Cousolre

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Cousolre : descriptif

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Cousolre

Cousolre [kusɔ(l)ʁ] est une commune française située dans l'Avesnois, dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Cousolreziens. La commune fait partie du Parc naturel régional de l'Avesnois.

Géographie

La commune est située sur les contreforts des Ardennes, encerclée par le territoire du Hainaut belge. L'ancienne nationale no 49 permettait de joindre Valenciennes à Philippeville en passant par Maubeuge et Beaumont. Cousolre à une superficie de 2069 ha et une altitude moyenne de 176 mètres. L'agglomération se trouve dans le fond de la vallée de la Thure entourée de nombreux bois sur les coteaux, une vaste plaine située à l'est rassemble les sols les plus productifs pour les cultures du blé, de l'orge, de la betterave et du maïs. Les pâturages pour l'élevage dominent sur les trois hameaux de Reugnies, Marsignies et les Haies. Le climat est océanique dégradé avec des hivers rigoureux et des étés parfois très chauds.

Le sol est formé de terrains du dévonien supérieur et moyen (420 à 350 millions d'années) carrières de Ste Anne et de marbre noir) avec de grands récifs coralliens (carrière de la Haie des Saules). On y trouve de nombreux fossiles (fougères, acervularia); L'ensemble a été relevé à l'ère tertiaire donnant aux plages du secondaire de la vallée de la Thure des plissements de 40 à 80° exploités par des carrières de grés.

Vue d'ensemble.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Cousolre
Colleret Erquelinnes (bel) Bousignies-sur-Roc
Aibes Cousolre Beaumont (bel)
Bérelles Hestrud Beaumont (bel)

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Hante, la Thure, le ruisseau de Grandireux, la Forge d'en Haut, la Scierie de Forêt, le Domaine de Waremmes, le ruisseau le fourneau et divers autres petits cours d'eau,.

La Hante, d'une longueur de 62 L'Abergement-Clémenciat et se jette dans la Sambre canalisée à L'Abergement-Clémenciat, après avoir traversé deux communes.

La Thureest un cours d'eau qui prend sa source en Belgique, d'une longueur de 25 Hestrud et se jette dans la Sambre canalisée en Belgique, dans la commune d'Erquelinnes.

Réseau hydrographique de Cousolre.
Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 amplitude thermique annuelle de 15,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 22 vol d'oiseau, est de 10,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Sandre, «  »
  2. Sandre, «  »
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Toponymie

Le village était dénommé dans un polyptyque du toponyme latin. Curtis désignant le siège administratif d'un pagus, secteur administratif, de la Solre. Il daterait de l'époque mérovingienne. Charlemagne serait venu à Cousolre en 798 à l'occasion de la translation des reliques de Sainte Aldegonde à Maubeuge. Alcuin rédigea pour l'abbaye Saint-Vaast d'Arras une épitaphe pour l'autel dédié à Aldegonde et pour l'abbaye impériale de Saint Riquier.

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Histoire

Les informations de cette section sont tirées des travaux cités dans la bibliographie en fin d'article de Jean Heuclin, historien et professeur des universités.

Des trouvailles archéologiques gauloises permettent de supposer des implantations sur un oppidum au niveau de Saint-Roch et sur un autre site d'oppidum au niveau de l'ancienne gare.

Une villa impériale romaine fut édifiée du  siècle furent découverts. À la même époque, un village gaulois occupait le site du Mont séparé par un marais d'un castrum romain établi sur la grand-place du bourg actuel avec un cardo et un decumanus perceptibles. Une autre villa romaine était sise près du rie du Million. La plaine de la Couture porte la trace des agrimensores romains qui découpèrent le sol en centuriations de 50 ha chacune.

Au maires du palais de Clotaire II et de Dagobert. Sa position en frontière avec l'Austrasie l'amena à se rapprocher des Pippinides établis à Nivelles où il envoya sa fille Aldegonde se former auprès du moine irlandais Subne, et l'aînée Waudru fut mariée à un potentat local de Strepy, Madelgaire/Vincent. Walbert fonda une église en l'honneur de la Vierge, Mère de Dieu, dédicacée par saint Aubert de Cambraiet recélant la crypte avec la memoria familiale, veillée par 12 moniales venues de Maubeuge.

Ces biens passèrent par charte de donation dans la possession des Dames chanoinesses de Maubeuge qui les conservèrent jusqu'à leur vente comme Bien National en 1793. La dernière abbesse Florence De Lannoy vint se réfugier à la cense de la Cour avant de rejoindre son frère le prince-évêque de Liège au moment de la bataille de Wattignies (1793).

L'époque féodale manque de témoignages. Au XIe siècle, le comte Baudouin V de Hainaut cède des portions du village à divers vassaux comme Fulcuin ou Jace de Thirimont. Un autre Baudouin est vassal des seigneurs d'Avesnes, Le chapitre ne conservant que la cense de la Cour, Le Mont, Hurtebise et divers bois.

En 1185, le village est incendié par les troupes du duc de Brabant et l'archevêque de Cologne. Le vieux couvent des chanoinesses est abandonné.

En 1256 par le dit de Péronne, saint Louis réglant la querelle des d'Avesnes et des Dampierre, la terre de Cousolre relevant du chapitre de Maubeuge échoit à Baudouin d'Avesnes, qui en cède une partie à l'abbaye de Bonne-Espérance (1280). En 1294, Cousolre fait partie du douaire de Béatrice d'Avesnes qui a épousé le comte Henri III de Luxembourg.

Aux XIVe – XVe siècles, Cousolre relève des comtes de Flandres en accord avec l'abbesse Marguerite de Grave. En 1477, à la mort de Charles le Téméraire, Louis XI tenta de s'emparer de ses États et ravagea la région, pillant et brûlant le village.

La première moitié du XVIe siècle est marquée par la construction d'une nouvelle église (1503-1525) - dédiée à saint Martin avec transfert des reliques de Walbert et Bertille. L'essor du protestantisme, les guerres de Religion et la rivalité avec les Habsbourg d'Espagne rendent la sécurité incertaine. La population érige pour se défendre de la soldatesque, une tour-clocher accolée à l'église où il est possible de se réfugier au premier étage dans une grande salle. Le chœur et le cimetière sont détruits.

Après la paix de Vervins (1598), les archiducs Albert et Isabelle encouragent la reconstruction de l'église. Les chanoinesses de Maubeuge assistent à la reconnaissance des reliques de Walbert et Bertille tandis que la rédaction de plusieurs vitae d'Aldegonde érige la sainte en protectrice des Pays-Bas face à la menace d'occupation française.

De 1640 à 1715, le pays est régulièrement ravagé par les troupes de Louis XIV. Les forges, fenderies et moulins à tan -entre les mains des Polchet d'Eppe-Sauvage -fonctionnent irrégulièrement. Cousolre, devient un village frontalier avec une frontière mouvante entre les traités de 1659, 1678 et 1698. La communauté est ruinée par les impositions, les mauvaises récoltes, des conditions climatiques déplorables et des épidémies jusqu'en 1720. Un corps de cavalerie occupe le corps de garde en quête des fraudeurs sur les blés, des déserteurs et du trafic sur les bois et les fers.

En 1702, Philippe Renaut, entrepreneur de la machine de Marly rachète la fenderie des chanoinesses puis la Forge et s'établit avec sa famille au Vieux-Château. En 1719, son fils Philippe-François, séduit par la propagande de la Cie des Indes fondées par John Law part aux Illinois découvrir des mines de plomb. Glorieuse épopée dont il sort ruiné en 1743. Son fils François-Célestin a repris l'affaire familiale et l'a dotée d'une cuirasserie et objets de pionniers, il est actionnaire dans l'usine de Marly-les-Valenciennes qu'il fournit en fer pour produire des clous et des tôles. Après sa mort en 1769, l'affaire décline rapidement. Mais les forges se transforment en scierie pour le marbre avec l'ouverture de carrière de Sainte-Anne.

Le cahier de Doléances de 1789 de Cousolre témoigne de la faible productivité de l'agriculture, des taxes douanières sur le charbon et "d'impositions au-dessus de ses forces". Le village doit entretenir à ses frais la route royale créée depuis 1745 fort délabrée et l'église qui a besoin de réparations. Seule la cense de la Cour, avec ses 300 moutons et sa cinquantaine de chevaux en tant que relais de poste, parvient à s'en sortir. Les habitants réclament que les impositions soient supportées par tous et la libre circulation des marchandises dans tout le royaume.

La guerre est toujours là. La Fayette et ses troupes traversent le village en mai 1792, On lève des volontaires, la loi du maximum est appliquée. En mai 1793, le quartier-général de l'armée de Sambre et Meuse est établi pour trois jours à Cousolre (Maison des conventionnels). Saint-Just et Lebas y rédigent la proclamation aux armées avant la bataille de Wattignies. L'établissement de l'Empire ramène la paix mais les jeunes hommes sont conscrits et partent dans les campagnes d'Allemagne et de Russie. En juin 1815, à la veille de Waterloo, les 46 000 hommes des 1er et 2e corps des généraux d'Erlon et Reille passent par Cousolre, des compagnies bivouaquent sur Marsignies, Reugnies et Leval-Chaudeville. Napoléon a déjeuné à Hurtebise et couché le soir du 14 juin à Beaumont. À partir du 19 juin. des milliers de soldats blessés et mourants se réfugient dans l'église de Beaumont pour être soignés.

Le traité de Paris et le congrès de Vienne redéfinissent une nouvelle Europe. Le traité des Limites fixe la frontière franco-néerlandaise, des bornes sont apposées en 1819 sur le pourtour de la commune. Le protectionnisme des royalistes établit des taxes douanières qui entraînent l'essor de l'industrie marbrière pour plus d'un siècle à Cousolre. L'exploitation des carrières reprend. Dès 1825, de nombreux marbriers belges vinrent implanter leurs ateliers. Avec les déchets du sciage et en important des marbres belges bruts, ils confectionnèrent des cheminées simples, dites capucines pour le marché français. Durant la période 1840-1870, l'activité marbrière, grâce à l'amélioration des conditions de transport et à l'essor du marché parisien, connaît une véritable révolution. Pour la première fois, on importe du "carrare" d'Italie, via Anvers, et des fabricants parisiens viennent installer des ateliers à pendule nécessitant une main-d'œuvre minutieuse et nombreuse pour polir et assembler des petites pièces. Le système du crédit bancaire et la vente à la commission facilitèrent la multiplication de petits ateliers. En 1850, il y avait à Cousolre 6 carrières et scieries, 20 ateliers de cheminées employant 600 ouvriers et 15 ateliers à pendule avec 350 salariés. Cependant 80% des productions étaient contrôlées par les marchands-marbriers de Paris. La politique des grands travaux du Second Empire conduite par le Baron Haussmann stimula toutes les productions marbrières. Les marbres verts des Alpes, le "Campan" et le "sarrancolin" des Pyrénées, la "brèche" du Var et les "brocatelles" et "rouge antique" de l'Aude mais aussi le "bleu turquin", "le portor" et la "brèche violette" d'Italie sont travaillés à Cousolre. Un tailleur de pierre invente le tour à marbre permettant la fabrication de colonnettes et de coupes. Des cheminées de style Henri II, Louis XIII et Louis XV sortent des ateliers pour aller orner les grands hôtels parisiens ainsi que de nombreux modèles de pendule comme la "Châteaubriand". À partir de 1860, le traité de commerce signé par Napoléon III facilite les exportations vers l'Angleterre et son vaste empire.

L'apogée de l'industrie marbrière se situe entre 1870 et 1914. Aux marbres français et italiens s'ajoutent désormais ceux d'Algérie, du Mexique, du Brésil et d'Espagne, plus colorés, ils décuplent la créativité des sculpteurs et de tous les artisans graveurs et modeleurs. Des cheminées monumentales sont réalisées pour l'Hôtel de ville de Paris, de grandes vasques servent à la restauration des jardins de Versailles, plusieurs monuments commémoratifs sont élevés de Boulogne-sur-Mer au Mexique et au Chili. Tout ce savoir-faire fut valorisé par des cours pratiques de gestion mais aussi de dessin et de sculpture dirigés par de grands maîtres comme Fagel. Les récompenses se multiplièrent lors des expositions internationales et s'illustrèrent par un prix de Rome.

La Belle Époque est un apogée illusoire, des fermetures d'entreprises se dessinent et des grèves violentes pour la journée de 10h éclatent à la veille de la Grande Guerre.

Le , une erreur de la postière de Cousolre aboutit à la mobilisation prématurée des réservistes et des territoriaux ; la mobilisation générale a lieu le lendemain . 800 habitants sur 3200 ont évacué vers Paris.

Première Guerre mondiale : les Allemands arrivent dans le village le mardi . Un groupe de batteries autrichiennes de 305 mm ouvre le feu sur les forts de la ceinture de Maubeuge le 29 août à 13h. Le fort de Cerfontaine riposte dans la nuit en bombardant le village de 22h à 2h du matin. Après la prise de Maubeuge le 8 septembre le village est occupé par 800 chevau-légers du 8e régiment bavarois. D'août 14 à juin 1915, la moitié des soldats du village ont été tués. Le rattachement de Cousolre au commandement de Bruxelles jusqu'en 1916 permet une occupation allégée et un ravitaillement assuré.

La situation se durcit à l'automne 1916 avec le plan Hindenburg ; Le rythme des réquisitions s'accélère, 200 ouvriers sont emmenés au camp XXII de Mœuvres (Cambrai) pour la construction de la ligne Hindenburg. On comptera 16 victimes civiles de cette déportation. En 1917 et 1918, le passage des troupes allemandes s'intensifie, une Kommandantur no 265 est installée au "château" Lecat. Des réfugiés de la Somme, de l'Aisne et de l'Oise occupent les maisons abandonnées. Le marché noir fonctionne au mieux avec les agriculteurs et la Belgique. La présence du GQG Allemand à Avesnes à partir de mars 1918 pour lancer la frieddensturm rend la vie intenable et les menaces de famine se font jour. Les peines de prison et les amendes pour les civils se multiplient En octobre, la grippe espagnole sévit et les hommes valides sont emmenés vers Charleroi et Namur par les Allemands.

Le village est libéré par les troupes anglaises du général Matheson le 9 . Bilan : 87 soldats tués, 16 victimes civiles, 80 prisonniers. Un monument aux morts travaillé et sculpté par Émile Pouillon est inauguré en 1923.

L'entre-deux-guerres est marquée par l'exposition marbrière de 1930 qui accueille 5 000 visiteurs : 25 ateliers de marbrerie ont exposé 182 pièces originales et 58 ouvriers en ont présenté 123. mais le glas de la prospérité marbrière a sonné avec les grèves de 1936 (400 chômeurs) suivies par les quatre années de la Seconde Guerre mondiale.

La période de la drôle de guerre (1939-1940) a vu la construction des blocs de la ligne Maginot prolongée aux Quatre-Bras mais un rapport militaire de janvier 1940 signale une non-opérationalité à 50% par défaut de canons, portes blindées et mitrailleuses. Le 15 mai 1940 les réfugiés belges débordent les postes de douane. Une colonne de réfugiés est massacrée (46/81) par le passage deux stukas sur la côte de la ferme de Gérard-Croix. Le 17 mai, le 31e dragon à cheval de Lunéville dans lequel se trouve le brigadier Claude Simon, en retraite, tombe dans une embuscade menée par 4 automitrailleuses des "Hirschberger jäger" au niveau du chemin de la Castonade au nord du cimetière. 4 hommes sont tués et le régiment du colonel Reille éparpillé, part vers Hestrud, Bérelles et Maubeuge à la suite de combats à l'intérieur du village qui font 20 tués allemands.

On comptera 163 prisonniers sur 263 mobilisés, suscitant séances théâtrales et quêtes diverses en faveur des prisonniers. Des éléments de résistance se constituent en lien avec l'ancien réseau des passeurs de la Dame Blanche pour évacuer les aviateurs alliés, d'autres forment les FTP et FFI en relation avec le parti communiste (A. Pierrard) et l'organisation Civile et militaire de Chabloz. Le 7 janvier 1944, trois avions anglais de retour de missions sont abattus par des chasseurs allemands venus de la base de Florennes, plus dramatique est la mort le 5 août de 15 personnes de deux familles différentes, dont les maisons ont été bombardées par erreur par l'aviation américaine. La libération a lieu le 3 septembre 1944.

Les guerres d'Indochine et d'Algérie marquèrent de leurs deuils plusieurs familles du village qui tout en perdant le prestige de la prospérité marbrière s'engage dans les Trente glorieuses.

  1. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 61

Héraldique

Les armes de Cousolre se blasonnent ainsi : « D'or à trois chevrons de sable ».
L'or symbolise la pureté, la foi, la justice, l'honneur. Les chevrons noirs - signe d'humilité - évoquent les éperons d'un chevalier ou la pièce d'une charpente

Ces armes étaient celles des comtes de Hainaut jusqu'à ce qu'en 1191 leur comté fut réuni au comté de Flandre par le mariage de Baudouin V de Hainaut avec Marguerite d'Alsace, qui devient comtesse de Flandre à la mort de son père.

  1. « En noir et blanc, et haute en couleurs : Durant tout l'été, La Sambre vous emmène à la découverte de plusieurs de nos communes. Après Saint-Rémy-du-Nord, deuxième étape cette semaine à Cousolre, un village uni, riche, passionné, fier et animé », La Sambre La Frontière, no 2039,‎ , p. 20-23.

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Cousolre dans la littérature

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