Gueberschwihr
Localisation
Gueberschwihr : descriptif
- Gueberschwihr
Gueberschwihr [gebəʁʃviʁ] est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et est réputée pour ses maisons Renaissance et à colombages et son vignoble, en particulier le lieu-dit Alsace Grand Cru Goldert
De nombreux bâtiments du centre du village sont inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel où sont recensés 78 monuments ou habitations
Ses habitants sont appelés les Gueberschwihrois.
Géographie
Localisation
Gueberschwihr appartient au canton de Wintzenheim dans l'arrondissement de Thann-Guebwiller. C'est l'une des 208 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges créé en 1989 et qui s'étend sur trois régions (Alsace, Lorraine et Bourgogne-Franche-Comté) et quatre départements (Haut-Rhin, Territoire de Belfort, Vosges et Haute-Saône).
Soultzbach-les-Bains | Vœgtlinshoffen | Hattstatt | ||
Osenbach | N | |||
O Gueberschwihr E | ||||
S | ||||
Osenbach | Pfaffenheim | Pfaffenheim |
L'orientation et la localisation de Gueberschwihr par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant. Distance à vol d'oiseau :
Ville | Strasbourg | Lyon | Paris | Lille | Nice | Marseille | Toulouse | Nantes | Bordeaux | Brest |
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Distance
Orientation |
73 km
(N) |
311 km
(S-O) |
377 km
(O) |
423 km
(N-O) |
479 km
(S) |
544 km
(S-O) |
667 km
(S-O) |
671 km
(O) |
699 km
(S-O) |
873 km
(O) |
Géologie et relief
La colline sur laquelle est bâti le village ancien et récent est blottie entre 250 et 300 mètres d'altitude. À flanc de coteau du vignoble d'Alsace sur la route des vins d'Alsace, elle se place à l'ouest et au fond de l'amphithéâtre formé par la côte dite de Hattstatt-Elsbourg.
La commune est surtout étendue d'ouest en est :
- par la montagne du Bildstoeckele et son flanc raviné du Sandrain en amont du hameau d'Osenbuhr, elle appartient aux Vosges granitiques ;
- les collines vosgiennes gréseuses de l'Ostbourg et du Breitenbourg, puis du Herrenwald encadrant la vallée du couvent Saint-Marc supportent l'essentiel de sa forêt communale ;
- au-delà des contreforts du piémont vosgien, aujourd'hui boisé, où se trouvent les anciennes carrières, le terroir de plaine est marqué par l'amas post-glaciaire quaternaire de lœss fertiles sur les anciennes terrasses alluviales de la Lauch.
L'altitude du territoire communal varie ainsi de 197 à 873 mètres sur une ligne fictive de l'est à l'ouest.
La commune est réputée pour ses deux sites d'escalade. Le premier est le site de « l'Ancien Gueberschwihr », propriété de la commune, équipé et conventionné, de catégorie sportive et initiation et de niveau 2c au 7b, les voies en grès sont longues de 11 à 30 m. Le second site est le site du « Nouveau Gueberschwihr », privé, équipé et conventionné, de catégorie sportive et de niveau 4c au 8b, les voies en grès sont longues de 11 à 25 m.
Sismicité
Le canton de Rouffach est classé en zone 3 (risque faible).
Catastrophes naturelles
La commune a connu de 1983 à 1999 trois inondations et coulées de boue dont une avec mouvement de terrain qui ont été reconnues catastrophes naturelles avec publication d'un arrêté de reconnaissance de catastrophe naturelle publié au Journal Officiel.
Type de catastrophe | Début | Fin | Arrêté | Parution au J.O. |
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Inondations et coulées de boue | ||||
Inondations et coulées de boue | ||||
Inondations et coulées de boue et mouvements de terrain |
Voies de communications et transports
Voies routières
Le village est situé près de la RN 83 entre Colmar à l'est (12 km) et Rouffach (6 km) à l'ouest. À la sortie sud de Colmar, deux routes permettent de rejoindre ce village : la D 1V et la D 1IX.
Voies ferroviaires
Haltes ferroviaires : Herrlisheim-près-Colmar à 3,7 Rouffach à 5,5 Walbach à 6,9 km, Wihr-au-Val-Soultzbach à 6,9 km et Gunsbach-Griesbach à 8,7 km.
Voies aériennes
Trois aérodromes ou aéroports français et européens sont situés à moins de cinquante kilomètres : aérodrome de Colmar-Houssen à 13,3 km, aérodrome de Fribourg-Ecuvillens à 41,5 aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg à 49,8 km.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau,.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 amplitude thermique annuelle de 17,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouffach - Sa », sur la commune de Rouffach à 5 vol d'oiseau, est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 621,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Toponymie
- villare Eberhardi, en 735.
- Geblissvilr, en 1225.
- Geblinsvilr, en 1314.
- Gebelsvilr, en 1434.
- Vicus Gebhardi villaris nunc Geblyszweyler adapellatus.
- Eberhardi villaris.
- Gebliszweiler, Gebersvilr, Gebersweier, au siècle.
- « », sur le site du parc naturel régional des Ballons des Vosges (consulté le ).
- « », sur le site portail thématique du ministère de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables consacré à la prévention des risques majeurs., (consulté le ).
- « », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Toponymie
- villare Eberhardi, en 735.
- Geblissvilr, en 1225.
- Geblinsvilr, en 1314.
- Gebelsvilr, en 1434.
- Vicus Gebhardi villaris nunc Geblyszweyler adapellatus.
- Eberhardi villaris.
- Gebliszweiler, Gebersvilr, Gebersweier, au siècle.
Histoire
Origine du nom
Le nom du bourg provient probablement du vieil allemand (Mittelhochdeutsch) Gibel = pignon.
Fondation
Le site de l'actuelle vallée du couvent Saint-Marc est occupé à l'époque des Francs. L'abbaye de Sigismundzell aurait été fondée vers 676 par d'Austrasie et le premier abbé en aurait été saint Himère[Information douteuse], célèbre pour un pèlerinage en Terre Sainte au cours duquel il aurait vaincu un griffon qui terrifiait les habitants d'une île. Une griffe arrière aurait été conservée dans un reliquaire en argent au couvent, jusqu'à son vol, en 1375, par les hordes anglaises d'Enguerrand de Coucy. Une relique du crâne de saint Sigismund ou Sigismont, saint guerrier franc protecteur de la dynastie mérovingienne, relique apparemment préservée au fil des siècles, a été transférée en 1813 à l'église Saint-Sigismond de Matzenheim.
En 1050, changement de patronyme : le pape y consacre une église sous le vocable de saint Marc. Gueberschwihr relève, à l'époque médiévale, de l'obédience temporelle des évêques de Strasbourg et de l'obédience spirituelle des évêques de Bâle, dans le Hohmundat ou Haut Mundat, administré par le bailliage de Rouffach.
La localité est importante au Soultz et Soultzmatt. Le noble chevalier Burckhard de Gueberschwihr (Schrankenfels, ministériaux des puissants seigneurs de Hattstatt, fait perdurer sa renommée.
Au XIVe siècle, dans la grande paroisse Saint-Himère, il existe une vie communale active, avec droit de bourgeoisie. La commune est administrée par neuf jurés et un prévôt chargé de la justice et de la collecte des impôts. Nommé pour un an, le receveur communal fait office de bürgermeister.
La lignée Schrankenfels, du nom d'un ancien fief surplombant Soutzbach, s'éteint avec Jean, mort sans héritier à Gueberschwihr en 1427.
Les anciens châteaux
Gueberschwihr renfermait plusieurs châteaux. L'un portait le nom du village, en 1334 il est entre les mains des Nortgassen. Un autre château, le Mittelburg, joua un rôle glorieux dans l'invasion des Armagnacs, et un troisième, le Hertenberg, aurait fourni les pierres du pont surmontant le lavoir des chevaux sur la grand'place. Les ruines étaient encore visibles en 1535.
Les pillages et invasions
Le village est envahi en 1338 et en 1375 par les routiers ou grandes compagnies anglaises et de nouveau en 1439 et 1445 par les Armagnacs. Lors de cette dernière mise à sac, les femmes font preuve d'un grand courage pour préserver le château du Mittelburg et le bourg qui fut en partie brûlé. Le village n'oppose alors à ses assaillants que le front continu de ses maisons, et les rues sont barré au moyen de vantaux de portes. En 1525, les habitants du village participent activement à la guerre des Paysans, durant laquelle Marbach et le prieuré de Saint-Marc sont pillés. Pendant la guerre de Trente Ans, les Suédois prennent leur quartier à Gueberschwihr et exigent de lourdes contributions de guerre. À la fin du conflit qui a ensanglanté le village, il ne reste plus que vingt-cinq familles sur place. En 1652, ce sont les troupes lorraines de qui envahissent le village en pillant le vignoble.
L'âge d'or de la Renaissance
C'est du XVIe siècle - sous le ministère (1510-1573) du curé humaniste Materne Berler -, et jusqu'au premier quart du XVIIe siècle, que datent les maisons patriciennes « Renaissance » de Gueberschwihr à dominante de grès rose ou jaune (dit de Rouffach). Le centre ancien du village en compte une douzaine, avec de grandes caves et des tours abritant des escaliers à colimaçon (ou à viorbe), attestant de la renommée du vignoble, à laquelle s'ajoutait la richesse des forêts.
Le passage des troupes étrangères
Lors de la guerre de Hollande (1672-1678) qui opposa la France et ses alliés à la Quadruple Alliance, la région est à nouveau un lieu de passage et de cantonnement pour les belligérants. Les habitants doivent supporter des contributions extraordinaires de guerre pour l'entretien et la nourriture des troupes de passage. Au début de 1675, les Brandebourgeois vont même pousser leur audace en pillant et en se servant à profusion du vin stocké dans les caves. Tout ce qui ne peut pas être emporté est vidé dans les caves et les caniveaux causant une grande misère dans la population. Le même scénario se répète entre 1688 et 1697 avec le passage des troupes de et l'empereur du Saint-Empire romain germanique où les différentes armées prélèvent au passage des contributions de guerre ou rançonnent la population contribuant un peu plus à l'appauvrissement de celle-ci.
La reconstruction
Après une période de lente reprise, les vignerons du village reprennent la culture de la vigne qui retrouve ainsi une prospérité certaine. Le 1er patron de la paroisse, Himère, saint abbé fondateur du Sigismundzell, est peu à peu oublié, et l'église du village, appelée durant une période transitoire "de saint Himère et saint Pantaléon", devient "l'église Saint-Pantaléon".
Gueberschwihr est, à la Révolution, placé dans le canton d'Eguisheim.
Les invasions de 1814 et 1815
Les habitants de Gueberschwihr sont contraints de payer des charges de guerre pour l'entretien, la nourriture des troupes des puissances coalisées contre Napoléon occupant l'Alsace jusqu'au Traité de paix du , puis après Waterloo (). L'occupation allait durer jusqu'en 1818. Deux jeunes filles du village épousèrent toutefois deux soldats autrichiens.
Aux choléra en 1854-1856. S'y ajouteront les ravages du phylloxéra dans les vignes…
Les périodes de conflits contemporains
En 1870, Gueberschwihr est le lieu d’un combat entre francs-tireurs et Prussiens, comme en témoigne un vitrail ex-voto au Schauenberg. Le village échappe aux grandes destructions de la Première Guerre mondiale, mais déplore des pertes aux combats. Il en est de même pendant la Seconde Guerre mondiale, comme en témoigne le monument aux morts. La libération du village intervient le .
Épidémie de choléra
Entre 1852 et 1856 la région de Gueberschwihr, mais aussi des villages environnants doivent faire face à une épidémie de choléra qui fera de nombreuses victimes dans le village. Il semble que l'épidémie se soit propagée par l'eau polluée des rivières.
Le couvent Saint-Marc
À deux kilomètres de Gueberschwihr se trouve l'établissement conventuel Saint-Marc. Une tradition fait remonter cette maison au temps de Dagobert saint Sigismond. En 1050, après un incendie, l'église reconstruite est consacrée par le pape alsacien et placée sous le patronage de saint Marc.
Entre 1088 et 1120, Théoger, abbé de Saint-Georges en Forêt-Noire, relève le monastère spirituellement et économiquement. Vers 1101, un incendie réduisit le couvent en cendres. Il fut rebâti en 1105 sous la protection de Narion de Laubgasse, son moine prévôt, et de Semann curé de Gueberschwihr. L'abbé de Saint-Georges l'unit alors, comme une dépendance à son abbaye. Il semble qu'un modeste prieuré de moniales soit précocement installé dans les locaux restaurés sous la direction spirituelle de l'abbaye saint Georges. Seuls subsistent de l'ancien temps un prévôt et un économe pour assurer la direction et les besoins domestiques.
En 1262, l'évêque de Strasbourg, Henri de Stahleck fit bâtir le clocher. Aujourd'hui on n'aperçoit plus rien des anciennes constructions.
Les derniers biens temporels du monastère attirent de nombreux pillages et dévastations. Thibaut de Ferrette y lance ses hommes en 1298. Entre 1360 et 1375, ce sont les grandes compagnies anglaises qui vivent sur le couvent Saint-Marc. Ils font main basse sur toutes sortes d'objets précieux dont le reliquaire en argent contenant la fameuse « griffe du dragon », que saint Imer aurait rapportée d'un pèlerinage en Terre sainte. Au Armagnacs pillent également la contrée.
Le couvent rattaché à l'abbaye de Saint-Georges et transformé en simple prieuré n'est plus occupé par les religieuses bénédictines pendant les longues périodes de troubles. Revenues, elles sont chassées pendant la violente et brève guerre des Paysans qui voit une dévastation du prieuré et son abandon.
De 1749 à 1762, le prieuré, simple amas de ruines, et quelques dépendances agro-pastorales, acquis par l'abbaye d'Ebersmunster, sont progressivement rebâtis. Soustrait à la protection de l'abbé ébermunstérien, qui a encore entretenu et rénové l'église ainsi que les bâtiments conventuels depuis 1762, le couvent de Saint-Marc devient bien national à la Révolution. Le , il est vendu aux enchères et l'église partiellement détruite. Par la suite, les biens restants du couvent sont morcelés sous l'effet de reventes successives.
Le domaine est progressivement reconstitué de 1831 à 1842 par Jean Marie Desgranges, conseiller à la cour royale de Colmar. À la mort de ce dernier en 1843, les biens passent à son épouse qui offre à deux reprises en février et mars de la même année les biens de Saint-Marc à l'évêché de Strasbourg à condition que la propriété devienne un centre ecclésiastique et qu'il y soit bâtie une chapelle. Le conseil épiscopal refuse d'acquérir la propriété prétextant que cela constituait une charge trop lourde pour ses finances. Comme les Desgranges n'ont pas d'enfants, ce sont les Pierrebourg qui en héritent, lesquels demandent au conseil de fabrique de l'église de Gueberschwihr de célébrer chaque année une messe de requiem pour le repos de l'âme des Desgranges.
Le , le domaine est mis en vente par adjudication. Celui-ci est acquis par l'abbé Pierre-Paul Blanck pour 35 000 Francs comptant, 28 000 Francs les bâtiments et 7 000 francs les biens alentour. Une nouvelle congrégation des sœurs de saint-Joseph s'installe dans les bâtiments en 1868 prônant les vertus de la charité. Un noviciat fut élevé en 1882 et une nouvelle église plus spacieuse construite en 1889. En 1972 une nouvelle église fut édifiée pour remplacer celle du XIXe siècle qui n'était plus conforme. En 1995 d'autres bâtiments furent édifiés à côté du couvent pour abriter les religieuses du couvent.
L'orgue a été réalisé en 1996 par la manufacture d'orgues Muhleisen,.
Héraldique
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Les armes de Gueberschwihr se blasonnent ainsi : |
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France : Début du OCLC 28516867), p. 15.
- Gueberschwihr, "l'aristocrate du vignoble alsacien".
- « », notice base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Historique », Sœurs de Saint Joseph de Saint Marc, (lire en ligne, consulté le ).
- Inventaire de l'orgue du Couvent Saint-Marc
- Couvent Saint-Marc, Congrégation des Sœurs de Saint Joseph.
- Archives Départementales du Haut-Rhin.
- Armoiries de Gueberschwihr.
Héraldique
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Les armes de Gueberschwihr se blasonnent ainsi : |
- Archives Départementales du Haut-Rhin.
- Armoiries de Gueberschwihr.
Héraldique
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D'azur à la façade de maison pignonnée de trois montants d'argent, ajourée de trois fenêtres, une et deux, ouverte d'une porte cintrée, le tout de sable bordé de gueules,. |
- Lecture du blason utilisé par la commune
- Armoiries
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Gueberschwihr dans la littérature
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