Glasgow

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Glasgow : descriptif

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Glasgow

Glasgow (en français : /ɡlas.ɡo/ ; en anglais : /ˈɡlazɡo/ ou /ˈɡlæzɡəʊ/ ; en scots : Glesga /ˈɡlezɡə/ ; en gaélique écossais : Glaschu /ˈkl̪ˠas̪əxu/ ) est la principale métropole d’Écosse et la troisième ville du Royaume-Uni, derrière Londres et Birmingham

Elle a aussi le statut de council area et de région de lieutenance, après avoir eu celui de district au sein de la région du Strathclyde (du 15 mai 1975 au 31 mars 1996) dont elle est le siège

Elle est située dans l'ouest de la partie centrale des lowlands écossaises

Le gentilé Glaswégien désigne aussi, au singulier, le dialecte local. Ainsi, la naissance de la ville repose sur deux fondations médiévales : l'ancien archidiocèse de Glasgow et l’université de Glasgow en 1451

L'essor décisif survient toutefois après les Lumières écossaises, imposant un précoce taux d'alphabétisation et une rapide transition de la maîtrise de l'outil au machinisme

À partir du XVIIIe siècle, Glasgow est un centre considérable du commerce transatlantique et pendant la Révolution industrielle, au XIXe siècle, l’ingénierie et la construction navale prennent le relais. Appelée, après Londres, « la deuxième ville de l’Empire britannique » pendant les époques victorienne et édouardienne malgré sa triste réputation de ville de taudis,, Glasgow reste aujourd'hui encore l’un des centres financiers les plus importants d’Europe et accueille les quartiers généraux de grandes entreprises écossaises

En 2012, Glasgow est classée 44e ville mondiale pour la qualité de ses infrastructures.

Géographie

Situation

Glasgow se situe dans le centre-ouest de l'Écosse dans la vallée de la Clyde. La ville couvre une superficie de 175,5 Édimbourg et à 599 Londres.

Certaines villes notables à proximité de Glasgow sont :

Rose des vents Dumbarton, Helensburgh Aberfoyle, Callander, Crianlarich Cumbernauld, Stirling, Falkirk Rose des vents
Erskine, Paisley, Renfrew, Port Glasgow, Greenock N Coatbridge, Airdrie, Livingston, Édimbourg
O    Glasgow    E
S
Kilmarnock, Prestwick, Ayr East Kilbride, Strathaven, Cumnock Motherwell, Hamilton, Lanark, Wishaw

Hydrographie

La ville est traversée par la Clyde, fleuve qui se jette dans le Firth of Clyde à l'ouest. Ce fleuve est très réputé pour le trafic naval qu'il a généré lors des deux siècles passés, malgré un déclin depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En 1812 a été ouverte une ligne fluviale reliant Glasgow à Greenock par la Clyde. Le pont de Kingston, construit entre 1967 et 1970, voit passer aujourd'hui plus de 150 000 véhicules par jour.

D'autres rivières traversent la ville, principalement :

  • la Kelvin, dont le nom fut utilisé pour créer le titre de Lord Kelvin, qui donna son nom à l'échelle de température absolue ;
  • la White Cart Water , qui traverse le sud de Glasgow avant de rejoindre la Clyde plus à l'ouest.

Voies de communication et transports

Voies routières
L'autoroute M8, voie de circulation la plus chargée d'Écosse.

Glasgow possède un réseau routier de nationales dense communiquant avec les autres villes d'Écosse. La principale d'entre elles est l'autoroute M8. Elle traverse la ville et coupe les autoroutes M77, M73 et M80. La route A82 relie Glasgow à Argyll et l'ouest des Highlands. L'autoroute M74 rejoint, vers le sud, la ville de Carlisle.

Pistes cyclables

La route nationale cyclable 75, reliant Leith à Portavadie, via Glasgow et Édimbourg, a été spécialement conçue pour permettre aux cyclistes de faire le trajet entre les deux plus grandes villes d'Écosse de manière sécurisée. Les bords de cette route sont agrémentés de décorations d'art moderne. En raison de nombreuses dégradations, de nombreux usagers se plaignent régulièrement de cette route,.

Transports ferroviaires
Arrivée d'un métro à la station de West Street.

La ville de Glasgow possède l'un des plus anciens métros du monde, après ceux de Londres et Budapest. Ce métro comporte une seule ligne circulaire. Il est surnommé Clockwork Orange (Orange mécanique) en raison de la couleur des wagons. Elle dessert un total de 15 stations (8 au nord de la Clyde et 7 au sud).

Glasgow est dotée d’un réseau ferroviaire urbain très vaste qui est le plus grand en Grande-Bretagne, hormis Londres. Le réseau ferroviaire urbain de Glasgow et sa région compte 13 lignes et 191 gares.

Les trains partent aussi vers le nord et l'est de l’Écosse, depuis Queen Street Station, et vers le sud et l'Angleterre depuis Glasgow Central.

L'Avanti West Coast  dessert la principale route de Glasgow à Londres (gare d'Euston) et la First Transpennine Express dessert la route à Manchester. La First ScotRail assure les liaisons en Écosse avec Londres, aussi bien que la liaison nocturne en voitures-lits Caledonian Sleeper.

Transports aériens

La ville dispose de deux aéroports internationaux :

  • l'aéroport de Glasgow, situé à une dizaine de kilomètres à l'ouest du centre-ville, à Paisley ; avec environ 8,2 millions de passagers en 2008, c'est le deuxième aéroport d'Écosse après celui d'Édimbourg, et le huitième du Royaume-Uni. Il a été la cible d'un attentat terroriste en 2007 ;
  • l'aéroport de Glasgow Prestwick, situé à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest du centre-ville, par lequel ont transité environ 2,4 millions de passagers en 2008, ce qui en fait le quatrième aéroport d'Écosse ; son activité s'est fortement développée ces dernières années, en raison de son rôle de hub pour la compagnie à bas coût Ryanair.

Climat

Le climat de Glasgow est de type océanique, marqué par des hivers modérés et des étés frais. L'humidité est importante toute l'année.

Relevé météorologique de Glasgow, United Kingdom
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1 2 3 6 8 11 10 8 5 2 1 5
Température maximale moyenne (°C) 6 6 8 11 15 17 18 18 15 12 8 6 12
Record de froid (°C) −17 −12 −8 −4 −3 0 3 1 −2 −7 −10 −17 −17
Record de chaleur (°C) 13 12 15 23 27 29 30 31 25 21 15 13 31
Précipitations (mm) 86,9 79 74,4 46,5 33,5 38,6 49,5 52,6 56,6 84,8 84,8 74,9 762,1
Source : Weatherbase
  1. a et b « River Clyde Glasgow », Clyde Waterfront.
  2. « Route 75 », Sustrans.
  3. « Are cyclists on the right path? », Steve Brocklehurst, BBC, 5 août 2005.
  4. « Summer cyclists reminded to avoid closed route between Airdrie and Bathgate », British Cycling, 28 juillet 2009.
  5.  », Weatherbase (consulté le )

Toponymie

On donne généralement au nom de Glasgow une origine cambrienne ou moyenne irlandaise Glas Cau qui signifie la vallée verdoyante . L’agglomération originelle a probablement eu un nom cambrien Cathures. Le nom moderne apparaît pour la première fois en 1116 sous la forme Glasgu. Toutefois, on sait par ailleurs que le roi de Strathclyde, Rhydderch Hael a accueilli saint Kentigern (aussi connu sous le nom de saint Mungo) et l’a reconnu évêque au  siècle. Ce dernier a prêché pendant treize ans dans la région et a construit son église près de la source de Molendinar. Autour de cette église, une communauté s’est développée sous le nom de Glasgu.

Histoire

Origines

Le sceau de Jocelin, évêque de Glasgow.

Le site actuel de Glasgow, le point le plus en aval de la Clyde proposant un passage à gué et servant de lieu de pêche au saumon, est occupé depuis la préhistoire. Les origines de Glasgow comme ville établie découlent en dernière analyse de sa position médiévale comme deuxième plus grand évêché d’Écosse. Glasgow s’est développée au cours des d'Écosse et de l’évêque John Capellanus.

Auparavant le site était le lieu d’un ancien ensemble religieux établi par saint Mungo, aussi nommé saint Kentigern au cours du christianisme. Il bâtit une église chrétienne sur les rives du Molendinar Burn où on lui attribue la réalisation de quatre miracles qui lui valent d'apparaître sur le blason de la ville. Mais l'on ne peut parler d'Écosse ni d'Écossais pour le Pictes, qui n'ont rien de commun avec les Brittons anciens ou romanisés, n'étant pas à l'origine des populations celtes. Ce qui devient Glasgow constitue en tout cas la zone la plus au nord des terres gouvernées de façon éphémère par les peuples britanniques, mais commence à appartenir aux tribus Scots qui sont des Gaëls d'Irlande, formant sur les rivages de la côte ouest les premières installations durables qui, quelque trois siècles plus tard, peuvent annexer les terres voisines et fonder l'Écosse sous l'autorité chrétienne. L'Écosse est donc héritière, par son passé, de la civilisation celtique devenue romaine et chrétienne, celle de l'île de Bretagne, et la ville de Glasgow partage la même origine. Saint Gildas (Sant Weltaz) et saint Patrick (Sant Padrig), tous les deux Britto-Romains, sont originaires de cette contrée de l'estuaire de la Clyde. Entre la mort de saint Mungo, le , et la fondation de l'archevêché de Glasgow, en 1175, on connaît peu de détails sur l'histoire de la ville.

Ville épiscopale

L'évêché devient l'un des plus grands et plus riches dans le Royaume d'Écosse. Entre 1175 et 1178 cette position est encore renforcée lorsque l'évêque Jocelin obtient du roi d'Écosse le statut de burgh pour la cité épiscopale. Cela permet à la ville de se développer en exploitant des monopoles économiques et autres garanties juridiques. Entre 1189 et 1195, ce statut est complété par la création d’une foire annuelle, foire qui perdure de nos jours sous le nom de foire de Glasgow.

La ville de Glasgow grandit au fil des siècles. La fondation de l’université de Glasgow en 1451 et l'élévation de l’évêché au rang d’archevêché en 1492 améliore encore le statut de la ville, tandis que l'université d'Édimbourg, autre pôle culturel prestigieux en Écosse, est déjà connue dans toute l'Europe.

Daniel Defoe qui visite la ville au début du . À cette époque la population de la ville s’élève à environ 12 000 habitants.

Prospérité

Après l’Acte d’Union de 1707, l’Écosse entre dans une grande phase de prospérité. Glasgow a accès aux échanges avec le vaste marché de l’Empire britannique et devient une place prépondérante dans le commerce international en étant une plaque tournante du commerce vers les Amériques, en particulier pour le commerce du tabac, du coton et du sucre. Un port en eau profonde est créé à Port Glasgow sur le Firth of Clyde, la Clyde étant à cette époque de faible profondeur au cœur de la ville. À la fin du .

La Navigation sur la Clyde, Grimshaw 1881
Un quartier pauvre (slum) en 1871

Grâce à son développement industriel, Glasgow est bientôt connue pour ses produits textiles ou sidérurgiques, lesquels partent à l'exportation. L’ouverture du Monkland Canal et du bassin de Port Dundas en 1795 facilitent l’accès au minerai de fer et aux mines de charbon du Lanarkshire. Un vaste programme d’aménagement fluvial de la Clyde, avec un dragage en profondeur jusqu’à Glasgow permettant l’accès de la ville aux navires de haute mer, fait de la construction navale une industrie majeure sur les tronçons supérieurs de la Clyde. Dans le même temps, la Clyde devient une importante source d’inspiration pour les artistes comme John Atkinson Grimshaw désireux de dépeindre la nouvelle ère industrielle et le monde moderne. La population de Glasgow dépasse celle d’Édimbourg en 1821. À la fin du et le quart des locomotives du monde.

La physionomie historique de la ville date du 1471) sont certes des bâtiments plus anciens mais restent des exceptions. La ville est de plus dotée d’un approvisionnement en eau stable avec l’aqueduc de Milngavie, d’un métro, d'un réseau de tramway, d’une mairie monumentale et de quelques équipements culturels tels que la Mitchell Library et le Kelvingrove Art Gallery and Museum. La ville de Glasgow a accueilli une série d’expositions internationales à Kelvingrove Park, en 1888, 1901 et 1911. Celle qui eut lieu au Parc Bellahouston en 1938, connue sous le nom d', avait parmi ses principales attractions une tour en acier de 300 pieds (91,44 Tait Tower, qui fut démontée l'année suivante.

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Difficultés économiques
La régénération de Glasgow a mis l'accent sur la Clyde et a créé des structures emblématiques, telles que le Clyde Auditorium.

Le Première Guerre mondiale, la ville souffre de la récession et ensuite de la Grande dépression de la fin des années 1920. Cela se traduit par une hausse du socialisme radical qui se révèle au sein d’un mouvement glaswegian, le Red Clydeside. La ville retrouve un peu de forces grâce à l’économie de guerre organisée pendant la Seconde Guerre mondiale, même si elle doit faire face aux bombardements allemands. Elle bénéficie ensuite fortement du boom d’après-guerre qui dure jusque dans les années 1950. Cependant, la décennie suivante, Glasgow voit sa position dominante dans de nombreux secteurs s’affaiblir. La raison en est un manque d’investissements et d’innovation conjugué à la concurrence croissante de pays comme l’Allemagne et le Japon. Glasgow entre alors dans une longue période de déclin économique avec une désindustrialisation rapide conduisant à un chômage élevé, un déclin de l’urbanisme et une perte démographique très importante. La population dépend de plus en plus des aides sociales et le niveau sanitaire de la population est en baisse. On trouve néanmoins quelques tentatives de régénération de la ville comme celle proposée par le très controversé Rapport Bruce qui définissait un ensemble d’initiatives visant à stopper le déclin de la ville. On peut aussi noter que des accusations ont aussi frappé le Scottish Office, le ministère de l’Écosse au sein du gouvernement britannique. Il était accusé de vouloir limiter la puissance économique et politique de Glasgow de l’après-guerre en détournant les investissements étrangers vers les nouvelles industries installées dans d’autres régions écossaises comme cela s’est fait dans la Silicon Glen et en créant plusieurs villes nouvelles à Cumbernauld, Glenrothes, Irvine, Livingston et East Kilbride.

Renouveau
Scottish Exhibition and Conference Centre.

Toutefois, à la fin des années 1980, Glasgow connaît un nouveau rebond de son économie. Des efforts sont réalisés pour diversifier celle-ci et la redynamiser en provoquant une renaissance culturelle de la ville. Le « Glasgow's miles better » est lancé en 1983 pour promouvoir Glasgow comme destination touristique et lieu d’accueil pour les industriels. Cela se traduit par l’ouverture la même année de la Collection Burrell puis du Scottish Exhibition and Conference Centre en 1985. Glasgow cherche à attirer les investissements étrangers. Le potentiel culturel est affirmé avec la création du Glasgow Garden Festival en 1988, l’obtention du statut de capitale européenne de la culture en 1990. Le renouveau économique se traduit par la régénération des quartiers du centre ville, y compris le grand programme du Clyde Waterfront Regeneration. On assiste alors au retour des populations aisées dans ces quartiers anciennement défavorisés.

Glasgow se trouve aujourd’hui parmi les cinquante villes les plus sûres au monde, d’après le classement du cabinet de consultants Mercer, et le guide touristique Lonely Planet la place parmi le top 10 des villes touristiques.

En dépit de la renaissance économique de la ville, certains quartiers comme l’East End restent largement défavorisés. Un audit économique réalisé en 2007 rapporte que les inégalités entre quartiers défavorisés et quartiers prospères s’aggravent. En 2006, 47 % de la population de Glasgow vivait dans les 15 % des zones les plus défavorisées d’Écosse. Les services sociaux de la ville rapportent que 24 % de la population active de la ville sont sans emploi. Bien que légèrement inférieur à la moyenne britannique, Glasgow a un taux d'emploi supérieur à d'autres métropoles industrielles équivalentes comme Birmingham, Liverpool et Manchester. L’espérance de vie des habitants, en 2021, s'élève à 73,6 ans pour les hommes.

  1. a et b Birth of a City - St Mungo: before and after, glasgow.gov.uk.
  2. XII lettre extrait de A tour thro' the Whole Island of Great Britain.
  3. abolition de la traite négrière. Learning and Teaching Scotland en ligne. Consulté le 26 septembre 2007
  4.  », The Glasgow Story, (consulté le )
  5.  », The Glasgow Story, (consulté le )
  6.  », Glasgow City Council, (consulté le )
  7.  », The Scotsman, (consulté le )
  8.  » (consulté le ).
  9.  », BBC News, (consulté le ).
  10.  » eSharp, (consulté le ).
  11.  » (consulté le ).
  12.  », The Guardian (consulté le ).
  13.  » [PDF], Glasgow Economic Forum, (consulté le ).
  14.  » [PDF], The Centre for Social Justice, (consulté le ).
  15. « A Glasgow, l’espoir sans gloire des laissés-pour-compte », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)

Héraldique

Les armoiries de Glasgow.

Le Lord Lyon a accordé à Glasgow ses armoiries le . Elles comportent des symboles et des emblèmes associés au patron de la ville, Mungo, auparavant déjà utilisés sur le sceau municipal. Mungo lui-même est le cimier, et les emblèmes sur l'écu représentent les miracles fait par le saint, énumérés dans un vers traditionnel :

« Ici l'oiseau qui n'a jamais volé
Ici l'arbre qui n'a jamais crû
Ici la cloche que l'on n'a jamais sonnée
Ici le poisson qui n'a jamais nagé »

L'arbre, actuellement un chêne, était originellement un noisetier. Saint Mungo a mis quelques branches de noisetier pour ré-enflammer un feu sacré éteint. L'oiseau est un rouge-gorge familier, que le saint a ranimé. La cloche est l'originel de la cathédrale de ce saint ; l'objet réel est dans le Palais du Peuple dans la cité. Le poisson est un saumon avec un anneau d'or dans sa bouche. Trois sont présents sur les armoiries ; un sur l'écu, et un pair comme les supports. L'anneau était la propriété d'une reine de Strathclyde, qui l'a perdue. Saint Mungo a attrapé un saumon dans la rivière Clyde et il a trouvé l'anneau dans le corps du poisson.

Les paroles du saint, « Seigneur, que Glasgow prospère en prêchant tes paroles et en louant ton nom », ont inspiré la devise de la ville : « Que Glasgow prospère ».

  1. ISBN ), page 462

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Glasgow dans la littérature

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