Génolhac

Localisation

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Génolhac : descriptif

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Génolhac

Génolhac (prononcé [ʒenɔlak] ; en occitan Genolhac [dʒenuˈʎak, dʒenuˈjak]) est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Luech, l'Homol, l'Amalet et par divers autres petits cours d'eau

Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « hautes vallées de la Cèze et du Luech » et « les Cévennes ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Génolhac est une commune rurale qui compte 822 habitants en 2021

Ses habitants sont appelés les Génolhacois ou Génolhacoises.

Géographie

Localisation

Génolhac est situé dans le nord du département du Gard. La commune est limitrophe de la Lozère. Son altitude moyenne est de 500 mètres. Son point culminant est au belvédère des Bouzèdes (1 232 mètres), au bord du plateau de Lozère.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Génolhac
Concoules
Vialas
(Lozère)
Génolhac Sénéchas
Chamborigaud Chambon

Hydrographie et relief

  • L' Amalet, ruisseau de 6 Concoules, à 732 mètres d'altitude, puis traverse la commune pour se jeter dans l'Homol à Sénéchas. Son lit fixe une bonne partie de la frontière communale Nord et Est avec les communes de Concoules et Sénéchas.
  • L' Homol, ruisseau de 21 affluent de la Cèze, elle-même affluent du Rhône, entre dans la commune par Vialas, la traverse sur une longueur de 8,6 Chambon.
  • Le Luech, rivière de 31,5 affluent de la Cèze, entre dans la commune par Vialas, la traverse sur une longueur de 3,2  où elle atteint Chamborigaud.

On trouve à Génolhac des formations métamorphiques et du granite post-tectonique du mont Lozère. Les roches sont riches en silice et en alumine mais pauvres en potasse. Les matériaux ont subi les actions du froid quaternaire qui ont façonné les pentes et donné naissance aux alluvions des fonds de vallées.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central ».

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 amplitude thermique annuelle de 17,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records GÉNOLHAC (30) - alt. : 519 m, lat : 44°20'34"N, lon : 3°57'41"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 02-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 2 4,7 7 10,3 13,9 16,2 16,2 12,9 9,6 5,5 2,7 8,6
Température moyenne (°C) 5,3 6 9,3 11,8 15,5 19,5 22,4 22,3 18 13,5 8,9 6 13,2
Température maximale moyenne (°C) 8,7 10 14 16,6 20,7 25,1 28,6 28,4 23,1 17,5 12,3 9,4 17,9
Record de froid (°C)
date du record
−13
12.01.1987
−11
10.02.1986
−9,3
01.03.05
−3,5
14.04.1998
1
07.05.1997
2
18.06.1991
8
11.07.1993
7,2
29.08.1986
3,5
29.09.1974
−2
18.10.1992
−5,5
21.11.1993
−10
27.12.1996
−13
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
20,5
10.01.15
23,5
23.02.20
26,2
31.03.12
29,1
29.04.05
33
30.05.01
42,3
28.06.19
37,6
21.07.06
40,2
12.08.03
35,4
04.09.06
30,3
02.10.11
24,2
16.11.15
21
18.12.1987
42,3
2019
Précipitations (mm) 141,7 95,8 98,7 142,8 141,9 77 45,9 78,8 180,6 247,5 277 164,8 1 692,5
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

Génolhac est desservie par un train Intercités qui effectue des missions entre les gares de Clermont-Ferrand et de Nîmes, et des trains TER Occitanie qui effectuent des missions entre les gares : de Clermont-Ferrand et de Nîmes ou de Montpellier-Saint-Roch ; de Mende et de Nîmes.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol.

La commune fait également partie des Cévennes, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons,.

Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats :

  • les « hautes vallées de la Cèze et du Luech », d'une superficie de 12 680 Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine

et un au titre de la directive oiseaux :

  • « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune : la « forêt Domaniale de l'Homol » (133 Gard et 1 dans la Lozère, et la « forêt domaniale de Malmontet » (1 511  et deux ZNIEFF de type 2, :

  • le « massif du Mont Lozère » (40 064 Gard et 19 dans la Lozère ;
  • les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 Gard et 2 dans la Lozère.
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Ce hameau porte le nom de Pont du Rastel sur la carte topographique de l'IGN.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. «  », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. «  », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le ).
  11. «  », sur mab-france.org (consulté le ).
  12. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. a et b «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. a et b «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


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Toponymie

Attestations anciennes

  • 1169 : Junilhacum - castrum de Junilhaco (généalogie des Châteauneuf-Randon).
  • 1176 : Ginolacum (cartulaire de Franquevaux).
  • 1199 : Castrum de Genouillac (Gallia Christiana, t.VI, .
  • 1243 : Genoillaicum (cartulaire de Franquevaux).
  • 1280 : Genolhacum (généalogie des Châteauneuf-Randon).
  • 1345 : Parrochia de Genulhaco (cartulaire de la seigneurie d'Alais, f. 31).
  • 1376 : La paroisse de Guinoac (cartulaire de la seigneurie d'Alais, f. 43).
  • 1384 : Junilhacum (dénombrement de la sénéchaussée).
  • 1426 : J. de Jinoliaco (bulletin de la société de Mende, t. XVII, .
  • 1433 : Genolhac (Léon Ménard, Notes manuscrites, III, preuves .
  • 1434 : Ginolhac (Léon Ménard, Notes manuscrites, III, preuves .
  • 1715 : Genouillac (J.-B. Nolin, carte du diocèse d'Uzès).
  • 1721 : Genolhac (bulletin de la société de Mende, t. XVI, .

Toponymie

En occitan Génolhac est prononcé Ginouillac, le digramme lh étant équivalent au ill français.

Au vu des formes anciennes et au-delà des hypothèses obsolètes livrées par l'abbé Nicolas en 1895, on peut interpréter le mot comme un gentilice romain (porté par un autochtone) Genilius (si l'on se base sur la première mention) ou un nom de personne gallo-romain *Gennulius, dérivé du gaulois Gennos, (si l'on se base sur les mentions suivantes et la forme actuelle). Il est suivi du suffixe -(i)acum,, d'origine gauloise. On peut ainsi comprendre Génolhac comme « domaine de Genilius » ou « terres de Genilius » ou encore « domaine de Gennulius »,. Les formes beaucoup plus anciennes de Génouillé (Vienne, Genulliaco 1096) et Genouilleux (Ain, de Genoliaco 868), toponymes qui semblent identiques au type occitan Genolhac ne peuvent pas s'expliquer par l'anthroponyme latin Genilius.

Homonymie avec les nombreux Genouillac (Creuse, Charente, Genoliaco 1281); Ginouillac (Lot) de langue d'oc (graphies francisées) et les Genouillé (Charente-Maritime, Vienne); Genouilly (Cher, Saône-et-Loire); Genouilleux (Ain), etc. de langue d'oïl et franco-provençal

Remarque : l'hypothèse d'un dérivé *Gen[n]ulius basée sur l'existence de l'anthroponyme gaulois Gen[n]os (-ius) est également soutenue par plusieurs noms de personnes qui contiennent cet élément genos « lignée, famille », tels que Congennolitanos; Congenno (datif); Adgennius; Adgenus; Adegennorix; Camulogenus; Matugenus; etc..

Ses habitants sont les Génolhacois.

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  3. a b c d e et f et , Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud,  (ISBN ), p. 316.
  4. a b et c , Dictionnaire des noms de lieux des Cévennes, Paris, Christine Bonneton, , 160 EAN ), p. 80a.
  5. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, Errance, ISBN  et ), p. 176-177.

Toponymie

En occitan Génolhac est prononcé Ginouillac, le digramme lh étant équivalent au ill français.

Au vu des formes anciennes et au-delà des hypothèses obsolètes livrées par l'abbé Nicolas en 1895, on peut interpréter le mot comme un gentilice romain (porté par un autochtone) Genilius (si l'on se base sur la première mention) ou un nom de personne gallo-romain *Gennulius, dérivé du gaulois Gennos, (si l'on se base sur les mentions suivantes et la forme actuelle). Il est suivi du suffixe -(i)acum,, d'origine gauloise. On peut ainsi comprendre Génolhac comme « domaine de Genilius » ou « terres de Genilius » ou encore « domaine de Gennulius »,. Les formes beaucoup plus anciennes de Génouillé (Vienne, Genulliaco 1096) et Genouilleux (Ain, de Genoliaco 868), toponymes qui semblent identiques au type occitan Genolhac ne peuvent pas s'expliquer par l'anthroponyme latin Genilius.

Homonymie avec les nombreux Genouillac (Creuse, Charente, Genoliaco 1281); Ginouillac (Lot) de langue d'oc (graphies francisées) et les Genouillé (Charente-Maritime, Vienne); Genouilly (Cher, Saône-et-Loire); Genouilleux (Ain), etc. de langue d'oïl et franco-provençal

Remarque : l'hypothèse d'un dérivé *Gen[n]ulius basée sur l'existence de l'anthroponyme gaulois Gen[n]os (-ius) est également soutenue par plusieurs noms de personnes qui contiennent cet élément genos « lignée, famille », tels que Congennolitanos; Congenno (datif); Adgennius; Adgenus; Adegennorix; Camulogenus; Matugenus; etc..

Ses habitants sont les Génolhacois.

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  2. a b c d e et f et , Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud,  (ISBN ), p. 316.
  3. a b et c , Dictionnaire des noms de lieux des Cévennes, Paris, Christine Bonneton, , 160 EAN ), p. 80a.
  4. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, Errance, ISBN  et ), p. 176-177.

Histoire

Repères chronologiques

Au  siècle, saint Martial répand le christianisme dans la région. Dès le haut Moyen Âge, le chemin de Régordane traverse Génolhac.

Durant  siècle, en 1228, Bernard d'Anduze octroie une charte à la ville. À la fin du couvent des Dominicains, appelé des Frères Prêcheurs dans les actes.

Au  siècle, un couvent de Jacobins est fondé, en 1312, par les barons de Randon. Durant le  siècle, Claude de Chalençon, fils d'un premier lit de Louis de Chalençon, vicomte de Polignac et seigneur de Génolhac, s'empare de la ville à la tête de troupes calvinistes, en 1562 ; brouillé avec son père voulant faire de lui un ecclésiastique, il opte pour la Réforme. Au  siècle, la peste ravage Génolhac et les villages environnants en 1629.

Au  siècle, l'église Saint-Pierre est brûlée en 1702 par des Camisards, commandés par Jouanny qui s'empare de la cité ; il est le seul chef camisard à avoir investi une ville-garnison. En 1721, la peste, apportée, dit-on, par un ballot de coton venant de Marseille, se déclare à nouveau à Génolhac ; elle ne cesse qu'en 1723. Le , la ville subit une inondation qui fait six victimes et de grands dégâts. Le , les cahiers de doléances sont approuvés en assemblée générale à la maison de ville. Le , survient une inondation encore plus forte que celle de 1772.

Au  siècle, l'église des Dominicains est convertie en temple protestant en 1810.

Le

Moyen Âge

Les seigneurs de Génolhac

Durant tout le Moyen Âge, la seigneurie de Génolhac est partagée entre les évêques d’Uzès et des seigneurs laïcs.

Anduze
  • 1029 : Bermond, seigneur d'Anduze ;
  • 1054 : Bernard, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1078 : Raymond, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1109 : Bernard, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1128 : Bernard, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1162 : Bertrand, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1169 : Bernard, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1200 : Bernard, seigneur d'Anduze, son fils ;
  • 1223 : Bernard, seigneur des Portes de Largentière et d'Alès, son fils ;
  • Châteauneuf-Randon.
Randon
  • 1289 : Guillaume, seigneur de Châteauneuf-Randon, leur fils ;
  • 1303 à 1334 : Marquise, dame de Randon, fille et héritière du précédent, qui épouse Armand, vicomte de Polignac.
Polignac
  • 1334 : Armand de Randon, vicomte de Polignac, leur fils ;
  • 1351 à… : Marguerite de Polignac, sa fille et héritière ;
  • … à 1385 : Randonnet, vicomte de Polignac, seigneur de Randon, son petit cousin ;
  • 1385 à 1421 : Randon, vicomte de Polignac, seigneur de Randon, son frère ;
  • … à … : Valfurge, vicomtesse de Polignac, dame de Randon et de Randonnet, sa fille et héritière, qui épouse Guillaume, seigneur de Chalençon.
Chalençon
  • … à … : Pierre de Chalençon, vicomte de Polignac, leur fils ;
  • … à … : Louis Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils ;
  • … à 1473 : Guillaume Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils ;
  • 1473 : Guillaume Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils ;
  • 1518 : François Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils ;
  • 1582 : Louis, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils ;
  • 1584 à 1606 : Gaspard Armand, vicomte de Polignac, marquis de Chalençon, baron de Randon, son fils.

Époque moderne

Les seigneurs de Génolhac

Durant tout l’Époque moderne, la seigneurie de Génolhac est partagée entre les évêques d’Uzès et des seigneurs laïcs.

Budos
  • 1606 : Catherine de Clermont, vicomtesse de Portes, veuve de Jacques de Budos, achète la seigneurie de Génolhac ;
  • 1613 : Antoine Hercule de Budos, marquis de Portes, leur fils ;
  • 1629 à 1693 : Marie Félice de Budos, sa fille et héritière.
Conti
  • 1693 : François Louis de Bourbon, prince de Conti, hérite de la seigneurie par le testament de Marie-Félice de Budos ;
  • 1709 : Louis Armand de Bourbon, prince de Conti, son fils ;
  • 1727 : Louis François de Bourbon, prince de Conti, son fils ;
  • 1776 à 1779 : Louis François Joseph de Bourbon, prince de Conti, son fils.
Roche
  • 1779 à la Révolution : Claude François de Roche, chevalier, achète la seigneurie de Génolhac aux Conti 20 000 livres.

Révolution française et Empire

Époque contemporaine

  1. Marie-Lucy Dumas, « La Cézarenque, au travers des registres du notaire Dupasseur, 1358-1375 : Un puissant couvent, celui des Frères Prêcheurs », Lien des chercheurs cévenols (LCC), Génolhac, lire en ligne [PDF], consulté le ).
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Héraldique

Blason
De sable, à un pal losangé d'argent et de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
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Génolhac dans la littérature

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