Hatra
Localisation
Hatra : descriptif
- Hatra
Hatra (araméen : ḥṭrʾ d-šmš « Enclos du Soleil » ; arabe : al-Ḥaḍr, الحضر, « l'enclos », « l'agglomération ») est une ancienne cité arabe, de Haute Mésopotamie, dans le Nord de l'Irak actuel
Elle s'est développée au cours des trois premiers siècles de l'ère chrétienne, en particulier au IIe siècle, alors qu'elle était capitale d'un royaume puissant, allié de l'Empire parthe, et qu'elle résista à plusieurs sièges des armées de l'Empire romain
Hatra fut un important centre religieux, dont la divinité principale était le Dieu-Soleil (Shamash)
Son rayonnement s'étendait aux tribus arabes voisines, et elle était sans doute aussi un important centre caravanier
Sa culture était un mélange de traditions mésopotamiennes, syriennes, gréco-romaines et iraniennes, visible notamment dans les domaines religieux, architecturaux et artistiques
Elle fut détruite après la chute des Parthes, par les Perses sassanides d'Ardachîr Ier et Shapur Ier en 241 puis abandonnée par la suite. La ville est aujourd'hui appelée al-Hadr et se trouve dans la province de Ninive, à environ 290 km au nord-ouest de Bagdad et 110 km au sud-ouest de Mossoul
Les ruines, dominées par plusieurs grands temples et les restes de son imposante muraille, furent fouillées au début du XXe siècle par des archéologues allemands puis, à partir des années 1950, par des équipes irakiennes, avant d'être inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1985 ; elles firent l'objet d'un important plan de reconstruction de la part des autorités irakiennes
Le 7 mars 2015, le site a été pillé et a fait l'objet de destructions perpétrées par l'État islamique.
Histoire
L'histoire de Hatra est mal connue. Elle est essentiellement reconstituée grâce à des récits de quelques historiens romains (Dion Cassius, Hérodien et Ammien Marcellin), qui l'évoquent dans le contexte des conflits entre les Empires romain et parthe. Hatra aurait été l'ennemie des Romains, donc vraisemblablement l'alliée des Parthes. Les sources épigraphiques retrouvées à Hatra fournissent quelques indices sur les évolutions institutionnelles et la montée en puissance des monarques de Hatra, mais ne rapportent aucun événement politique ou militaire. L'intense activité de construction de monuments décidée par ces souverains est un autre indice de leur importance politique croissante.
L'essor de la ville et son contexte géographique et politique
La ville de Hatra semble émerger dans le courant du siècle de notre ère. Aucune trouvaille sur le site ni aucune source écrite n'indiquent qu'elle ait existé auparavant, bien qu'une ville située dans la même région soit mentionnée dans un texte du ; elle porte un nom similaire, Haṣaru, construit sur la même racine sémitique signifiant « enclos ».
À l'époque de la création de Hatra, la Haute Mésopotamie était dominée par les Parthes depuis les années 120-110 av. J.-C. Elle était peuplée par des populations parlant des dialectes araméens, les descendants des Assyriens et des Araméens de la première moitié du , que les textes de l'époque désignent à plusieurs reprises par les termes « Assyriens » ou « Syriens »,, et par des tribus arabes qui s'étaient implantées dans la région depuis le milieu du , en particulier autour de Hatra et dans la région du moyen Euphrate. Les auteurs grecs et romains nommaient d'ailleurs cet espace « Arabie ».
Le site de Hatra est situé dans un espace qui semble avoir été peu occupé par le passé. La région est considérée comme désertique, car on n'y trouve qu'un seul cours d'eau, non pérenne, le wadi Tharthar. Cette région, la basse Djézireh, est une zone de plateaux située à la limite de la zone où l'agriculture sèche est possible ; plusieurs villages et fermes contemporains ont été repérés dans son voisinage, surtout au nord où les pluies se font plus abondantes, ce qui indique qu'il y avait là une activité culturale. Il s'agissait sans doute de sites saisonniers occupés par des populations semi-nomades, même si certains villages furent sans doute occupés en permanence par des communautés d'agriculteurs sédentaires. Au sud de Hatra, en revanche, la steppe dominait et il y avait peu d'habitats fixes. Cette région devait alors voir cohabiter des populations pratiquant un semi-nomadisme pastoral et celles pratiquant l'agriculture permanente. La ville principale au voisinage de Hatra était Assur, située à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest, sur le Tigre. C'était un centre important depuis plusieurs millénaires, ancienne capitale de l'Assyrie, qui avait connu un regain de prospérité au début du .
Les causes du développement de Hatra sont discutées. On met souvent en avant le rôle du commerce caravanier, la ville étant située sur la route reliant Ctésiphon, la capitale des Parthes, à la Syrie, notamment le nœud routier de Nisibe ; Hatra figure sur la Table de Peutinger comme une étape sur cet axe. Mais il n'y a pas vraiment d'indices plaidant en faveur d'un rôle majeur du commerce dans la vie de la cité. Une explication plus couramment retenue est son rôle en tant que sanctuaire religieux servant pour les populations sédentaires et nomades de la région, adorant le dieu du Soleil et les autres grandes divinités de la ville. Mais la réalité est sans doute plus complexe, plusieurs facteurs ayant dû jouer, dont celui du développement de l'arrière-pays agricole qui n'était pas forcément aussi pauvre que ce qu'on pense généralement,. Le facteur politique aurait également eu son rôle. Hatra semble s'être affirmée en tant qu'entité politique vassale des Parthes, lesquels dominaient alors la Mésopotamie et le plateau Iranien. L'apparition de Hatra dans l'histoire correspond à l'expansion maximale du royaume d'Adiabène (Arbèles, Ninive, Ecbatane et Gaugamèles), situé juste au nord de Hatra. Selon Javier Teixidor, au . Pour Teixidor qui résume la position dominante, « Hatra, ville formée par des peuplades arabes, aurait été organisée par les Parthes et serait devenue un royaume dans la première moitié du siècle. » Le royaume de Hatra est en effet souvent vu comme une sorte d'État-tampon entre l'Empire romain et les Parthes, jouissant d'une quasi-indépendance : les Parthes semblent en effet s'être peu préoccupés des affaires de leurs vassaux-alliés tant qu'ils ne contrecarraient pas leurs projets et leur apportaient leur soutien lorsqu'il était requis.
Mais les relations entre Hatra et les Parthes étant très mal documentées, leur reconstruction par les historiens repose sur des hypothèses, plausibles mais non démontrables, aucun texte n'évoquant d'ailleurs Hatréens et Parthes combattant côte à côte. Cela a sans doute pour conséquence de minimiser le rôle propre des souverains de Hatra, dont la politique extérieure est généralement présentée au travers du prisme de la dualité entre Parthes et Romains.
Débuts de l'expansion
Le premier auteur à mentionner l'existence de Hatra, Dion Cassius, le fait pour évoquer le siège infructueux de la ville conduit par l'empereur romain Trajan en 116-117, alors qu'il revenait d'une campagne en Babylonie contre les Parthes, et qu'il faisait face à une insurrection des pays qu'il avait laissés derrière lui après la première partie de la campagne (qui a débuté en 114). L'historien évoque une ville ni riche ni prospère, qui n'avait pas encore l'envergure qu'elle devait prendre dans les années suivantes. Ses habitants furent pourtant en mesure d'opposer une résistance vigoureuse aux assiégeants. Le siège aurait échoué parce que les troupes romaines, éprouvées par le climat désertique et menées par un empereur à la santé déclinante (il devait mourir peu après), auraient manqué d'eau et de bois pour le conduire à son terme :
« Ensuite il partit pour l'Arabie et attaqua les Hatréens, qui, eux aussi, avaient fait défection. Leur ville n'est ni grande ni riche, et le pays d'alentour est un vaste désert ; il a fort peu d'eau (et encore ce peu est-il détestable), il n'a pas de bois ni de pâturages. Ces obstacles, qui, par leur nombre, rendent un siège impossible, et le Soleil, à qui elle est comme consacrée, suffisent pour défendre la ville ; car ni Trajan alors, ni Sévère dans la suite, ne purent la prendre, bien qu'ils aient démoli des portions de ses murailles. Trajan, qui avait détaché sa cavalerie, éprouva un échec si notable, qu'elle fut repoussée jusque dans le camp, et que lui-même, qui s'était avancé à cheval avec elle, manqua de peu d'être blessé, bien qu'ayant quitté le vêtement impérial de peur d'être reconnu. Mais, en voyant, la majesté de sa chevelure blanche et la dignité de son visage, les barbares soupçonnèrent qui il était ; ils lancèrent des flèches contre lui et tuèrent un cavalier à ses côtés. De plus, des tonnerres grondaient, des arcs-en-ciel se montraient ; des éclairs, des tourbillons, de la grêle et des foudres tombaient sur les Romains quand ils livraient un assaut. Lorsqu'ils prenaient leurs repas, des mouches, tombant dans ce qu'ils mangeaient et dans ce qu'ils buvaient, infectaient tout. Aussi Trajan, en cet état de choses, se retira, et, peu après, sa maladie commença. »
— Dion Cassius, Histoire romaine, Livre LXVIII. 31, traduction à partir de E. Gros (1867).
Il semble que la prospérité de Hatra commença après le retrait des troupes romaines. C'est en tout cas à cette époque que remonte la plus ancienne inscription trouvée sur le site qui puisse être datée avec certitude, et qui concerne la construction d'une salle du sanctuaire principal de la ville. Celle-ci était alors dirigée par un personnage appelé Worod, qui porte dans les inscriptions le titre de « seigneur » (māryā), et qui était peut-être déjà en fonction lors du siège de Trajan. Deux autres seigneurs de Hatra, Elkûd et Ma'anû, apparaissent dans des inscriptions, mais on ne sait pas à quelle période ils ont régné.
L'époque des « rois des Arabes »
Une inscription datée de 134 évoque le seigneur qui dirigeait alors la ville, Nashryahb, et son fils aîné, Nasrû, qui semble avoir été associé à l'exercice du pouvoir. Ce dernier devint à son tour seigneur dans les années qui suivirent. Ces deux règnes furent marqués par une intense activité de constructions : l'enceinte du grand sanctuaire fut érigée en 138 à l'initiative de Nasrû, à l'époque prince héritier, puis, au plus tard au début des années 150, ce fut la grande enceinte extérieure de la ville qui sortit de terre, étendant considérablement l'espace couvert par la cité ; le tracé des murailles antérieures n'a pas été identifié par les archéologues. Plusieurs temples sont également datés de son règne. Sur les inscriptions commémorant ces actes, Nasrû se présentait également comme « grand-prêtre du dieu Soleil » (afkalā rabbā d-šamš), ce qui indique que sa fonction avait également un aspect religieux. Il était assisté dans ses fonctions par un dignitaire appelé rabbaytā, « préposé à la Maison (du dieu) ». Il avait sans doute une fonction surtout religieuse car il était responsable de l'affichage des décrets légaux de la ville, dont l'origine est attribuée aux dieux.
Le successeur de Nasrû est son fils Wologash (Vologèse, nom d'origine parthe porté par plusieurs souverains de cet empire), qui fut le premier à porter le titre de « roi des Arabes » (malka di Arab), ce qui semblerait révéler une extension de l'autorité des seigneurs de Hatra aux territoires alentour. Les statues des rois furent alors dotées d'une tiare à crête, caractéristique des rois vassaux de Hatra. On ne sait pas exactement dans quelles conditions cette évolution se produisit. Il est possible qu'il faille la relier aux événements entraînés par les conflits entre Parthes et Romains : dans les années 161-165, après plusieurs guerres, le roi parthe Vologèse IV perdit la moyenne vallée de l'Euphrate au profit de ses adversaires, qui lui ravirent la suzeraineté sur le royaume d'Édesse (ou Osroène). Il pourrait alors avoir cherché à augmenter la puissance de ses vassaux de Hatra pour renforcer leur place dans son dispositif de défense, en les élevant à la dignité royale et en leur conférant une autorité sur les populations voisines. Mais en l'absence de document explicite sur ce point, cela reste conjectural. Wologash ne régna sans doute pas longtemps, puisque son frère Sanatrûq .
Sanatrûq régna quelques années, en associant son fils Abdsimya aux affaires, lui conférant le titre de « prince héritier » (pašgrībā), avant que celui-ci ne lui succède au plus tard en 193. C'est en effet à cette date qu'il apparaît dans un texte de l'historien Hérodien, sous le nom de Barsemias, dans le contexte de la guerre civile qui avait lieu dans l'Empire romain : il envoya un contingent d'archers, à la demande du roi parthe Vologèse V, au légat romain de la Syrie, Pescennius Niger, lequel revendiquait le titre d'empereur. Ce dernier fut finalement vaincu par Septime Sévère qui, en réplique, assiégea Hatra à deux reprises dans les années 190, essuyant deux échecs devant les solides remparts de la ville. Il eut plus de succès dans les régions situées à l'ouest de Hatra, où il installa une légion faisant directement face à la ville.
Les relations entre Hatra et les Parthes semblent avoir été assez distantes ; Hérodien (III.28) évoque le fait que le roi parthe « se (voyait) tout à fait étranger à la lutte engagée entre Sévère et les Hatréens, et ne (prenait) de cette guerre aucun ombrage ». Au fil du temps, l'influence parthe paraît de moins en moins perceptible dans la région et les rois de Hatra plus indépendants. Le contexte militaire explique sans doute pourquoi le fils d'Abdsimya, Sanatrûq II, renforça les murailles de la cité en 200, alors qu'il n'était encore que prince héritier. Il régna dans les premières décennies du siècle, associant son fils Abdsimya (II) au pouvoir, mais on ne sait pas si ce dernier lui succéda.
La chute de la ville et sa légende
La chute de l'Empire parthe face aux Perses emmenés par Ardashir, fondateur de la dynastie des Sassanides en 223, rebattit les cartes de la géopolitique de la Haute Mésopotamie et de tout le Moyen-Orient. Il fallut quelques années aux troupes perses pour éliminer le dernier roi parthe et soumettre ses principaux vassaux du plateau Iranien. Ardashir se tourna ensuite vers l'ouest, contre les Romains, auxquels Sanatrûq II aurait fait appel pour éviter de partager le sort des autres serviteurs des Parthes. Une inscription trouvée à Hatra, datant de 235, indique qu'une cohorte romaine y était alors stationnée. Il est donc possible que Hatra ait alors été alliée et même une cliente des Romains, voire qu'elle ait connu une nouvelle expansion de son autorité, vers l'ouest, sur les tribus arabes déjà vassales de Rome auparavant.
Quoi qu'il en soit, la ville subit le siège des Perses, menés par , le fils d'Ardashir, dans les années qui suivirent ; elle fut finalement prise en 240, dans des conditions qui ne sont pas déterminées. L'archéologie documente surtout les travaux liés au siège final des Sassanides, qui entreprirent la construction de murs de circonvallation et contrevallation reliés à leur campement, sans doute à rechercher à l'est de la ville. La population de la ville fut manifestement déportée dans sa totalité, suivant les habitudes des vainqueurs. La cité ne fut jamais repeuplée car aucune trace d'occupation postérieure au siège n'a été retrouvée. Lorsqu'il passa dans la région en 363, au retour de la campagne désastreuse de l'empereur Julien contre les Sassanides, l'historien Ammien Marcellin décrivit Hatra comme une « ville antique, mais entourée d’une vaste solitude et depuis longtemps déserte. (XXV.8.5) »
La chute de Hatra (al-Ḥaḍr en arabe) est évoquée dans les traditions iraniennes et arabes postérieures, donnant lieu à des poèmes élégiaques sur le thème de la puissance brutalement anéantie. L'événement en lui-même reste mal établi, puisqu'il est souvent mal daté, par exemple par Ferdowsî qui le situe sous le règne de Shapur II au siècle. Les récits sur la chute de Hatra rapportés par divers auteurs, notamment l'historien arabo-persan Tabari ( siècle), suivent à peu près la même trame. Le puissant roi de Hatra, issu d'une lignée illustre, aurait provoqué le roi sassanide Shapur en attaquant ses terres. Ce dernier aurait alors lancé une attaque contre lui et assiégé sa ville, sans succès, pendant plusieurs mois. La chute de la ville est imputée à la fille du roi de Hatra, la princesse Nadira, tombée amoureuse du roi perse après l'avoir aperçu du haut des murailles. Elle lui proposa alors son aide contre la promesse de l'épouser. La trahison est diversement rapportée : elle aurait indiqué à Shapur un rituel magique permettant de rendre inefficace le talisman protégeant les murailles de la ville, autrement imprenables, ou bien elle aurait enivré son père et livré les clefs de la ville à Shapur, ou bien encore aurait indiqué à ce dernier comment pénétrer dans la ville par la rivière. Une fois la ville prise, le Perse honora sa promesse de mariage, puis se rendit compte lors de la nuit de noces que la princesse avait une peau extrêmement délicate en la voyant saigner après le contact avec une feuille de myrte. Il demanda une explication et la princesse lui dit qu'il en était ainsi grâce aux traitements prodigués à sa peau grâce à son père, plein d'attentions envers elle. Scandalisé par le fait que sa nouvelle épouse ait pu trahir un père aussi aimant et craignant qu'elle n'en fasse de même avec lui, il la fit mettre à mort. Selon certains, cette histoire serait une lointaine aïeule du conte de La Princesse au petit pois, popularisé par Hans Christian Andersen.
L'archéologue et romancière Jane Dieulafoy a écrit le roman historique Rose D'Hatra (1893) qui donne vie aux circonstances de la chute de la ville.
- Joannès 2001, p. 369-370.
- Journal of Near Eastern Studies, vol. 51, no 4, , p. 281–285.
- (en) S. Parpola, « National and Ethnic Identity in the Neo-Assyrian Empire and Assyrian Identity in Post-Empire Times », Journal of Assyrian Academic Studies, vol. 18, no 2, , p. 16-21.
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- Alors qu'on a retrouvé des inscriptions de marchands à Palmyre par exemple.
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- J. Teixidor, « Notes hatréennes », Syria, lire en ligne, consulté le ).
- Sur les questions soulevées par les relations avec Hatra et les Parthes, voir notamment Dirven (dir.) 2013, Dirven (dir.) 2013, Dirven (dir.) 2013, p. 143-160 cherche à mettre en avant une interprétation reposant moins sur l'influence parthe.
- M. Gawlikowski dans Dossier archéologie 2009, p. 10.
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- M. Gawlikowski dans Dossier archéologie 2009, p. 10-11.
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- J. Gaslain dans Dossier archéologie 2009, p. 71.
- M. Gawlikowski dans Dossier archéologie 2009, p. 13.
- Dirven (dir.) 2013, siècle, position loin d'être partagée par les autres spécialistes.
- Dirven (dir.) 2013, p. 119-141.
- Tabari (trad. du persan par H. Zotenberg), « De Salomon à la chute des Sassanides - Histoire du règne de Shâpour », dans La Chronique. Histoire des prophètes et des rois, vol. I, Arles, , p. 184-187.
- Charles Pellat, « al-Ḥaḍr », dans Encyclopédie de l'Islam, t. III, Louvain, , p. 51-52.
- Suivant la proposition exposée dans l'article suivant : A. Christensen, « La princesse sur la feuille de myrte et la princesse sur le pois », Acta Orientalia, no 14, , p. 241–257. D'autres réflexions sont plus nuancées : (en) Ch. Sh. Kawan, « The Princess on the Pea: Andersen, Grimm and the Orient », Fabula, vol. 46, nos 1-2, , p. 89-115.
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