Berlaimont
Localisation
Berlaimont : descriptif
- Berlaimont
Berlaimont, selon des graphies anciennes Barlemont ou Berlaymont, est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Cette commune a donné son nom sous la forme « Berlaymont », à une famille noble du comté de Hainaut, les Berlaymont, dont le nom a à son tour été donné au siège de la Commission européenne, érigé sur le site de l'abbaye de femmes de Berlaimont à Bruxelles
Elle a aussi donné son nom au dragueur de mines Le Berlaimont (de 1953 à 1997), et est la marraine du navire d'intervention maritime Le Flamant.
Géographie
Localisation
Ancien chef-lieu de canton, la ville de Berlaimont, située dans la forêt de Mormal entre le Valenciennois et l'Avesnois, est entourée de nombreuses villes telles que Bavay, Aulnoye-Aymeries, Locquignol, Sassegnies, Leval et autres communes influencées par sa centralité.
Elle est située dans le parc naturel régional de l'Avesnois.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Sambre canalisée, la Sambrette, le Rieux des Arbreux, le fossé du Roy, la Cabine, la Carmagnole, le Petit Paris, le ruisseau de la Malgueule, le ruisseau Des Grandes haies et un autre petit cours d'eau,.
La Sambre canalisée est un canal, chenal et un cours d'eau naturel, d'une longueur de 101 Rejet-de-Beaulieu, s'écoule vers le nord-est et franchit la frontière belge au droit de Jeumont. Les caractéristiques hydrologiques de la Sambre canalisée sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen journalier maximum est de 94,3 débit instantané maximal est quant à lui de 95,6 .
La Sambrette, d'une longueur de 10 Locquignol et se jette dans la Sambre canalisée à Aulnoye-Aymeries, après avoir traversé quatre communes.
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Berlaimont, écluse 4 de la Sambre.
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Réseau hydrographique de Berlaimont.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 amplitude thermique annuelle de 14,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 10 vol d'oiseau, est de 10,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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- « », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Bairlemont, 1186, J. de G. Manuscrit de Valenciennes - Berlainmont, 1196, Titre de l'abb. d'Anchin - Berlemonte, 1201, Titre de Saint-Aubert, Le Carp., pr. II, 23 - Bierlainmont, 1265, 1er cart. du Hainaut - Berlainmont, 1273, 1er cart. du Hain., f° 50, p. 365 - Berlaimont, 1292, Titre de Saint-Aubert, Le Carp. pr. II, 37 - Bellainmont, 1308, 2ème cart. du Hain. - Berlaimont, 1330, Titre de Saint-Aubert, Le Carp. pr. II, 91 - Bierlainmont, 1382, Comptes de la Ville de Valenciennes - Berlenmont, Chronique de Gislebert - Berlaymont, Vinchant, ann. du Hain - Barlaimont, Miroeus I, 415, note - Berlaimont, 1788, scellé échevinal reproduit sur la cloche. (Données issues de : Bulletin de la Commission historique du Département du Nord - Tome IX - 1866).
Du nom d'homme germanique Berland ou de femme germanique Berilind + appellatif roman -mont « hauteur, colline, mont ».
Le nom de Berlaimont figure aussi sur le sceau de Jehan de Berlaimont, sergent de mortes mains[C'est-à-dire ?] du Hainaut, datant de 1435 et que l'on peut observer dans un dictionnaire sur l'histoire du Hainaut[Lequel ?].
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 73a
Histoire
Antiquité
Au temps des Nerviens, qui ont laissé des traces à Bavay, en Belgique dans le Brabant, à Cambrai, dans l'Escaut, dans l'ancien comté de Hainaut, aux Pays-Bas et à Tournai, Bavay ressortissait de la commune de Berlaimont dont le château déjà construit aux premiers siècles fut détruit vers 400 par les barbares lors du sac de Bavay.[pas clair]
En
Des pièces de monnaie découvertes à la Grande Carrière, près de la forêt de Mormal, attestent d'une présence[Laquelle ?] entre 192 et 254.
Moyen Âge
En 920, Charles III le Simple cède l'église de Berlaimont à l'abbaye de Maroilles détenue par son parent, Isaac de Valenciennes, époux de Berthe de Cambrai. Celle-ci descend par son père de Charles le Chauve et par sa mère de Louis le Bègue, père de Charles le Simple[pas clair].
D'abord[Quand ?] construit sur la rive droite de la Sambre, sur l'emplacement de ruines gallo-romaines, le château fort de Berlaimont devient[Quand ?], sur sa rive gauche, une des places fortes du roi Baudouin de Flandre[pas clair] et le siège d'un bailliage seigneurial du comté de Flandre.
Héritiers des sénéchaux de Flandre et des bouteillers du Hainaut, les seigneurs de Berlaimont reçoivent de la comtesse Richilde de Hainaut (1027-1087), leur parente, ces mêmes fonctions à titre héréditaire, auxquelles s'ajoute pour Mahaut de Berlaimont le titre de camérière.
Vers 1100, un prieuré sous la dépendance de l'abbaye de Fesmy y est établi. Pour l'entretien des moines, Gilles de Berlaimont cède deux parties de la grande dîme de Berlaimont et des villages d'Aubrian et Saissegnies dont il reçoit en échange 1200 livres de blanc (moneta argenta minutor) ou pièces d'argent[pas clair]. Odon, évêque de Cambrai, donne le revenu de l'église primitive à l'abbaye de Fesmy, qui possède un prieuré au lieu-dit « Le pont des moines »[pas clair].
À partir de 1120, la paroisse regroupe Berlaimont et Sassegnies.
Baudouin IV « le Bâtisseur » (1108-1171), comte de Hainaut de 1120 à 1171, donne en 1150 au seigneur de Berlaimont l'ordre d'élever les défenses de la ville.
Dans son livre Recherches sur le Hainaut ancien, Charles Duvivier mentionne une charte de Jeanne (1188-1244), comtesse de Flandre et de Hainaut (1205-1244), en date du 6 octobre 1215, autorisant le droit de vinage[C'est-à-dire ?] pour Berlaimont et Pont-sur-Sambre. Elle accorde ce droit à son fidèle Gilles de Berlaimont.
Le château fort du fameux bâtard de Berlaimont[C'est-à-dire ?], terreur du pays, est pris d'assaut en 1490 par Antoine Rollin, seigneur d'Aymeries, grand Bailli du Hainaut qui le conduit à Mons pour y être décapité.
Époque moderne
Des thalers du siècle (que l'on peut voir sur internet) ont été retrouvés au nom de Louis de Berlaymont, dernier archevêque de Cambrai à avoir eu le droit de frapper monnaie.
Avant le soulèvement des Pays-Bas contre Philippe II
En 1507, Louis de Rollin et sa femme Gilette de Berlaymont fondent un couvent des sœurs grises de l'ordre de Saint François, où les malades, tant d'Aymeries que de Berlaimont, sont confiés à leurs soins. Situé sur l'emplacement de l'église actuelle, il sera détruit en 1793.
En 1543, prend Berlaimont au cours de la guerre qu'il mène contre Charles Quint, empereur, roi d'Espagne et souverain des Pays-Bas, notamment comte de Hainaut (neuvième guerre d'Italie, 1542-1546).
L'église possède en 1562, un des rares clochers à bulbe du Nord de type espagnol ce qui lui vaudra d'être classé monument historique au siècle. Marguerittes de Berlaimont a construit une autre église de ce nom à Bruxelles où elle est ensevelie près du monastère de femmes de Berlaimont.
La période du soulèvement (1568-1648) et de la guerre de Trente Ans (1618-1648)
En 1575, le château est attaqué et incendié par plusieurs compagnies de huguenots au service de Guillaume d'Orange, leader du soulèvement des Pays-Bas contre Philippe II, fils de Charles Quint.
Le 4 septembre 1576, le baron Charles de Berlaymont, conseiller d'État (entre autres) au service de Philippe II, est emprisonné à Bruxelles en même temps que ses collègues, sous l'accusation d'« espagnolisme », sur ordre des États de Brabant et du Magistrat de Bruxelles.
Don Juan d'Autriche, gouverneur général en 1577-1578, envoie des troupes au secours de Berlaimont. Selon les chroniqueurs du temps, la victoire est attribuée à l'un ou à l'autre camp[pas clair].
En 1576, un pont à arches est établi sur la Sambre, avec une porte d'octroi. Près de l'île, des barrages sont associés à des moulins que l'on peut encore voir près de l'écluse.
En 1643, le grand Condé s'empare du château et le brûle ainsi que l'église et les maisons voisines.
En 1648, par le traité de Münster, le roi d'Espagne reconnaît l'indépendance des Provinces-Unies, qui avaient fait sécession dès 1581. Les autres provinces des Pays-Bas deviennent les Pays-Bas espagnols (puis Pays-Bas autrichiens à partir de 1714).
La conquête française (1648-1659) et ses suites
Les traités qui mettent fin à la guerre de Trente Ans ne concernent pas le conflit franco-espagnol qui a commencé en 1635 et qui a des effets sur les Pays-Bas espagnols. Le château de Berlaimont est de nouveau pris en 1653 par les troupes françaises, qui se liguent avec le duc de Clèves et se réunissent en arme contre l'empereur[pas clair]. Cette guerre se termine par le traité des Pyrénées (1659), par lequel le roi d'Espagne cède à la France, entre autres, le sud du comté de Hainaut (avec les villes de Valenciennes et de Maubeuge), en particulier la prévôté du Quesnoy, dont fait partie Berlaimont.
Berlaimont devient donc une ville française en 1659.
Une nouvelle église est bâtie en 1671 avec des débris de l'ancienne et des pierres du château. La tradition veut que le roi de France ait autorisé les habitants à tirer gracieusement de la forêt de Mormal les chênes nécessaires à la charpente du clocher. Les marches du portail comportent des inscriptions rappelant d'anciennes pierres tombales. C'est en 1709 qu'a lieu sa consécration par Philippe Evrard Van der Noot, évêque de Gand et Humbert de Precipiano, archevêque de Malines et primat des Pays-Bas, le Hainaut français restant sous la juridiction religieuse des Pays-Bas.
En 1688 est construite la maison du Prieur, aujourd'hui disparue, mais dont une pierre utilisée comme linteau d'une habitation de la Grand Rue, porte cette date.
Sur la carte de Cassini de 1750, on remarque :
- l'absence du hameau de la Tête Noire et de l'actuelle départementale le desservant ;
- une route montant au Sarbarat (écrit avec un T) et la route de la Grande Carrière ;
- Berlaimont semble la localité la plus importante puisque l'on voit « Aulnoys-lès-Berlaimont » pour « Aulnoye-Aymeries » et « Le Val-sous-Berlaimont » pour « Leval-sur-Sambre ».
Pierre-Albert Mustelier, écuyer, est un des derniers seigneurs de Berlaimont. Fils de Jean, conseiller secrétaire du roi, ancien juge des marchands à Valenciennes et d'Anne-Albertine Vareiskoot, il est baptisé à Valenciennes le , devient officier au régiment d'Auvergne, bourgeois de Lille par achat le , inscrit aux rôles des nobles de France par ordonnance du . il meurt à Lille aux Bons-Fils (maison de réclusion, hospice pour aliénés. Il se marie à Lille le avec Albertine-Josèphe Cardon (1717-1785), baptisée à La Madeleine le , morte à Valenciennes le , fille d'Ignace-François Cardon, seigneur du Broncquart, bourgeois de Lille, militaire, chevalier de Saint-Louis, anoblie n 1721 et de Marie-Florence Waresquiel.
Époque contemporaine
- Révolution française
Quand en 1790, le département du Nord fut créé, Vieux-Mesnil, Bachant, Locquignol, Leval, Pont-sur-Sambre et Sassegnies furent rattachés à Berlaimont.
À la suite du conflit qui opposa le Hainaut aux Pays-Bas, en juillet 1792, le Directoire nomma commissaire Jean Taulet, résidant à Berlaimont afin de contrôler le recensement des dégâts occasionnés par les soldats autrichiens sur les terres, le bétail, et autres matériaux et effectué une première fois par le député Hypolite Lespilette.
De graves désordres occasionnés en 1792 par les habitants des villages voisins, qui saccagent plusieurs riches maisons, coûtent la vie à plusieurs personnes. La garnison du Quesnoy ramène le calme.
Second Empire
En 1850, construction d'une maison école de garçons. L'école des filles est installée dans une maison appartenant à la fabrique qui la loue à la commune et qui est aujourd'hui occupée par de nombreuses associations toutes très actives tel le club des aînés, le club de cartes, de scrabble, de boules, de cyclisme, de coutures, tricots et autres arts, des anciens combattants, et une école de musique municipale.
La mairie est construite en 1855 sur deux étages, restaurée, on peut y voir la salle des armoiries, des bureaux administratifs de chêne massif et une salle des mariages où viennent réitérer après 50 et 60 ans les mariés qu'un petit train blanc va chercher à demeure avec les familles avant de les conduire dans la salle communale du même style boire le vin d'honneur.
En 1857, au Conseil général, il est proposé que Maubeuge devienne sous-préfecture en raison de sa population, de son développement industriel et de sa position sur la Sambre. Le maire de Berlaimont, Marie Paul, propose Berlaimont comme sous-préfecture, la ville étant le centre de l'arrondissement, située sur la Sambre et possédant une ligne de chemin de fer. Ses atouts sont la proximité de la forêt de Mormal, du terrain, une sucrerie, des distilleries et autres établissements industriels. Le magistrat se plaint, en outre, de n'avoir jamais eu la visite ni du préfet, ni du sous-préfet en 40 ans de gestion municipale.
En 1858, l'industrie est représentée par une sucrerie, 2 chantiers de construction de bateaux, 3 brasseries, 2 clouteries, 3 forges de maréchal, un moulin à eau à farine, un moulin à vent, 2 fabriques de poteries, 2 marbreries, une tannerie, une carrière de pierres et une sablière.
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, les Prussiens ayant envahi la France par l'Est, Berlaimont ne sera pas une zone de combat. Il ne semble pas qu'il y ait eu occupation des troupes étrangères. Des cavaliers russes auraient séjourné à Maubeuge.
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La ligne de chemin de fer de Fives à Hirson est mise en service en 1872 par la compagnie des chemins de fer du Nord.
En 1908, la commune est autorisée à établir une passerelle piétonnière sur la Sambre destinée à la relier aux quartiers industriels d'Aulnoye.
Première Guerre mondiale
La commune est occupée par l'armée allemande le .
Les troupes anglaises libèrent Berlaimont le 5 novembre 1918. Une plaque commémorative est inaugurée en 2018. À la fin de la guerre, plus de 100 soldats anglais et une vingtaine de soldats allemands étaient enterrés dans le cimetière communal.
La commune été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le .
Entre-deux-guerres
En 1922 est étudié la reconstruction et la modification des accès à la gare de Berlaimont.
Pour l'inauguration du monument aux morts en 1923, Louis Debionne, industriel Berlaimontois, conçoit un "dragon", géant qui sera par la suite dénommé « Bouzouc ».
Contents du succès des accords de Munich en faveur de la paix, les Berlaimontois rebaptisent en 1939 la place de la mairie du nom des négociateurs français et anglais : Daladier et Chamberlain. Lors de l'invasion, des soldats allemands prendront plaisir à la détruire.
Seconde Guerre mondiale
Durant la Bataille de France, le , les unités de reconnaissance des Loire-Nieuport LN 401 et Loire-Nieuport LN 411 des escadrilles AB2 et AB4 de l'Aéronavale française bombardent en piqué une colonne blindée formée d'éléments des 7e et 5e Panzer Divisions.
En 1944, à la suite du combat entre les résistants et la troupe allemande en retraite, l'église est incendiée. Les Allemands tirent un obus incendiaire dans le clocher où des résistants avaient installé un poste de vigie afin d'informer des déplacements des troupes allemandes. La rue en face de l'église porte le nom du résistant mortellement blessé lors de cette action, la rue Fernand-Thomas.
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Square Mai 1940 avec son monument.
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Rue Fernand-Thomas (vue du clocher).
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- R. Minon, L'abbaye et le cartulaire de Fesmy (Aisne), près du Cateau (Nord), lire en ligne), « Chapitre V : Les moines de Fesmy à Berlaimont et Sassegnies », p. 40-46.
- Association du Musée Hospitalier Régional de Lille, « », sur patrimoinehospitalierdunord.fr (consulté le ).
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 684-685, lire en ligne.
- « Décret du 3 septembre 1908 autorisant la commune de Berlaimont à établir une passerelle sur la Sambre, sur le territoire des communes de Berlaimont et d'Aulnoye (Nord) », Journal officiel de la République française, lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- L'instituteur de Berlaimont, « », Réponses d'élèves et de maîtres au questionnaire posé sur la Première Guerre mondiale, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- « L'agenda de Berlaimont », L'Observateur de l'Avesnois, no 19688, , p. 21.
- Journal officiel du 22 décembre 1920, p. 21273.
- Compagnie des chemins de fer du Nord, « », Ligne de Valenciennes à Aulnoye. Reconstitution du réseau, (consulté le ), sur Gallica.
- « L'église, un lieu rempli d'histoire », L'Observateur de l'Avesnois, no 19688, , p. 221.
Héraldique
Blason | Fascé de vair et de gueules de six pièces. |
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Détails | Abbaye seigneuriale, la terre de Berlaimont portait la bannière des seigneurs d'Egmont bandé de vair et de gueules à 6 pièces avant de devenir les armoiries « Fascé de vair et de gueules à 6 pièces » que furent celles de l'Espinoy-les Binch dont le cri de ralliement était « Berlaimont » perpétré par les nombreux tournois du seigneur Gilles de Chin dont la devise fut « Dieu ayde Berlaimont ». Ces armoiries des seigneurs échansons du Hainaut sont aussi celles de Coucy, dont ils tirent leurs origines. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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