Ecquevilly

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Ecquevilly : descriptif

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Ecquevilly

Ecquevilly est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Proche d'Orgeval et desservie notamment par les autoroutes A13 et A14, cette ville est un ancien bourg rural qui a connu une forte urbanisation depuis les années 1960, notamment avec l'implantation d'une usine Renault sur la commune voisine de Flins-sur-Seine. Ses habitants sont appelés les Ecquevillois.

Géographie

Située dans le nord du département des Yvelines, la commune d'Ecquevilly se trouve dans la vallée de la Seine, immédiatement au sud de l'agglomération de Meulan-Les Mureaux, à environ 20 kilomètres à l'est de Mantes-la-Jolie, chef-lieu d'arrondissement, et à 30 kilomètres au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

Les communes limitrophes sont Chapet et Morainvilliers à l'est, Bazemont et Les Alluets-le-Roi au sud, Les Mureaux au nord et Bouafle à l'ouest.

Son territoire, relativement étendu, occupe 1 127 hectares (chiffre supérieur à la moyenne des Yvelines qui est de 872 hectares). Il s'étend sur le versant sud de la vallée de la Seine, sur environ cinq kilomètres du nord au sud et 4,5 kilomètres d'est en ouest. Le relief est marqué par une pente régulière, modelée par de nombreux vallons, du sud vers le nord depuis les hauteurs de la forêt des Alluets, culminant à 178 mètres d'altitude, jusqu'à la terrasse alluviale, à l'entrée des Mureaux à environ 35 mètres d'altitude.


Hydrographie

La commune est traversée, selon une direction approximativement sud-nord, par le ru d'Orgeval, ruisseau de seize kilomètres de long, qui longe plus ou moins la limite communale avec Chapet.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 14,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 6 vol d'oiseau, est de 11,8 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Occupation du territoire

Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 11 % 122,87
Espace urbain non construit 3 % 30,13
Espace rural 86 % 980,29

Le territoire de la commune est essentiellement rural (86 %), l'espace urbain construit représentant 11 % du total, soit 1 213 hectares, dont 20 affectés aux zones d'activités.

L'espace habité se concentre dans le village, à l'exception de quelques fermes : le Rouloir située plus au nord, la Muette à l'est, les Préaux et Romainville au sud. L'urbanisation s'est développée vers l'ouest et le nord, à partir du noyau ancien établi le long de la route de Quarante-Sous (ex-nationale 13).

L'habitat est très majoritairement composé de maisons individuelles anciennes ou plus récentes, dans des lotissements, cependant un ensemble d'immeubles collectifs occupe environ quatre hectares à l'entrée est du village.

Les activités économiques se répartissent d'une part dans la pointe nord de la commune, à l'entrée des Mureaux, et d'autre part dans une zone industrielle implantée en contrebas du village dans la vallée du ru d'Orgeval.

L'espace rural se partage entre des terres agricoles (grandes cultures, vergers, maraîchage) pour les deux tiers environ, et des surfaces boisées pour le tiers restant. Les bois sont concentrés dans le sud du territoire communal, et appartiennent pour l'essentiel à la forêt des Alluets.

Voies de communication et transports

Infrastructures routières

Sur le plan routier, la commune est desservie par la  113, anciennement connue sous le nom de « route de Quarante-Sous ». Il s'agit d'un tronçon déclassé de la route nationale 13 Paris-Caen-Cherbourg qui traverse le centre de la commune dans le sens sud-est - nord-ouest. Cette route a été déviée et évite le centre du village. Elle est doublée au nord-est par l'autoroute de Normandie (A13, tronçon ouvert en 1966) accessible par deux demi-échangeurs situés dans les communes voisines de Chapet et de Bouafle (sortie A13 - No 8).

Dans le sens nord-sud, la route départementale 43 se débranche de la RD 113 à l'entrée est du village (rond-point) et se dirige vers Les Mureaux, franchissant l'autoroute A13 à la limite nord de la commune. Diverses routes appartenant à la voirie communale relient Ecquevilly aux communes voisines.

Infrastructures ferroviaires

La commune n'est plus desservie par le chemin de fer. La gare la plus proche est celle des Mureaux, située à cinq kilomètres au nord du village.

Un projet à long terme de « liaison rapide Normandie-Val de Seine » prévoit la création d'une ligne nouvelle entre Épône et Achères qui se débrancherait à l'est de la gare d'Épône-Mézières pour s'inscrire au sud de la ligne actuelle dans le couloir de l'autoroute A13, traversant donc la pointe nord de la commune d'Ecquevilly.

Autres

Un sentier de grande randonnée, le GR 26, dont le tracé relie Paris à Deauville, traverse la commune dans sa partie sud, dans la forêt des Alluets.

Transports en commun

La commune d'Ecquevilly est desservie par :

  • Les lignes 11, 70, 71, 73, 95, 100 et X419 du Réseau de bus de Poissy - Les Mureaux ;
  • La ligne 34 du Réseau de bus du Mantois.

Ces 8 lignes relient la ville, aux communes d'Hardricourt, Les Mureaux, Montigny-le-Bretonneux, Plaisir, Poissy, Saint-Germain-en-Laye, Versailles...

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
  8. Projet « Normandie- Val de Seine » sur le site de RFF
  9. , 28 novembre 2001.
  10. Les Yvelines à pied topoguide de la Fédération française de la randonnée pédestre, (ISBN ).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Frauxini parrochia, Fresnes au .

Le village s'est appelé Fresnes, (de fraxina, « frênes »), jusqu'au  siècle avant de prendre le nom d'« Ecquevilly » en 1724. Il reste de cette époque le lieu dit « la Mare de Fresnes » au hameau de Brezolles, sur le côté de Chapet.

Cette terre fut appelée Ecquevilly lorsqu’elle fut érigée en marquisat au profit d’Auguste Louis Hennequin d'Ecquevilly, seigneur d’Ecuvilly (dans l’Oise).

  1. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  2. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 4.
  3. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1728 (ISBN ).
  4. Jean Blottière, Toponymie du canton de Meulan et des communes de Gargenville, Juziers, Oinville-sur-Montcient et Séraincourt (S.-et-O.), t. 4, , p. 256.

Histoire

Châtelet d'entrée à la cour d'honneur du château de François d'O (XVIe siècle). Aujourd'hui pavillon d'entrée du parc de la mairie.

Les origines

Ecquevilly a de lointaines origines, on a retrouvé dans son sol de nombreux objets datant de la préhistoire, de l'époque gallo-romaine jusqu'à l'époque mérovingienne.

Les seigneurs d'Ecquevilly

Du  siècle, date des plus anciens documents se rapportant à la « châtellenie de Fresnes », jusqu’à la Révolution française en 1789, quatre familles se sont succédé à la tête de ce fief :

  • la famille de Neauphle-le-Château,
  • la famille de Poissy,
  • la famille d’O,
  • la famille Hennequin.
La famille de Neauphle-le-Château

Le nom de Fresnes (ancienne appellation d'Ecquevilly) apparaît dans un acte de l'an 1058. Le comte de Meulan y fait donation au monastère de Jumièges des terres sur lesquelles s'édifiera le village. Cette charte est signée par Hugues II, comte de Meulan assisté par Richard de Neauphle et le fils de ce dernier, Robert, seigneur de Fresne, Aubergenville, Chapet.

Robert est le premier seigneur à établir sa résidence à Fresne. Son château, situé au lieudit la Basse Cour consiste en une tour carrée avec douves, fossés et murailles de défense en pierre. Des souterrains relient ces bâtiments à la campagne environnante ; d’après certains anciens ils allaient jusqu’à la ferme de la Muette et la Maladrerie des Mureaux. Robert de Fresnes meurt en laissant son héritage à son fils aîné Hugues dit le Roux, baron de Fresnes, qui laisse à une parente proche (Sa fille, sœur, petite-fille ?), Jacqueline, qui épouse Guaszon III de Chaumont-(Quitry) de Poissy († vers 1141/47) auquel elle apporte en dot la terre de Fresnes.

La famille de Poissy (issue des Chaumont-Quitry)

Le nouveau seigneur, Guaszon (aussi appelé Guasce, Gasce, Gaston dans certains écrits), est le fils de Gaston II de Chaumont, connétable de France, et de Sanceline/Cécile de Poissy, dame de Maisons-sur-Seine, issue des sires de Poissy, Maisons et Septeuil. Leur fils Guaszon IV est le père de Guaszon V, mort en 1189 et enterré dans l’abbaye d’Abbecourt à Orgeval, qu’il a fait construire en 1180, et dont l'église est consacrée en 1191 par Thomas Becket, archevêque de Canterbury réfugié en France pour fuir les persécutions du roi d’Angleterre Henri II.

En 1189, à la mort de Guaszon, son fils cadet, Robert II de Poissy († avant 1220) a en partage la terre de Fresne(s) et Maisons.

En 1231, Robert III, fils puîné de Robert II, hérite de la terre de Fresnes, et en 1234 il accorde « le cours de l’eau » du ru du Goncin (actuellement ru d’Orgeval) aux chanoines de Poissy, aux religieux de Saint-Nicaise et aux lépreux de Comtesse. À cette époque, le ru est très poissonneux, en particulier en raison de l’étang de Fresnes qu’il traverse. En 1242, Robert est convoqué par le roi Louis IX de France pour combattre le comte de la Marche révolté et soutenu par le roi d’Angleterre Henry III ; il meurt dans cette expédition.

Deux fils de Robert III deviennent sires de Fresne : l'aîné Guillaume († vers 1270) et le cadet Robert IV (mort vers 1265), et c’est le petit-fils de ce dernier, Jehan, fils de Robert (V) († vers 1265/72), qui lui succède. Jehan († vers 1317) n’a pas de descendant mâle, sa fille Mathilde (Mahaut), son unique héritière, épouse un chevalier nommé Jehan Le Baveux de Garencières, fils de Guy Le Baveux de Garencières baron de Tillières, ami du roi Charles V de France qui le retient en 1369 pour service royal sous le commandement du duc de Bourgogne (frère du roi) ; ce Jean Le Baveux, dit aussi Hutin, est seigneur du Baillet et Franconville par usufruit sur le duc de Bourbon, de Maillebois par achat et/ou alliance, et de Chagny par acquisition.

Après Mathilde et Jehan, deux enfants se partagent la succession : leur fils Guy le Baveux, chambellan du duc de Bourgogne, reçoit Bazemont ; la fille de Jean Hutin, Jeanne de Garencières dite « La Baveuse », reçoit la terre de Fresne(s) en quelque sorte à deux titres,, et elle prend pour époux Robert d’O, sénéchal du comté d’Eu.

La famille d’O

Jeanne la Baveuse en épousant Robert d’O, sixième du nom, apporte la terre de Fresne(s) à la famille d’O, maison de Basse-Normandie remontant au  siècle (voir château d'Ô (Orne)). Ce chevalier est tué le en 1415 à la bataille d'Azincourt. Son fils Robert VII, échanson du duc de Bourbon hérite de sa mère Jeanne la Baveuse du fief de Fresnes.

Robert VII meurt en 1447 sans descendance mâle. Son héritage revient à son gendre, Jean dit le Sénéchal, qui prend alors le nom et le blason de la maison d’O. Fresnes est transmis à son fils, Jean II, vers 1480. Quand le seigneur meurt, il est remplacé par son fils Charles 1er.

En 1528, il cède son patrimoine à son propre fils Étienne d’O qui lègue son héritage à son neveu Charles d’O, deuxième du nom, seigneur de Bazemont, et la terre de Fresnes revient à Jean. Celui-ci, Jean d’O, troisième du nom, capitaine de la garde écossaise du roi de France, a six enfants dont l’aîné François devient seigneur de Fresnes.

Au mois d’août 1594, François d'O meurt. La famille d’O vend la baronnie de Fresnes.

La famille Hennequin

Le 15 septembre 1607, la dame Jeanne Brûlart, veuve de Pierre Hennequin, devient propriétaire du domaine de Fresnes par décret du Châtelet de Paris. La famille Hennequin va pendant près de deux siècles, jusqu’à la Révolution, régner sur Fresnes, qui durant cette période devient Ecquevilly. En 1642 la famille Hennequin acquiert la charge royale de capitaine général des Toiles, Pavillons des chasses royales aux sangliers, faisant ainsi partie de la Maison du Roi.

Pierre Hennequin lègue par testament daté du 6 février 1660 sa terre de Fresnes à son neveu Nicolas Hennequin marié à Anne Sarus, dame des Roulloirs. Nicolas meurt le 31 octobre 1672. Son fils André, vulgairement appelé « le Vautrait » devient à son tour seigneur de Fresnes.

À la suite d'une tumultueuse affaire matrimoniale et pour échapper à la réprobation générale, le sieur André Hennequin, possesseur du fief de Fresnes, sollicite du roi Louis XIV l'autorisation de substituer à ce nom celui d'Ecquevilly, nom que porte déjà une autre de ses terres dans l'actuel département de l'Oise, ce que le roi refuse.

En 1724, Auguste Louis Hennequin (1717, 1794) fils du précédent, obtient du roi Louis XV les lettres patentes érigeant en marquisat d'Ecquevilly les terres, seigneurie, châtellenie de Fresnes, Bouafle, Morainvilliers, Chapet et dépendances. Au XVIIIe siècle la famille Hennequin possède, outre le château de Fresnes, deux hôtels particuliers, somptueuses résidences situées, l'une rue de Turenne à Paris, dans le quartier du Marais, l'autre à Versailles rue des Réservoirs, voisin de l'hôtel de Louvois, à environ 150 mètres du château de Versailles.

En 1790 le château de Fresnes-Ecquevilly est abandonné par la famille Hennequin, laquelle a en partie émigré. Le château est pillé et peu à peu ruiné, les matériaux servent pour les maisons des paysans. Les biens de la famille Hennequin sont confisqués, l’actif successoral fait l’objet d’un inventaire le 15 messidor de l’an III.

Le marquis Armand Hennequin rentre en France sous la Restauration. Quoique ne possédant plus Ecquevilly, il est néanmoins autorisé par le roi Louis XVIII, en 1821, à conserver le titre de marquis d’Ecquevilly. Les sépultures familiales ayant été violées, la famille Hennequin vend les biens qui lui restent et quitte Ecquevilly.

Époque post-révolutionnaire

De par un long passé agricole, comme en témoignent encore quelques grandes fermes, et une vocation commerçante en raison de sa situation sur la route de Paris à Rouen, le village se développe peu à peu.

  1. De nos jours à l'emplacement de la zone artisanale.
  2. Il n'est pas sûr que Jeanne Le Baveux de Garencières soit la fille de Mathilde/Mahaut de Poissy : elle est bien plus souvent présentée comme issue du deuxième mariage de Jean Hutin avec Jacqueline de Vieuxpont, petite-fille (par sa mère Jeanne de Vendôme) d'Amaury de Vendôme-Montoire (branche de La Châtre-sur-le-Loir ; sire de Châteauneuf-en-Thymerais et Villepreux), dont la propre mère, Philippa de Mésalent, issue des Du Puiset de Villepreux, était fille d'une autre Mahaut de Poissy, grand-tante de la première femme de Hutin en tant que sœur de Robert (V) de Poissy. Si cette deuxième filiation est la bonne, Jeanne a pu acquérir ses droits sur Fresne de deux façons : par un arrangement avec son frère et son père pour ce qui venait de la deuxième Mahaut de Poissy, qui donc ne serait pas sa mère ; et sans doute des droits partiels venus de la première Mahaut de Poissy, à travers la séquence Maizalan < Vendôme < Vieuxpont.
  3. «  », sur Racines et Histoire.
  4. Le marquis de Fresnes, mari brutal et jaloux, partit en ménage pour un pèlerinage en Italie, et revint sans sa femme qu'il prétendit s'être noyée. En fait, il l'avait vendue à un corsaire barbaresque. La marquise réussit à convertir son geôlier amoureux, qui après bien des années et de multiples tribulations, finit par la relâcher. Elle vint porter ses plaintes aux pieds du Roi (Louis XIV). C'est du moins le récit qu'elle fit de ses passionnantes aventures, publiées en 1701 par un pamphlétaire, Gatien Courtilz de Sandras, dans un roman qui eut beaucoup de succès. Dès lors, le marquis de Fresnes ne songea plus qu'à changer de nom. [Mémoires de madame la Marquise de Fresne, nelle édition, Amsterdam, Henri Schelte, 1702].

Héraldique

Les armes d'Ecquevilly se blasonnent ainsi :
Parti, au premier d'hermine, au second vairé d'or et d'azur, au chef denché de gueules brochant chargé d'un lion léopardé d'argent

Ce blason combine celui de la famille Hennequin (vairé d'or et d'azur au chef de gueules chargé d'un lion léopardé d'argent) et celui de la famille d'O (d'hermines au chef denché de gueules).

Ecquevilly possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

  1. Blason de la famille Hennequin d'Rcquevilly sur le site « Racines et Histoire » [PDF].
  2. Armorial du comté de Montfort [PDF].

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Ecquevilly dans la littérature

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