Seclin

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Seclin : descriptif

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Seclin

Seclin [səklɛ̃] est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France. Peuplée de 12 500 habitants, la ville se trouve à la lisière de la conurbation lilloise, en Flandre romane

Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille. Ancien site d'occupation préhistorique, au moins néolithique, puis vicus gallo-romain, autrefois en grande partie zone humide et marais, développée autour d'une collégiale au Moyen Âge, c'est aujourd'hui une ville satellite de Lille, siège du plus grand parc d'entreprises de la région

C'est aussi une commune agricole, urbanisée seulement au tiers de sa superficie.

Géographie

Situation

Capitale historique du Mélantois, Seclin se situe en Flandre romane à 9,6 Lille (10,2 km par la route).

Seclin est une « ville à la campagne » de près de 13 000 habitants urbanisée au tiers de sa superficie qui est de 1 742 hectares. On y trouve de nombreux équipements culturels et sportifs, deux musées, trois monuments historiques.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Seclin
Noyelles-lès-Seclin
Houplin-Ancoisne
Wattignies Templemars
Gondecourt Seclin Avelin
Chemy Phalempin Attiches

Écarts et lieux-dits

En plus de la ville-centre, Seclin est aussi constituée de hameaux :

  • Martinsart : C'est un ancien village-rue comportant une église et organisé autour de la rue Jean-Baptiste Mullier. Martinsart est un ancien village agricole qui s'est progressivement péri urbanisé comme la majorité des zones rurales de l'aire urbaine lilloise.
  • Watiessart :
  • Burgault :
  • La Ferme des Euwis :
  • Le Riez :

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Naviette, le canal de Seclin, la Riez, la Watiessart, le rattepont et divers autres petits cours d'eau,.

(texte à fusionner)
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau,.

La Naviette, d'une longueur de 11 Phalempin et se jette dans le canal de la Deûle à Houplin-Ancoisne, après avoir traversé six communes.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille.

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 14,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 7 vol d'oiseau, est de 11,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

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Toponymie

D'un nom de personne germanique Sichelin, Sikelin en flamand.
Le nom évolue au cours des siècles : Sacilinum (VIIIe siècle), Selini (vers 1030) Sicclinium (1039), Seclin (1104).

Noms anciens. Sacilinium, de S. Eligto, Acta SS. Belgii I, 97. Se Uni. Lettre à la comtesse Ogine, pour St-Bavon de Gand, vers 1030, Mir. I, 349. Sicclinium, dipl. du comte de Flandre Robert, pour Phalempin,1039. Mir. I, 362.

Ses habitants sont appelés les Seclinois. Le surnom ou nom jeté des habitants est les loquebaux de S'clin ; il viendrait d'une visite de Louis XI à Seclin, et de la surprise qu'il eut de voir ses hôtes seclinois parés d'aussi beaux habits : Dieu que vous avez de bielles loques.

  1. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
  2. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois

Histoire

Faits historiques : Seclin étant menacé par les Normands, vers 783, le corps de saint Piat fut transporté momentanément à Chartres. Seclin brûlé au temps de la bataille de Bouvines, en 1214. Loi de commune octroyée le . Siège d'un camp de Philippe-le-Bel, en 1297. Pillé et brûlé de nouveau, par le comte de Hainaut en . Séjour du roi Charles Y, en . Siège des conférences entre Philippe le Bon et les Gantois en 1453, la ville étant alors incluse dans les Pays-Bas bourguignons depuis le Gueux qui venaient piller l'église en 1566. Vigoureuse défense des Seclinois, en 1794, contre un parti autrichien qui voulait dévaster la ville.

Temps anciens

Reconstitution d'une maison au parc archéologique Asnapio de Villeneuve-d'Ascq.

À l'époque gallo-romaine, Seclin est un vicus où une population rurale se rassemble pour le commerce. Une ferme gallo-romaine a été mise à jour sur l'actuel site UNEXPO sur les hauteurs du territoire (altitude 46-48 mètres) et en bordure d'un axe menant très probablement vers Tournai.

Jusqu'au Pays-Bas devenus bourguignons.

La ville se construit à partir du quartier de la collégiale Saint-Piat, lieu de culte érigé en souvenir d'un martyr chrétien, saint Piat. Un collège de chanoines organise la vénération des reliques du martyr dans un premier édifice de type « basilica martyrium » aux alentours des VIIe-VIIIe siècles. À partir du Xe siècle, une église plus vaste, devenue une collégiale est progressivement édifiée à son abord. L'église actuelle, de style gothique, daterait elle du XIIIe siècle.

En 1246, la comtesse Marguerite de Flandre fonde l'Hôpital Notre-Dame qui était dirigé par une communauté de frères mais surtout des Sœurs augustines (présentes jusqu'en 2013). Le site, classé en 1932, est un magnifique témoignage de l'architecture et de l'organisation hospitalière : chapelle, salle des malades, cour intérieure (à l'image de celle présente dans La Vieille Bourse de Lille), bâtiment agricole et ancienne porte cochère. Son organisation rappelle d'autres sites prestigieux comme l'Hospice Comtesse à Lille ou l'Hôpital Notre-Dame à la Rose de Lessines (Belgique). Le développement démographique et les innovations médicales entrainèrent d'importantes transformations au XIXe siècle : finition de la façade par l'architecte, Charles Alexandre Marteau, et aménagement de pavillons dits hygiénistes. L'ancien pavillon de la Maternité à l'entrée de l'Avenue des Marronniers en est un exemple préservé. Propriété à la charge du Centre Hospitalier de Seclin, le site a été vendu en 2015. Un projet de réhabilitation en logements y est prévu.

Au  siècle, la vente de la seigneurie de Seclin par les chanoines à Guislain de Haynin, le premier représentant de la dynastie des seigneurs du Breucq, illustre la séparation des pouvoirs civils et religieux.

Statue de saint Piat, dans la chapelle d'Anstaing.
Philippe II d'Espagne.

La période est propice aux excès d'importants groupes de pillards, tels les iconoclastes, en provenance de Tournai et Menin. Les villes et villages du Carembault parviennent à les bloquer en conjuguant leurs efforts et à repousser définitivement les intrus dans les marais qu'il y a alors entre Seclin, Gondecourt et Houplin-Ancoisne. Les dégâts, surtout dans les édifices religieux, sont considérables car ces pillards sont, en fait, des convertis au protestantisme qui condamnent les images et statues religieuses pour obéir à la doctrine protestante du calvinisme. Les gueux sont des catholiques et des protestants favorables à une tolérance religieuse qui a entraîné la répression du roi d'Espagne, Philippe II qui, règne alors sur les grands Pays-Bas du cercle de Bourgogne hérités de son père Charles Quint. La rébellion qui couvait éclate à la suite de la pétition de quatre cents nobles appelée le compromis des nobles présentée à Bruxelles à la gouvernante des Pays-Bas Marguerite de Parme représentant le roi d'Espagne. Cette pétition demandait la fin du démantèlement des franchises gagnées au cours des siècles par les populations des dix-sept provinces bourguignonnes. La politique royale visait, à travers la suppression des franchises, à installer un pouvoir fort propre à éradiquer le protestantisme. Le rejet de la pétition s'accompagna d'une aggravation de la répression tandis que deux des meneurs de la noblesse, les comtes d'Egmont et de Hornes étaient mis à mort à Bruxelles. Ils n'étaient pourtant pas protestants, mais opposés aux abus de droit et aux persécutions. Dès lors, la révolte des gueux s'amplifia sous la conduite de Guillaume d'Orange-Nassau. Ennemis de la représentation des saints et du Christ par des images religieuses, les iconoclastes tentèrent de s'installer dans la région de Seclin et Gondecourt où certains esprits étaient attirés par la religion réformée.

En , sont données des lettres, enregistrées le , qui créent le titre de marquis d'Avelin pour Barthélémi François d'Hangouart, comte d'Avelin, seigneur de Seclin, et Antoine Félix d'Hangouart, son fils cadet. Ils peuvent appliquer le titre de marquis à la terre de leur choix et si Antoine Félix meurt sans héritier mâle, le titre doit retourner à Charles Philippe d'Hangouart, son frère aîné et aux aînés de ses descendants mâles.

À côté de la seigneurie principale de Seclin, existaient des seigneuries secondaires comme celle de Burgault, quartier actuel de Seclin. Peu de temps avant la Révolution française, elle est détenue par Pierre-François-Albert Taverne (1744 - 1831), écuyer, seigneur de Burgault, fils de Louis-Nicolas, écuyer, seigneur de Beauval, et de Marie-Jeanne-Joseph Mahieu. Il nait à Lille La Madeleine en juillet 1744 (baptisé le ), devient bourgeois de Lille le et meurt au château de Pont-à-Tressin (entre Tressin et Chéreng) le , à l'âge de 87 ans. Il épouse le à Lille Marie-Angélique-Joseph de Surmont (1742-1785), fille de Philippe de Surmont, seigneur de Bersée, bourgeois de Lille, et de Marie-Angélique-Françoise Discart. Marie-Angélique-Joseph de Surmont nait à Lille en janvier 1742 (baptisée le ) et meurt à Lille le . Elle est dame de (les hommes sont « seigneur de », les femmes sont « dame de ») Quenaumont (sur Cysoing) et de Platries.

Un autre fief retrouvé sur Seclin donne le titre de seigneur à son possesseur : le fief du Bois. Laurent du Béron, fils de Piat, marchand, né à Seclin, ayant acheté la bourgeoisie de Lille le , échevin de Lille de 1583 à 1594, achète en octobre 1585 le fief du Bois à Seclin. Va lui succéder, son fils Jean du Béron, seigneur du Bois, né à Lille, bourgeois de Lille le , capitaine d'une compagnie bourgeoise. Il meurt à Lille en 1631. Il a épousé Antoinette Bertault, dite de Hollande, fille d'Antoine et de Péronne de la Porte.

Autre exemple : le fief d'Henripret, acheté le

François-Emmanuel-Désiré Quecq (1756-1838), mort à 81 ans, fils de Jean-Baptiste et de Marie-Jeanne-Joseph le Thierry (1734-1765), est chevalier (donc noble), seigneur d'Henripret, bourgeois de Lille, trésorier de France et garde-scel au bureau de la généralité de Lille. Il épouse Charlotte-Joseph Virnot. Un fils Charles-Henri (1788-1827), est conseiller municipal puis adjoint au maire de Lille; un autre fils Jean-Baptiste-Lucien (1799-1887), mort à 86 ans, est juge au tribunal de première instance de Cambrai.

Ces seigneurs d'Henripret ont continué de prospérer après la Révolution française; ils ne sont plus seigneurs du fief mais s'appellent depuis cette époque Quecq d'Henripret; exercent différentes professions et contractent mariage avec des personnes issues de familles possiblement nobles, de France ou de Belgique. Le nom existe jusqu'à nos jours.

Le hameau de Martinsart à Seclin était également un fief donnant le titre de seigneur : Jacques Bridoul bourgeois et échevin de Lille et de Françoise de Bacière, il devient lui-même bourgeois de Lille le , puis procureur. Il se marie à Lille le avec Françoise Mes.

Révolution française

Comme dans de nombreuses localités de la région, la Révolution française et les changements radicaux qu'elle amène rencontrent une certaine résistance de la part des Seclinois. Cette opposition plus ou moins ouverte s'exprime en particulier vis-à-vis des mesures prises par le nouveau pouvoir contre la religion. Pendant la Convention nationale, le maire de Seclin informe le représentant en mission qu'il a tenté de faire appliquer le calendrier républicain (qui, entre autres, supprime les dimanches et jours fériés à consonance religieuse pour les remplacer par les décadi), entré en vigueur en . Il a voulu faire célébrer le messe le jour de décadi à la place du jour de Noël ce qui a déclenché l'opposition de la population. Même dans les organes censés être les plus favorables à la Révolution, le comité de surveillance, la société populaire, la municipalité, plusieurs membres l'ont désavoué. Il demande donc une intervention pour remédier « au grand vice qui règne dans ces trois corps».

En l'an 12 (1803-1804), dans le marais de Seclin, sous une couche de tourbe, à deux mètres environ de profondeur, a été trouvée par un ouvrier, une médaille en bronze doré, portant sur une face l'effigie d'Innocent XII avec cette inscription « Innocent XII Pont. M. A. I. », et sur le revers, une vierge tenant un enfant sur le bras. Dans chacune de ses mains est une corne d'abondance renversée, d'où sortent des pièces de monnaie. Un enfant placé de chaque côté semble aider à soutenir les cornes d'abondance. Autour est l'inscription « A Deo et prò Deo ». Ont été trouvées en même temps deux cornes de cerfs.

Époque contemporaine

En 1808, on trouve à Seclin un dépôt de sûreté, où on enferme les petits délinquants avant leur transfert en maison d'arrêt à Lille.

Au  siècle, les filatures, tanneries, brasseries et autres distilleries contribuent à l'essor industriel et commercial de la commune. Dès 1798, on y mentionne l'installation d'une filature de coton (Lefebvre-Bourghelle) disposant de métiers à tisser mécaniques (petites Jennys). Bien que ce dynamisme n'entraina pas un développement aussi fulgurant que pour les villes de Roubaix et Tourcoing, Seclin se transforma et connut de belles réussites familiales, à l'image des sucreries-distilleries Collette et Dujardin. Le père du célèbre docteur Gachet (qui soigna Van Gogh), Louis Eugène Gachet, tenta l'expérience industrielle dans les années 1820 en implantant une filature dans les bâtiments du château dit Des boulets. Seclin s'illustra dans le paternalisme patronal et plusieurs filatures (Guillemaud, Drieux, Duriez) adoptèrent à la fin du XIXe siècle les chambres d'allaitement.

Seclin fut occupée pendant la Première Guerre mondiale. Un cimetière militaire allemand de 1 188 tombes et les graffitis « Trink Wasser » (« Eau potable ») à l'entrée de certaines maisons, témoignent encore de cette occupation. Lors de leur retraite, les Allemands détruisirent les bâtiments municipaux, les infrastructures économiques (brasseries, distilleries, filatures) et patrimoniales (clocher de l'église collégiale).

Durant les années 1920 et 1930, Seclin se reconstruisit comme en témoigne l'actuelle Salle des Fêtes (ouverte en 1928) bâtie à l'emplacement de l'Hôtel de Ville détruit en , se modernisa avec la création de Bains-Douches municipaux (1934) à l'initiative de la nouvelle majorité municipale communiste dirigée par Paul Durot. Les travaux de restauration de la Collégiale Saint-Piat lui donnèrent un nouveau clocher où y fut installé un carillon de 42 cloches (fondues à Croydon, Angleterre).

Fin , Seclin fut attaquée et bombardée par les forces militaires allemandes. La résistance du bataillon de mitrailleurs et du Zouaves stoppa temporairement l'avancée allemande le . Trente-six civils périrent dans les représailles qui suivirent.

À la suite de la grève, dite patriotique, dans le bassin houiller du Pas-de-Calais au début du mois de , des ouvrières de la filature Agache (rue Burgault) se mirent en grève par solidarité du au .

Du au , 69 personnes furent fusillés au Fort de Seclin, six d'entre elles étaient membres de la résistance cheminote en lien avec l'affaire d'Ascq du .

Le , 33 civils furent fusillés par l'armée allemande au lieu-dit La Potasserie.

Au milieu des années 1960, la première zone industrielle de la métropole lilloise est créée sur le territoire de Seclin et de communes environnantes.

Le , le maire Jean-Claude Willem annonce en conseil municipal un boycott des produits israéliens en usant des moyens matériels de la collectivité en « réaction contre les massacres et tueries quotidiennes commises contre les enfants, les femmes, les vieillards palestiniens », tout en précisant que « Le peuple israélien n'est pas en cause, c'est un homme, Sharon, qui est coupable d'atrocités, qui ne respecte aucune décision de l'ONU et continue à massacrer ». Cette proposition était similaire à l'appel lancé par la campagne Boycott, désinvestissement et sanctions.

Après une plainte de la communauté israélite du Nord, le maire a été relaxé en première instance puis condamné en appel à une amende de 1 000 euros pour « provocation à la discrimination nationale, raciale et religieuse ». La Cour Européenne pour l'application de la Convention Européenne des Droits de l'Homme (Affaire Willem c. France, , arrêt définitif) a estimé qu'il n'y a pas eu violation du droit à la liberté d'expression pour un maire et a confirmé la sanction.

Dans la nuit du 29 au 30 juin 2023, dans le cadre des émeutes consécutives à la mort de Nahel Merzouk, le poste de la police municipale est totalement détruit, incendié par des tirs de mortiers d'artifice et des cocktails molotov.

Héraldique

Les armes de Seclin se blasonnent ainsi : « De gueules à la lettre S d'or, couronnée du même. »

Le blason de la ville figure un lion debout avec une couronne. Il symbolise sa précoce allégeance au roi de France.
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  2. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 375, lire en ligne.
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Les armes de Seclin se blasonnent ainsi : « De gueules à la lettre S d'or, couronnée du même. »

Le blason de la ville figure un lion debout avec une couronne. Il symbolise sa précoce allégeance au roi de France.

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