Barletta

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Barletta : descriptif

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Barletta

Barletta [bar’letta] (Varrètt ou Barlètt en dialecte barlettan) est une ville italienne d'environ 92 540 habitants (2022) située au bord de la mer Adriatique et l'un des trois chefs-lieux de la province de Barletta-Andria-Trani, dans la région des Pouilles. Le territoire communal fait partie du bassin de la vallée de l'Ofanto dont il abrite également l’embouchure

Le fleuve homonyme délimite administrativement la frontière entre Barletta et Margherita di Savoia. La commune de Barletta, qui comprend la frazione de Cannes, site archéologique témoin de la bataille historique remportée par Hannibal en 216 av

J.-C., est reconnue comme ville d’art régionale depuis 2005 du fait de ses richesses architecturales.

Géographie

Territoire

Le territoire de Barletta, étendu sur plus de 14 691 hectares et avec près de 13,5 km de côtes, donne sur la mer Adriatique, dans la partie sud-est du Golfe de Manfredonia, dans la zone côtière où le littoral rocheux de la Terre de Bari rejoint les sables de l’embouchure du fleuve Ofanto. La ville est située sur la côte, cinq kilomètres au sud-est de l’embouchure de l’Ofanto, et s'étend sur des plaines entre 10 et 30 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le territoire communal est quant à lui compris entre 0 et 158 mètres d’altitude,. Le centre urbain s’étend sur une distance d’environ six kilomètres d’est en ouest, de deux kilomètres du nord au sud et avec un périmètre d’environ treize kilomètres.

Le terrain communal est caractérisé par la présence de grès, de calcarénites, de sable, d’argile et de tuf. Les transformations anthropiques du sol ont cependant modifié son paysage, notamment entre le  siècle. La zone s’étendant du côté de Canosa, calcarénitique, auparavant dédiée au pâturage, aux vignobles et aux arbres fruitiers, est aujourd’hui totalement dénuée de prés au profit des vignobles et des oliveraies. Le même sort a été réservé au territoire du côté de Cannes qui n’abrite plus de céréaliculture ni la végétation naturelle typique des rives de l’Ofanto. Là aussi l'objectif a été de laisser la place à des vignobles et des oliveraies, profitant d’un sol argileux et des digues érigées pour éviter les dégâts dus aux inondations survenues jusqu’au  siècle. En direction de Trani, le territoire, autrefois marécageux, a été assaini, avec pour conséquence la disparition des espèces animales présentes jusqu’alors aux abords des eaux stagnantes. La zone comprise entre Barletta et Andria ne montre en revanche pas de signe de modifications substantielles et maintient sa végétation riche en oliviers.

Climat

Le climat barlettan est de type méditerranéen, typique de la façade maritime de l’Adriatique méridional, caractérisé par des hivers doux ainsi que par des étés chauds et secs, avec de faibles précipitations. La neige tombe peu de fois sur l’année et rarement dans des proportions notables. Au cours du début du  siècle toutefois, plusieurs épisodes neigeux d’une certaine importance ont été enregistrés : le 15 décembre 2007 lorsque vingt centimètres de neige ont recouvert la ville, les 6 et et les 30 et . La pluviosité est basse : la pluviométrie moyenne est de l’ordre de 550 millimètres annuels répartis sur environ 70 jours, majoritairement en automne et en hiver alors que le minimum est atteint entre la seconde moitié du mois de juin et la première moitié du mois d’août.

Relevés à Barletta
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
Température minimale moyenne (°C) 3,9 3,6 5,8 8,4 12,8 16,5 19,1 19,4 16 12,5 8,1 5,2
Température maximale moyenne (°C) 10,4 10,8 13,7 17 22,2 26,6 29,4 29,6 25 20,5 15 11,4
Précipitations (mm) 59,8 51,1 50,9 54 37 32,8 27,9 27,2 56,1 61,7 73,6 72,8
Source : Le climat dans la province de Barletta-Andria-Trani
  1.  », sur comuni-italiani.it (consulté le )
  2. Ceci 1986, p. 7.
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  10. [1]

Toponymie

Bardulos sur la table de Peutinger.

Le premier nom de la ville est attesté sous la forme de Barduli dans la table de Peutinger sous la forme de l'accusatif Bardulos. Le toponyme, selon une hypothèse du  siècle, dériverait du nom d'un peuple transadriatique qui a débarqué sur les côtes barlettanes vers le IVe siècle av. J.-C. : les Bardei.

Peuple d'agriculteurs et occasionnellement de pirates, les Bardei sont souvent entrés en conflit avec les peuples voisins, surtout avec les Autariates et les Macédoniens. Sous la direction de leur chef Bardili, les Bardei se sont alliés avec les autres composantes illyriennes pour s'opposer au roi Philippe II de Macédoine, aboutissant en 358 av. J.-C. à une lourde défaite où près de 7 000 Illyriens sont morts.

En 336 Glaucias roi des Taulantiens, déclara la guerre contre les Macédoniens, convaincu de pouvoir prendre le dessus sur le jeune roi Alexandre. Mais ce dernier finit par contraindre les Bardei à la fuite vers la côte dalmate. C'est alors que les survivants de leur armée, craignant la vindicte macédonienne, prirent la direction des côtes apuliennes, au sud du fleuve Ofanto. Selon une hypothèse du  siècle, ils auraient alors fondé Bardulos, l'actuelle Barletta.

Durant le haut Moyen Âge, la dénomination subit une nouvelle modification, devenant Baruli (au pluriel) ou Barulum (au singulier). Dans la langue apulienne vulgaire latinisée, la ville était appelée Varolum ou Varletum, forme qui rappelle le nom de la ville dans le dialecte barlettan, à savoir Varrètt’ (féminin singulier). C'est seulement à partir du  siècle que la ville acquiert sa dénomination actuelle, Barletta. Toutefois, dans le Décaméron de Giovanni Boccaccio (ou Boccace), la ville est encore appelée Bàrolo.

  1. (it) Francesco Costantino Marmocchi, Dizionario di geografia universale, volume I parte II, Turin, , p. 893-894
  2. Russo 2004, p. 40.

Histoire

Antiquité

Les premiers témoignages sur Barletta, connue sous le nom de Bardulos dans la table de Peutinger, remontent au Canusium, centre de grande importance parce que dans l’arrière-pays, outre les ressources naturelles, il y avait aussi un climat plus clément du fait de l’éloignement des eaux stagnantes et marécageuses des fleuves qui s’écoulaient en aval. En 216 Cannes, s’est tenue la bataille homonyme durant la seconde guerre punique qui marqua une lourde défaite des Romains par l’armée d’Hannibal. Avant de finir dans l’orbite de Rome, l’antique Bardulos se trouvait au carrefour de la route qui conduisait à l’arrière-pays samnite en passant par Cannes et Canosa, et la voie côtière qui, longeant l’Adriatique, reliait le Gargano à Barium et Brundisium.

La ville, jusqu’alors perçue à l’ombre de sa voisine Canosa, fut le témoin après la destruction de Cannes en 547 d’une première vague migratoire de survivants de cette cité. À la suite de l’arrivée des Lombards, elle accueillit en 586 un second exode, cette fois en provenance de Canosa, de personnes qui se sont établies le long des principaux axes du trafic vers les régions limitrophes. L’incursion sarrasine de 848 et la dévastation de 875 décrétèrent la fin de la suprématie de Canusium et la fuite définitive de ses habitants vers sa voisine, Baruli, qui, de cette façon, a pu poser les bases pour devenir une véritable civitas.

Moyen Âge

La ville prospéra de ce fait seulement à partir du Moyen Âge central en tant que forteresse normande, devenant une des étapes importantes pour les croisés et pour tout le trafic commercial vers la Terre sainte. En 1194, la période normande prit fin pour laisser place à celle souabe, marquée par la figure de Frédéric II. Quatre ans après être devenu empereur en 1220, il lança la construction de sa domus dans le château barlettan, alors uniquement constitué d’un fortin construit précédemment par les Normands. L’importance accordée à la ville par le souverain souabe se reflète par l’annonce, en 1228, de la sixième croisade alors que la Diète se tenait justement au sein de la domus de Frédéric II. En 1266, la dynastie angevine succéda aux Souabes. Barletta continua, avec , de bénéficier de la richesse économique et d’attentions, si bien que trois des sept membres du Conseil de l’Empereur étaient barlettans. La dynastie aragonaise succèda en 1442 à celle angevine et en 1459, le nouveau roi fut justement couronné dans la cathédrale de Barletta.

Monument au Défi de Barletta.

Temps modernes

Au début du  siècle, au cours des guerres d’Italie qui opposèrent la France à l’Espagne, la ville fut le théâtre de faits historiques, dont celui du célèbre défi de Barletta. La confrontation entre les chevaliers italiens et français, survenue à la suite de provocations côté français, s’est tenue le dans la plaine entre Andria et Corato, sur le territoire de la ville de Trani, et s’est conclue par la victoire des Italiens menés par le capitaine Ettore Fieramosca. La ville devint un bastion des Espagnols qui en ont renforcé les fortifications et le château. En 1528, déjà tiraillée par des divisions internes, Barletta fut dévastée par les Français qui perpétrèrent des pillages et des incendies tels que cela a abouti à la destruction d’églises et d’édifices conventuels. Le déclin de la ville commença à partir de ce moment-là, favorisé par la mauvaise gouvernance espagnole et par les catastrophes naturelles successives tout au cours du  siècle. En 1656, la peste frappa la ville et le nombre de ses habitants passa d’environ 20 000 à près de 8 000 en mars 1657. En 1689, 1731  et 1743, des tremblements de terre mirent à genoux la population.

Histoire contemporaine

La plaque commémorative du massacre de Barletta (12 septembre 1943) près du Palais des Postes. On remarque les trous des projectiles sur le mur

Les signes d’un renouveau de la ville ne se font sentir qu’à la fin du  siècle, en particulier durant les règnes de Joseph Bonaparte et de Joachim Murat. Sous ce dernier, en 1809, les ordres religieux présents dans la ville furent supprimés, avec pour conséquence la confiscation de tous leurs biens. Barletta resta toutefois un centre culturel et religieux actif et en 1860, elle fut élevée au rang d’archidiocèse par le pape Pie IX. Les années suivant le Risorgimento furent témoin de l’activisme du Barlettan Angelo Raffaele Lacerenza , autant pour ses idées que pour son action politique qui contribuèrent de manière décisive à la naissance des mouvements unitaristes dans le Sud de l’Italie et à la formation de l’Esercito meridionale avec la Brigade Barletta . Le 19 mars 1866, cinq protestants de la ville ont été tués lors d'une émeute, le pasteur Gaetano Giannini ayant réussi à s'échapper de sa maison attaquée ; plusieurs personnes, dont deux prêtres, ont été condamnées pour avoir fomenté cette émeute antiprotestante.

Le  siècle s’ouvrit avec des luttes paysannes et des grèves qui impliquèrent le syndicaliste Giuseppe Di Vittorio. Le 24 mai 1915, la ville fut frappée par le navire autrichien SMS Helgoland qui toucha, avec six coups de canon, le front septentrional du château, les infrastructures ferroviaires et quelques habitations aux alentours de la cathédrale. La ville ne subit pas de dommages ultérieurs,. À la veille de la guerre, la Brigade Barletta fut reconstituée et utilisée de 1915 à 1918 dans plusieurs batailles parmi lesquelles la neuvième bataille de l’Isonzo.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le 8 septembre 1943 et les jours suivants, la ville fut le théâtre de plusieurs épisodes de résistance. Après avoir reçu le phonogramme dans lequel il était demandé de considérer les troupes allemandes comme ennemies, le colonel Francesco Grasso positionna les troupes de la garnison barlettane pour défendre les voies d’accès à la ville. Après seulement deux jours d’attaques par des nazis, la ville a été contrainte à capituler pour éviter d'être réduite en cendres. À partir de ce moment-là, de nombreux épisodes de représailles firent 32 victimes civiles et des dizaines de blessés. L’épisode le plus grave eut lieu le 12 septembre lorsque onze agents de police et deux éboueurs furent fusillés en représailles aux alentours de l’Hôtel des Postes, accusés à tort du meurtre d’un Allemand survenu le jour précédent. Cas unique en Italie, la ville de Barletta a été décorée pour ces raisons avec la médaille d’or de la valeur militaire et du mérite civil.

Le , 59 personnes moururent dans l’effondrement d’un bâtiment de la via Canosa . En raison de ce triste événement, la ville reçu la visite du président de la République Giovanni Gronchi,. Les années 1970 représentent pour Barletta une période prospère de reprise économique avec l’implantation de nouvelles industries, la construction de nouveaux complexes scolaires, l’inauguration du musée de Cannes et du Palazzo di Città. De 1976 à 1996, la ville fit face à vingt ans d’incertitudes gouvernementales avec seize conseils communaux, trouvant ensuite dans l’administration du maire Francesco Salerno  une période de stabilité politique, d’où la confirmation de son mandat pour une deuxième fois consécutive.

Au cours de l’après-guerre, une des thématiques les plus récurrentes auprès de la population barlettane fut la constitution d’une province autonome de celle de Bari. Après une longue mobilisation populaire, la province de Barletta-Andria-Trani fut constituée par la loi 148/2004 du , puis par le décret présidentiel Francesco Ventola  fut élu comme premier président de la province.

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Culture

Avec onze médailles d’or de valeur militaire, une médaille d’or de valeur civile, 215 médailles d’argent et environ 250 médailles de bronze attribuées à des militaires barlettans ayant participé à la Première et à la Seconde Guerre mondiale, la ville est la plus décorée d’Italie.

Instruction

Bibliothèques

Barletta dispose de plusieurs bibliothèques. La Bibliothèque communale Sabino Loffredo, siégeant dans l’aile sud-est du château de Barletta, s’étend sur une superficie totale de 1.400 m² et compte un patrimoine de près de 80 000 livres. Y sont notamment conservés le Fond Apulia, le Fond musical Curci, Gallo et Cafiero, le Legato De Nittis et les anciens Fonds. Il est possible d’y consulter environ 150 revues par abonnement. La bibliothèque dispose de 80 places assises.

La Bibliothèque et Archives diocésains Pie IX est situé dans le palais archidiocésain. Il conserve près de 11 000 volumes et brochures ainsi que 2 000 parchemins (en grande partie publiés dans le Code diplomatique barlettan sous la direction du prêtre paléographe Salvatore Santeramo ) et 70 revues. On peut également citer la Bibliothèque des enfants qui rassemble environ 4 500 livres pour des lecteurs d’âge compris entre trois et quinze ans.

D’autres bibliothèques sont présentes sur le territoire de Barletta :

  • Bibliothèque des Archives de l’État de Bari ;
  • Bibliothèque de l’Institut expérimental pour l’œnologie d’Asti.
Écoles
  • Écoles secondaires du premier degré : six établissements ;
  • Écoles secondaires du deuxième degré : dix établissements (trois instituts professionnels, cinq instituts techniques, deux lycées ainsi qu’un institut technique économique privé et un lycée linguistique privé).
Université

Barletta abrite un siège secondaire de l’Université de Foggia. Les cours de soins infirmiers ont lieu sur le site de l’Hôpital Monsignor Dimiccoli.

Musées
Buste de Frédéric II, conservé au château de Barletta

Les principaux musées de la ville sont :

  • la pinacothèque De Nittis qui siège dans le Palazzo della Marra et qui comprend la collection permanente De Nittis ainsi que périodiquement des expositions temporaires ;
  • le musée civique et la pinacothèque de Barletta dont le siège se situe au château de Barletta. Ses sales abritent les collections Immesi, Gabbiani et Ricci ;
  • le musée de la cathédrale qui, outre les nombreux objets chrétiens de grande valeur, conserve les archives d’environ 2 000 parchemins et manuscrits, certains remontant au IXe siècle ;
  • la maison-musée Cafiero qui a été la résidence de l’anarchiste Carlo Cafiero né à Barletta ;
  • l’antiquarium de Cannes, présent sur le site archéologique de Cannes, qui témoigne des établissements humains sur le territoire au cours des époques préhistorique, classique, apulo-grecque et médiévale. Elle présente en outre une riche collection de vases dauno-peucètes des IVe – IIIe siècles av. J.-C. peints avec des motifs géométriques et provenant des sépultures de Cannes ;
  • le trésor de la basilique du Saint-Sépulcre, conservé dans la basilique homonyme et comprenant divers éléments d’orfèvrerie sacrée dont certains proviennent de Palestine ;
  • l’église Sainte-Marie-des-Anges conservant l’ancienne iconostase qui occupait un des murs de l’église.

Médias

Presse écrite

Barletta accueille les sièges de la maison d’édition Rotas et des éditions Penna Blu ainsi que de quelques journaux quotidiens et périodiques parmi lesquels :

  • La Gazzetta del Mezzogiorno, rédaction provinciale qui publie le supplément Gazzetta del Nordbarese ;
  • Il Fieramosca.
Radio

Les principales émissions radiophoniques présentes dans la ville de Barletta sont :

  • Antenna 1 ;
  • Radio Centro Puglia ;
  • Radio Gamma ;
  • Radio Studio 5.
Télévision

Les principales chaînes de télévision régionales situées dans la commune sont :

  • Teleregione  (Pouilles, Basilicate, Molise, Latium) ;
  • Amica 9 TV (Pouilles) ;
  • Teleradio Studio 5 (Pouilles) ;
  • TV Ofanto (Pouilles) ;
  • Telenorba  – Rédaction provinciale (Pouilles, Basilicate, Molise).

Cuisine

La gastronomie barlettane compte de nombreux produits profondément liés aux anciennes traditions paysannes et marinières. Outre les cartellate , recette typique des Pouilles qui sont imprégnées de vincotto et de miel dans la tradition barlettane, d’autres préparations sont typiques de la ville. On y retrouve par exemple les calzoncelli farcis à la moutarde. Leur préparation habituellement réalisée en parallèle des cartellate vu que la même feuille de pâte est utilisée pour les deux recettes. Pour les calzoncelli toutefois, cette feuille est découpée en rectangles puis tartinée de moutarde. La pâte est ensuite repliée en deux de façon à bien garder la farce à l’intérieur. Après avoir été frits, les calzoncelli s’imprègnent de vincotto.

Les campagnes barlettanes sont riches en vignobles et oliveraies. La production vinicole barlettane peut se reposer sur de nombreuses caves présentes à Barletta et aux alentours. En découlent le Rosso Barletta  et le Rosso Barletta Invecchiato , deux vins DOC (dénomination d’origine contrôlée) obtenus à partir de Nero de Troia.

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Barletta dans la littérature

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