Pantin

Localisation

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Pantin : descriptif

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Pantin

Pantin est une commune française limitrophe de Paris (Nord-Est) située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France

Elle fait partie de la première couronne de l'agglomération parisienne. Elle se situe à 6,4 km de la cathédrale Notre-Dame de Paris

Géographie

Situation

Localisation de Pantin dans la petite couronne.

La ville est située en bordure de Paris et est principalement constituée par une plaine traversée par les routes nationales 2 et 3, la ligne de chemin de fer Paris - Strasbourg et le canal de l'Ourcq.

Pantin est située dans :

  • l'unité urbaine (2010) de Paris ;
  • l'aire urbaine (2010) de Paris.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Paris, 19e arrondissement de Paris, Aubervilliers, La Courneuve, Bobigny, Noisy-le-Sec, Les Lilas, Le Pré-Saint-Gervais et Romainville.

Communes limitrophes de Pantin
Aubervilliers La Courneuve Bobigny
Paris Pantin Bobigny et Romainville
Le Pré-Saint-Gervais Les Lilas Romainville
Territoire des Lilas pris sur les communes voisines en 1867, notamment Pantin

Les limites entre Pantin et les villes voisines ont évolué à plusieurs reprises :

  • la limite entre les communes de Pantin et du Pré-Saint-Gervais est fixée en 1792 ;
  • en 1859, Pantin cède à Aubervilliers une partie du territoire du fort d'Aubervilliers et à Romainville pour le fort de cette ville ;
  • la loi du annexa à Paris plusieurs communes et parties de communes voisines, étendant ainsi les limites de la commune jusqu'à la ligne de fortifications qui entourait la ville et ses faubourgs. Pantin céda alors une partie de son territoire, et une modification de limites avec la capitale eut également lieu en 1930 ;
  • en 1867 avec Les Lilas, lors de la création de cette commune, soit la partie du territoire de Pantin à l’ouest du fort de Romainville, compris entre les rues Henri Barbusse et Jean-Moulin qui formait l’ancienne limite communale avec Romainville, en limite du lotissement du bois Bouleaux jusqu’aux actuelles limites communales, rue Faidherbe, rue Mancelle ,et rue du Bois. ;
  • en 1928 avec Bobigny ;
  • en 1938 avec Le Pré-Saint-Gervais ;
  • en 1949 avec Les Lilas.

Hydrographie

La ville est traversée par le canal de l'Ourcq.

Une petite rivière, le ruisseau de Montfort, qui prend sa source à Bobigny et se jette dans la Seine à Saint-Denis, passe à Pantin, mais cette rivière est busée de longue date et n'est plus visible.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 amplitude thermique annuelle de 15,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Paris à 6 vol d'oiseau, est de 13,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )

Toponymie

Le premier acte connu où le nom de Penthinum apparaît est un acte du prieuré Saint-Martin-des-Champs.

Pantin est mentionné sous les formes suivantes :

  • Pentinus en 1082 ;
  • Pantinum en 1119 ;
  • Pentin en 1151-1157 ;
  • Pantin en 1256 ;
  • Panthino en 1352 ;
  • Panthin en 1499 ;
  • Penthin en 1520 ;
  • Pentin en 1598.
  1. Jean Pruvost, Pantin, francebleu.fr le 4 janvier 2017
  2. «  », sur atlas de l'architecture et du patrimoine de Seine-Saint-Denis, (consulté le ).

Histoire

Préhistoire

Des traces archéologiques attestent de l'occupation du territoire de Pantin par des populations celtes à l'âge du bronze.

Antiquité

Les Romains ayant aménagé une voie entre Lutèce et Trèves (ancêtre de la nationale 3), une occupation permanente du site est attestée au IIe siècle.

Moyen Âge

La paroisse catholique pourrait être d'origine mérovingienne. Elle est créée à la suite de la visite de l'évêque d'Auxerre, le futur saint Germain, à qui elle est dédiée.[réf. nécessaire] Elle a pour annexe Le Pré-Saint-Gervais qui est le siège d'une collecte distincte.

Les premières acquisitions du prieuré Saint-Martin-des-Champs à Pantin sont attestées en 1082-1089.

Au Michel Roblin, des défrichements et des drainages ont été nécessaires pour pouvoir y établir un habitat important.

En 1197-1198, le prieur de Saint-Martin-des-Champs Robert accorde aux villageois une charte de franchises, en exemptant de toute imposition les terres précédemment données à champart.

En 1411, le village est mis à sac par les Armagnacs, lors de la guerre de Cent Ans et, en 1499, le fief de Pantin est loué par le prieuré au contrôleur du grenier à sel de Melun.

Temps modernes

En 1563, le prieur de Saint-Martin vend la seigneurie de Pantin et du Pré-Saint-Gervais.

L’abbaye de Saint-Denis possède un péage sur le chemin de Pantin qu’elle afferme à partir du .

Sources

Au XVIIIe siècle, le village de Pantin attire de nombreuses personnalités, séduites par son « bon air ».

On connaît la présence de la société de Morville qui possédait un théâtre à Pantin dans les années 1730 : « Nous avions loué une maison et un théâtre à Pantin… M. de Caylus le dirigeait, M. d'Armenonville y jouait les premiers rôles. Nous y avons joué plusieurs comédies de M. de Coypel, qui n'ont pas vu le jour ».

Si aucun document ne permet pour le moment d’établir la présence de la danseuse Camargo, celle de Beaumarchais est en revanche bien attestée. Son mariage en 1768 avec une riche veuve lui procure des biens considérables sur Pantin : une douzaine de maisons louées aux villageois, de nombreux terrains ainsi qu’une splendide résidence de campagne revendue en , située à la hauteur du 123 avenue Jean-Lolive.

Mais la plus célèbre de ces « stars » reste bien évidemment la danseuse Guimard, dont la maison occupait l’actuelle école Charles-Auray. La ville de Pantin vient d’ailleurs de donner son nom à une petite rue près du canal. À proximité, son éternelle rivale Anne-Victoire Dervieux achète aussi une maison en 1776, d’ailleurs vite revendue et qui échoira ensuite à la femme du célèbre danseur Maximilien Gardel.

Le rôle de taille de 1783 dévoile la présence dans le village du musicien Rodolphe, l’ami de Mozart.

Quant à Étienne Méhul, il avait acheté en 1809 - sous le nom de sa tante - une petite propriété située près de l’église où il se livre à sa grande passion des fleurs (en particulier les tulipes).

En 1790, la commune perd la paroisse du Pré-Saint-Gervais qui obtient son autonomie. De 1790 à 1795 Pantin était un canton du district de Franciade.

Circonscriptions administratives d'Ancien Régime
Circonscriptions religieuses
  • Paroisse : Pantin ;
  • Doyenné : Chelles ;
  • Archidiaconé : Paris ;
  • Diocèse : Paris.
Circonscriptions administratives
  • Intendance : Paris ;
  • Élections : Paris ;
  • Subdélégation : Saint-Denis ;
  • Grenier à sel : Paris ;
  • Coutume : Paris ;
  • Parlement : Paris ;
  • Bailliage : prévôté de Paris ;
  • Gouvernement : Île-de-France.

Révolution française et Empire

Le canal de l'Ourcq a contribué fortement à l'industrialisation de Pantin.
La défense contre les Alliés en 1814
Illustration par une carte postale du début du XXe siècle, peut-être d'après un tableau de l'époque.

Afin principalement d'alimenter Paris en eau salubre, la construction du canal de l'Ourcq est décidée par Bonaparte par le décret du 29 floréal an X (19 mai 1802) pour réaliser un canal de dérivation de la rivière de l'Ourcq, vers un bassin de la ville de Paris, situé près du village de la Villette, et sa première pierre est posée dès le . L'infrastructure est mise en service en 1804, et assure également des fonctions de transport de fret, favorisant ensuite le développement industriel de ses abords.

En 1806, la garde impériale de Napoléon, à son retour de la bataille d'Austerlitz, campe dans la plaine de Pantin.

En 1808 le canal de l'Ourcq rompt une des berges et inonde la plaine.

Pantin est un des villages qui, dans la campagne de 1814, servit d'avant-poste à la garnison française de Paris, lors de la bataille de Paris. Le corps d'armée française commandé par le général Compans, fortifie à Pantin contre le général russe Ragefski et le prince de Wurtemberg. Les combats à Pantin sont d'une grande violence et l'armée russe essuie des pertes importantes, sans parvenir à capturer Pantin. De son côté, le maréchal de Marmont a également repoussé de Belleville les troupes russes, mais ce succès est de courte durée : de nouvelles troupes russes, prussiennes et wurtembergeoises se préparant à contre-attaquer. Barclay de Tolly, général en chef, s’avance avec 180 000 hommes contre 25 000 Français. Le général Compans défend de nouveau le village de Pantin, avant d'ordonner la retraite en direction des hauteurs de la ville. Ses troupes poursuivent le combat jusqu'à la capitulation de l'armée française, signée le 31 mars. Pantin est occupé pendant trois mois par les troupes anglo-écossaises qui pillent le village, dévasté par la bataille.

Le curé de Pantin, Jean-Baptiste-Auguste Ségault de Moncourt, est fusillé par les prussiens en 1814 , et inhumé au cimetière de Pantin.

Époque contemporaine

Le | ]

En 1826, l'ingénieur Henri Navier propose une ligne de chemin de fer de Paris à Strasbourg par Vitry-le-François et Nancy. Celle-ci est entérinée par la loi relative à l'établissement des grandes lignes de chemin de fer en France qui approuve l'Étoile de Legrand structurant les premières lignes françaises de chemin de fer. L'une d'elles est la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville concédée en 1853 à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg. Celle-ci ouvre en 1864 la gare de Pantin, favorisant les déplacements des habitants et le développement économique de la commune.

La ville connaît fin 1869 une notoriété passagère à l'occasion d'un sinistre fait divers, l'affaire Troppmann.

En 1875, le canal de l'Ourcq et la ligne de chemin de fer divisent la ville en deux quartiers : le Village et les Quatre-Chemins. Ce dernier quartier est excentré, et les Pantinois de la Petite Prusse (nom que l'on donnait au quartier neuf, car il abritait une population majoritairement originaire d'Alsace-Lorraine) demandent la sécession. La demande d'érection en commune indépendante est refusée. Mais le maire écoute les demandes et tient ses engagements : un lieu de culte est construit au bord de la route de Flandre et un hôtel de ville est bâti près du canal, inauguré en 1886.

À la fin du Aubervilliers et Saint-Denis et évincent les anciens omnibus.

C'est dans l'ancienne usine d'allumettes qu'est découverte la pâte inoffensive au sesquisulfure de phosphore qui remplaça le dangereux phosphore blanc.

De la Première à la Seconde Guerre mondiale
Stèle commémorative de la libératiion des Déportés.

Le , des taxis parisiens réquisitionnés prennent en charge les unités d'infanterie à la gare de Pantin au fur et à mesure de leur débarquement des trains pour les transporter sur le front lors de la première bataille de la Marne.

La Coupe de France de football 1917-1918 est la première édition de la Coupe de France de football. La finale a opposé le l'équipe du FC Lyon à celle de l'Olympique de Pantin au stade Olivier De Serres à Paris. Le match fut remporté par Pantin avec un score de trois buts à zéro.

La commune subit de graves destructions au cours de bombardements pendant la Seconde Guerre mondiale. Le est parti du quai aux bestiaux de la gare de Pantin le dernier convoi de déportés de la région parisienne, composé de 2 500 hommes et femmes sortis des prisons parisiennes et du Fort de Romainville. Les hommes seront immatriculés dans la série des 77 000 à Buchenwald, 80 % seront transférés au camp de Dora. Les femmes seront envoyées à Ravensbrück. 903 déportés de ce convoi décéderont dans les camps. La particularité de ce convoi est que 168 aviateurs alliés y sont intégrés : ils ne sont pas considérés comme prisonniers de guerre. Le 16 août, les déportés seront obligés d'évacuer leurs wagons à la hauteur de Nanteuil - Saacy. Le pont a été bombardé. Ils vont à pied jusqu’à la gare de Nanteuil. Il y eut des évasions qui se sont soldées par des exécutions.

L'industrie à Pantin au | ]
La gare de Pantin et le quartier industriel des Quatre-Chemins, au début du XXe siècle.

Après avoir remporté la course de la côte d'Argenteuil sur une bicyclette à moteur SICAM, firme dont il était un des chefs de fabrication et un des pilotes en , Charles Benoît crée en 1923, avec Abel Bardin, qui avait été directeur commercial de la même SICAM, les ateliers de la Motobécane, qui créent leur usine rue Beaurepaire. Leur premier modèle, la « 175 », atteint 50 km/h et son succès est tel qu'on imagine une version « dames et ecclésiastiques », à cadre ouvert pour faciliter l'utilisation de l'engin aux personnes portant jupes, robes ou autres soutanes. Leur gamme s'étoffe ensuite avec la commercialisation de la Motoconfort MC1 de 308 cm3.

En 1923 également, Eugène Haug reconstruit les Grands Moulins de Pantin, une minoterie industrielle bâtie dans un style alsacien sur le même modèle que les Grands Moulins de Paris et ceux de Corbeil.

Le , un missile balistique V2 s'écrase sur Pantin.

L’après-guerre

La ligne 5 du métro de Paris est prolongée de la gare du Nord à l'église de Pantin en 1942. Cette station est jusqu'en 1985 le terminus de la ligne. De ce fait, une importante gare routière est installée devant l'église, où de nombreux bus de la banlieue avaient et ont encore leur terminus.

En 1959 commence la construction des Courtillières, conçues par Émile Aillaud. Composé de 1 500 logements répartis en un long immeuble et en deux plus petits qui « serpentent » autour d'un parc de 4 grands ensembles » de la région parisienne. Au moment de sa construction, il était considéré comme le plus long bâtiment d'Europe.

Des édifices publics sont venus compléter ce qui n'était au début qu'une cité d'habitation : mairie annexe, crèches, établissements d'enseignement, gymnases, maison de quartier, bibliothèque, centre de santé ont été construits.

Quarante ans après son inauguration, la cité est très dégradée, longtemps laissée à l'abandon par son gestionnaire et propriétaire, la Société d'économie mixte propriété de la ville de Paris (SEMIDEP). La population de Pantin en pleine croissance s'ouvre massivement à l'immigration extra-européenne à partir des années 1970[réf. nécessaire].

Le | ]

Après que l'OPHLM de Pantin est devenue propriétaire de la cité, la municipalité lance en 2001 un grand projet de réhabilitation du quartier. D'un montant estimé à 200 millions d'euros (en partie financés par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine), le projet consiste principalement en une requalification urbaine du quartier, requalification qui prévoit la destruction d'une partie des bâtiments et la rénovation des parties restantes.

Le chantier, déjà engagé, a été gelé en mai 2006 par le ministère de la Culture et le ministère du Logement et de la Ville du fait d'une demande de classement aux monuments historiques. Les inspecteurs des Monuments historiques ayant préconisé en avril 2007 la sauvegarde des bâtiments ; le projet est actuellement bloqué et reste dans l'attente d'une décision définitive sur la nature du classement, décision rendue difficile de par l'état d'avancement des travaux et l'opposition de la municipalité soutenue par la population,.

  1. a b c d e et f «  », sur atlas de l'architecture et du patrimoine de Seine-Saint-Denis (consulté le ).
  2. Michel Roblin, Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque, Paris, Éditions Picard, , page 137.
    • Morville : Théâtres de société, qui cite le témoignage d’un contemporain rapporté dans Dominique Quéro, « Autour de la société de Morville et de trois prologues de Caylus (1731-1733) », in Le Comte de Caylus, les arts et les lettres, actes du colloque d’Oxford, 2004, p. 137.
    • Camargo : son nom est juste cité dans Fernand Bournon, État des communes, Pantin, 1901, mais aucune source n’est mentionnée.
    • Beaumarchais : Archives nationales, Z/1j/961 (estimation maison), AN ET/LIII/472 (inventaire après décès de la femme de Beaumarchais), AN Y/11089 (plainte).
    • Guimard : AN ET/XXXVIII/509 (achat maison), AN Z/2/2758 (plainte du curé), AN ET/LXII/559 (vente maison). Nombreux passages sur la Guimard à Pantin dans les Mémoires secrets dits de Bachaumont.
    • Dervieux puis Gardel : AN ET/XXXI/210 (achat maison), Z/1j/1113 (estimation maison).
    • Rodolphe : AN Z/1g/404 (rôle de taille).
    • Méhul : AN ET/CXV/1140 (inventaire après décès de Méhul).
  3. a et b Atlas du patrimoine de la Seine-Saint-Denis.
  4. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées D
  5. Marie-Pierre Bologna, «  », leparisien.fr, (consulté le ).
  6. Le bombardement de Paris par V2 (septembre-octobre 1944)
  7. «  », Sénat français (consulté le ).
  8. Matin Plus, 20 septembre 2007. Lire en ligne
  9. Le journal du dimanche, 2 septembre 2007.
  10. lemonde.fr, 15 septembre 2007

Culture

Équipements culturels
  • Ciné 104, cinéma municipal récemment agrandi à 3 salles et qui reçoit notamment le Festival Côté court.
  • Centre national de la danse dans un des plus beaux exemples de l'architecture fer et béton bordant le canal.
  • École nationale de musique.
  • Le Centre international de l'automobile dans l'ancienne manufacture Motobécane en 1989 est aujourd'hui fermé.
  • Théâtre du Fil de l'eau
  • Salle Jacques-Brel
  • Bibliothèques Elsa-Triolet, Jules-Verne, Romain-Rolland
  • Ludothèque municipale (située au cœur de "l'îlot 27")
  • La Dynamo de Banlieues Bleues (salle de jazz)
  • Festival des arbres de Noël (direction artistique Jean-Luc François)
  • CERFAV Centre européen de recherches et de formation aux arts verriers installé à Pantin depuis 2010, aujourd'hui fermé.
  • Maison Revel - Pôle Pantin Métiers d'art.
  • CRD - Conservatoire à rayonnement départemental.
  • le Centre national édition art image, de 2017 à 2021, dans le bâtiment rénové des Magasins Généraux.
  • Les Sheds, centre d'art contemporain municipal.
  • le Centre national des arts plastiques doit s'y installer en 2024.


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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/pe/pe-aya/167037.html

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