Saint-Georges-de-Montclard (orthographe officielle), ou Saint-Georges-de-Montclar (orthographe locale), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Georges-de-Montclard, dans le Périgord, située à mi-chemin entre Vergt et Bergerac, est traversée du nord au sud sur quatre kilomètres et demi par la route départementale (RD) 21. Elle est arrosée par le Caudeau, un affluent de la Dordogne.
Le bourg de Montclard, en bordure de la RD 21, est situé, en distances orthodromiques, treize kilomètres au sud-ouest de Vergt et quatorze kilomètres au nord-est du centre-ville de Bergerac.
Le petit village de Saint-Georges est plus en retrait, à un kilomètre et demi au nord-ouest de Montclard.
Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Bergerac.
Communes limitrophes
Saint-Georges-de-Montclard est limitrophe de six autres communes. À l'ouest, son territoire est distant de 850 mètres de celui de Queyssac.
Les limites communales de Saint-Georges-de-Montclard et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Saint-Georges-de-Montclard
Saint-Martin-des-Combes
Clermont-de-Beauregard
Campsegret
Saint-Félix-de-Villadeix
Lamonzie-Montastruc
Liorac-sur-Louyre
Géologie et relief
Géologie
Carte géologique de Saint-Georges-de-Montclard.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Georges-de-Montclard est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « , et sa notice associée.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvs :
Formations superficielles : colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
CF :
Formations superficielles : colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Formation Boisbreteau inf. : sable fin silto-argileux marron, à petits graviers et débris de cuirasses ferrugineuses, argile silteuse (Priabonien sup. continental)
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup. : sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
e4b(1) :
Formation de Guizengeard inf. : sables fins feldspathiques vert pâle à graviers et à matière organique, pyrite et argiles silteuses kaoliniques gris-verdâtres à blanchâtres à marmorisation / rubéfaction au sommet (Yprésien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5e :
Campanien 5 : calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5d :
Campanien 4 : calcaires crayo-marneux grisâtres et calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides media et à lumachelles à huîtres (P. vesicularis) (formations de Barbezieux, de Lamonzie)
c5c :
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief
La vallée du ruisseau de Saint-Georges au bourg de Saint-Georges.
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude minimale, 62 mètres se trouve localisée à l'extrême sud, là où le Caudeau quitte la commune pour entrer sur celle de Lamonzie-Montastruc. L'altitude maximale avec 189 mètres se situe dans le nord-ouest du territoire communal, au nord du lieu-dit le Gobelet, à proximité du territoire de Campsegret.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Institut national de la statistique et des études économiques, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,68 ,,. La superficie géographique, issue de la BD TOPO, composante du référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,58 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Georges-de-Montclard.
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par le Caudeau, la Ruchelle, le Saint-Martin, le ruisseau de Saint-Georges et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 ,.
Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac. Il arrose la commune à l'est sur cinq kilomètres, dont quatre et demi lui servent de limite naturelle, en deux tronçons, face à Clermont-de-Beauregard, Liorac-sur-Louyre et Lamonzie-Montastruc.
Deux de ses affluents marquent la limite territoriale : le ruisseau de Saint-Martin en rive droite au nord-est sur plus d'un kilomètre face à Saint-Martin-des-Combes et la Ruchelle en rive gauche à l'est sur près de deux kilomètres, face à Clermont-de-Beauregard.
Le ruisseau de Saint-Georges prend sa source un kilomètre à l'ouest du petit bourg de Saint-Georges, qu'il traverse, et se jette dans le Caudeau en rive droite, après avoir arrosé le territoire communal sur plus de deux kilomètres.
Le Caudeau au nord du lieu-dit la Mouline, en limite de Clermont-de-Beauregard (à gauche) et Saint-Georges-de-Montclard.
Lavoir sur le ruisseau de Saint-Georges, au village de Saint-Georges.
Articles connexes : Liste des cours d'eau de la Dordogne, Liste de rivières de France et Liste de fleuves de France.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 amplitude thermique annuelle de 15,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 14 vol d'oiseau, est de 13,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,.
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012 et se situe dans sa « zone de transition ».
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↑ « », sur espritdepays.com (consulté le 14 juin 2022).
↑ a et b« », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le 14 juin 2022).
↑ « », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le 14 juin 2022).
↑ a b et cErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
↑ IGN, « », sur drive.google.com.
↑ « », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le 14 juin 2022).
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↑ Insee, « », sur insee.fr (consulté le 14 juin 2022).
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↑ « », sur le site de l'INPN (consulté le 9 octobre 2022).
↑ « », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le 9 octobre 2022).
↑ « », sur mab-france.org (consulté le 9 octobre 2022).
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Toponymie
L'orthographe officielle de la commune est « Saint-Georges-de-Montclard », mais localement, sa graphie est « Saint-Georges-de-Montclar ».
La première partie du nom de la commune se réfère à saint Georges, martyr chrétien au siècle. L'église Saint-Georges est évoquée dans un pouillé au siècle sous la forme latine Ecclesia Sancti Georgi,.
La seconde partie correspond au château de Monclar, établi sur une motte. Ce repaire noble est mentionné en 1288 sous la forme latine Castrum de Monte Clara. Ce toponyme est formé de deux noms occitans, mont (correspondant à une hauteur, un lieu surélevé) et clar qui peut avoir deux sens : d'une part « clair », de l'autre « qui se distingue bien ».
La commune porte le nom révolutionnaire de Georges Monetard en 1793 et est dénommée en 1801 Saint-Georges-de-Monclard. Elle prend ultérieurement son orthographe actuelle de Saint-Georges-de-Montclard.
En occitan, la commune se nomme Sent Jòrgi de Montclar.
Ancien anneau d'entrée dans le bourg de Montclard.
Nouveaux panneaux en français et occitan.
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↑ Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN ), p. 207.
↑ a et bVicomte Alexis de Gourgues, (L-Z), articles « Montclar » et « Montclar (Saint-Georges de) », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 11 octobre 2022.
↑ a b et cChantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Cahors, Éditions Fanlac, 2000, 447 ISBN ), p. 322-323.
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↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Jòrgi de Montclar sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 14 octobre 2021.
Histoire
Préhistoire
Le territoire communal a été occupé au Paléolithique.
Moyen Âge
Une petite grotte ornée médiévale est découverte par le Spéléo-Club de Périgueux en 1994 et a été analysée par des préhistoriens en 2014.
L'actuel château de Montclar, attesté en 1288, date de la fin du début du siècle. La châtellenie de Monclar comprenait neuf paroisses : Campagnac, Campsegret, la Mongie, Pont-Saint-Mamet, Saint-Félix, Saint-Georges, Saint-Laurent, Saint-Martin-des-Combes et Saint-Maurice.
Le prieuré Saint-Jean de Crabefy dépendait de l'abbaye de Chancelade.
Révolution française et Empire
La commune de Saint-Georges-de-Montclard a été instituée dans les premières années de la Révolution française, succédant à la paroisse.
↑ a et bErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées lieux
↑ « Les secrets de la grotte de Saint-Georges-de-Montclard (24) : Cette cavité comportant des gravures médiévales rares en Dordogne a été étudiée par Gilles et Brigitte Delluc », Sud Ouest, 6 mars 2014 (lire en ligne, consulté le 15 mars 2024).
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Héraldique
Blason
De gueules au rocher d'argent surmonté d'un soleil d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Article connexe : Armorial des communes de la Dordogne.
↑ 24414 - Saint Georges de Montclard, Armorial des villes et des villages de France, consulté le 10 octobre 2022.
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