Bauge

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Bauge : descriptif

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Bauge

La bauge est une technique de construction servant à monter des ouvrages monolithiques en terre crue

La terre, tirée généralement du site de construction, est mélangée à de l'eau pour atteindre un état plastique, puis empilée par motte pour former des ouvrages

Les surfaces verticales de ces ouvrages sont retaillées après un court temps de séchage, avant que la terre ne durcisse complètement

La bauge peut constituer des murs porteurs de plusieurs étages

La bauge est l'une des techniques de construction les plus anciennes, et reste aujourd'hui utilisée dans de nombreux pays

Elle s'inscrit dans la famille des techniques de construction en terre, au côté du pisé, de la maçonnerie en brique de terre (adobe), du torchis, des enduits de terre, ou de techniques plus récentes tels que la terre allégée, la terre coulée, ou la BTC.

Description

Terminologie - Une variété de noms et de mises en œuvre

La bauge désigne une technique composite, du fait de son ancienneté et de son universalité.

Pays Noms traditionnels
Afghanistan pakhsa
Belgique tourton
Rep. Tchèque nakladani, valek, války
Afrique de l'est daga
France bauge, bigôt, bouzillage, caillibotis, coque, daube, gachcoul, mâsse, mâssé, mur d’argile, paio-bard, paillebart, paillebort, palhobard, pâtons de mâssé, terre, torchis
Allemagne lagenlehmbau, lehmweller, wellertechnik
Hongrie vályog
Iran chinch
Irak tawf
Irlande tempered clay
Italie atterati, maltone, massone
Madagascar tamboho, tovam-peta
Portugal terra empilhada, terra modelada
Espagne chamizo, muro amasado, pared de mano, terra apilado, terra amassado, fang[Quoi ?]
Slovaquie lepanice, nakladana stavba, vykladanie, valok
Soudan jalous
Turquie pasha
Royaume-Unie clay dab, clay dabbin, clob, clom, cob, dab, daubin, dung wall, korb, mudwall, mud walling, puddled earth, tai clom, tai mwd, tai prid, witchert, wychert
Afrique de l'Ouest banco, banko, terre de bar, swish
Yémen zabour, zabur

Le terme bauge en France a été généralisé par les écrits savants, afin de pouvoir y regrouper l'ensemble des techniques similaires et mieux communiquer à échelle nationale. Ainsi, certaines mises en œuvre vernaculaires  qualifiées de bauge se rapprochent beaucoup de l'adobe, du torchis ou du pisé.

Présence géographique

La bauge est répandue en Europe, Afrique, Asie et Amérique. On compte au moins 200 000 bâtiments en bauge en Europe, dont 50 000 en Allemagne, 40 000 dans le Devon (Grande-Bretagne), 30 000 en Ille-et-Vilaine et 20 000 dans la Manche. Cependant, d'autres études relatent 300 000 bâtiments en bauge rien qu'en France. En France, on rencontre de la bauge principalement en Bretagne (pays de Rennes) et en Normandie (marais du Cotentin et du Bessin, Eure), mais aussi dans le marais breton vendéen, dans la Sarthe, dans la Vienne, ou encore dans le Pas-de-Calais.

En Europe, on la retrouve principalement dans les milieux ruraux, du fait de l'espace nécessaire à sa mise en œuvre, de l'épaisseur conséquente des murs, ainsi que du temps de séchage pouvant constituer une gène en milieu urbain.

Histoire de la bauge

Les plus anciennes traces de la bauge remontent au Néolithique, mais celles-ci sont difficilement détectables du fait de sa grande ressemblance avec le sol, et de la faible connaissance des archéologues pour les techniques de construction en terre. La micromorphologie peut aider à mieux reconnaître les techniques de construction en terre sur les sites archéologiques.

En France, les bâtiments les plus anciens encore debout datent du , mais la plupart ont été édifiés aux paysanne et de l'industrialisation des techniques de construction. Les techniques de terre sont délaissées progressivement jusqu'à la disparition de leur savoir-faire vers le milieu du Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin ont intensifié le développement de la bauge, en finançant des programmes de conservation du bâti en terre local. En parallèle, des expérimentations pour « moderniser » la technique ont été menées, telles que la préfabrication, le coffrage des murs, la mécanisation de la mise en œuvre, ou l'amélioration thermique des murs en bauge.

Construction traditionnelle en bauge

En Bretagne, la construction débute par l'édification d'un solin en pierre de hauteur variable (selon les ressources locales et la richesse des propriétaires). La largeur du solin (et donc du mur) peut varier de 50 fondations dépassent rarement 50 cm de profondeur.

La terre est généralement extraite sur le lieu de la construction (d'où les nombreuses mares autour des maisons en bauge) sous la couche de terre végétale. Cette terre doit être moyennement argileuse : suffisamment pour qu'elle possède une bonne cohésion, pas trop pour qu'elle ne fissure pas. La terre est ensuite piétinée par les hommes ou des animaux afin d'y incorporer les végétaux (paille, bruyère, ajonc, fougère, etc.) ou des poils ou crins animaux.

Une fois ce mélange réalisé, on dresse (à la fourche en général) des couches successives sur le mur qui sont tassées au fur et à mesure à coup de trique (sorte de manche en bois). Ces couches dépassent largement de la largeur finie du mur. On réalise ainsi une levée d'environ 60 paroir (sorte de bêche plate), en se tenant debout sur le haut de la levée et en tranchant l'excédent de terre. Les encadrements de fenêtres et les poutres sont placés au fur et à mesure de la construction.

Bauge en tant que mortier

En maçonnerie, la bauge pouvait aussi désigner un mortier de terre. Composé de terre franche (au sens de terre argileuse) ou d'argile, de paille hachée ou de foin, ou même de l'un et de l'autre, il servait à faire l'aire (la chape) sur les planchers, ou le hourdage (remplissage) entre les poteaux des cloisons.

Potentiel pour l'architecture contemporaine

La bauge possède beaucoup de qualités pour répondre aux enjeux de l'architecture contemporaine :

  • Faible cout en énergie lors de la mise en œuvre traditionnelle
  • Réutilisation infinie des matériaux si la terre n'est pas stabilisée
  • Grande variabilité de formes et de mise en œuvre
  • Développement d'une économie locale de construction
  • Confort thermique, hydrique et acoustique apporté par la terre

Cependant, son développement vers une utilisation plus conventionnelle est freinée par plusieurs nœuds :

  • Absence de normes/règles professionnelles sur la technique, complexifiant l'assurabilité des ouvrages en bauge.
  • Filière peu développée et régionalisée par rapport aux techniques conventionnelles
  • Image et symbolique négative de la technique (la bauge renvoie à la pauvreté, la fragilité, l'archaïsme)
  • Temps et méthodes de mise en œuvre peu compatibles avec les procédés de construction contemporains

Cela ne l'empêche pas de trouver son public et d'être utilisée par nombre de personnes, notamment des auto-constructeurs, des associations militantes, des entreprises de patrimoine, des institutions publiques ou des habitants sensibles à ses qualités.

  1. a et b DOI 10.1016/j.buildenv.2016.06.009, lire en ligne, consulté le )
  2. Diderot, Denis, 1713-1784. Alembert, Jean Le Rond d', 1717-1783., L'Encyclopédie Diderot et d'Alembert., Inter-Livres, 2001-2002 (OCLC 761204317, lire en ligne)
  3. David Gandreau, Leticia Delboy, Unesco et Programme du patrimoine mondial pour l'architecture de terre, Inventaire de l'architecture de terre, Unesco, (ISBN  et , OCLC 1100031035, lire en ligne)
  4. Ecole nationale des Travaux Publics de l'Etat (ENTPE), UNIVERSITE JEAN MOULIN LYON III et FORMEQUIPE, Patrimoine européen construit en terre et sa réhabilitation: colloque international. Vaulx-en-Velin. 18-19-20 mars 1987, Vaulx-en-Velin, ENTPE,
  5. «  », sur parc-cotentin-bessin.fr (consulté le ).
  6. David Milcent, « L'architecture en bauge dans le Nord-Ouest Vendée : les bourrines du Marais Breton » (Article de colloque), Les constructions en terre massive pisé et bauge - Actes de la table-ronde de Villefontaine (Isère), 28-29 mai 2005,‎ , p. 181 - 198
  7. Julien Hardy, « Premières découvertes d'architecture en bauge dans le Pays du Perche sarthois » (Article de colloque), L'architecture en bauge en Europe,‎ , p. 37-52
  8. «  », sur Maisons en terre crue du Marais d'Ouzilly-Vignolles 86 (consulté le )
  9. a et b «  », sur Torchis - Terre crue (consulté le )
  10. Gérard Tapin, « La construction de terre en Haute-Bretagne, Histoire et techniques », Arts de l'ouest,‎ , lire en ligne)
  11. Catherine Bizien-Jaglin, Luc Laporte, Jean-Noël Guyodo et Julia Wattez, « Constructions en terre du Néolithique moyen près des rives de la Manche », Archeopages, ISSN 1622-8545 et 2269-9872, DOI 10.4000/archeopages.1133, lire en ligne, consulté le )
  12. Bérengère Perello, «  », sur ArchéOrient - Le Blog (consulté le )
  13. DOI 10.1016/j.foar.2019.06.007, lire en ligne, consulté le )
  14. Victor Villain, «  », Université de Lyon, (consulté le )
  15. J.-M. Morisot, Tableaux détaillés des prix de tous les ouvrages du bâtiment. Vocabulaire des arts et métiers en ce qui concerne les constructions (maçonnerie), Carilian, (lire en ligne).
  16. «  », sur www.base-inies.fr (consulté le )


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Terminologie - Une variété de noms et de mises en œuvre

La bauge désigne une technique composite, du fait de son ancienneté et de son universalité.

Pays Noms traditionnels
Afghanistan pakhsa
Belgique tourton
Rep. Tchèque nakladani, valek, války
Afrique de l'est daga
France bauge, bigôt, bouzillage, caillibotis, coque, daube, gachcoul, mâsse, mâssé, mur d’argile, paio-bard, paillebart, paillebort, palhobard, pâtons de mâssé, terre, torchis
Allemagne lagenlehmbau, lehmweller, wellertechnik
Hongrie vályog
Iran chinch
Irak tawf
Irlande tempered clay
Italie atterati, maltone, massone
Madagascar tamboho, tovam-peta
Portugal terra empilhada, terra modelada
Espagne chamizo, muro amasado, pared de mano, terra apilado, terra amassado, fang[Quoi ?]
Slovaquie lepanice, nakladana stavba, vykladanie, valok
Soudan jalous
Turquie pasha
Royaume-Unie clay dab, clay dabbin, clob, clom, cob, dab, daubin, dung wall, korb, mudwall, mud walling, puddled earth, tai clom, tai mwd, tai prid, witchert, wychert
Afrique de l'Ouest banco, banko, terre de bar, swish
Yémen zabour, zabur

Le terme bauge en France a été généralisé par les écrits savants, afin de pouvoir y regrouper l'ensemble des techniques similaires et mieux communiquer à échelle nationale. Ainsi, certaines mises en œuvre vernaculaires  qualifiées de bauge se rapprochent beaucoup de l'adobe, du torchis ou du pisé.

  1. DOI 10.1016/j.buildenv.2016.06.009, lire en ligne, consulté le )
  2. Diderot, Denis, 1713-1784. Alembert, Jean Le Rond d', 1717-1783., L'Encyclopédie Diderot et d'Alembert., Inter-Livres, 2001-2002 (OCLC 761204317, lire en ligne)

Présence géographique

La bauge est répandue en Europe, Afrique, Asie et Amérique. On compte au moins 200 000 bâtiments en bauge en Europe, dont 50 000 en Allemagne, 40 000 dans le Devon (Grande-Bretagne), 30 000 en Ille-et-Vilaine et 20 000 dans la Manche. Cependant, d'autres études relatent 300 000 bâtiments en bauge rien qu'en France. En France, on rencontre de la bauge principalement en Bretagne (pays de Rennes) et en Normandie (marais du Cotentin et du Bessin, Eure), mais aussi dans le marais breton vendéen, dans la Sarthe, dans la Vienne, ou encore dans le Pas-de-Calais.

En Europe, on la retrouve principalement dans les milieux ruraux, du fait de l'espace nécessaire à sa mise en œuvre, de l'épaisseur conséquente des murs, ainsi que du temps de séchage pouvant constituer une gène en milieu urbain.

  1. David Gandreau, Leticia Delboy, Unesco et Programme du patrimoine mondial pour l'architecture de terre, Inventaire de l'architecture de terre, Unesco, (ISBN  et , OCLC 1100031035, lire en ligne)
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  3. Ecole nationale des Travaux Publics de l'Etat (ENTPE), UNIVERSITE JEAN MOULIN LYON III et FORMEQUIPE, Patrimoine européen construit en terre et sa réhabilitation: colloque international. Vaulx-en-Velin. 18-19-20 mars 1987, Vaulx-en-Velin, ENTPE,
  4. «  », sur parc-cotentin-bessin.fr (consulté le ).
  5. David Milcent, « L'architecture en bauge dans le Nord-Ouest Vendée : les bourrines du Marais Breton » (Article de colloque), Les constructions en terre massive pisé et bauge - Actes de la table-ronde de Villefontaine (Isère), 28-29 mai 2005,‎ , p. 181 - 198
  6. Julien Hardy, « Premières découvertes d'architecture en bauge dans le Pays du Perche sarthois » (Article de colloque), L'architecture en bauge en Europe,‎ , p. 37-52
  7. «  », sur Maisons en terre crue du Marais d'Ouzilly-Vignolles 86 (consulté le )
  8. «  », sur Torchis - Terre crue (consulté le )
  9. Gérard Tapin, « La construction de terre en Haute-Bretagne, Histoire et techniques », Arts de l'ouest,‎ , lire en ligne)


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Histoire de la bauge

Les plus anciennes traces de la bauge remontent au Néolithique, mais celles-ci sont difficilement détectables du fait de sa grande ressemblance avec le sol, et de la faible connaissance des archéologues pour les techniques de construction en terre. La micromorphologie peut aider à mieux reconnaître les techniques de construction en terre sur les sites archéologiques.

En France, les bâtiments les plus anciens encore debout datent du , mais la plupart ont été édifiés aux paysanne et de l'industrialisation des techniques de construction. Les techniques de terre sont délaissées progressivement jusqu'à la disparition de leur savoir-faire vers le milieu du Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin ont intensifié le développement de la bauge, en finançant des programmes de conservation du bâti en terre local. En parallèle, des expérimentations pour « moderniser » la technique ont été menées, telles que la préfabrication, le coffrage des murs, la mécanisation de la mise en œuvre, ou l'amélioration thermique des murs en bauge.

  1. Catherine Bizien-Jaglin, Luc Laporte, Jean-Noël Guyodo et Julia Wattez, « Constructions en terre du Néolithique moyen près des rives de la Manche », Archeopages, ISSN 1622-8545 et 2269-9872, DOI 10.4000/archeopages.1133, lire en ligne, consulté le )
  2. Bérengère Perello, «  », sur ArchéOrient - Le Blog (consulté le )
  3. DOI 10.1016/j.foar.2019.06.007, lire en ligne, consulté le )
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :2
  5. Victor Villain, «  », Université de Lyon, (consulté le )

Construction traditionnelle en bauge

En Bretagne, la construction débute par l'édification d'un solin en pierre de hauteur variable (selon les ressources locales et la richesse des propriétaires). La largeur du solin (et donc du mur) peut varier de 50 fondations dépassent rarement 50 cm de profondeur.

La terre est généralement extraite sur le lieu de la construction (d'où les nombreuses mares autour des maisons en bauge) sous la couche de terre végétale. Cette terre doit être moyennement argileuse : suffisamment pour qu'elle possède une bonne cohésion, pas trop pour qu'elle ne fissure pas. La terre est ensuite piétinée par les hommes ou des animaux afin d'y incorporer les végétaux (paille, bruyère, ajonc, fougère, etc.) ou des poils ou crins animaux.

Une fois ce mélange réalisé, on dresse (à la fourche en général) des couches successives sur le mur qui sont tassées au fur et à mesure à coup de trique (sorte de manche en bois). Ces couches dépassent largement de la largeur finie du mur. On réalise ainsi une levée d'environ 60 paroir (sorte de bêche plate), en se tenant debout sur le haut de la levée et en tranchant l'excédent de terre. Les encadrements de fenêtres et les poutres sont placés au fur et à mesure de la construction.

Bauge en tant que mortier

En maçonnerie, la bauge pouvait aussi désigner un mortier de terre. Composé de terre franche (au sens de terre argileuse) ou d'argile, de paille hachée ou de foin, ou même de l'un et de l'autre, il servait à faire l'aire (la chape) sur les planchers, ou le hourdage (remplissage) entre les poteaux des cloisons.

  1. J.-M. Morisot, Tableaux détaillés des prix de tous les ouvrages du bâtiment. Vocabulaire des arts et métiers en ce qui concerne les constructions (maçonnerie), Carilian, (lire en ligne).

Potentiel pour l'architecture contemporaine

La bauge possède beaucoup de qualités pour répondre aux enjeux de l'architecture contemporaine :

  • Faible cout en énergie lors de la mise en œuvre traditionnelle
  • Réutilisation infinie des matériaux si la terre n'est pas stabilisée
  • Grande variabilité de formes et de mise en œuvre
  • Développement d'une économie locale de construction
  • Confort thermique, hydrique et acoustique apporté par la terre

Cependant, son développement vers une utilisation plus conventionnelle est freinée par plusieurs nœuds :

  • Absence de normes/règles professionnelles sur la technique, complexifiant l'assurabilité des ouvrages en bauge.
  • Filière peu développée et régionalisée par rapport aux techniques conventionnelles
  • Image et symbolique négative de la technique (la bauge renvoie à la pauvreté, la fragilité, l'archaïsme)
  • Temps et méthodes de mise en œuvre peu compatibles avec les procédés de construction contemporains

Cela ne l'empêche pas de trouver son public et d'être utilisée par nombre de personnes, notamment des auto-constructeurs, des associations militantes, des entreprises de patrimoine, des institutions publiques ou des habitants sensibles à ses qualités.

  1. «  », sur www.base-inies.fr (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

  • Adobe
  • Pisé
  • Torchis

Bibliographie

  • [Bardel & Maillard 2002] Philippe Bardel, Architecture de terre en Ille-et-Vilaine, Rennes, Écomusée du pays de Rennes/Éditions Apogée, , 159 ISBN ).
  • [Chazelles & Klein 2003] Claire-Anne de Chazelles et Alain Klein (dir.), Terre modelée, découpée ou coffrée. Matériaux et modes de mise en œuvre (Actes de la table-ronde des 17 et 18 novembre 2001 - 27 articles), Montpellier, Éditions de l'Espérou (École nationale supérieure d'architecture de Montpellier), , 460 ISBN ).
  • Erwan Patte et François Streiff, L'Architecture en bauge en Europe. Actes du colloque organisé à Isigny-sur-Mer, 12-14 octobre 2005, les Veys, Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin, , 335 p..
  • E. Patte et E. Marie-Raffray, Entre Sèves et Taute, de terre et de pierre dans les marais du Cotentin. Inventaire général ADAGP, Cabourg, Cahier du temps, ISBN ).

Articles connexes

  • Adobe
  • Pisé
  • Torchis

Bibliographie

  • [Bardel & Maillard 2002] Philippe Bardel, Architecture de terre en Ille-et-Vilaine, Rennes, Écomusée du pays de Rennes/Éditions Apogée, , 159 ISBN ).
  • [Chazelles & Klein 2003] Claire-Anne de Chazelles et Alain Klein (dir.), Terre modelée, découpée ou coffrée. Matériaux et modes de mise en œuvre (Actes de la table-ronde des 17 et 18 novembre 2001 - 27 articles), Montpellier, Éditions de l'Espérou (École nationale supérieure d'architecture de Montpellier), , 460 ISBN ).
  • Erwan Patte et François Streiff, L'Architecture en bauge en Europe. Actes du colloque organisé à Isigny-sur-Mer, 12-14 octobre 2005, les Veys, Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin, , 335 p..
  • E. Patte et E. Marie-Raffray, Entre Sèves et Taute, de terre et de pierre dans les marais du Cotentin. Inventaire général ADAGP, Cabourg, Cahier du temps, ISBN ).

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Bauge dans la littérature

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