Saint-Michel-l'Observatoire

Localisation

Carte du monde

Saint-Michel-l'Observatoire : descriptif

Informations de Wikipedia
Saint-Michel-l'Observatoire

Saint-Michel-l'Observatoire est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Après un exode rural important, cette commune a retrouvé sa population des années 1850 (plus de 1 000 habitants)

Elle a préservé ses richesses patrimoniales : patrimoine bâti, allant du Moyen Âge au XIXe siècle (chapelles, églises, tours, moulins), patrimoine naturel (forêt, champs et rivière), agriculture

Un tourisme s'est développé sur le territoire, inclus dans le parc naturel régional du massif du Luberon

L’observatoire de Haute-Provence est situé sur le territoire de la commune, avec des animations mais aussi une recherche scientifique permanente.

Géographie

Saint-Michel-l’Observatoire et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Saint-Michel a été choisie comme site d'implantation de l’observatoire de Haute-Provence, vers 600 mètres d'altitude au nord. Un astéroïde (9395) Saint Michel a été ainsi nommé en son honneur.

Le village est situé à 543 . Le rocher de Guérin culmine à 767 mètres sur la commune.

Les communes limitrophes de Saint-Michel-l'Observatoire sont Revest-des-Brousses, Mane, Dauphin, Saint-Martin-les-Eaux, Villemus, Reillanne et Aubenas-les-Alpes.

Le territoire du parc naturel régional du Luberon.

Le village occupe le flanc d’un éperon allongé est situé dans le parc naturel régional du Luberon. La commune est l'un des soixante-dix-sept membres du parc naturel régional du Luberon, parc qui s'étend, de Cavaillon à l'ouest jusqu'à la Durance à l'est, sur deux départements, quatre-vingt-cinq communes et 185 145 hectares. Vers le sud, le Luberon domine le bassin de la Durance et le pays d'Aigues.

La commune compte deux villages principaux, Saint-Michel-de-Provence, appelé usuellement Saint-Michel, et Lincel. Elle regroupe aussi plusieurs hameaux, dont Les Craux, et des écarts en assez grand nombre.

Géologie

Massif des Alpes et localisation des monts de Vaucluse et des Baronnies.

Le territoire se situe à la limite est des monts de Vaucluse, entre plusieurs formations géologiques majeures des Alpes :

  • la Montagne de Lure au nord-ouest ;
  • la faille de la Durance au sud-est, dans la vallée ;
  • le Plateau de Valensole à l'est : bassin molassique du Miocène et du Pliocène composé de roches sédimentaires détritiques (dépôts liés à l'érosion des montagnes apparues à l'Oligocène).
  • le Luberon au sud.

Hydrographie

La commune est traversée par un cours d'eau, le Largue, affluent de la Durance. Celui-ci, coulant du nord, forme la limite sud, fait un coude vers le nord-ouest et longe la limite ouest communale. À l'est, deux ruisseaux, la Rimourelle et le Répétier s’écoulent vers le sud-est dans des vallons parallèles.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dauphin », sur la commune de Dauphin à 6 vol d'oiseau, est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 693,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,1 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Voies de communication et transports

Voies routières

Le village Saint-Michel-l'Observatoire est au carrefour des routes départementales RD 5, 55, 205 et 305. La commune est traversée par la RD 4100, ancienne route nationale 100.

Distance des grandes villes françaises

L'orientation et la localisation de Saint-Michel-l'Observatoire par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant. Distance à vol d'oiseau :

Ville Marseille Nice Montpellier Lyon Toulouse Bordeaux Strasbourg Paris Nantes Rennes Lille
Distance

Orientation

74 km 127 km

(S-E) (S)

152 km

(S-O)

217 km

(N)

345 km

(O)

512 km

(O)

543 km

(N-E)

610 km

(N)

678 km

(N-O)

737 km

(N-0)

775 km

(N)

Services autocars
Lignes régionales, réseau Zou !

Saint-Michel-l'Observatoire est desservie par :

  • 2 lignes de PROXIMITE :
Ligne Tracé
Banon ↔ Saint-Michel-l'Observatoire ↔ Manosque
Avignon ↔ Apt ↔ Saint-Michel-l'Observatoire ↔ Forcalquier ↔ La Brillanne
Transports ferroviaires

Les gares SNCF sont à Manosque - Gréoux-les-Bains à 12 La Brillanne-Oraison à 14 ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble). La ligne de Cavaillon à Saint-Maime - Dauphin passait en limite sud de la commune, mais elle est fermée au trafic voyageurs depuis 1938 et depuis déclassée.

Flore et faune

59,8 % du territoire sont en zone naturelle. La commune est incluse dans une zone de nature et de silence de 677 ha, ainsi que dans la ZNIEFF (Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique) de type 2 « Agrosystème de Mane ». On y retrouve des espèces des écosystèmes liés à l'agriculture et aux zones humides (comme le martin pêcheur sur la rivière Largue). Les bois d'Audibert, le Largue et les Craux sont inventoriés comme secteurs de valeur biologique majeure.

Risques naturels et technologiques

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Forcalquier auquel appartient Saint-Michel-l’Observatoire est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011. La commune de Saint-Michel-l’Observatoire est également exposée à trois autres risques naturels :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort .

La commune de Saint-Michel-l’Observatoire est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses, par rail, route et canalisations . Ces transports sont principalement à destination ou en provenance des usines Arkema de Saint-Auban et Sanofi de Sisteron . La départementale RD 4100 (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses .

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune et le Dicrim n’existe pas non plus.

La commune est très fréquemment l’objet d’arrêté de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue (1986, 1987, 1990 deux fois, 1994 avec en plus des glissements de terrain, 1998, 2001 et 2011. Le tremblement de terre de Lambesc, 11 juin 1909 a été fortement ressenti dans la commune, avec une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets),.

  1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, ISBN ).
  2. Maurice Gidon, Les chaînons de Digne, Carte très schématique, montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale).
  3. «  », SANDRE.
  4. Carte IGN
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. Zou ! Le réseau de transport de la Région Sud
  13. Horaires et tarifs Zou ! Ligne 915
  14. a et b Saint-Michel-l'Observatoire sur l'Atlas du PNR du Luberon
  15. Comité régional de l'inventaire ZNIEFF PACA, « Agrosystème de Mane »
  16. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
  17. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées prim
  18. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  19. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
  20. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 74loc=.
  21. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
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Toponymie

Le nom provençal de Saint-Michel-l’Observatoire, Sant-Michèu-l’Òusservatòri, est une retraduction à partir du nom français, et n’est pas tiré du nom provençal qui s’écrirait Sant Michèu.

Le prieuré d’Ardenne (cité comme de Ardenna en 1274), et le château voisin, tirent leur nom d’une racine celtique, *ardu-, signifiant élevé : il est en effet situé en haut d’une pente, et proche d’un ravin,.

Lincel apparaît dans les chartes en 1251 sous la forme Laudoncelli, puis de Lixello en 1274, Launcello ou Lancello en 1351), est issu de Lavincellu, sur une variante de la base prélatine *l-av servant à désigner une pente.

  1. Blanchet et 2003 loc, p. 24.
  2. , Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, ISBN ), p. 41.
  3. Philippe Blanchet, Petit dictionnaire des lieux-dits en Provence, Montfaucon, Librairie contemporaine, (ISBN ), p.16.
  4. Fénié et Fénié 2002, p. 29.

Histoire

Premières occupations humaines

Le territoire de la commune est fréquenté au paléolithique (découvertes à Aurifeuille, La Nouvenière, Gayol), puis au chalcolithique. Sept oppidums ont été identifiés sur le territoire de la commune.

Antiquité

Vestiges visibles du gué du Reculon (2 100 ans d'âge).

Dans l’Antiquité, le territoire de la commune est habité par le peuple gaulois des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et vaincus avec eux par les légions romaines en 125 av. J.-C..

Après la conquête romaine, les Sogiontiques sont rattachés à la province romaine de Narbonnaise. Au civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron).

Un élément reste fixe depuis la fin de l'Antiquité : la limite orientale de la commune reste fixée sur le versant de la colline de Porchères, important repère visuel dans le paysage, et qui fut le siège d'un oppidum à l'époque gauloise. La colline est restée un lieu de culte, avec la chapelle Saint-Jean-de-Fuzils. La persistance d'une telle borne territoriale semble un processus courant, on retrouve le même phénomène au Chastelard de Lardiers entre Lardiers et Banon.

La voie domitienne passait sur la commune. Venant d'Alaunium (au pied de Lurs), elle traversait la plaine de Mane et entrait dans la commune à Tavernoure où subsiste une borne d'époque antique. Après avoir franchi la Rimourelle, la voie romaine remontait sur le plateau, avant de traverser le Reculon sur un gué aménagé,. Des traces d’aqueduc ont également été découvertes.

Moyen Âge

En 1125, le territoire fait partie du comté de Forcalquier.

Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire.

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au Michel archange), alors qu’elle n’est qu’un village fortifié. L’église Saint-Michel (actuelle église haute au village) et les redevances qui lui étaient attachées sont donnés à l’abbaye de Ganagobie au abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon. L’abbaye possédait également une église rurale, à Saint-Jean-de-Fuzils, qui appartenait auparavant à Saint-Victor de Marseille,, ainsi que le prieuré d’Ardènes. L’Hospitalité d’Avignon y possédait la chapelle d’Ardène (fondée en 1209), la chapelle Saint-Paul dépendait de Carluc, et enfin la chapelle Sainte-Madeleine relevait du chapitre de Forcalquier.

Le fief de Saint-Michel relevait du comté de Forcalquier au Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le 29 juin 1220 avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Saint-Michel, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250.

Le fief de Saint-Michel appartient aux familles d’Agoult (du . Le fief de Silvabelle en est détaché. La communauté relevait de la viguerie de Forcalquier. Audibert de Reillanne fut coseigneur de Saint-Michel.

Le prieuré d’Ardènes tenait un hospice pour les voyageurs,. Une abbaye est abandonnée au XIIIe siècle.

Époque moderne

En 1511, les habitants intentent un procès aux insectes qui dévastent les cultures devant l’officialité. Celle-ci condamne les insectes à disparaître.

Époque contemporaine

Monument aux morts de la Première Guerre mondiale, qui comprend le nom d’un fusillé pour l'exemple.

Saint-Michel fusionne avec Lincel en 1973, commune qui durant la Révolution, compte une société patriotique, établie fin 1792 par la société de Manosque, et appelée société des Antipolitiques. Environ 80 % de la population masculine la fréquente. En application du décret de la Convention du 25 vendémiaire an II () invitant les communes ayant un nom pouvant rappeler la royauté, la féodalité ou des superstitions, à le remplacer par une autre dénomination, la commune change de nom pour Mont-Michel.

Sous la monarchie de Juillet, à la suite d’une querelle entre le curé et les paroissiens, une part importante des habitants de Saint-Michel embrassent le culte protestant.

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : neuf habitants de Saint-Michel, et deux de Lincel, sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie.

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Michel et Lincel se dotent d’écoles bien avant les lois Ferry : en 1863, chacune des deux communes en possède une, installée au chef-lieu. Les écoles des deux villages dispensent une instruction primaire aux garçons, mais seules les filles de Saint-Michel reçoivent une instruction. En effet, la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, ce qui ne concerne pas Lincel<. La première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concerne pas Lincel non plus, qui n’ouvre son école aux filles qu’avec les lois Ferry La commune de Saint-Michel profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école.

La commune est durement touchée par la Première Guerre mondiale, qui accélère encore le déclin démographique : outre les tués au front, un Saint-Michelois est fusillé pour l'exemple ; son nom figure sur le monument aux morts.

En 1937, Saint-Michel est choisie pour l'implantation de l'observatoire de Haute-Provence, et change de nom à cette occasion : cette installation entraine une nouvelle dynamique démographique.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le département est occupé par l'Italie de novembre 1942 à septembre 1943, puis par l'Allemagne nazie jusqu'en août 1944. Le débarquement de Provence ainsi que différents bombardements permettent la libération progressive de la zone.

La commune a connu durant la deuxième moitié du XXe siècle une importante croissance, qui l'a ramenée à son niveau de population d'avant l'exode rural. Le tourisme s'est développé.

  1. Collier 1986, p. 9.
  2. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , p.428.
  3. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées beaujard
  4. a et b Guy Barruol, « Le Pays de Forcalquier à l'époque romaine », dans Archéologie au pays de Forcalquier : radioscopie d'un terroir rural, catalogue d'exposition, Mane, été 1990, Mane, ISBN ), p.45.
  5. Mariacristina Varano,  siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 151.
  6. Bérard 1997, p. 429.
  7. Bérard 1997, p. 430-432.
  8. Audrey Becker-Piriou, « De Galla Placidia à Amalasonthe, des femmes dans la diplomatie romano- barbare en Occident ? », Revue historique, lire en ligne).
  9. , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, lire en ligne)., § 28491, p. 1630.
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  11. a b c d et e Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées archeo-provence
  12. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du ISSN 1254-9371), (ISBN ), p. 227.
  13. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 197.
  14. Mariacristina Varano,  siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
  15. Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 201.
  16. Poppe, Reillanne, [réf. non conforme]
  17. , 1869 sur sorbonne.fr
  18. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.296-298.
  19. Alphand 1989, p. 311.
  20. Alphand 1989, p. 320.
  21. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 [1], consulté le 18 novembre 2008.
  22. Peter M. Jones, « Quelques formes élémentaires de la vie religieuse dans la France rurale (fin lire en ligne).
  23. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
  24. Jean-Christophe Labadie (ISBN ), p.9.
  25. Labadie 2013, p. 16.
  26. Labadie 2013, p. 18.
  27. Labadie 2013, p. 11.
  28. Les fusillés pour l’exemple des Basses-Alpes, Fédération départementale des groupes de Libre Penseurs des Alpes-de-Haute-Provence, collection « Les cahiers de la Libre Pensée bas-alpine », no 2, p. 7-9.

Héraldique

Blason
D'azur à un saint Michel d'or tenant à sa main dextre une balance de deux plateaux du même sur une terrasse de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).

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