J’avais vu cette salle de contrôle dans le film « Chernobyl Diaries » (« Chroniques de Tchernobyl » en français, un film que je n’ai pas aimé du tout), et je rêvais de la visiter un jour. C’est chose faite depuis cet été.
Jusqu’à présent, le lieux abandonné qui m’avait le plus inspiré, impressionné, et fait rêver, était la centrale ECVB, avec ses dimensions titanesques, monde sombre, mort, et silencieux, où les teintes de rouille accrochent à peine les faibles rayons de lumière, sous une couche de cendres, d’amiante, et de poussière.
En totale opposition à l’ambiance sombre et presque oppressante de l’ECVB, cette salle de contrôle est extrêmement lumineuse et colorée, grâce à cette magnifique verrière. On se croirait presque dans une salle de bal d’un conte féerique, au milieu des rires et de la musique. Les consoles de la salle de contrôle sont couvertes d’une couche de poussière qui témoigne des années d’abandon (elle est fermée depuis 2005), mais l’ensemble reste propre et net.
En attendant un article plus complet, voici la photo de cette superbe salle de contrôle :
Pour avoir la totalité de la verrière dans le champ de la photo, j’ai dû utiliser l’objectif fisheye 10.5mm f/2.8 Nikon, ce qui explique les déformations des parois.
Pris au jeu par mes compagnons de voyage, je me laisse aller à un petit selfie dans cet endroit magique, la verrière m’offrant une sombre auréole (pas un démon, mais pas un ange non plus ;) ).
Et puis l’affiche du film…
Et enfin, le trailer…
2 réponses sur « La centrale des « Chroniques de Tchernobyl » »
Je compte la visiter cet été :)
C’est un lieu incroyable; prévois un ultra grand angle pour la verrière ;-)