Décès de Gabrielle Deschain ; Fin 1955

Le pomelo posé sur la coiffeuse de Gabrielle s’illumine (à cause des cris d’avertissement de Susannah, invisible), et Roland voit alors dans le miroir la personne qui se tient derrière lui… Rhéa du Côos!

une sorte de cadavre ambulant affublé d’une robe noire crottée par la poussière des routes. Il ne lui reste plus que quelques touffes de cheveux se battant en duel sur la tête et un trou béant à la place du nez. Mais ses yeux lancent toujours des flammes et le serpent qu’elle tient se tortille entre ses mains, fort vivace. Malgré la profonde horreur qu’il éprouve, Jake a le temps de se demander si elle l’a capturé sous le même rocher où elle avait trouvé celui que Roland a tué.

C’est Rhéa qui guettait le Pistolero dans l’appartement de sa mère ; c’est celle du Cöos, venue non seulement récupérer son glam mais aussi en finir avec le garçon qui lui avait causé tant de tourment.

Roland voit alors que ce n’est pas Rhéa, mais sa mère, et qu’elle ne tient pas un serpent, mais une ceinture… Trop tard car les quatre balles projettent Gabrielle Deschain dans le vestibule, son sourire plein d’espoir « et si on faisait la paix » pas encore effacé sur ses lèvres. Ainsi meurt-elle : souriante.