Photos de l’intérieur du fort de Boncelles, fresques militaires et instructions sur les murs de ce fort abandonné…
Le fort de Boncelles fait partie de la ceinture de 12 forts qui défendent la ville de Liège, comme les forts de Barchon, Évegnée, Fléron, Chaudfontaine, Embourg, Flémalle, Hollogne, Loncin, Lantin, Liers, et Pontisse. Le fort de la Chartreuse ne faisait pas partie de ce complexe.
Construit sous Brialmont dans les années 1880 – 1890, le fort de Boncelles est un ouvrage de béton de forme triangulaire (plus facile à défendre).
Le fort de Boncelles a servi brièvement de dépôt pour l’armée dans les années d’après-guerre, puis revendu à la commune de Seraing en 1983, étant tombé à l’abandon et n’ayant jamais été restauré. La porte principale est conservée, mais l’entrée a été murée derrière la porte.
L’accès aux puits des coupoles de tête I et III n’est pas aisé, car il faut passer les remblais que l’on voit sur la photo suivante, et se faufiler par un interstice au dessus de la porte boulonnée.
Sur cette photo, prise de l’autre côté, on voit la porte boulonnée, l’ouverture au dessus de la porte, et le garde-fou du puits de liaison.
En descendant dans le puits de liaison par l’échelle encore présente, on peut voir les instructions d’époque. Ce puits donne sur un couloir en partie immergé.
Sous l’eau, de la vaisselle et du matériel se devine sous la rouille.
Les inscriptions en allemand qui recouvrent les instructions en français témoignent de l’utilisation des infrastructures par les allemands après la prise du fort de Boncelles. Pendant l’occupation allemande, le fort a été profondément modifié au niveau anti-aérien (la plus grande position anti-aérienne allemande de Wallonie), et terrestre (protection des usines de Cokerill et de la gare ferroviaire de Kimkenpois).
Les anciennes casemates sont réutilisées, par exemple comme salle de détente pour la troupe. Comme illustré sur la photo qui suit, l’ancienne poudrière de gauche était réaffectée au logement des officiers.
Dans les coffres flanquants de gorge, les fresques d’époque permettent de visualiser les secteurs de tir. Des instructions sont encore présentes, rappelant les différents signaux d’alerte, l’usage du projecteur, ou diverses instructions de tir.
La salle de rassemblement est complétement, dans une partie du fort qui était auparavant assez facilement accessible, est à présent complétement recouverte de graffitis. Cette salle avait été en partie remplie par les remblais des travaux de réarmements d’entre deux-guerres.
Les fossés du fort de Boncelles ont été comblés, et un lotissement a été construit sur l’emplacement du fort.
Informations complémentaires
De très belles photos sur le site de patrimoine industriel tchorski morkitu : http://tchorski.morkitu.org/3/boncelles.htm
2 réponses sur « Le fort de Boncelles – Reportage et photos de l’intérieur »
cher monsieuje vien de regardèla documentations sur le ford de boncelletres bien documentè je suis de 1944 et quant nous étions enfant nous avons ete visitè le ford jaimerais vous informè a notre enfance vous avè la tour du bol dair qui etait danjereuse in manquais des echelonset en dessou le puit inodè qui conduisais au ford en face de de la tour vere le village ils y avait une petite entrèe ou la terre avait etè souleve ils y avait des escaliè et a cauche se trouvais des chanbre avec tout le long une passerel qui memais tout le long mes dangereux ils yavaitmanquais de petti morceauxqi manquais se coin etait imance et profont et dres grand les echelle etait qunqonce se supose que vous etre au courant de cela depuis des annèe souvenir d,enfant
cela nous rappele des souvenir denfant on voulais voir cela a notre ages on avait la pètoche8ans on ce disais on va voire des squellete d alleman nous etions malgrè notre jeunne age avec des lamp de poche mais tres prudent se sont des souvenir denfanton etair quand mème hardi quant on y pense