Les Omergues

Localisation

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Les Omergues : descriptif

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Les Omergues

Les Omergues est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

Localisation

Les Omergues et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes des Omergues sont, en partant du Nord et dans le sens des aiguilles d’une montre, Eygalayes, Montfroc (ces deux communes situées dans le département de la Drôme), Redortiers, Revest-du-Bion (dans le département des Alpes-de-Haute-Provence) et Ferrassières, Barret-de-Lioure et Séderon (ces trois communes sont drômoises).

Le village est situé à 823 .

Géologie

Reliefs

Le point culminant de la commune se trouve sur la crête de la montagne de Palle, à 1 452 .

Les autres sommets de la rive gauche du Jabron sont :

  • le Vente-Cul (1 243 m) et le Pied Blacun (903 m) ;
  • le Jambard (1 413 montagne de Lure.

Environnement

La commune compte 2 600 .

Pas de Redortiers (limitrophe des Omergues et de Redortiers, vu du côté des Omergues).

Les principaux cols routiers et empruntés par les sentiers de randonnée sont :

  • col de la Pigière (968 route départementale RD 946) ;
  • pas de Redortiers, à 1 241 montagne de Lure (limitrophe de Redortiers) ;
  • pas de la Croix, également sur la montagne de Lure à 1 323 m.

Voies de communications et transports

Voies routières

La commune est desservie par la route départementale RD 946, ancienne route nationale 546.

Transports en commun
  • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Commune desservie par le réseau régional Zou ! (ex Varlib).

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune ou à son aval :

  • Le Jabron prend sa source sur la commune. Sa vallée est barrée par une clue dans la commune, faisant la séparation avec Montfroc. La partie de la commune qui correspond aux Omergues d’avant la fusion avec Villesèche, occupe un amphithéâtre sur l’ubac de la montagne de Lure.
  • torrents la croc, le jabron,
  • ravins de la combe de buisson, des allègres, de tranche mules, des lèbrières, de farcou, de la mort des loups, de frouveiri, de rejaunieden, de larran, de marceillas.

Les Omergues dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants.

Risques majeurs

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Noyers-sur-Jabron auquel appartient Les Omergues est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques, et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011. La commune des Omergues est également exposée à trois autres risques naturels :

  • feu de forêt,
  • inondation (dans la vallée du Jabron),
  • mouvement de terrain.

La commune des Omergues n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune ; le Dicrim n’existe pas non plus.

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : pour des mouvements de terrain dus à la sécheresse en 1988, puis pour des inondations et coulées de boue en 1994 et 2003.

Toponymie

Le nom du village, tel qu’il apparaît en 1155 (de Amenicis), est le résultat d’une évolution complexe, selon Ernest Nègre. Sans certitude, il avance que le nom vient de l’occitan liso (limon) et marga (boue), qui aurait donné lis Oumergue, ou leis Amergue, le lis ayant été interprété comme un article. Le suffixe -enicis est une latinisation postérieure.

La toponymie des Omergues est celle d’une commune de montagne. On trouve ainsi des oronymes courants : Piedmichel (de podium, « hauteur » en latin), le Plan de Serres et la crête des Serres, où Serre est une crête allongée, hérissée, comme une lame de scie, et le dérivé local Sarriard, la Côte d’Engra.

L’ubac de Lure est nommé la crête de la Faye, d’après le nom du hêtre en vieux français ; en face de cette crête, on trouve le hameau l’Adret (au pied de la montagne de la Palle). De manière moins lisible, les toponymes Vente Brenc (ubac de Lure) et Ventecul (sommet qui domine le col de la Pigière, sur la RD 546) sont tous deux des toponymes pléonastiques : vent- désigne un sommet en langue pré-celtique. Le sens ayant été oublié par les Gaulois, le nom est doublé par les racine oronymique br-en(n), qui signifie colline en celtique ou KuK-,.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 amplitude thermique annuelle de 17 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Séderon », sur la commune de Séderon à 7 vol d'oiseau, est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,4 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

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  3. Lieux et itinéraires
  4. Réseau régional Zou ! (ex Varlib
  5. L'eau dans la commune
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  8. Station d'épuration
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  18. Lapurdum, La racine toponymique pré-celtique bar, par Michel Morvan, p. 11-20
  19. , Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, ISBN ), p. 27.
  20. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  21. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  26. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).


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Toponymie

Le nom du village, tel qu’il apparaît en 1155 (de Amenicis), est le résultat d’une évolution complexe, selon Ernest Nègre. Sans certitude, il avance que le nom vient de l’occitan liso (limon) et marga (boue), qui aurait donné lis Oumergue, ou leis Amergue, le lis ayant été interprété comme un article. Le suffixe -enicis est une latinisation postérieure.

La toponymie des Omergues est celle d’une commune de montagne. On trouve ainsi des oronymes courants : Piedmichel (de podium, « hauteur » en latin), le Plan de Serres et la crête des Serres, où Serre est une crête allongée, hérissée, comme une lame de scie, et le dérivé local Sarriard, la Côte d’Engra.

L’ubac de Lure est nommé la crête de la Faye, d’après le nom du hêtre en vieux français ; en face de cette crête, on trouve le hameau l’Adret (au pied de la montagne de la Palle). De manière moins lisible, les toponymes Vente Brenc (ubac de Lure) et Ventecul (sommet qui domine le col de la Pigière, sur la RD 546) sont tous deux des toponymes pléonastiques : vent- désigne un sommet en langue pré-celtique. Le sens ayant été oublié par les Gaulois, le nom est doublé par les racine oronymique br-en(n), qui signifie colline en celtique ou KuK-,.

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  6. Lapurdum, La racine toponymique pré-celtique bar, par Michel Morvan, p. 11-20
  7. , Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, ISBN ), p. 27.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Aux Crottes, se trouve un oppidum.

Dans l’Antiquité, les Sogiontiques (Sogiontii) peuplent la vallée du Jabron, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au  siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron).

Moyen Âge

Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Godomar III, la régente ostrogothe Amalasonte lui rend ce territoire.

Les Templiers et les Hospitaliers

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1155. L’ordre du Temple y avait des biens, qui furent attribués à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La maison des Hospitaliers établie aux Omergues dépendait de celle de Lardiers. La communauté relevait de la baillie de Sisteron, et comme toutes les communautés de la vallée du Jabron, avait le privilège de ne pas payer la queste aux comtes de Provence (puis à leurs successeurs, les rois de France) jusqu'à la Révolution.

La communauté de Villesèche est signalée dans les chartes dès 1082. Au prieuré de l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon. Elle dépendit ensuite des Hospitaliers (commanderie de Manosque, dès 1155). La communauté de Saint-André, bien que séparée de celle des Omergues par la montagne de Lure, est absorbée par celle des Omergues à la fin du ,.

Temps modernes

Lors de la peste de 1628-1630, un cordon sanitaire est mis en place le long du Jabron.

Lors de l’épidémie de peste de 1720-1722, Les Omergues est située au nord de la ligne du Jabron, élément du cordon sanitaire allant de Bollène à Embrun et isolant la Provence du Dauphiné (et dont fait partie le mur de la peste). Dès la fin août, des mesures de fermeture des routes principales et de quarantaine sont prises par la communauté. L’interdiction de franchir le Jabron, sous peine de mort, est décidée par le gouverneur d’Argenson début août, et le cordon est mis en place le pour n’être levé par ordonnance royale que le .

Le gouverneur d’Argenson fait lever une compagnie de milice par viguerie : celle de Sisteron (dont font partie les hommes des Omergues) surveille les bacs entre Le Poët et Peyruis. Ensuite, quatre autres compagnies sont levées pour d’autres tâches de surveillance). Aux Omergues, la ligne sur le Jabron est surveillée par deux compagnies (une centaine d’hommes) du régiment de Poitou revenant d’Espagne à partir de la fin d’. Les soldats sont renforcés par une dizaine d’hommes levés dans la population des Omergues (en plus de ceux envoyés à la compagnie de milice placée sur la Durance). La communauté des Omergues est requise pour construire des corps de garde pour loger les soldats le long de la ligne (quatre sont prévus des Perrichauds aux confins de Séderon) et les approvisionner en bois de chauffe et huile pour l’éclairage, avec en moyenne 70 stères par corps de garde et par an. Finalement, neuf corps de garde sont construits, et 29 guérites placées dans les intervalles, à une moyenne de 250 . La communauté des Omergues est coupée en deux par la ligne : certains habitants au Sud de la ligne se retrouvent en zone interdite et ne paient donc plus leur participation aux charges de la communauté. En outre, la communauté est privée de ses ressources en bois, essentiellement situées dans la montagne de Lure, et certaines terres cultivables sont perdues pendant deux ans. Les sacrements religieux ne sont plus dispensés : les baptêmes de 1720-1722 sont enregistrés dans les registres de catholicité en une seule fois, fin 1722. La communauté subit aussi les désagréments de la présence des militaires : les livraisons de bois n’étant pas toujours suffisantes, ceux-ci se servent à proximité en coupant les arbres fruitiers complantés dans les champs proches des corps de garde. Ces désagréments n’empêchent le rapprochement entre la population des Omergues et les soldats : certains enfants nés en 1721-1722 ont un soldat comme parrains. En , un an après la mise en place de la ligne du Jabron, les approvisionnements manquent en certaines denrées : un soldat en profite pour passer de l’huile en contrebande. Pris sur le fait, il est fusillé. Fin , le régiment du Poitou, présent depuis un an, est relevé mais la ligne est maintenue jusqu’en décembre. Les baraques et guérites sont immédiatement démontées, et le bois et les tuiles vendues aux enchères.

Époque contemporaine

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792.

Monument aux morts restauré et pavoisé des Omergues.

La paroisse de Villesèche est rattachée à la paroisse des Omergues au . C’est également au cours de ce siècle que le village se transfère dans la plaine et abandonne son ancien site perché, appelé Vière depuis. Ce déplacement est facilité par la construction de la route, à partir des années 1850. En effet, jusque-là, le chemin de viguerie, puis la route départementale s’arrêtaient à Saint-Vincent-sur-Jabron. Une route nationale est construite, par le col de Lun à l’est, et le col de la Pigière à l’ouest. Elle est progressivement améliorée, le col de Lun est abandonné pour un tracé dans la vallée du Jabron, passant par la cluse des Baumes entre Montfroc et Les Omergues en 1873. Enfin, elle est goudronnée dans les années 1930. Dans le sens nord-sud, le chemin muletier passant par le Pas de Redortiers est longtemps utilisé, mais n’est jamais aménagé en route.

En 1884, le village est presque entièrement dépeuplé par l'épidémie de choléra : seul un enfant survécut (surnommé « Lou Reste dou coulera »). Les premiers cas survinrent en août : le bilan d’une trentaine de morts au , suscita l'envoi de sauveteurs de Sisteron. Le maire se contente de fuir l'épidémie, et est suspendu par arrêté préfectoral.

L’électrification du village à la fin des années 1930 par raccordement au réseau national, les écarts et hameaux étant reliés plus tard.

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  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées TGF
  4. Joseph-Antoine Durbec (ISBN , présentation en ligne), p. 106
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  27. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées La Torre
  28. Guy Barruol, « Itinéraires traditionnels », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 209-211.
  29. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées colomb199
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  32. Guy Barruol, « L’électrification des communes », in Barruol, Réparaz et Royer, op. cit., p. 198.

Héraldique

Blason
De gueules à une croix de Malte d'or soutenue d'une fasce en devise abaissée d'or, sur laquelle est écrit le mot OMERGUES en caractères de sable,.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées armorial
  2. Dominique Cureau, «  », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

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Les Omergues dans la littérature

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