Istres

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Istres : descriptif

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Istres

Istres (prononcé [istʁ]) est une commune française, sous-préfecture du département des Bouches-du-Rhône, dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Elle est le chef-lieu de l’arrondissement d'Istres, du canton d’Istres et commune membre de la métropole d'Aix-Marseille-Provence. Encadrée par l'étang de Berre et l'étang de l'Olivier, la commune est en bordure de la plaine de la Crau et à proximité du massif des Alpilles, de la Camargue et du littoral méditerranéen

Elle est récompensée par quatre fleurs au concours des villes fleuries par le Conseil des Villes et villages fleuris de France

Ville aéronautique par l’implantation d'une base aérienne majeure, elle a également su développer une importante activité sportive avec la présence de plusieurs clubs en championnats professionnels au niveau national. Au recensement de 2012, Istres était la sixième commune des Bouches-du-Rhône par sa population.

Géographie

Les communes limitrophes sont Fos-sur-Mer, Miramas, Saint-Martin-de-Crau, Saint-Mitre-les-Remparts et Berre-l'Étang.

Localisation

Istres
Istres
Géolocalisation d'Istres dans les Bouches-du-Rhône.

Istres est située dans le sud de la France, à l'ouest de la Provence au sein du département des Bouches-du-Rhône, dont elle est l'une des sous-préfectures. La commune occupe un territoire à la fois bordé par le rivage nord-ouest de l'étang de Berre, l'une des plus grandes étendues d'eau d'Europe et la plaine de la Crau, unique steppe d'Europe occidentale.

Sa localisation est à environ 45 Marseille, 60 Avignon, 20 Salon-de-Provence, 10 Martigues et 45 Arles. Elle se trouve également à proximité du parc naturel régional des Alpilles et du parc naturel régional de Camargue.

Communes limitrophes

Communes limitrophes d’Istres
Saint-Martin-de-Crau Saint-Martin-de-Crau Miramas
Saint-Martin-de-Crau Istres Étang de Berre
Saint-Martin-de-Crau Fos-sur-Mer Étang de Berre

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 11 373 hectares ; son altitude varie entre 0 et 120 mètres.

Du fait qu'une importante partie du territoire communal se situe sur la plaine de la Crau, celui-ci est majoritairement plat. Des reliefs relevés et accidentés se trouvent néanmoins à l'est de la ville, vers l'étang de Berre et l'étang de l'Olivier. Ce dernier est par ailleurs surplombé par l'oppidum du Castellan dont le promontoire rocheux s'élève à une hauteur de 40,7 mètres.

Hydrographie

Une branche du canal de Craponne et de nombreux autres canaux d'irrigation sont présents sur la commune.

Le territoire communal comporte plusieurs étangs : l'étang de l'Olivier, l'étang de Rassuen et l'étang d'Entressen. Il est également en bordure de l'étang de Berre, second plus grand étang salé d'Europe dont les abords sont protégés par la loi littoral et l'étang de Lavalduc, utilisé comme bassin de stockage de saumure pour l'industrie.

L'étang de l'Olivier est situé à proximité immédiate du centre historique de la ville. C'est un étang d'eau oligohaline qui est relié à l'étang de Berre par un canal souterrain. L'étang de Rassuen et ses salines a été exploité jusqu'en 1988 pour la fabrique de produits chimiques, il est aujourd'hui protégé comme site Natura 2000. L'étang d'Entressen, situé à l'extrémité nord-ouest de la commune est utilisé pour des activités de nautisme et de pêche, c'est un étang d'eau douce.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,7 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 572,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,3 ,,.

Statistiques 1991-2020 et records ISTRES (13) - alt : 23m, lat : 43°31'21"N, lon : 4°55'39"E
Records établis sur la période du 01-09-1920 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,4 3,5 6,2 8,8 12,6 16,6 19,2 19 15,4 12,2 7,4 4,2 10,7
Température moyenne (°C) 7,5 8,1 11,3 14 17,9 22,2 24,9 24,7 20,6 16,6 11,4 8,2 15,6
Température maximale moyenne (°C) 11,6 12,7 16,4 19,1 23,2 27,8 30,7 30,4 25,8 21 15,4 12,1 20,5
Record de froid (°C)
date du record
−11,1
07.01.1985
−13,6
10.02.1956
−7,2
07.03.1971
−1,4
01.04.1977
3,1
04.05.1967
6,7
04.06.1984
9
12.07.1936
9,6
30.08.1986
5,1
29.09.1974
−2
31.10.1941
−4,9
23.11.1998
−12,6
27.12.1962
−13,6
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
21
19.01.07
23,4
24.02.20
26
23.03.19
29,8
20.04.1949
34,5
24.05.11
44,3
28.06.19
39,5
26.07.1983
40,3
01.08.20
34,9
03.09.16
30,9
02.10.1997
25,2
03.11.1970
20,5
05.12.18
44,3
2019
Précipitations (mm) 55,6 33,6 31,5 59 42,5 28,2 12,5 23,4 80 86,7 76,2 43,7 572,9
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11,6
3,4
55,6
 
 
 
12,7
3,5
33,6
 
 
 
16,4
6,2
31,5
 
 
 
19,1
8,8
59
 
 
 
23,2
12,6
42,5
 
 
 
27,8
16,6
28,2
 
 
 
30,7
19,2
12,5
 
 
 
30,4
19
23,4
 
 
 
25,8
15,4
80
 
 
 
21
12,2
86,7
 
 
 
15,4
7,4
76,2
 
 
 
12,1
4,2
43,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Voies de communication et transports

Réseau routier

Le principal axe de communication traversant la commune est la route nationale N 569 reliant Miramas à Fos-sur-Mer. Cette route, surnommée la transhumance, fait l'objet depuis de nombreuses années d'un futur projet de mise au norme autoroutière dans le but de fluidifier le trafic soutenu qui la fréquente et connecter directement l'autoroute A54 à celle-ci.

Istres est également traversée par la route départementale D 5, qui permet de rejoindre au nord, le quartier d'Entressen, et les communes de Saint-Martin-de-Crau et Mouriès. Au sud, la D 5 relie la commune de Martigues en passant par Saint-Mitre-les-Remparts sous la forme d'une voie rapide.

Trois routes départementales permettent de se rendre à Miramas, il s'agit de la D569N, de la D 10 (depuis Entressen) et de la D 16. Cette dernière relie la commune de Salon-de-Provence et passe à proximité de Saint-Chamas.

D'autres routes départementales sont présentes sur la commune comme axes secondaires, il s'agit de la D 53 (et D 53A) qui relie la D 569N et la D 16 via le pourtour de l'étang de l'Olivier, la D 52 (et D 52A) qui relie les quartiers de Rassuen et le Ranquet ainsi que la D 51 (et D 51A) dont le tracé relie l'étang de Lavalduc à la commune de Saint-Mitre-les-Remparts.

Réseau cyclable

Istres dispose de quelques aménagements cyclables. Ainsi, des bandes cyclables sont présentes le long de l'avenue Radolfzell et sur une partie de l'avenue Félix-Gouin, deux axes de circulations importants de la ville. Une piste cyclable existe le long du chemin de Capeau à proximité du quartier de Trigance. Une piste est également aménagée sur une très courte portion à proximité de l'entrée du régiment du génie de l'air. Enfin la route départementale D 5 dispose aussi de bandes cyclables sur la majeure partie de son parcours à l’exception de la partie reliant la route nationale N 1569 et la route départementale D 569N.

Réseau de transport urbain

Le transport urbain est assuré par le réseau de bus Ulysse. Sur la ville d'Istres, le réseau est composé de sept lignes dont quatre interurbaines, ainsi qu'un service de transport à la demande.

Lignes urbaines :

  • Ligne 6 : Charles Monnier ↔ Rassuen
  • Ligne 7 : Z.I. Retoritier ↔ Coutarel
  • Ligne 8 : Maison de Retraite ↔ Clinique
  • Ligne 9 : Entressen (Château d'eau) ↔ Gare Routière

Lignes interurbaines :

  • Ligne 1 : Miramas ↔ Istres ↔ Fos-sur-Mer ↔ Port-Saint-Louis-du-Rhône
  • Ligne 13 : Istres ↔ Miramas
  • Ligne 25 : Miramas ↔ Istres ↔ Martigues
  • Ligne 29 : Istres ↔ Saint-Mitre-les-Remparts ↔ Martigues

Une navette gratuite dénommée Circé est également présente pour améliorer la déserte du centre-ville via les parkings situés en périphérie de celui-ci.

Réseau ferroviaire
Les quais de la gare d'Istres.

Istres dispose d'une gare ferroviaire, située en marge du centre-ville. Une halte ferroviaire est également présente dans le quartier de Rassuen.

Ces deux points d'arrêts appartiennent à la première portion de la ligne de Miramas à l'Estaque et ont été inaugurés en 1882. Aujourd'hui, ils sont desservis par le TER Provence-Alpes-Côte d'Azur Marseille - Miramas via Port-de-Bouc.

  1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. Navettes Gratuites : La ligne du cœur de ville


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Toponymie

Istres est d'abord connu sous le nom de Ystro, appellation apparue pour la première fois en 964 sur une charte du roi Conrad le Pacifique. Les siècles suivants, le nom évoluera en Castro Istrensi, Istrium, Istrio, Istro, Istre puis Istres.

Dans un premier temps, l'appellation de la commune fut justifiée par une déformation du latin ostrea (huître) ou du celtique Istr-Mel (montagne d’huîtres) en référence aux nombreux fossiles de bancs d’huîtres trouvés sur les collines environnantes.

Au cours du  siècle, Charles Rostaing propose une nouvelle explication liée à la racine pré indo-européenne is (hauteur), utilisée pour dénommer la colline où fut bâti le Vieil Istres.

Dans un ouvrage de 2021, le linguiste Jacques Lacroix propose une autre hypothèse : Istres tirerait son nom d'une formation gauloise *Istero, ayant désigné une « Forteresse du Bas [du territoire] ». Contrairement à Charles Rostaing, il rattache la racine is à un thème gaulois, qui signifiait « bas » ou « en bas ». Cette analyse est confortée par la linguistique comparée, avec le vieil irlandais ísel, l'irlandais iseal, le cornique ysel, ainsi que le gallois et le breton isel (« bas »), tous rattachés au groupe des langues dites "celtiques". La localité se situait auparavant au sud du territoire des Avatiques, vers l'extrémité sud-ouest de la confédération des Salyens, ce qui justifierait l'emploi de ce thème *is.

  1. «  », sur lesamisduvieilistres.org (consulté le ).
  2. a et b Jacques Lacroix, Les frontières des peuples gaulois : Tome 2, Yoran Embanner, , 400 p., p. 57-59
  3. Jacques Lacroix, Les frontières des peuples gaulois : Tome 2, Yoran Embanner, , 400 p., p. 41

Histoire

Préhistoire

Dès le paléolithique, le site d'Istres est occupé par des tribus nomades. Les premières traces d'activités remontent au magdalénien final, vers 10 000 ans néolithique, vers 4 000 ans av. J.-C., une civilisation de pêcheurs et de chasseurs s’installe sur la colline de Miouvin qui surplombe le nord de l'étang de l’Olivier.

Antiquité

Au oppidum du Castellan, au sud de l'étang de l’Olivier et non loin de la ville actuelle. Le lieu restera occupé jusqu’à l’aube du Moyen Âge.

Moyen Âge et Temps modernes

Le centre historique surplombé par Notre-Dame-de-Beauvoir.

Au  siècle, l'actuel centre ancien prend forme autour d'une fortification seigneuriale. Ainsi, une ville qui porte alors le nom de Ystro, apparaît pour la première fois dans une charte de Conrad le Pacifique, roi de Bourgogne et de Provence. Le document précise que la ville possède un château (castrum) et qu’elle est redevable de certaines sommes pour des biens possédés par l’abbaye de Montmajour. À partir de cette période, Istres va peu à peu se construire autour de ce noyau féodal encerclé de remparts.

Révolution française et Empire

En février 1790, les élections désignent Joseph-Laurent Buech comme premier maire de la ville.

Le comité de surveillance est institué en 1793. Il se recrute en partie chez les simples paysans, parfois illettrés, et son institution marque en quelque sorte l’apogée démocratique de la Révolution.

Époque contemporaine

Le camp d'aviation en 1931.

Istres doit son premier essor industriel aux fabriques de soude et engrais à l'étang de Rassuen en 1808, et à l'école d'aviation implantée en 1917 qui est aujourd'hui devenue une des plus grandes bases aériennes de France.

Félix Gouin est élu maire d'Istres en 1923, il conserve ce mandat jusqu'en 1958, exception faite de la période du régime de Vichy au cours de laquelle il refuse d'attribuer les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Homme d'état, il devient en 1946 le premier président du gouvernement provisoire de la République française après le général de Gaulle.

À partir des années 1970, le développement du complexe industriel de Fos-sur-Mer et l'élaboration d'une agglomération nouvelle vont également permettre une augmentation du rythme de croissance de la ville. Cette croissance va se traduire par l'urbanisation rapide de nouveaux quartiers entre le centre historique et le hameau de Rassuen engendrant notamment une importante évolution démographique, le nombre d'habitants triplant en une trentaine d'années. L'arrivée des nouveaux lotissements va aussi engendrer la création de nombreux équipements comme le centre éducatif et culturel (CEC) et une multitude d'installations sportives.

En 1984, Istres est choisie par Gaston Defferre, alors ministre de l'Intérieur, pour devenir une nouvelle sous-préfecture au sein du département des Bouches-du-Rhône. Cette nomination était concurrencée par la commune de Martigues et elle intervenait à la suite de l'évolution industrielle et démographique du territoire laissant apparaître de nouveaux besoins.

Les allées Jean-Jaurès réaménagées et piétonnisées en 2013.

Depuis les années 2000, des opérations de rénovation à diverses échelles sont réalisées en centre ville afin d'améliorer son attractivité. Ainsi en 2001 sont inaugurés les arènes du Palio sur l'emplacement des anciennes arènes. Cette opération d'aménagement permet également l'ouverture d'une nouvelle gare routière à proximité du collège Louis Pasteur en remplacement de celle située dans le secteur des Carmes. En 2004, l'église Sainte-Famille est inaugurée. La construction du parking souterrain Victor Hugo sera également réalisée sous le parvis de celle-ci. En 2008, un jet d'eau d'une hauteur de 50 mètres est installé sur l'étang de l'Olivier afin d'accroitre l'activité touristique de la ville. En 2013 le cours Jean Jaurès et les abords de la porte d'Arles sont totalement piétonnisés, un carrousel est installé et des terrasses sont aménagées. L'office du tourisme à proximité est lui aussi réhabilité à la même période. Au mois de décembre de la même année est inauguré un nouvel hôtel de ville conformément à la volonté de la municipalité de fusionner en un même lieu les services de l'ancienne maire alors partagés en deux lieux différents. Construit à proximité de l'étang de l'Olivier sur l'emplacement de l'ancien gymnase André-Noël cette opération comprend la réaménagement des berges de l'étang, du parc Sainte-Catherine et la création d'une esplanade.

En 2014, la commune est classée station classée de tourisme.

En juillet 2017, le grand parc Dinosoaur'Istres, un circuit ludique, pédagogique et gratuit dédié à l'univers des dinosaures, ouvre ses portes aux visiteurs sur l'oppidum de Castellan.

  1. Jacques Guilhaumou et Martine Lapied, « Paysans et politique sous la Révolution française à partir des dossiers des comités de surveillance des Bouches-du-Rhône », Rives nord-méditerranéennes, 5 | 2000, mis en ligne le 25 mars 2004
  2. 1984-2014 La sous-préfecture d'Istres a trente ans
  3. Patrick Merle, «  », sur laprovence.com, .

Héraldique

Blasonnement : D'azur à l'étoile d'or.

C’est en exécution de l’édit promulgué en 1696 par Louis XIV, revu et amendé par ses successeurs, que la ville d’Istres, à l’instar des autres villes du royaume, se vit dans l’obligation de prendre des armes, c'est-à-dire un blason, et ce, bien entendu moyennant finances (50 livres par commune), pour renflouer les caisses de l’État, appauvries par les fastes et guerres du royaume. L’écu : Azur à une étoile d’or.

D’aucuns ont voulu voir dans l’étoile une réminiscence des armes de la Maison des Baux, premiers seigneurs connus de la ville connus ; rien n’est moins sûr, car cette famille portait : de gueules (rouge) à une comète d’argent à seize raies (rayons). Il serait aussi la représentation symbolique de l’étoile du berger, car selon la légende Balthazar aurait campé dans la Crau lors de son périple vers Bethléem.

D’ailleurs, on se demande comment il pourrait en être ainsi puisque deux autres villes de la région (Nibles et Bandol) possèdent des armes semblables.

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