon : descriptif

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Orgon

Orgon est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Ses habitants sont appelés les Orgonnais(es).

Géographie

Localisation

Orgon est située au nord du département, à l'extrémité orientale du massif des Alpilles. La commune est distante d'environ 6 Cavaillon, 25 Avignon, 45 Aix-en-Provence, et 72 Marseille. Orgon se divise en cinq parties séparées par la route départementale 7n (ancienne route nationale 7) nord/sud, la route départementale 26 nord-est/nord-ouest, et la route d'Eygalières sud-est/sud-ouest et l'autoroute A7 qui coupe la commune au niveau de la rive de la Durance.

Communes limitrophes d’Orgon
Plan-d'Orgon Plan-d'Orgon, Cavaillon Cavaillon, Cheval-Blanc
Plan-d'Orgon Orgon Cheval-Blanc
Eygalières Sénas, Eyguières Sénas

Relief et géologie

Les Alpilles près d'Orgon.

On trouve à l'ouest de la commune les contreforts des Alpilles, massif constitué de strates de roches sédimentaires plissées et formant un anticlinal. C'est sur cette partie que le relief est le plus élevé.

À l'est, le relief le plus bas, avec la plaine alluvionnaire de la Durance.

Orgon a donné son nom au faciès urgonien, défini en 1847 par Alcide Dessalines d'Orbigny. Ces roches calcaires ont été exploitées, et le sont encore par la société Omya.

Hydrographie

La commune d'Orgon est divisée en deux dans toute sa longueur est-ouest par son canal, mais également séparée par la Durance du Vaucluse où elle possède une parcelle de terrain séparé du reste de la commune aux abords de Cheval-Blanc, Orgon dispose également de deux lacs de grande taille au sud de son territoire.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 amplitude thermique annuelle de 17,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon à 14 vol d'oiseau, est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,2 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Le mistral

Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an.

On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.

Données météorologiques

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000 :

Météo à Orgon : relevé météorologique de Salon de Provence
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 2 4 6,4 10,1 13,7 16,4 16,3 13,3 9,5 4,9 2,4 8,4
Température moyenne (°C) 6,1 7,2 9,7 12 16,1 19,8 22,9 22,7 19,2 14,7 9,6 7 13,9
Température maximale moyenne (°C) 10,9 12,3 15,3 17,5 22 25,8 29,4 29 25 19,9 14,2 11,6 19,4
Précipitations (mm) 59 47 44 63 42 31 16 37 64 98 58 54 623,4
Source : Météo France / Station de Salon de Provence
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
10,9
1,2
59
 
 
 
12,3
2
47
 
 
 
15,3
4
44
 
 
 
17,5
6,4
63
 
 
 
22
10,1
42
 
 
 
25,8
13,7
31
 
 
 
29,4
16,4
16
 
 
 
29
16,3
37
 
 
 
25
13,3
64
 
 
 
19,9
9,5
98
 
 
 
14,2
4,9
58
 
 
 
11,6
2,4
54
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Flore et faune

Faune

De nombreuses espèces animales nichent dans les Alpilles et peuvent aléatoirement être observées sur le territoire de la commune d'Orgon. La plus réputée est l'aigle de Bonelli, espèce protégée, comme le vautour percnoptère, le faucon crécerellette et le hibou grand-duc.

Les rochers arides abritent une espèce de lézard emblématique des Alpilles, le lézard ocellé, lui aussi considéré comme menacé et protégé.

Des espèces végétales protégées, comme la nivéole d’été (Leucojum aestivum) ou l'hélianthème à feuilles de Marum (Helianthemum lavandulaefolium), s'y rencontrent au fond des vallons.

Espèces chassées

Le territoire d'Orgon, et notamment ses vallons, compte de nombreux mammifères. Le sanglier y abonde, sa population est en progression. Inversement, le nombre de lièvres et de lapins tend à décroître. La raison semble en être l'épidémie de myxomatose de 1953 qui a causé des ravages dans la population et, depuis la fin du  siècle, le VHD viral qui provoque la diminution de l'espèce. La raréfaction des rongeurs pourrait poser problème à terme pour la survie des espèces de rapaces qui s'en nourrissent.

Autres espèces animales

On ne peut évoquer la faune d'Orgon sans citer des espèces telles que le renard, le blaireau européen, la fouine, ou encore le campagnol ou la musaraigne. Quantité de chauves-souris y nichent.

Flore

La flore orgonnaise est, pour l'essentiel, xérique et méditerranéenne. Le botaniste Bernard Girerd y a dénombré 800 espèces végétales en 1992. Hormis l'olivier, caractéristique du paysage des Alpilles, on note la présence de micocouliers, de chênes kermès de petite taille, d'amélanchiers. Des espèces végétales protégées, comme la nivéole d’été (Leucojum aestivum) ou l'hélianthème à feuilles de Marum (Helianthemum lavandulaefolium), s'y rencontrent au fond des vallons.

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Le climat », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 23-24.
  9. a et b La patrimoine naturel des Alpilles, parc-alpilles.fr.
  10. « La flore des Alpilles », in Les Alpilles..., op. cit., B. Girerd, p. 52.


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Toponymie

La forme la plus ancienne est de Orgono, attestée en 1114 qui représente Orgus, nom d'un homme gaulois, et le suffixe -onem.

  1. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1873.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

En Provence, à Orgon, Sénas, Trets, Lauris, Goult, L'Isle-sur-la-Sorgue et Avignon, des stèles anthropomorphes ont été datées entre - 3 000 et - 2 800 ans avant notre ère. Rattachées à la « civilisation de Lagozza », elles sont la preuve que l’agriculture était devenue prédominante dans les basses vallées du Rhône et de la Durance. En particulier, à Orgon, deux stèles ont été découvertes, l'une sur les pentes du Mont Sauvy en 1967, l'autre au quartier de Font-de-Malte dont la particularité est d'être la seule à présenter des yeux évidés en creux.

Plateau de Notre-Dame de Beauregard.

Les traces d'habitat sont très anciennes sur le territoire d'Orgon. On y a retrouvé des vestiges de la période néolithique, comme la Baume Rousse, considérée comme un abri du Néolithique final au Bronze ancien. Cette grotte domine la vallée de la Durance. Lors du Bronze récent, la grotte s'effondre ce qui provoque son évacuation définitive. Orgon possède aussi des sites perchés de la même période, comme Notre-Dame de Beauregard et les Calades – massifs du Crétacé inférieur de type urgonien, nom formé depuis le mot « Orgon » – qui sont des stations chasséennes. Mais d'autres sont situés sur le piémont des Alpilles, comme celui de Malvoisin, des Passadouires 2 et de Valdition. Dans ce dernier site, des dépôts d'objets de bronze ont été découverts ; il s'agissait vraisemblablement de fragments destinés à être refondus.

Au premier âge du fer, les habitats préhistoriques continuent d'être habités pour la plupart, notamment au vallon Sous-le-Fort et au vallon de Lavau, qui sont des quartiers périphériques au castrum. Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'un état d'autarcie à une véritable économie d'échange.

Notre-Dame de Beauregard, bâtie sur le site d'un oppidum protohistorique.

Lors du second âge du fer, le territoire d'Orgon, comme l'ensemble des Alpilles, est peuplé de Ligures, de Celtes et de Celto-Ligures. Orgon fait alors partie du territoire des Caenicenses, qui vivent aussi à Eyguières. Il s'agit d'un peuple largement tourné vers l'agriculture, à la différence des habitants de l'intérieur du massif, davantage tournés vers le pastoralisme et l'élevage. On trouve pourtant d'autres formes d'activité à Orgon, ainsi qu'en témoigne l'existence, vers , d'une production artisanale de céramiques domestiques. La présence du site de Notre-Dame de Beauregard s'explique par sa position privilégiée, à l'extrémité de la chaîne des Alpilles et dominant la vallée de la Durance. Le piémont est alors parcouru de voies protohistoriques, aménagées ultérieurement par l'armée romaine.

Lampe à huile d'Orgon, exposée au Musée judéo-comtadin de Cavaillon.

Au cours des siècles suivants, la population des Alpilles diminue de façon conséquente : le comptoir grec d'Arles attire de nombreux habitants venus de toute la région. Mais dès la fin de l'Âge du fer (style tardo-hellénistique. On retrouve notamment sur place des dalles de toiture en calcaire tendre scié, preuve de cette influence grecque.

Les oppida des Alpilles, dont ceux d'Orgon, sont démantelés lorsque les Romains entreprennent la conquête de la région entre 125 av. J.-C. et 121 av. J.-C.. Certains subsistent et deviennent des lieux de culte : Notre-Dame de Beauregard évolue ainsi jusqu'à devenir un sanctuaire marial.

On trouve également des traces d'occupation romaine (statues, monnaies, sépultures...). De plus, la présence de juifs est attestée dès la fin du  siècle par des vestiges archéologiques tels qu'une lampe à huile ornée du chandelier à sept branches découverte en 1967 à Orgon,.

Moyen Âge

Le lieu Urgonum est attesté dès l'année 1183. Un bac permettant de traverser la Durance existait à l’époque gallo-romaine, puis au Moyen Âge, où il est attesté en 1171.

Son château joua un rôle important au XIIIe siècle, place forte et prison, alors résidence des templiers. Puis au fil des siècles et des seigneuries qui s'y succèdent, le château d'Orgon, puis l'église sont tour à tour démolis puis reconstruits, puis redémolis malgré les fortifications.

Entre 1340 et 1341, Jacques Baxiani est vice-châtelain d'Orgon au service du châtelain et chevalier Raybaud Bayssani. En 1367 et 1370, Hugues de Mauconseil fut châtelain royal d'Orgon.

Temps modernes

En 1562, le baron des Adrets saccage l’église paroissiale, profane le sanctuaire de Notre-Dame-de-Beauregard et précipite la Madone vénérée dans le vide. Elle sera retrouvée intacte.

En 1653, la communauté d’Orgon reçoit d’Henri de Guise « les îles, accréments et atterrissements » de la Durance, et le 15 janvier 1660, lors du passage de Louis XIV, bénéficie d’un allègement des impôts.

Révolution française et Empire

La période révolutionnaire est très agitée. Jean-Charles Soulier, président du club « La Liberté et l’Égalité » est assassiné le .

Sur le chemin de l'ile d'Elbe, Napoléon doit se déguiser pour éviter d'être lynché.

Période contemporaine

Le 25 novembre 1872, la ville se dote d'une gare ferroviaire grâce à la création du tronçon de Cavaillon à Cheval-Blanc sur la ligne d'Avignon à Miramas. Puis le 19 décembre 1887 s'ouvrent deux nouvelles lignes supplémentaires, gérées par la Compagnie des chemins de fer régionaux des Bouches-du-Rhône :

  • la ligne de Tarascon à Orgon, passant par Saint-Etienne-du-Grès, Saint-Rémy-de-Provence (tronçon existant depuis 1874), Agriottes (commune de Saint-Rémy), Mollégès et Plan-d'Orgon ;
  • la ligne de Barbentane à Orgon, desservant les villes de Barbentane, Rognonas, Châteaurenard, Noves, Cabannes, Saint-Andiol et Plan-d'Orgon.

Ces trois lignes de chemin de fer permettent à la ville de connaître un nouvel essor, tant par l'afflux de voyageurs que par l'importation et l'exportation de marchandises.

Le , après 50 ans de démarches, la commune de Plan-d'Orgon se détache d'Orgon car l'ensemble était trop important à gérer.

En 1950, les deux lignes de chemin de fer de Tarascon et Barbentane sont définitivement fermées. Aujourd'hui encore, le trafic voyageur reste ouvert,sur la ligne Avignon - Miramas.

Fin août 2012, un important feu de forêt a ravagé plus de 400 hectares dans la commune, mobilisé 900 pompiers et détruit deux maisons.

  1. S. Gagnière et J. Granier, Stèle anthropomorphe trouvée à Avignon (Vaucluse), « Ogam », t. XIII, fasc. 6, 1961, et Catalogue raisonné des stèles anthropomorphes chalcolithiques du musée Calvet d'Avignon, Avignon, 1976.
  2. Sylvain Gagnière, « Informations archéologiques, circonscription de Provence-Côte d'Azur-Corse », Gallia Préhistoire, lire en ligne)
  3. Guy Barruol et Nerte Dautier, Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, Ed. Les Alpes de lumière, Forcalquier, 2009, p. 140.
  4. G. Sauzade, « La Préhistoire des Alpilles », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, op. cit., p. 136.
  5. « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 232, 233.
  6. a et b G. Sauzade, « La Préhistoire des Alpilles », op. cit., p. 137.
  7. a et b P. Arcelin, « Le peuplement des Alpilles durant l'âge du Fer », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, op. cit., p. 142.
  8. a et b P. Arcelin, « Le peuplement des Alpilles durant l'âge du Fer », op. cit, p. 143.
  9. a b c et d Y. Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, op. cit, p. 146.
  10. Y. Marcadal, « À la périphérie de la chaîne », in Les Alpilles, op. cit., p. 145.
  11. Y. Marcadal, « À la périphérie de la chaîne », in Les Alpilles, op. cit., p. 147.
  12. Hirsch Graetz, Histoire des Juifs, éd. François-Dominique Fournier, éd. orig. parue de 1853 à 1875, 1re part., ch. 1
  13. Michel Mayer-Crémieux, «  », Los Muestros, la voix des sépharades (consulté le ).
  14. Catherine Lonchambon, « D’une rive à l’autre de la Durance : d’étranges bateaux », in Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Les Alpes de lumière no 149, Forcalquier 2005, (ISBN ), p. 55
  15. AD du 13, série B1520f.74v
  16. AD du 13, série B2033f66 et B1525f139
  17. Thierry Lentz, Nouvelle histoire du Premier Empire : Les Cent-Jours, 1815, Fayard, , p. 160.
  18. Le Parisien : Orgon cerné par les flammes

Héraldique

Les armoiries de la ville évoquent la ferveur qui, au cours des siècles, animera les Orgonnais pour Notre-Dame-de-Beauregard. Le blason porte en exergue : Castrum de Orgone virgini votum.

Blasonnement :
D'azur à une Notre-Dame d'argent sur une nuée du même,.
Une autre version existe : D'azur à une Notre-Dame d'argent entourée d'un cercle ovale rayonnant d'or.

  1. «  », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  2. «  », sur Mairie d'Orgon (consulté le ).
  3. Louis J. S. de Bresc (planche M), Armorial des communes de Provence, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne).

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Orgon dans la littérature

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5145 autres localités pour département de Huancavelica

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/pe/pe-huv/194657.html

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