Honfleur

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Honfleur : descriptif

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Honfleur

Honfleur est une commune française située dans le département du Calvados, en région Normandie

Ville portuaire, elle est située sur la rive sud de l'estuaire de la Seine, en face du Havre, tout près du débouché du pont de Normandie. Elle est peuplée de 6 761 habitants. Elle est surtout connue pour son Vieux Bassin, caractérisé par ses maisons aux façades recouvertes d'ardoises, et pour avoir été maintes fois représentée par des artistes, dont Gustave Courbet, Eugène Boudin, Claude Monet et Johan Barthold Jongkind, formant l'École de Honfleur

Ces peintres et d'autres se retrouvent à ferme Saint-Siméon sur les hauteurs de la ville et contribuent à l'apparition du mouvement impressionniste

Alphonse Allais et Erik Satie y sont nés dans la même rue. La commune est classée quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris et bénéficie selon une étude d'une des plus fortes attractivité parmi les villes française de mille à dix mille habitants, avec Arcachon, Noirmoutier-en-l'Île, Étretat et Deauville.

Géographie

Honfleur est située sur la rive gauche de l'estuaire de la Seine, au nord du pays d'Auge. Elle se trouve géologiquement à la limite des formations calcaires du Jurassique (oolithique) à l'ouest et du Crétacé (crayeux) au nord et à l'est. Son agglomération est à 15 Trouville-sur-Mer, à 16 Pont-l'Évêque, à 24 Pont-Audemer et à 25 Havre (par le pont de Normandie).

La ville est accessible en transport en commun par les lignes 20, 39, 50 des bus verts du Calvados.

Communes limitrophes de Honfleur
Manche Manche Manche,
La Rivière-Saint-Sauveur
Pennedepie,
Équemauville
Honfleur[2] La Rivière-Saint-Sauveur
Équemauville Gonneville-sur-Honfleur La Rivière-Saint-Sauveur,
Gonneville-sur-Honfleur

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 . Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au pays d'Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 amplitude thermique annuelle de 12,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois à 9 vol d'oiseau, est de 11,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. «  ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 lire en ligne), p. 2
  6. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes : Hunefleth en 1025, Hunefloth vers 1062, Honneflo en 1198,, Honflue en 1246, Honnefleu, encore au XVIIIe siècle.

La prononciation dialectale est /ɦɔ̃'flø/ ou /xɔ̃'flø/, "honfleu", éventuellement /ɦɔ̃fjø/ ou /xɔ̃fjø/, "honfieu", avec un h initial fortement expiré proche du Ach-Laut allemand ou de la jota espagnole.

L'appellatif fleur, jadis fleu, est assez commun en Normandie sous forme de terminaison (cf. Barfleur, Vittefleur, Harfleur, Crémanfleur, Fiquefleur et la Gerfleur, rivière du Cotentin). Son sens est donné par un document du Lestre étant une actuelle commune du Cotentin située à l'embouchure de la rivière Sinope.

L'identification de la langue d'origine du terme fleu a donné lieu à diverses hypothèses : le vieux norrois, l'anglo-scandinave, le saxon et enfin l'anglo-saxon.

Dans le nom de Barfleur qui est plus riche en formes anciennes, -fleur est attesté successivement sous les formes : -flueth en 1066-77, -floth en 1081-1087, -fluet au XIIe siècle, -flo en 1160-1174, -flet en 1200, -flue en 1227, -flu en 1359, puis -fleu, etc.

Honfleur vue du haut.

Le vieux norrois flóð « flux, marée, flot » (cf. islandais flóð « inondation, marée haute », anglais flood, même sens) suggéré dans la première hypothèse convient assez mal sur le plan phonétique et sémantique, même s'il s'est hypothétiquement croisé avec l'ancien scandinave flói « rivière qui se jette dans la mer », ce sens est d'ailleurs rendu par l'ancien scandinave fljót « (grande) rivière, fleuve » (islandais fljót « grande rivière, fleuve » cf. Markarfljót, l'islandais flói signifiant « baie, golfe, terrain marécageux », ce qui fait douter pour flói du sens de « rivière qui se jette dans la mer »). Fljót correspondrait mieux pour la forme et pour le sens. Certes, phonétiquement, il explique difficilement les formes anciennes en -flet, -fluet, -fleth que l'on retrouve aussi pour les autres noms en -fleur. Quant au vieil anglais flōd « flux, marée, flot » (> anglais flood, même sens) proposé dans la seconde hypothèse, il ne se justifie pas davantage pour des raisons analogues.

On doit sans doute leur préférer le vieil anglais flēot « ruisseau, estuaire, bras de mer » et « flot » (cf. anglais fleet) qui convient mieux, tant sur le plan phonétique que sur le plan sémantique. En effet, seule la diphtongue assez instable de l'anglo-saxon peut expliquer le flottement entre les formes flueth / fleth / floth au , d'où cette réécriture « officielle » en -fleur.

On constate, comme pour d'autres appellatifs et toponymes de Normandie, une analogie avec les noms de lieux anglo-scandinaves d'Angleterre (Yorkshire notamment) qui se terminent par -fleet : Adlingfleet (Adelingesfluet 1086), Marfleet  (Merefluet 1086), Ousefleet  (Useflete 1100–1108), etc.

L'élément Hon- serait issu, quant à lui, d'un nom de personne anglo-saxon Huna ou vieux norrois Húni (variante Húnn) que l'on retrouve probablement à La Rivière-Saint-Sauveur (commune contiguë à Honfleur) dans le nom de Honnaville, homonyme du hameau de la Honneville à Saint-Georges-du-Mesnil.

Une autre explication a été proposée pour l'élément Hon-, c'est-à-dire l'étymon vieux norrois horn « corne », d'où également « coin », « angle », et donc pour Honfleur le sens hypothétique de « la rivière du tournant ». Il est vrai que la rivière de Claire fait un angle de 90° degrés à l'embouchure de la Seine. Cependant, cette interprétation se heurte à une difficulté de taille : aucune attestation ancienne ne la confirme, ni la présence d'un [r], ni d'un [n] géminé (du moins avant le Barneville par exemple.

De plus, un élément semblable peut souvent être reconnu dans deux toponymes contigus, ce qui suggère une relation entre les deux : ainsi Honfleur peut être associé à Honnaville, tout comme Crémanfleur l'est à Crémanville ou encore Barfleur à Barbeville. Ce genre de relation se retrouve par ailleurs fréquemment dans la toponymie normande : Muneville-sur-Mer (Manche, Mulevilla s. d., Mulleville 1349, toponyme en -ville basé sur le nom de personne norrois Muli) et le ruisseau le Mulambec qui arrose la commune. En revanche, l'association d'un appellatif vieux norrois avec l'élément -ville est très rare, voire douteuse.

La ressemblance avec le nom de la baie de Húnaflói en Islande est sans doute fortuite.

Le gentilé des habitants de Honfleur : les Honfleurais n'est donc pas étymologique, alors que l'on nomme les habitants de Barfleur le plus souvent les Barflotais.

  1. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux du Calvados attestés entre 911 et 1066 (suite) » in Annales de Normandie, 1953, Volume 3, Numéro 3-1, [1]
  2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2, Librairie Droz, Genève 1991. p. 1012 / 18239
  3. Prononciation avec palatalisation de [l] après consonne, attestée à date ancienne par la graphie Honneflieu en 1419 et 1422; cf. Dominique Fournier, Dictionnaire des noms de rues et noms de lieux de Honfleur, Éditions de la Lieutenance, Honfleur, 2006, p. 123 et 125). Cependant, cette palatalisation a fortement régressé vers l'ouest, et n'est généralement plus sensible dans la région d'Honfleur.
  4. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen / éditions Charles Corlet 1993, p. 58.
  5. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard, 1986, p. 46 et 74.
  6. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologiques des noms de lieux en France, éditions Larousse, 1968, p. 354.
  7. a b et c Dominique Fournier, Dictionnaire des noms de rues et noms de lieux de Honfleur, éditions de la Lieutenance, Honfleur, 2006. p. 124-125.
  8. T. F. Hoad, English Etymology, Oxford University Press 1993. p. 174.
  9.  (Anglais)
  10. René Lepelley, op. cit., p. 148.
  11. François de Beaurepaire, Op. cit. p. 74 - 75-166.
  12. Jean Renaud, Les vikings et la Normandie, éditions Ouest-France université, 1989, p. 168.


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Histoire

Dessin anonyme XIXe siècle. La route de Lisieux.

Selon Guy Le Hallé, la ville portuaire fut une ancienne saline gallo-romaine.[Information douteuse].

Moyen Âge

La première mention écrite attestant l'existence de Honfleur émane de , duc de Normandie, en 1025[réf. nécessaire]. Il est également avéré qu'au milieu du Rouen vers l'Angleterre[réf. nécessaire]. Place fortifiée sous , le noyau de la ville est dès le , protégeant dans cet espace restreint les paroisses Saint-Étienne et Notre-Dame. Les Bertran, barons de Bricquebec disposaient de droits sur le port de Honfleur et armaient leur propre nef.

Située au débouché de la Seine, un des principaux fleuves du royaume de France, au contact de la mer et appuyée sur un arrière-pays relativement riche, Honfleur bénéficiait d'une position stratégique qui s'est révélée à partir de la guerre de Cent Ans. fait fortifier la bourgade afin d'interdire l'estuaire de la Seine aux Anglais avec l'appui du port d'Harfleur, situé juste en face et de l'autre côté de l'estuaire. Cela verrouillait du même coup l'entrée de la Seine aux navires ennemis. En 1357 ou 1358, Honfleur est cependant prise par un routier anglais, Robert Knolles avec l'aide de gens d'armes dont le bâtard de Mareuil, Jacques de Pipes, Friquet de Friquant, messire de Foudriguais, à la solde des Anglais. La ville est occupée et le sera à nouveau de 1419 à 1450. L'armée royale de reprend la ville au bout de trente-neuf jours. Au .

Honfleur façade de la Lieutenance - élévation 1846

En dehors de cette période, son port servit de base de départ à de multiples expéditions françaises se livrant à des razzias le long des côtes anglaises, avec notamment la destruction partielle de la ville de Sandwich dans le comté de Kent autour de 1450, après que les Anglais eurent quitté la Normandie à la suite de la défaite de Formigny.

Après la fin de la guerre de Cent Ans et jusqu'à la fin du guerres de Religion dans la seconde partie du au début de 1590.

Renaissance

Dans le même temps, la cité participera aussi au mouvement des grandes découvertes, avec notamment Jehan Denis qui visitera le Labrador et Terre-Neuve dont il prendra possession au nom du roi de France en 1506. Ces nombreuses expéditions feront du port un des tout premiers de France vers les Amériques et notamment les colonies françaises du Nouveau Continent, d'où les voyages répétés de Samuel de Champlain à partir d'ici, dont l'un aboutira à la fondation de la ville de Québec en 1608. Honfleur fut également une cité corsaire et un de ses fils, Jean Doublet, s'illustrera dans la guerre de course.

Époque moderne

Plan de Honfleur en 1789.

À partir de cette période, le commerce de Honfleur prospère avec la multiplication des relations avec le Canada, la Louisiane, les Antilles, les côtes africaines et les Açores, faisant de la ville l'un des cinq principaux ports négriers de France. Cette époque voit la ville s'agrandir avec le démantèlement à partir de 1664 d'une partie de ses fortifications, devenues obsolètes, sur l'ordre de Colbert permettant d'agrandir le vieux bassin. Abraham Duquesne fait transformer le « hâvre du dedans », simple port d'échouage, en un véritable bassin à flot qui sera terminé en 1684 et agrandi entre 1720 et 1725, que l'on surnomme aujourd'hui le Vieux Bassin, et qui contribue à la réputation actuelle de la ville. Une partie de la richesse de la cité est assurée aussi par la Grande Pêche sur les bancs de Terre-Neuve, la pêche à la morue, et le commerce des peaux. D'autres marins honfleurais vont s'illustrer dans les guerres de la Révolution française et de l'Empire, il s'agit du capitaine de vaisseau Morel-Beaulieu et des contre-amiraux Hamelin et Motard.

Le Port Vieux vers 1787. La traite négrière est alors à son apogée.

Le port prend aussi une part importante à la traite négrière occidentale, et devient, avec 142 expéditions organisées et environ 50 000 captifs déportés, le port négrier français,. En 1717, reconnaissant l'importance de la situation géographique du port de Honfleur, la compagnie du Sénégal y est établie, et des travaux commencent pour la construction d'un nouveau bassin du côté de l'Ouest. Honfleur sert également de port de secours face à l’engorgement du port du Havre, en particulier pendant son apogée négrier de 1783 à 1791,. Parmi les noms des capitaines ou armateurs négriers honfleurais les plus impliqués, on retrouve Prémord, Picquefeu de Bermon ou Lacoudrais. Particularité de ce port : les compagnies maritimes ont davantage installé leurs comptoirs sur les rives de la Sierra Leone, où de nouveaux marchés étaient à prendre. Pour réduire la durée des expéditions, certaines compagnies s'approvisionnent en esclaves directement auprès de sociétés anglaises. Elles ont aussi préféré Saint-Domingue, la « perle des Antilles » (actuelle Haïti), où se sont installés des planteurs honfleurais.

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La perte des colonies françaises d'Amérique, la concurrence avec le port du Havre, les guerres de la Révolution française et du Premier Empire, avec notamment le blocus continental, causent la ruine de Honfleur, qui ne se releva que partiellement au cours du XIXe siècle avec la reprise du commerce du bois en provenance du Nord de l'Europe.

Cet essor économique du port fut limité par l'ensablement du port, qui parvient pourtant à fonctionner encore aujourd'hui. Cependant, il ne constitue plus à l'heure actuelle qu'une annexe du port de Rouen, dont il est l'avant-port, en partenariat avec la chambre de commerce et d'industrie du pays d'Auge.

Le peintre pré-impressionniste Eugène Boudin, dans les années 1850, a présenté le port comme une plaque tournante pour le transfert des marchandises et une gare pour les voyageurs, démontrant comment les marchandises étaient acheminées de Rouen via Honfleur vers l'Angleterre. Claude Monet réside pendant un an à la ferme Saint-Siméon.

Le paysagiste Paul Huet lors d'un séjour à Honfleur en 1861 réalise une toile Grande marée d'équinoxe aux environs de Honfleur, conservée au musée du Louvre.

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Lors des étés 1923, 1924 à 1925 se tiennent à Honfleur des rencontres internationales pacifistes réunissant des jeunes femmes et hommes de nombreux pays.

Honfleur a été libérée le par l'armée belge (brigade Piron). La ville n'a subi aucune destruction pendant la Seconde Guerre mondiale, la faisant figurer parmi les rares cités normandes épargnées.

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Le , la reine visite Honfleur et déjeune dans le plus ancien restaurant de la ville et un des plus anciens de France, Le Vieux Honfleur.

Le , un Français, Baptiste Cianelli, 20 ans, termine une course-défi de 272 kilomètres le long de la Seine, au départ de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) jusqu'à Honfleur en près de 48 heures, en s'autorisant un sommeil d'une heure sur les deux jours[pertinence contestée].

  1. a b c d et e Guy Le Hallé (Hervé Morin, ISBN ), p. 65 (Honfleur).
  2. Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin .
  3. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 ISBN ), p. 79.
  4. Beck 1986, p. 89.
  5. Aujourd'hui les villes de Sandwich et de Honfleur sont jumelées.
  6. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 ISBN , OCLC 299354152, présentation en ligne). p. 368.
  7. Le départ en 1503 de Binot Paulmier de Gonneville de Honfleur jusqu'aux côtes du Brésil, ainsi que sa découverte des terres australes est un récit purement mythique.
  8. a et b Jean Mettas, « Honfleur et la traite des Noirs au XVIIIe siècle », Outre-Mers. Revue d'histoire, DOI 10.3406/outre.1973.1653, lire en ligne, consulté le )
  9. a et b Éric Saunier, « Honfleur », Outre-Mers,‎ 2021/2022, lire en ligne)
  10. «  », sur archives.calvados.fr (consulté le ).
  11. Éric Saunier, Le Havre, port négrier : de la défense de l’esclavage à l’oubli, Les Anneaux de la Mémoire, (lire en ligne).
  12. « La traite des noirs dans les ports normands », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  13. Maryse Bunel, «  », sur relikto.com, (consulté le ).
  14.  », sur Museum Barberini, Potsdam (consulté le ).
  15. «  », sur Base Joconde (consulté le ).
  16. Isabelle Vahé, « Entre ombres et lumières, le parcours singulier d’une féministe pacifiste, Jeanne Mélin (1877-1964) », Clio,‎ (lire en ligne).
  17. «  » (consulté le ).
  18. Maxime Laurent, «  », sur leparisien.fr, (consulté le ).


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Héraldique

Les armes de la commune de Honfleur se blasonnent ainsi :

De gueules à la tour donjonnée d'argent maçonnée de sable, accostée de deux fleurs de lys d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.

  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com (consulté le ).

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Honfleur dans la littérature

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