Savigny-sur-Orge

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Savigny-sur-Orge : descriptif

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Savigny-sur-Orge

Savigny-sur-Orge (prononcé [saviɲi syʁ ɔʁʒ] ) est une commune française située dans le département de l’Essonne en région Île-de-France. Domaine seigneurial et monacal dès le Moyen Âge, Savigny-sur-Orge construit autour du château occupé par d’illustres familles se développa dès l’arrivée du chemin de fer à la fin du XIXe siècle

Le lotissement des coteaux puis du plateau, la construction de grands ensembles multiplièrent par vingt la population de la commune en un siècle, pour en faire au XXIe siècle la quatrième ville du département

Reliée aux grands pôles urbains et économiques de la région par une ligne de RER et l’autoroute A6 mais disposant de peu d’espaces industriels et commerciaux, c’est aujourd’hui tant une « ville-dortoir » confrontée au vieillissement de ses infrastructures qu’une commune recherchée des classes moyennes. Ses habitants sont appelés les Saviniens.

Géographie

Situation

Savigny-sur-Orge est située dans la région Île-de-France, au nord du département de l’Essonne, totalement intégré à l’agglomération parisienne, à la frontière est de l’ancien pays et aujourd’hui région naturelle du Hurepoix.

La commune occupe un territoire approximativement rectangulaire dont la base orientée au sud-est fait trois kilomètres et le côté orienté au sud-ouest fait deux kilomètres et trois cents mètres, le tout représente une superficie de six cent quatre-vingt-dix-sept hectares. Près de 90 % de ce territoire est aujourd’hui urbanisé et construit et seulement 2 % sont répertoriés comme espace « rural », intégralement composé des berges relativement préservées de la rivière au sud.

Le territoire est situé pour une part importante sur des coteaux orientés au sud-ouest à l’extrémité sud du vaste plateau d’Orly.

Quatrième commune du département, Savigny-sur-Orge est pourtant située à l’écart des pôles administratifs et économiques du département, à dix-neuf kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, neuf kilomètres au nord-ouest d’Évry, neuf kilomètres au sud-est de Palaiseau, treize kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes, trente-deux kilomètres au nord-est d’Étampes, huit kilomètres au nord-est de Montlhéry, treize kilomètres au nord-est d’Arpajon, vingt-trois kilomètres au nord de La Ferté-Alais, trente-et-un kilomètres au nord-est de Dourdan et trente-trois kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

Deux cours d’eau matérialisent une partie des frontières de la commune, l’Yvette au sud-ouest avec Épinay-sur-Orge, l’Orge au sud avec Villemoisson-sur-Orge et Morsang-sur-Orge et au sud-est avec Viry-Châtillon.

À l’ouest se trouve une courte limite avec Longjumeau, qui se poursuit au nord-ouest par une frontière avec Morangis en partie matérialisée par l’avenue de l’Armée Leclerc.

Au nord, la rue de la Voie Verte marque la limite avec Paray-Vieille-Poste puis avec Athis-Mons au nord-est. À l’est se trouve la commune de Juvisy-sur-Orge, en partie séparée par l’avenue de Champagne qui recouvre l’aqueduc de la Vanne et du Loing.

Les communes limitrophes sont Paray-Vieille-Poste, Athis-Mons, Épinay-sur-Orge, Juvisy-sur-Orge, Longjumeau, Morangis, Morsang-sur-Orge, Villemoisson-sur-Orge et Viry-Châtillon.

Rose des vents Morangis Paray-Vieille-Poste Athis-Mons Rose des vents
Longjumeau N Juvisy-sur-Orge
O    Savigny-sur-Orge    E
S
Épinay-sur-Orge Villemoisson-sur-Orge
& Morsang-sur-Orge
Viry-Châtillon

Relief et géologie

Savigny-sur-Orge est implantée à l’extrémité sud du plateau de Longboyau et sur les coteaux des vallées de l’Yvette à l’ouest et de l’Orge au sud, dominant ainsi la pénéplaine de l’Yvette-Orge-Seine.

Le territoire s’étage entre une altitude basse de trente-trois mètres à l’extrême sud-ouest en bordure de la confluence de l’Yvette et de l’Orge et une altitude haute de quatre-vingt-dix-neuf mètres à proximité de la Ferme de Champagne. La déclivité se fait relativement doucement sur les deux tiers nord du territoire vers le sud et le sud-ouest puis s’accentue fortement à l’approche du centre-ville, l’altitude passant brusquement de quatre-vingt-quatre mètres dans le quartier des Cherchefeuilles, approximativement centré sur le territoire à seulement trente-sept mètres dans le parc du lycée, distant de seulement un kilomètre au sud-est et dans le parc de Grand-Vaux, distant de mille six cents mètres au sud-ouest.

Le sous-sol est caractéristique de l’ensemble du Bassin parisien avec une succession de couches de meulière, de limon, d’argile et de calcaire au plus profond.

Hydrographie

L’Orge à la frontière avec Viry-Châtillon.

Savigny-sur-Orge est implantée sur le coteau nord de la vallée de l’Orge qui marque la frontière sud et sud-est avec les communes de Morsang-sur-Orge et Viry-Châtillon, la rivière parcourt ainsi trois kilomètres et trois cents mètres sur le territoire commun.

Son affluent l’Yvette sert lui aussi de frontière avec la commune d’Épinay-sur-Orge au sud-ouest et forme une boucle dans le quartier de Grand-Vaux sur une longueur de neuf cents mètres.

Au sud du territoire, dans le parc de l’ancien château aujourd’hui occupé par le lycée Jean-Baptiste Corot se trouvent deux canaux et les douves. Un bassin de retenue des eaux de pluie a été aménagé sur le plateau en bordure de l’avenue du Garigliano et un autre à l’intersection des avenues du Général Friant et du Général Louis Morand.

Du sud au nord-est coule dans des canalisations souterraines l’aqueduc de la Vanne et du Loing relié au réservoir de Montsouris pour l’alimentation de Paris en eau potable.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 amplitude thermique annuelle de 15,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinay-sur-Orge à 2 vol d'oiseau, est de 11,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records EPINAY-SUR-ORGE (91) - alt : 51m, lat : 48°39'52"N, lon : 2°18'55"E
Records établis sur la période du 01-01-1966 au 31-07-2004
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,2 3,3 4,9 9,1 11,9 13,9 14,1 10,2 7,2 3,7 2,1 6,9
Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8,2 10,2 14,5 17,6 19,7 20,1 15,4 11,5 7,1 4,8 11,5
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,8 13,1 15,6 20 23,2 25,5 26,2 20,7 15,8 10,5 7,5 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
17.01.1985
−12,5
07.02.1991
−8
08.03.1971
−4
11.04.03
−0,3
03.05.1967
1
04.06.1991
5,4
04.07.1984
4,5
31.08.1986
1,5
30.09.02
−3,5
30.10.1985
−10,5
24.11.1998
−12
31.12.1970
−17,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,2
30.01.1973
21
24.02.1990
26
29.03.1989
28,5
30.04.1994
30,5
13.05.1998
36
26.06.01
37
21.07.1995
40,5
12.08.03
32,8
05.09.1973
29,5
01.10.1985
24,5
15.11.1971
17
21.12.1973
40,5
2003
Précipitations (mm) 57,5 50,8 51,4 48,6 64,2 57,1 55,9 65 49,8 59,7 61,3 73,1 694,4
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
  1. Fiche de la borne géodésique du pont de la RD 29 sur le site de l’Ign. Consulté le .
  2. Fiche de la borne géodésique de la Ferme de Champagne sur le site de l’Ign. Consulté le .
  3. Fiche de la borne géodésique des Cherchefeuilles sur le site de l’Ign. Consulté le .
  4. Fiche de la borne géodésique du lycée sur le site de l’Ign. Consulté le .
  5. Fiche de la borne géodésique du parc de Grand Vaux sur le site de l’Ign. Consulté le .
  6. %2FOR0046 Fiche géologique de Savigny-sur-Orge sur le site du Brgm. Consulté le .
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  11. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Attesté sous le nom Savini vers 1100, Savignaicum en 1151, Saviniacus en 1152, Saviniacum en 1307.

Le nom de Savigny-sur-Orge viendrait de la présence à l’époque gallo-romaine d’un propriétaire terrien originaire de la Sabine et dénommé Sabinus qui évolua vers l’appellation Savinus puis la graphie actuelle. Créée en 1793, la commune ajouta la mention du cours d’eau l’Orge en 1801 pour se distinguer des nombreuses autres communes homonymes.

Mais en latin Sabinum signifie « vin du pays des sabins », on peut remarquer que onze Savigny se situent dans des pays de vin et qu’il en est de même pour les Savignac du Sud-Ouest. À Savigny-sur-orge, les coteaux ont longtemps été couverts de vignes et de nombreux documents attestent que la profession de vigneron était très répandue à Savigny.

  1. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 586
  2. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  3. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le .
  4. Textes provenant de la brochure de la ville sur les Associations 1901 et du site des Savigny de France.

Histoire

Les origines

Des vestiges de silex taillé, des pierres polies, de bronze et de céramique certifient la présence humaine dès le néolithique et jusqu’à l’époque celtique. L’origine latine du nom semble indiquer la présence d’un propriétaire terrien à l’époque gallo-romaine. Des pièces en bronze découvertes attestent d’une concentration humaine aux Moyen Âge, des moines de l’abbaye Notre-Dame-des-Champs développent un moustier aux Prés-Saint-Martin.

Carte de la région de Savigny au XVIIe siècle par Cassini.

Longtemps, Savigny n'est qu’un petit village groupé autour du château seigneurial, le territoire comme celui des bourgs voisins est alors occupé par de vastes champs sur le plateau, de vignes et de vergers sur les coteaux et d’herbages dans la vallée de l’Orge. Au chapelle seigneuriale.

Au Saint-Martin est bâtie à cette époque par les moines de l’abbaye de Longpont. Pendant la guerre de Cent Ans, l’église comme beaucoup d’autres de la région est ravagée puis reconstruite. En 1493, l’église agrandie est consacrée à saint Martin. En 1587 sont installées quatre cloches à Saint-Martin.

Au avocat au Parlement de Paris fait construire le domaine de Courte-rente. Entre 1635 et 1797, le domaine de Grand Vaux passe entre différentes mains.

Lors de l'époque révolutionnaire, Pierre Vigier achète le domaine en 1797 et l’agrandit jusqu’à sa mort en 1817, le parc couvrant alors cent hectares. En 1801, Pauline de Beaumont loue le domaine de Courte-rente pour abriter ses amours avec François-René de Chateaubriand. En 1802, Louis Nicolas Davout achète le château de Savigny et y fait d’importants travaux.

En 1854, Charles Petit, propriétaire de la ferme de Champagne crée une usine d’expérimentation de distillation de la betterave sucrière. En 1855, Louis Adolf Duval, futur maire de la commune fonde une manufacture de fleurs artificielles. En 1869, la reine d’Espagne en exil séjourne au château de Savigny.

Les Hospitaliers

Le membre de Savigny fut rattaché au prieuré hospitalier de Saint-Jean en l'Île-lez-Corbeil, en 1353, par Guillaume de Mailg.

Dans un bail datant de 1466, Renaud Gorre, commandeur du prieuré hospitalier de Saint-Jean de Latran, déclare affermer pour neuf ans à un certain Germain Amaury, laboureur à Chasseney, la métairie avec étables, grange, cour, jardin fermé de murs, moulin à vent et 720 arpents de terre labourable à Montrouge, 10 arpents de près à Chantilly et à Savigny-sur-Orge, contre un fermage de 2,5 muids de blé, 1,5 muids d'avoine, un sétier de grosses féves et quatre douzaines de pignons,.

Croissance moderne

En 1834, la commune se dote d’une mairie aménagée dans la première école. En 1847, elle construisit un nouveau bâtiment pour accueillir la mairie, l’école et le presbytère. La même année, la maréchale Davout fait don à la commune d’une école de filles.

En 1883, une nouvelle école est construite.

Savigny bénéficie à la fin du ligne de la grande ceinture de Paris avec la construction d’une gare sur son territoire en 1888.

Première Guerre mondiale

En 1914, Savigny fait partie du camp retranché de Paris, dont le Plan de défense, adopté le , entraîne le creusement de tranchées et des travaux de fortification à la ferme Champagne.

En 1916, madame Petit, devenue veuve, loue la ferme de Champagne à l'Union des colonies étrangères qui la transforme en centre de rééducation des victimes de guerre, inaugurée en 1917 par le président de la République Raymond Poincaré. Grâce aux 50 hectares de terres de la « ferme des mutilés », les médecins travaillent à la rééducation des blessés par le biais de l'agriculture. Le château de Grand Vaux accueille, du au

Madame Duparchy reçoit, à ce titre, en 1921, la médaille d'or des Épidémies de la Croix-Rouge.

La même année, le projet de monument aux morts de monsieur Roblot, statuaire à Épinay-sur-Orge, remporte le concours lancé par la municipalité avec un budget de 24 000 .

Au sortir de la Première Guerre mondiale, l’afflux de provinciaux dans la région capitale et la politique en faveur du logement social modifièrent la physionomie de la commune. Entre 1923 et 1935, des lotissements pavillonnaires remplacent les champs et vergers au nord et à l’est du centre-ville, d’abord pour la villégiature des Parisiens puis pour le logement des nouveaux employés et ouvriers.

Outre la construction d’équipements publics, la viabilisation des nouveaux quartiers est entreprise à partir de 1928 et des 1931, près de 70 % des Saviniens résidaient sur le plateau. En 1929, pour accompagner cette croissance démographique, est construit le groupe scolaire Jules-Ferry, suivi en 1931 par l’église Sainte-Thérèse et en 1936 par le groupe Aristide-Briand. En 1930 est ouverte une des premières salles de cinéma de la région, l’Excelsior.

La conclusion des accords de Munich fin septembre 1938 suscite un soulagement et une joie profonde : le conseil municipal attribue le nom de Neville-Chamberlain à une des rues de la ville dans les jours qui suivent.

Seconde Guerre mondiale

En 1942, la mairie est transférée dans une ancienne ferme, plus vaste. Durant la Seconde Guerre mondiale, les résistants Georgette et Francis Remoissenet et Fernande et Paul Arnoult s’illustrèrent par l’aide qu’ils apportèrent aux persécutés, ils ont ainsi été élevés au rang de « Juste parmi les nations »,.

L'Après-guerre et les Trente glorieuses

Entre 1945 et 1972, la ferme de Champagne, devenue propriété du Ministère de la Justice sert de centre d’éducation surveillée pour mineurs délinquants.

En 1947, le ministère de l'Éducation nationale, propriétaire du château de Savigny, y installe une annexe du lycée Lakanal de Sceaux. En 1953, cette annexe devient le lycée autonome Jean-Baptiste-Corot.

Les Trente Glorieuses entraînèrent un nouvel afflux de population, rapidement logée dans les grands ensembles implantés dans le parc du château de Grand Vaux entre 1960 et 1966, à Clair Village entre 1967 et 1971 et aux Prés-Saint-Martin entre 1970 et 1972. Les groupes scolaires Kennedy et Saint-Exupéry ainsi que l’église Notre-Dame-de-l’Espérance accompagnèrent cette urbanisation entre 1962 et 1964.

Entre 1953 et 1960, le parc de Grand Vaux est coupé en deux par la nouvelle autoroute A6 qui relie ainsi directement la commune aux portes de Paris.

Le , Savigny-sur-Orge accueille un meeting de campagne du candidat Georges Pompidou.

Entre 1978 et 1979, Savigny-sur-Orge est à nouveau sous le feu des projecteurs lors de l’affaire Empain.

L’urbanisation s’acheve en 1992 avec l’aménagement de la zone d'aménagement concerté des Gâtines. En 1999, la commune se dote d’un nouvel hôtel de ville.

Le | ]

Savigny-sur-Orge est la première ville à avoir pris la décision d’un couvre-feu de vingt-deux heures à sept heures du matin pour les mineurs, lors des émeutes de 2005 dans les banlieues françaises.

  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le .
  2. Histoire de Savigny-sur-Orge sur le site topic-topos.com Consulté le .
  3. a et b Mannier (1872) p. 52
  4. Archives nationales S 5122, 3e liasse
  5. . Consulté le .
  6. Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 ISBN ), p. 49-51.
  7. Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 ISBN ), p. 35.
  8. Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 ISBN ), p. 81-86 ou 49-51.
  9. Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 ISBN ), p. 81-86.
  10. Richard Vassakos, « Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche », Nouvelle revue d’onomastique, 2019, no 61, p. 243.
  11. Fiche de Georgette et Francis Remoissenet sur le site du comité français pour Yad Vashem. Consulté le .
  12. Fiche de Fernande, Maurice et Paul Arnoult sur le site du comité français pour Yad Vashem. Consulté le .
  13. Sylvie MONNIOTTE-MÉRIGOT, «  », sur Portes de l'Essonne Environnement (consulté le ).
  14. . Consulté le .
  15. Histoire de la commune sur son site officiel. Consulté le .
  16. Vidéo du meeting de Georges Pompidou à Savigny-sur-Orge en 1969 sur le site de l’Ina. Consulté le .
  17. sur le site de l’Ina. Consulté le .
  18. Histoire des quartiers sur le site officiel de la commune. Consulté le .

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