Livry-Gargan
Localisation
![Carte - localisation de Livry-Gargan Carte du monde](https://www.gaudry.be/img/worldmap.png)
Livry-Gargan : descriptif
- Livry-Gargan
Livry-Gargan (anciennement Livry-en-Aulnoye) est une commune située dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France, à environ quinze kilomètres au nord-est du centre de Paris. Ses habitants sont appelés les Livryens.== Géographie ==
Toponymie
Livry-Gargan tire son nom de Livriacum, villa gallo-romaine d'un certain Liberius.
Le village de Livry est successivement mentionné sous les formes : Livriacus (867-875) ; Livreio, Livri (1193) ; Livry (.
En , un décret ministériel accole le patronyme du premier industriel de la ville, Louis-Xavier Gargan, à celui de Livry pour former « Livry-Gargan » ; désignant les nouveaux quartiers créés à partir de sa propriété. Ce choix ne fait pas l’unanimité dans les gazettes locales, le nom de « Livry-Sévigné » aurait été préféré.
- ↑ Jean Lebeuf - Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Volume 6, page 195.
- ↑ Département de la Seine-Saint-Denis, « », sur patrimoine.seinesaintdenis.fr (consulté le ).
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « AG », mais aucune balise <references group="AG"/>
correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « M », mais aucune balise <references group="M"/>
correspondante n’a été trouvée
Histoire
Antiquité
Aucun objet antique n'a été découvert dans la région de Livry. Il est donc difficile de savoir si le territoire fut occupé avant la conquête de la Gaule.
Mais l'origine du peuplement de la ville est certaine : elle remonte au défrichement de la forêt de Bondy.
Le village se serait développé le long d'une route ancienne, construite par les Gaulois et aménagée par les Romains, qui traversait Livry : l'actuelle route nationale 3. Cette route passait devant une clairière de la forêt de Bondy, où une exploitation agricole était installée : la villa gallo-romaine de Liberius.
L’historien Camille Jullian, du Collège de France, a fait des travaux de recherche sur les villas romaines de la forêt et notamment sur cette villa et sur son vaste domaine gallo-romain qui se nommait *Liberiacum, du nom de son propriétaire Liberius, suivi du suffixe d'origine gauloise -acum qui marque la propriété.
Comme tant d’autres, le domaine fut saccagé lors des invasions barbares du .
Moyen Âge
À la fin du XIe siècle, une communauté religieuse y est mentionnée: Notre-Dame-du Breuil, ou Notre-Dame des Brûlis. Le mot "Brûlis", signifiant "bois incendiés", indique que le défrichement de la forêt de Bondy s'effectuait déjà au profit d'une agriculture extensive.
Au régime féodal, mais contrairement à certains villages de la région, le terroir n’est pas morcelé en plusieurs fiefs. de Garlande, chancelier de France, et seigneur de Livry et de Garlande-en-Brie, y construit un manoir. Quelques habitations de serfs se regroupent alors autour du château. Le seigneur était très apprécié du peuple, grâce aux donations qu'il fait en 1111 au monastère de Saint-Martin-des-Champs.
Guillaume de Garlande a quatre fils, dont Étienne de Garlande, qui prend part à un des événements les plus marquants de Livry : l'abbé Lebeuf, au Sénéchal et chancelier de France, est l'une des personnalités les plus importantes à la Cour de Louis VI le Gros. Tombé en disgrâce en 1127, il quitte la Cour à la demande de la reine Adélaïde de Savoie et transmet sa dignité de sénéchal à son neveu. En désaccord, Louis VI assiége son château puis le fait raser. Étienne de Garlande le fait néanmoins reconstruire et entoure le village de murs.
L'abbaye de Livry est fondée en 1186. En 1200, de Garlande, vainqueur des Anglais à Mantes-la-Jolie en 1188, aidé par les donations de Philippe Auguste, fait bâtir près de la tombe de son père, l’abbaye Notre-Dame de Livry, desservie par les chanoines réguliers de Saint Augustin en 1197. L’église est dédiée à Notre-Dame[réf. nécessaire].
Au Simon Charles, Président des comptes et pour l'autre moitié à Colette du Val
Époque moderne
En 1652 les incessants mouvements de troupes durant la Fronde des princes et les dévastations et pillages qui en découlent, laissent les chemins et les terres de Livry dans un état désolant et la population, dont une partie est anéantie par les privations, dans une profonde misère. De nombreuses habitations sont abandonnées
De 1624 à 1686, Christophe de Coulanges (v. 1607-1687) fut titulaire de l’abbaye. Il était l’oncle et tuteur de Marie de Rabutin-Chantal (1626-1696), devenue en 1644 la marquise de Sévigné. Madame de Sévigné, passe sa jeunesse à l’abbaye et y revient souvent après la mort de son mari, survenu en 1651. Elle y écrit de nombreuses lettres (voir Lettres de la Marquise de Sévigné), dans lesquelles elle ne tarit pas d’éloges sur Livry. Il est vrai que ce petit village, qui s’appelait encore Livry en Aulnoye, situé sur le vieux chemin d’Allemagne, au cœur de l’antique forêt de Bondy et du Pays d’Aulnoye, devait être bien sympathique au siècle. Sa situation élevée, offrait alors aux visiteurs quelques beaux panoramas.
Louis, marquis de Mailly et de Nesles, alors propriétaire de Livry, établit en 1663 le plan terrier de son domaine. Les indications contenues dans ce plan sont précieuses pour l'étude de la situation et de l'état de la seigneurie, de la châtellenie et de la paroisse de Livry, dans la seconde moitié du .
Époque contemporaine
Révolution française et Empire
En 1789, Louis XVI promet la réunion des États Généraux. Le , l'assemblée paroissiale rédige son Cahier de doléances, sur lequel vingt-six signataires apposèrent leur nom. Ce cahier réclamait l'abolition des capitaineries de chasse, revendiquait la propriété des arbres le long des chemins, les droits des habitants sur la forêt, la destruction du gibier, le droit du colombier, la nécessité d'avoir un vicaire, et un marché qui satisfasse le public. Quelques mois plus tard, la Révolution éclate. Le de la même année, un décret ordonne la vente des biens du clergé comme biens nationaux, qui intervient un an plus tard. Le , un décret crée le canton de Livry au sein du département de Seine-et-Oise. Cette même année, la ville connait son premier maire, Joseph Dufaut.
À cette époque, le village se présente comme une petite agglomération de 1 500 âmes située à l’orée de la forêt et entourée de quatre grandes propriétés : l’abbaye, le domaine seigneurial, l’Écu de France et le Grand Berceau. La paroisse de Livry dépend alors du doyenné de Chelles et de la généralité de Paris. Ses habitants vivent pour l’essentiel de l’agriculture sur de petites parcelles, de petits labours, de l’élevage laitier et notamment de la viticulture. Une plâtrière apporte également un complément d’activité non négligeable.
Le , le cortège ramenant Louis XVI de Varennes-en-Argonne traverse Livry par la grande route de Meaux à Paris. Les Livryens, curieux, se massent sur le parcours, et regardèrent le cortège passer, « le chapeau sur la tête, tout en gardant un lugubre silence, conformément à cet ordre affiché et répété sur tout le passage du roi » (Mémoires du général Paul Thiébault),.
En 1792, Blaquière succéda au premier maire de la commune. Quelques mois plus tard s'installe la Convention nationale. Le , neuf citoyens (dont trois Livryens) sont élus à l'assemblée cantonale de Livry.
En 1793, de nouvelles élections ont lieu. Mais les municipalités virent leurs existences abrégées, sans doute, par la chute de Robespierre. De nouvelles élections eurent lieu, et certains membres des assemblées précédentes y participèrent. Parallèlement, la disette fit de nombreux dégâts dans les campagnes.
Le (22 fructidor an III), de nouvelles élections cantonales amènent le Directoire. Peltier, alors maire de la commune, en désaccord avec les idées prônées, démissionne et est remplacé par Blondel, procureur de Livry et réélu aux élections de 1797. Le Coup d'État du 18 fructidor an V () entraîne des élections, qui sont annulées successivement. En 1798, Grivellé est élu et stabilise la situation tant politique qu'économique du village.
À cette période, la nouvelle assemblée oblige les membres du clergé à prêter serment à la Constitution. Puis la Convention nationale tente de remplacer le culte catholique par celui de la Déesse de la Raison, puis par le culte de l'Être Suprême. Sans succès. Parallèlement, les bâtiments conventuels de l’abbaye sont détruits et les biens nationaux vendus (les meubles, les cloches, les livres, l’horloge, etc.) ; seule la maison abbatiale est épargnée et achetée par l’amiral Jacob, ministre de la Marine, où il se retire en 1842 et y meurt en 1854. La maison est démolie en 1924 et les derniers restes de l’abbaye disparaissent en 1962.
En 1800, la vie politique de Livry change radicalement. Le 28 pluviôse an VIII (), la loi divise le département en arrondissements, créant ainsi l'arrondissement de Pontoise. Le canton de Livry en fait partie mais ses communes (Livry, Tremblay, Villepinte, Sevran, Vaujours, Clichy-sous-Bois, Coubron, Montfermeil, Gagny, Neuilly-sur-Marne, Gournay-sur-Marne, Noisy-le-Grand) sont réunies au canton de Gonesse.
En 1802, débute le creusement du canal de l'Ourcq afin d'alimenter en eaux salubres Paris. L'idée de ce canal remonterait au siècle, sous le règne de , puis est reprise sous le règne de Louis XIV, en 1673. Bonaparte, alors premier Consul, confie les travaux à Pierre-Simon Girard, ingénieur en chef des Ponts-et-chaussées. Les travaux débutent le . Le , les eaux arrivent à Paris. Le canal est terminé en 1822.
En 1805, le comte Robert Guillaume Dillon, futur maréchal de camp, est élu maire de Livry et réside au château.
Le comte d’Artois, futur Charles X, y arrive le , et s'arrête au château du comte Damas.
En 1860, un industriel, Louis-Xavier Gargan, achète un terrain boisé le long de la route de Meaux où il fait construire une scierie mécanique, à l’angle des actuels boulevards de la République et Marx-Dormoy. Autour, se forme rapidement un nouveau quartier.
En 1869, le territoire de la commune est amputé par la création de la commune du Raincy. Dès lors, une rivalité s’établit entre les deux communes. De nombreuses notabilités désertèrent Livry, dénoncées par « Les lamentations de Tardu».
En 1870, lors de la Guerre franco-allemande de 1870, l'invasion prussienne débute : Livry souffre beaucoup et voit les usines Gargan saccagées et ses arbres coupés. L'occupation dure du au .
Exploitation des eaux
En 1878, Livry veut concurrencer Enghien-les-Bains en exploitant la source de l’actuel lac de Sévigné. Le maire de Livry fit construire une station thermale appelée « Sévigné-les-Eaux » (à l’angle de la rue Stalingrad et de l’allée Jeanne), ainsi que deux hospices, pour le traitement des maladies du larynx et de la poitrine. Mais les thermes n’ont pas le succès escompté.
En 1912, le conseil municipal sollicite la reconnaissance de la commune comme « station hydrominérale ». Mais par décret du , après un avis négatif de l’Académie de médecine et du Conseil d’hygiène puis du par le Conseil d’État, le gouvernement rejette la demande. Selon la rumeur, cette décision est influencée par les dirigeants politiques d’Enghien-les-Bains.
Aujourd'hui, le siège de la société d'exploitation des eaux sulfureuses (qui perdure de 1893 à 1912) abrite le siège de l'Inspection académique de la ville.
Début du | ]
En , un décret renomme la ville, qui devient « Livry-Gargan », officialisant un nom entré dans le langage local pour désigner les lotissements édifiés autour de l’usine de l’industriel de la ville Louis-Xavier Gargan. Ce choix ne fait pas alors l’unanimité, beaucoup ayant préféré le nom de « Livry-Sévigné »[réf. nécessaire].
Viennent alors les difficiles années de la Première Guerre mondiale et, le , 250 hommes de réserve appartenant au régiment de hussards passent par Livry-Gargan pour se diriger se dirigèrent vers Aulnay-sous-Bois. Dans la nuit du 7 au , les Livryens sont réveillés par 500 taxis parisiens, les célèbres «taxis de la Marne» qui, partis de Gagny, transportaient chacun des combattants jusqu’à Nanteuil-le-Haudouin pour la première Bataille de la Marne. Le , les Allemands se replient et ne parviennent pas à atteindre Paris.
Après la Première Guerre mondiale, le nombre des maisons double, passant de 2 822 en 1921 à 4 751 en 1931. Parallèlement, la population augmente considérablement passant de 11 752 habitants en 1921 à 21 213 habitants en 1931. À cette époque, Livry-Gargan était déjà une vraie ville de banlieue, avec ses lotissements, ses écoles, ses travaux de voirie, etc. Mais la guerre de 1939 ralentit considérablement cette progression.
- Livry-Gargan au tout début du XXe siècle
-
Livry - rue de l’église et la mairie.
-
L'avenue Victor-Hugo, vers 1904.
Les rails sont ceux de la compagnie des tramways de l'Est parisien. -
Les carrières de gypse de Livry-Gargan.
-
Le terminus du tramway à Livry.
-
Rame des tramways électriques au terminus de Gargan (Chemins de fer nogentais).
Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, durant l’été 1940, quelques Livryens résolus, dont Camille Nicolas, décident de résister à l’occupant allemand et créent le réseau M-4.
En 1942, les réseaux de résistance sont bien organisés, jusqu’en , époque où certains résistants furent arrêtés par la Gestapo. Plusieurs élus communistes sont fusillés dont Lucien Michard, ancien président du groupe communiste avant la guerre et Eugène Massé secrétaire de la section du PCF, au Mont-Valérien.
En , Maurice Carité, ancien rédacteur à L’Aube et chef de la résistance de Livry, organise plusieurs réunions du Conseil national de la Résistance (CNR), à Livry, au bureau de la Maison de Famille (à l’angle du boulevard Jean-Jaurès et de l’avenue Vauban). Les résistants de la compagnie Robespierre mènent assez tardivement, en , des actions de sabotage à Sevran et Livry-Gargan notamment. Ces jeunes francs-tireurs et partisans (FTP) commandés par Louis Hême, animateur de la résistance locale, poursuivent à la suite de ces actions un combat armé contre les troupes allemandes qui facilite l’arrivée des premiers Américains. Les combats de la libération des 27, 28 et sur le site de l’actuel hypermarché Cora à la sortie Est de la ville font plusieurs victimes. Livry-Gargan est ainsi libérée par les Américains le .
Le comité local de libération présidé par Gabriel Beillon et à laquelle participe le champion cycliste Antonin Magne, assure la gestion municipale de 1945 à 1947. Mais l’alliance de la SFIO avec la droite (MRP) redonne alors le pouvoir à la SFIO.
Seconde moitié du | ]
Entre 1947 et 1954, l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide héberge des enfants de victimes de la Shoah en la maison située au .
Après la Seconde Guerre mondiale, la commune poursuit fortement son urbanisation par le lotissement de ses grandes propriétés en particulier celle de l’Abbaye. En 1954, le quartier de l’Abbaye est encore un hameau. Néanmoins, la ville conserve un caractère vert par la présence de nombreux parcs et jardins, et son urbanisation, essentiellement pavillonnaire, n’ayant pas été bouleversée par l’édification de « grands ensembles » comme dans de nombreuses communes voisines.
En pleine guerre d'Algérie, la ville est marquée par les attentats. Le 17 novembre 1957 une fusillade menée par des indépendantistes algériens éclate dans un marché de la ville,. Le un nouvel attentat est à déplorer faisant deux morts et lors duquel le chef du Mouvement national algérien (MNA) du secteur de Livry-Gargan, Mohamed Sefiane, est blessé,. Le , le même commando FLN attaque l'hôpital de Montfermeil dans un second attentat faisant un mort et treize blessés dans le but de retrouver Mohamed Sefiane,.
En 1971 la droite locale rompt son alliance avec la SFIO et mène sous le sigle « UCMPT » une violente campagne infructueuse contre la gestion municipale du maire socialiste Alfred-Marcel Vincent. La ville est alors gérée jusqu'en 2014 par l’union de la gauche sous majorité socialiste.
Début du | ]
Lors des émeutes de novembre 2005 les trois jeunes poursuivis par la police ont été signalés par un habitant de la ville rôdant autour d’un chantier,, à proximité du stade Alfred-Marcel Vincent dont ils revenaient à pied vers leurs domiciles de Clichy-sous-Bois, la commune voisine. Durant ces émeutes urbaines, les deux collèges de la ville ainsi que le gymnase stade Alfred-Marcel Vincent et un autre bâtiment municipal[réf. nécessaire] ont subi quelques dégâts restés relativement « mineurs » (de l’ordre de quelques dizaines de milliers d’euros selon la commune[réf. nécessaire]), en particulier en comparaison avec la plupart des villes voisines (Sevran, Aulnay-sous-Bois ou Clichy-sous-Bois) qui ont comptabilisé de nombreuses destructions de biens publics ou privés.
La création d'une ligne de tramway destinée à desservir Clichy-sous-Bois et Montfermeil en passant par les voies principales de la ville, dont la route départementale 116, ainsi que la route nationale 403, rencontre résolue de la municipalité dirigée par Alain Calmat, semble-t-il soucieux de ne pas se mettre à dos des riverains farouchement opposés à cette extension à proximité des prochaines échéances municipales. Au cœur des enjeux électoraux de 2007, le projet a en revanche le soutien des socialistes Claude Dilain, Gilbert Roger, Pascal Popelin (alors adjoint au maire) comme des UMP Xavier Lemoine et Éric Raoult. Cette ligne est mise en service après de longs débats en 2019 et constitue désormais une des branches de la ligne 4 du tramway d'Île-de-France.
- ↑ Article de Toussaint et Guyonnet : « Les noms de communes du canton du Raincy », dans : Mémoires de la société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin
- ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées:0
- ↑ « » [PDF], sur racineshistoire.free.fr, (consulté le ).
- ↑ Abbé Jean Lebeuf, Histoire du diocèse de Paris, tome VI, p.201
- ↑ Musée Carnavalet, Madame de Sévigné
- ↑ Cahier de Doléances des habitants de la paroisse de Livry, arrêté en l'assemblée du 16 avril 1789
- ↑ Mémoires du Général Thiébault
- ↑ Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesCassini
- ↑ « Histoire Derniers souffles Lettres de fusillés (1941-1944). », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑
- ↑ « », UJRE, (consulté le ).
- ↑ « Fusillade au marché de Livry-Gargan », La Nouvelle République, no 4008, .
- ↑ « Après le massacre de Bondy et la fusillade de Livry-Gargan, vaste opération policière », La Nouvelle République, no 4011, .
- ↑ Raymond Muelle, La guerre d'Algérie en France : 1954-1962, FeniXX, (ISBN , lire en ligne), chap. 13 (« Les actions des Princes »).
- ↑ « », sur babelouedstory.com (consulté le ).
- ↑ « Odieux attentat dans un hôpital », Feuille d'avis de Neuchâtel, Neuchâtel, lire en ligne [PDF], consulté le ).
- ↑ Benjamin Stora, Ils venaient d'Algérie : L'immigration algérienne en France (1912-1992), Paris, Fayard, , 492 p., « L'engrenage d'une tuerie ».
- ↑ « », Le Monde, (consulté le ).
- ↑ « », Le Figaro, (consulté le ).
- ↑ « En 2005, trois semaines d'émeutes urbaines », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « tram train : Le socialiste clichois », (version du sur Internet Archive).
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « AG », mais aucune balise <references group="AG"/>
correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « Genty », mais aucune balise <references group="Genty"/>
correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « M », mais aucune balise <references group="M"/>
correspondante n’a été trouvée
Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.
Livry-Gargan dans la littérature
Découvrez les informations sur Livry-Gargan dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.
1309 autres localités pour Ile-de-France
Vous pouvez consulter la liste des 1309 autres localités pour Ile-de-France sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-idf/villes.html.
Nederlandse vertaling
U hebt gevraagd om deze site in het Nederlands te bezoeken. Voor nu wordt alleen de interface vertaald, maar nog niet alle inhoud.Als je me wilt helpen met vertalingen, is je bijdrage welkom. Het enige dat u hoeft te doen, is u op de site registreren en mij een bericht sturen waarin u wordt gevraagd om u toe te voegen aan de groep vertalers, zodat u de gewenste pagina's kunt vertalen. Een link onderaan elke vertaalde pagina geeft aan dat u de vertaler bent en heeft een link naar uw profiel.
Bij voorbaat dank.
Document heeft de 03/01/2018 gemaakt, de laatste keer de 21/01/2025 gewijzigd
Bron van het afgedrukte document:https://www.gaudry.be/nl/lieu/fr/fr-idf/37141.html
De infobrol is een persoonlijke site waarvan de inhoud uitsluitend mijn verantwoordelijkheid is. De tekst is beschikbaar onder CreativeCommons-licentie (BY-NC-SA). Meer info op de gebruiksvoorwaarden en de auteur.