Urt

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Urt : descriptif

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Urt

Urt (prononcé [yʁt]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine

Le village est proche de la frontière floue du Pays basque et de la Gascogne. Le gentilé est Urtois (ou Ahurtiar en basque). Fondé au XIe ou XIIe siècle par des pêcheurs, le village devient rapidement une cité prospère grâce à sa situation favorable sur l'Adour permettant d'établir un port fluvial actif, des chantiers navals, des marchés

Urt est fief des Gramont jusqu'à la Révolution française, où la paroisse devient commune

Elle vit une nouvelle période de prospérité au XIXe siècle, et profite des progrès techniques

Puis elle décline au XXe siècle et subsiste grâce à son activité agricole ; l'explosion démographique et immobilière de la côte basque lui permet un fort accroissement de sa population à la fin du XXe et au début du XXIe siècle.

Géographie

Localisation

Légende :
Rouge : limites administratives
Bleu : rivières et fleuve
Orange : routes à l'intérieur du territoire de la commune
Jaune : routes à l'extérieur de celui-ci
Violet : autoroute A64 (E 80).

Urt est situé au bord de l'Adour à 15 Bayonne.

La commune fait partie de la province basque du Labourd et est limitrophe du département des Landes.

Communes limitrophes

La commune d'Urt, en forme de triangle avec un angle très aigu au sud, est limitrophe de sept communes, dont deux landaises :

  • au nord, la commune est limitrophe des communes landaises de Saint-Barthélemy et Saint-Laurent-de-Gosse. L'extrémité nord-ouest d'Urt est également très proche (50 Saint-Martin-de-Seignanx ;
  • à l'est, Urt est limitrophe de Guiche et Bardos ;
  • au sud, Urt est limitrophe d'Hasparren ; c'est une langue de terre de cette commune qui sépare Urt de la commune pourtant proche de La Bastide-Clairence, Hasparren ayant voulu un accès à la Joyeuse (ou Aran), très fréquentée aux  ;
  • à l'ouest, enfin, Urt est limitrophe de Briscous et Urcuit.
Communes limitrophes d’Urt
Saint-Barthélemy
(Landes)
Saint-Laurent-de-Gosse
(Landes)
Guiche
Urcuit Urt Bardos
Briscous Hasparren

Géologie et relief

Le tuc de Biscarrague, en partie situé sur la commune.

Urt se situe à la limite septentrionale du piémont pyrénéen, au sud du bassin aquitain. Les reliefs urtois sont composés de coteaux, collines de basse altitude au-dessus du fleuve Adour et séparant les vallées de ses affluents ; ils se sont formés au Mésozoïque et Cénozoïque.

Le centre de la commune est situé sur une colline surplombant l'Adour, l'altitude de la mairie étant de 40 mètres. Les altitudes sont majoritairement moindres au nord de la commune qu'au sud, car le territoire est limité au nord par l'Adour. Les rivières Aran et Ardanavy, affluentes de l'Adour, forment également des vallées qui séparent Urt de Guiche à l'est et d'Urcuit à l'ouest.

L'altitude maximale est de 111 mètres, sur la colline dite de La Côte, au sud de la commune.

Hydrographie

La commune est traversée, au nord, par l'Adour, sur laquelle se formèrent de nombreuses îles, la plus importante étant celle de Bérens (ou Bérenx).

Les terres de la commune sont également arrosées à l'ouest par son affluent, l'Aran (ou Joyeuse), limite sur une dizaine de kilomètres des communes d'Urt et Bardos. L'Aran entraînait les moulins de « La Ferrerie-de-Haut» (côté Bardos), de « La Ferrerie-de-Bas» (côté Urt) et le « Moulin Neuf » (côté Bardos). Des rivières ou ruisseaux tributaires de l'Aran traversent également Urt : Marmareko erreka, le ruisseau de Lartasso (ou de Chantus), Eyhéracharko erreka et le ruisseau de Lamode, qui actionnait le « Mouliot ».

À l'ouest, l'Ardanavy, affluent de l'Adour, marque en partie la limite administrative entre Urt et Urcuit. Entre l'Aran et l'Ardanavy, une ligne de crêtes sépare les deux vallées en se dirigeant vers Briscous, au sud-ouest.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 amplitude thermique annuelle de 13,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx à 10 vol d'oiseau, est de 14,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  » (consulté le ).
  2. a b c d e f et g Carte IGN, consultée sur Géoportail le 01/05/2010 : Consulter
  3. a b c d et e Site du Sandre sur Urt.
  4. «  » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).


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Toponymie

Le toponyme Urt apparaît successivement sous les formes : Aurt (1193, cartulaire de Bayonne), Hurt (1243, titres de la Camara de Comptos ; 1249), Aourt (), Urt (1650, carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins), Beata Maria d'Urt (1686, collations du diocèse de Bayonne) et enfin Liberté (1793).

Le nom occitan gascon du village est Urt. Son nom basque est Ahurti. Il existe plusieurs hypothèses quant à l'origine du nom : ahurti signifierait en basque « bec d'eau » ; le nom pourrait être expliqué par le basque uharte, « au bord de la rivière » ; il pourrait dériver du latin hortus, signifiant « jardin » ; ou il dériverait des mots basques aur, aurki qui signifient « avant, devant » ou de la base ahur (« paume »), en rapport avec l'emplacement du village à un coude de l'Adour.

  1. , Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 BNF 31182570, lire en ligne), p. 172..
  2. Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
  3. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
  4. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  5. Manuscrits duXVIIe et XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «  », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  7. «  », sur Lo Congrès (consulté le ).
  8. [1]
  9. P. Haristoy, Notice sur Urt, Études Historiques et Religieuses du diocèse de Bayonne, 1896, p. 371, cité par V. Dubarat, Urt, Notes et Documents, Bulletin SSLA de Pau, 1929.
  10. J. Lemoine, Toponymie du Pays basque français et des pays de l'Adour, Picard, 1977.
  11. , Noms de lieux du Pays basque et de Gascogne, Paris, Bonneton, , 231 ISBN ), extrait sur Google livres.
  12. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, ISBN  et , lire en ligne), p. 21.

Histoire

Le développement d'Urt du | ]

Le cartulaire de Saint-Jean de Sorde témoigne de la présence de pêcheurs à l'emplacement du port d'Urt en l'an 1020. Il y existait en 1193, date de la première mention d'une paroisse à Urt, cinq maisons de pêcheurs. La pêche sur l'Adour, pratiquée à l'aide de nasses tendues en travers du fleuve, fut l'activité économique à l'origine du village, qui se développa sur les bords de l'eau, au pied d'une colline séparant deux zones de barthes. En 1256, il y avait à Urt un prêtre nommé Raymond, dont le sanctuaire probablement entouré de quelques habitations se situait sur un plateau d'une altitude de 40 mètres environ, au sommet de cette colline. On retrouve les deux foyers de population urtoise : près du fleuve, ressource économique, et en hauteur, à l'emplacement futur du Bourg. Il s'agit d'une structure fréquente dans cette région, due au relief local : les villages proches de Lahonce, Urcuit et Guiche se développèrent de la même façon. Durant cette période, Urt dépendait de l'abbaye de Sorde.

Une expansion grâce à la navigation commerciale aux | ]

Une barque au port d'Urt.

En 1312 fut fondée sur l'Aran, en amont d'Urt, La Bastide-Clairence, qui appartenait à la Basse-Navarre et devait lui permettre un accès à la mer, via l'Aran et l'Adour. Le développement important de la bastide entraîna une forte hausse du trafic et le Port du Vern d'Urt, au confluent de l'Aran et de l'Adour à quelques mètres en amont du Port, vit son activité et sa taille augmenter fortement. Le trafic fluvial sur l'Adour était aussi intense, vers Bayonne en aval et vers Peyrehorade et Dax en amont ; Urt était une étape importante avec l'embouchure de l'Aran, des chantiers de batellerie fluviale. Urt, avantagé par sa position géographique, subissait en revanche le régime féodal, avec l'autorité, sur le plan religieux, de la cathédrale de Bayonne, qui percevait la dîme, et de la seigneurie des Gramont.

Urt et les Gramont du | ]

Urt fit partie du comté de Guiche, appartenant aux Gramont, dès son érection en 1563 par Charles IX. Le , les seigneurs de Gramont, réunissant une assemblée d'une cinquantaine de propriétaires urtois (le « capitou »), établirent les statuts communaux d’Urt (Statuts accordés à la paroisse d'Urt par le Baron de Gramont le ), comprenant 24 articles qui régissaient notamment les droits d'usage de la forêt, les corvées et sanctions encourues. Ces statuts furent reconduits et enrichis en 1606 et 1616. La communauté urtoise, composée alors d'une centaine de personnes, se réunit à nouveau le et demanda le respect des statuts par tous les habitants ainsi que le paiement d'une amende par ceux qui ne se rendaient pas à ces assemblées. À partir de 1648, Urt fit partie du nouveau duché-pairie de Gramont.

Urt et le Labourd

La relation d'Urt au Labourd présente quelques particularités (partagées avec les villages voisins de Bardos et Guiche).

Pendant l'Ancien Régime, ces trois paroisses ne dépendaient pas judiciairement des institutions judiciaires labourdines, mais de la sénéchaussée de Came. Alors qu'elles avaient cessé de participer aux travaux du Biltzar du Labourd, elles furent admises de nouveau dans cette assemblée en 1763, à charge de contribuer désormais aux travaux de celle-ci. Ces péripéties semblent à Anne Zink de peu de signification : même avant ce rattachement, les trois paroisses étaient fiscalement labourdines, et c'était la coutume de la province du Labourd qui y régissait le droit civil.

La Révolution

À la convocation des états généraux, en 1788, les habitants de la paroisse d'Urt rédigèrent leur propre cahier de doléances, qui fut groupé avec ceux d'une quarantaine de paroisses aux alentours, à Ustaritz, le . Le cahier d'Urt comportait trois parties :

  • demande d'un impôt unique généralisé pour contrecarrer la mainmise des fermiers généraux (qui auraient accaparé 90 % des impôts royaux) ;
  • rappel de la franchise accordée à Bayonne et d'autres villages, et non à Urt, ce qui désavantage son économie ;
  • mention de l'aridité des sols et des taxes excessives sur les vins, qui forment à l'époque une partie importante des revenus du village.

Il n'y a aucun document dans les archives entre ce cahier et le début du registre des délibérations en date du . La paroisse, devenue commune des Basses-Pyrénées, adopta alors le calendrier républicain. Le 8 frimaire an II (), la commission chargée des archives, notamment des titres de féodalité, décida qu'elles seraient instamment brûlées en place publique, ce qui explique le peu d'informations sur les périodes antérieures à Urt.

Le , fut ouvert un registre de volontaires pour l'armée où personne ne s'inscrivit. Le . Les Espagnols attaquèrent le , tous les hommes aptes à porter les armes et âgés de 18 à 40 ans furent convoqués.

Du au , Urt prit le nom de Liberté. Le , les représentants du peuple Dartigoueyte et Cavanacq (qui ont autorité sur quatre départements) décidèrent notamment d'anéantir les enseignes religieuses des places et routes ; le même jour, le curé d'Urt et de Guiche abdiqua ses fonctions.

Un | ]

Carte du département des Pyrénées-Atlantiques dressée en 1852 par Victor Levasseur.

La pêche (saumons et aloses), les marchés et foires, l'usine de sel, le passage sur l'Adour (en bac) et la navigation fluviale continuaient de faire d'Urt un village prospère. Lors des guerres de la fin du Premier Empire, la commune fut occupée par les troupes françaises puis anglaises.

Il n'y eut pas de bouleversements notables dans l'histoire d'Urt entre 1815 et l'arrivée des progrès modernes dans la deuxième moitié du  : le chemin de fer en 1862 (mais exploité seulement en 1864), le pont sur l'Adour vers 1885, le télégraphe en 1889, l'électricité en 1904 et le téléphone en 1910.

À cette époque, l'économie urtoise reposait notamment sur une saline ouverte en 1881, des tuileries et carrières de pierre, une fabrique de bougies, de nombreux commerces, un haras et toujours la pêche, le trafic fluvial, les chantiers navals, les marchés. Administrativement, le principal évènement du Briscous, Hasparren et Bardos, tout en étant proche du centre de La Bastide-Clairence. Le , cette commune demanda à annexer ce quartier, demande combattue par la municipalité d'Urt invoquant la non-continuité territoriale due à une langue de terre de la commune d'Hasparren et l'absence de troubles. Le , des électeurs du Bourg demandèrent la séparation du Bourg et de la Côte, refusée par les habitants de cette dernière, dépendants du Bourg. L'histoire se répéta en 1898, mais la Côte resta urtoise.

| ]

Le monument aux morts d'Urt.

Durant la Première Guerre mondiale, 58 soldats urtois périrent, le monument aux morts leur rendant hommage fut inauguré le .

Lors de la Deuxième Guerre mondiale, la commune d'Urt se situait en zone occupée. La préfecture Pau se situant, elle, en zone libre, l'arrondissement de Bayonne fut rattaché à Mont-de-Marsan. Les troupes allemandes d'occupation, arrivées le , repartirent le .

L'eau potable n'arriva au Bourg qu'à la fin des années 1950, puis dans certains quartiers en 1964 et 1965. L'entreprise Lecomble et Schmitt, toujours présente aujourd'hui, s'installa en 1967 grâce à un dégrèvement d'impôts décidé par la municipalité. Lors de ce siècle, la commune perdit nombre d'habitants notamment en raison de l'exode rural, du développement de la route aux dépens du fleuve et de la voie ferrée, l'économie périclita et ne reposa quasiment plus que sur l'agriculture. Cependant, grâce au tourisme mais surtout à la proximité de Bayonne et l'explosion immobilière dans la région, la population et l'économie repartirent fortement à la hausse durant les dernières décennies. La géographie de la commune en fut marquée par une grande augmentation du nombre de lotissements. La vie municipale fut marquée par une grande stabilité politique avec notamment Jean Castaings qui fut maire pendant vingt-cinq ans entre 1983 et 2008, soutenant son successeur Robert Lataillade.


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  1. Alain Gardinier, Dictionnaire du Pays basque, Urrugne, Pimientos, , 2008, ISBN ).
  2. a et b Jean de Jaurgain et Raymond Ritter, La maison de Gramont 1040-1967, Tarbes, Les amis du musée pyrénéen tome 1, p. 280 et tome 2, p. 34.
  3. Anne Zink, Pays ou circonscriptions. Les collectivités territoriales de la France du Sud-Ouest sous l'Ancien Régime, Paris, Publications de la Sorbonne, , 374 ISBN , lire en ligne), p. 34-35.
  4. op. cit. p. 57.
  5. Anne Zink, L'héritier de la maison : géographie coutumière du Sud-Ouest de la France sous l'Ancien Régime, Paris, Éditions de l'EHESS, , 542 ISBN ), p. 28.

Héraldique

Urt ne possédait pas d'armoiries jusqu'en 1984, date à laquelle le blason suivant fut adopté par le conseil municipal :

Blasonnement :
D'azur, à un pont droit alésé de trois arches de gueules * maçonné de sable, accompagné en pointe de deux saumons nageant l'un sur l'autre, celui de la pointe contourné, et en chef d'une étoile, tous d'argent.
Commentaires : * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur).

Les éléments du blason peuvent être analysés ainsi :

  • le fond bleu représente l'eau, très présente à Urt, village au confluent de l'Aran et de l'Adour ;
  • les poissons (deux saumons) font référence au village de pêcheurs qui se trouvait à l'emplacement actuel d'Urt aux alentours du pêche fut une grande activité durant toute l'histoire d'Urt ;
  • le pont est un symbole de communication : il permet de relier les différentes rives du fleuve. Bien que la construction du pont ne date que de la fin du Saint-Jacques-de-Compostelle. Un bac se situait d'ailleurs à l'emplacement du pont avant sa construction, l'emplacement favorable d'Urt dans un coude étroit de l'Adour favorisant le passage du fleuve ;
  • l'étoile a ici une connotation religieuse, elle exprime la protection d'Urt par la Vierge. En effet, l'église d'Urt est dédiée à Notre-Dame de l'Assomption.


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Urt dans la littérature

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