Rochecorbon
Localisation
Rochecorbon : descriptif
- Rochecorbon
Rochecorbon (autrefois La Roche Corbon) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire
Ses habitants sont appelés les Rochecorbonnais. Appartenant au réseau des Petites Cités de Caractère, c'est l'une des 8 communes viticoles (300 ha de vignes) de l'appellation Vouvray.
Géographie
Localisation et superficie
Rochecorbon est situé dans la partie centro-nord-orientale du département d'Indre-et-Loire et au nord-est de Tours. La commune est bordée au sud par la Loire. En termes électoraux, la commune tourangelle fait partie du canton de Vouvray et est localisée, en termes territoriaux, à l'arrondissement de Tours, subdivision administrative appartenant à la région du Centre-Val de Loire.
La ville est membre de Tours Métropole Val de Loire, et fait partie de la zone d'emploi et du bassin de vie de Tours,.
Après avoir fait l'objet d'un remaniement cadastral en 2010, perdant ainsi 31 parcelles au profit de la ville de Tours, le territoire communal, sous sa forme actuelle, s'étend sur 16,78 . C'est la 163e commune (sur 277) du département.
Communes limitrophes
Rochecorbon est délimitées par six autres communes : — dans le « sens des aiguilles d'une montre » et « à vol d'oiseau » — Tours et Parçay-Meslay, villes respectivement distantes de 6 et 2,9 Monnaie, éloignée de 9,8 Vouvray distante de 3,4 La Ville-aux-Dames et Saint-Pierre-des-Corps, respectivement localisées à 2.3 et 3,9 ,. Il est à noter que la Loire sert de frontière aux deux dernières communes.
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Géographie administrative
Rochecorbon appartient au canton de Vouvray et à l'arrondissement de Tours. Elle fait partie de la communauté d'agglomération Tours Métropole Val de Loire (anciennement dénommée Tour(s)plus) depuis le . Elle était jusque-là adhérente de la communauté de communes du Vouvrillon (depuis le 16 décembre 2000).
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay à 3 vol d'oiseau, est de 12,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2,3 | 4,3 | 6 | 9,4 | 12,6 | 14,4 | 14,3 | 11,4 | 9 | 5,3 | 2,9 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 5,1 | 5,6 | 8,6 | 11 | 14,5 | 18 | 20,2 | 20,2 | 16,8 | 13 | 8,3 | 5,5 | 12,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,7 | 9 | 12,9 | 16 | 19,6 | 23,4 | 25,9 | 26 | 22,1 | 17 | 11,4 | 8,1 | 16,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,4 17.01.1987 |
−14,2 04.02.1963 |
−10,3 01.03.05 |
−3,4 21.04.1991 |
−0,6 08.05.1974 |
2,6 05.06.1969 |
4,3 05.07.1965 |
4,8 30.08.1986 |
0,9 11.09.1972 |
−2,3 29.10.1997 |
−7,1 24.11.1998 |
−18,5 29.12.1964 |
−18,5 1964 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,9 15.01.1975 |
22,1 27.02.19 |
25,3 31.03.21 |
29,2 30.04.05 |
31,8 27.05.05 |
39,1 18.06.22 |
40,8 25.07.19 |
39,8 10.08.03 |
35,5 09.09.23 |
31,1 02.10.23 |
22,3 07.11.15 |
18,5 07.12.00 |
40,8 2019 |
Ensoleillement (h) | 684 | 952 | 1 488 | 1 873 | 2 142 | 2 285 | 2 471 | 2 377 | 1 913 | 1 229 | 789 | 646 | 18 848 |
Précipitations (mm) | 63 | 52,4 | 48,7 | 53 | 57,7 | 53,2 | 46,6 | 44 | 51,8 | 66 | 69,3 | 72,1 | 677,8 |
Hydrographie
La commune est bordée sur son flanc sud par la Loire (4,084 Bédoire (4,635 ,.
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne, dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 ,. La hauteur maximale historique a été atteinte le 3 juin 1856 avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 .
La Bédoire coule quant à elle du nord vers le sud et se jette dans la Loire au sud du bourg dans le quartier de la Bourdonnerie.
Relief
L'extrémité sud de la commune correspond au bassin de la Loire. Le reste du territoire appartient au plateau de Tours. La Bédoire forme néanmoins une vallée qui divise la commune en deux parties. L'altitude moyenne du plateau de 110 mètres. L'altitude maximale, 124 mètres, est située près du lieu-dit la Blanchetière. Le sous-sol est essentiellement formé de tuffeau jaune.
- « », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
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- « », sur le site de la Métropole de Tours, (consulté le ).
- « », sur banatic - site du Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
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Toponymie
Évolution chronologique des mentions du castrum, de la paroisse, puis de la commune :
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- Carré de Busserolle 1883, p. 371-372.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
Histoire
L'histoire de Rochecorbon est liée à la Loire, qui arrose le village. Au cours du Âge du fer (période laténienne), l'occupation du territoire communal est essentiellement attestée par l'existence d'un ,,. Fondée et érigée au lieu-dit de « Château-Chevrier », cette agglomération protohistorique, qui fait alors partie intégrante de la (ou cité) des , se développe sur une superficie totale de 15 ou 16 ,,. Il n'y a pas de grottes naturelles à proprement parler : elles ont toutes été fabriquées par la main de l'homme. Aucun habitat préhistorique n'a été découvert sur le territoire de la commune ; mais la découverte de silex taillés et d'éclats de taille laissés depuis l'Aurignacien atteste de cette présence.
Rochecorbon, tout comme Tours, connaît l'occupation romaine, on dénommait alors le village « Vodanum ». Le nom du village a évolué au cours des siècles : la tradition rapporte qu'il s'appelait d'abord les Roches, et que son nom actuel vient de des Roches (fl. en 999, † après 1007), riche seigneur,, et chevalier qui fit construire un château dominant la Loire vers l'an mille, et qui serait le neveu de l'archevêque Archambaud de Sully. Rochecorbon reste ensuite dans la même famille en lignée féminine jusque vers 1590 ou même 1611/1619 (dont les Vierzon, Brabant d'Aerschot, Thouars, Amboise, Maillé, Montmorency-Laval-Loué, du Bellay d'Yvetot) ; enfin, Rochecorbon est acquise en 1619 par les d'Albert de Luynes.
Parmi les enfants de Corbon Ier et de sa femme Adelsendis, on trouve au XIe siècle :
- Corbon II ; Hardouin († après 1064 ; père de Thibaut et Hardouin) ; un(e) enfant de nom inconnu, père/mère de Guanilo et Renaud des Roches ; et Thibaut fl. dès 1007/1015, † avant 1088), marié 1° à une fille de Geoffroi II de Preuilly et d'Almodis, et 2° à Sibylle, fille de Lisois d'Amboise et d'Hersende de Buzançais. (Carré de Busserolle ajoute une génération entre Corbon Marmoutier en 1066 et † en 1088). Thibaut Ier et Sibylle d'Amboise sont parents de Mélisende, Lisois († v. 1096 ; selon Carré de Busserolle), et de :
- Robert Marmoutier, époux de Mayence, veuve d'un certain Dreux, d'où : Thibaud II, Robert II, Sulpice, Guanilo, Sibylle et Lucie des Roches.
- (Mais pour Carré de Busserolle, Robert archevêque Gislebert, confirme la fondation de Fontaine-les-Blanches et fait accord en mars 1122 avec Marmoutier ; il donne ce Geoffroy comme le père de Thibaud II (fl. 1150), bienfaiteur de Fontaine-les-Blanches, époux de Mathilde, d'où : Geoffroy (II), Hugues, Henri et Robert ; Geoffroy (II) (fl. 1186) est le père de Robert (II), cité en 1204, père à son tour de Geoffroy (III) (fl. 1221, 1234), marié à Hildéarde : Carré de Busserolle, pourtant un érudit solide, fait alors une énorme erreur puisqu'il attribue audit Geoffroy, pour sa fratrie, les enfants de Robert II, comte de Dreux et de Braine, notamment l'archevêque Henri ! ; enfin leur fils Geoffroy (IV) (fl. 1246) épouse sans postérité Jeanne de Mézières en Brenne, remariée à Hervé de Vierzon : là encore, cette version se révèle erronée, Jeanne de Mézières-Brenne n'étant pas la femme de Geoffroy, mais sa nièce, fille de son frère cadet Guillaume de Brenne : voir ci-dessous).
À partir de Robert Brenne coule à proximité (cf. Vernou) — c'est la Brenne, avec Mézières, qui est très probablement en jeu ; peut-être était-ce un héritage venu de la femme de Robert, ou bien des Buzançais ? ; en tout cas, rien à voir avec Braine (regrettable confusion de Carré de Busserolle, Touchard-Lafosse étant plus circonspect), et il est avéré que l'héritière finale, († vers 1300), dame de Rochecorbon ci-dessous, est aussi dame de Mézières-en-Brenne.
Par ailleurs, il est aussi signalé comme seigneurs ou du moins membres de la famille de Rochecorbon : Sulpice (au XIe siècle ? ; époux d'Hersende et père d'Aucher et Sulpice), et Alexandre des Roches (père de Thibaut, au XIIe siècle).
Thibaut 1095, la tour quadrangulaire qui subsiste encore et que tout le monde appelle la « Lanterne », haute de dix mètres.
Puis Robert III de Rochecorbon (ou Thibaut III ?) († après 1179 ; probablement frère aîné d'Hugues, abbé de Marmoutier en 1210-1227), qu'il faut sans doute distinguer des deux frères Robert II et Thibaut II ci-dessus pour des raisons chronologiques (donc fils, neveu ?), est père de Geoffroi de Pocé). Les enfants d'Isabelle de Pocé et Robert IV sont :
- Marguerite de Brenne († vers 1253 ; ou 1263 ?) ; x Olivier de Dan, d'où : autre Isabelle de Pocé, femme d'Hugues III du Bellay ; et Marguerite de Pocé, abbesse de Fontevraud en 1284-1304
- Geoffroi II († vers 1248), marié à Hildiarde
- La fille de Geoffroi II, Aénor de Brenne, apporte Pocé à son mari Hugues II, vicomte de Brosse (1236-1297)
- et Guillaume de Brenne († à la mi-Mirebeau
- La fille de Guillaume, Jeanne de Brenne († vers 1300), apporte Rochecorbon et Mézières à son mari, épousé vers 1261, Hervé III de Vierzon, sire de Vierzon, Mennetou et La Ferté-Imbault († 1270).
- Leur fille, Jeanne/Isabelle de Vierzon, dame de Vierzon, La Ferté-Imbault, Mennetou, Mézières et Rochecorbon, épouse Godefroy de Brabant d'Aerschot, fils cadet du duc de Brabant Henri III, tué à Courtrai en juillet 1302
- Leur fille cadette, Blanche de Brabant († 1329), dame de Rochecorbon et Mennetou, se marie 1° à Jean Berthout († 1304), avoué et seigneur de Malines, puis 2° en 1307 à , vicomte de Thouars († 1332) (leur fils aîné est le vicomte ). (les sœurs de Blanche se partagent le reste de la succession : Alix de Brabant († 1315), est dame de Mézières, Aerschot et La Ferté-Imbault, mariée en 1302 à Jean III, seigneur d'Harcourt ; Marie et Isabelle de Brabant obtiennent Vierzon et marient respectivement les frères Walram et Gérard V, comtes de Juliers).
- Leur fille, Jeanne/Isabelle de Vierzon, dame de Vierzon, La Ferté-Imbault, Mennetou, Mézières et Rochecorbon, épouse Godefroy de Brabant d'Aerschot, fils cadet du duc de Brabant Henri III, tué à Courtrai en juillet 1302
- La fille de Guillaume, Jeanne de Brenne († vers 1300), apporte Rochecorbon et Mézières à son mari, épousé vers 1261, Hervé III de Vierzon, sire de Vierzon, Mennetou et La Ferté-Imbault († 1270).
Au Maison de Thouars transmit Rochecorbon à la Maison de Craon (car Perrenelle, vicomtesse de Thouars et comtesse de Dreux, fille du vicomte — fils de Jean Jeanne II de Dreux, marie de Craon puis Clément II Tristan Rouault ; elle † sans postérité en 1397) ; puis à la Maison d'Amboise (car Isabelle/Isabeau de Thouars, comtesse de Benon et de Dreux, sœur cadette de Péronnelle, fut en 1356 la seconde épouse d' d'Amboise, † vers 1373/1375). Puis Pernelle/Péron(n)elle d'Amboise, petite-fille d'Ingelger Tours et les seigneuries des Ponts-de-Tours et de Montils-lès-Tours, à Hardouin VIII de Maillé († 1442), marié en 1412.
Puis transmission aux Montmorency-Laval-Loué, Françoise († entre 1518 et 1534), arrière-petite-fille d'Hardouin VIII et Pernelle d'Amboise, ayant épousé vers 1500 de Laval-Loué, sire de Benais, Bressuire et Loué. Les fiefs Maillé, dont Rochecorbon et Benais, restent désormais attachés, jusqu'à la Révolution, à la baronnie puis comté (1572) de Maillé,
- devenu en 1619 le duché-pairie de , Charles d'Albert, duc de Luynes et connétable de France ayant acheté le comté de Maillé en 1619 aux du Bellay (Martin III du Bellay), barons de Gizeux, Thouarcé, princes d'Yvetot, successeurs de leur cousin éloigné Guy III de Laval-Montmorency-Loué (1565-1590 ; marquis de Nesle et comte de Joigny) à plusieurs titres : en tant que descendants de Marquise de Laval-Loué, une sœur de Gilles, mariée vers 1496/1498 avec René Ier du Bellay ; en tant que descendants de Hardouin VIII de Mailly et Pernelle d'Amboise par le mariage de Louis du Bellay († v. 1522) avec Marguerite de Maillé de La Tour-Landry ; en tant qu'acquéreurs en 1611 du comté de Maillé sur Marguerite Hurault († 1614), fille du chancelier Philippe Hurault de Cheverny et veuve héritière de Guy III de Laval-Loué.
L'histoire de Rochecorbon est également liée à Saint-Martin de Tours et à Marmoutier, restaurée par Hugues des Roches, donc à l'Église toute-puissante qui détenait nombre de terres et domaines dans le val de Loire. Baronnie de Touraine, Rochecorbon est longtemps liée à l'histoire de la région ligérienne, entre Tours et Blois, villes essentielles au cours du Moyen Âge et de la Renaissance.
Après la Révolution française, Rochecorbon s'organise autour d'une nouvelle administration, les citoyens élisant les membres du conseil général des communes.
En 1808, Rochecorbon annexe la commune de Saint-Georges. En 2000, la commune intègre la communauté de communes du Vouvrillon et en 2014, elle intègre la communauté d'agglomération Tours Plus.
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- Stephan Fichtl, La ville celtique : Les oppida de 150 Éditions Errance, , 238 p., page 226.
- Jean-Marie Laruaz, « Atlas archéologique de Touraine : Les agglomérations à la fin de l'âge du Fer, 200 à 25 av. n.-è. (textes) », Revue archéologique du centre de la France, Fédération pour l'Edition de la Revue Archéologique du Centre de la France, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Marie Laruaz, « Atlas archéologique de Touraine : Les agglomérations à la fin de l'âge du Fer, 200 à 25 av. n.-è. (cartes et documents) », Revue archéologique du centre de la France, Fédération pour l'Edition de la Revue Archéologique du Centre de la France, lire en ligne, consulté le ).
- « », sur La Loire historique, par Georges Touchard-Lafosse, t. IV, chez Raymond Pornin à Tours, 1843.
- « », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique de l'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. V, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1883.
- « », sur MedLands.
Héraldique
Blason | De gueules au chevron d'azur* accompagné en chef de deux feuilles de vigne de sinople* et d'un lion d'or en pointe |
|
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur et sinople sur gueules). Depuis 1984. |
- Armorial de France, p. 20796
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