Château-Renard

Localisation

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Château-Renard : descriptif

Informations de Wikipedia
Château-Renard

Château-Renard est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Situation

Carte de la commune de Château-Renard
et des communes limitrophes

La commune de Château-Renard se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre. À vol d'oiseau, elle se situe à 76,1 Orléans, préfecture du département et à 15,3 Montargis, sous-préfecture.

Les communes les plus proches sont : Saint-Firmin-des-Bois (3,8 Triguères (4,4 Melleroy (4,7 Gy-les-Nonains (5,8 Saint-Germain-des-Prés (6,3 Chuelles (8,1 La Selle-en-Hermoy (8,9 La Chapelle-sur-Aveyron (8,9 Saint-Maurice-sur-Aveyron (9,2 Douchy (9,5 Montbouy (11,3 .

Communes limitrophes
Rose des vents Saint-Germain-des-Prés Saint-Firmin-des-Bois Chuelles Rose des vents
Gy-les-Nonains N Triguères
O    CHÂTEAU-RENARD    E
S
Montbouy La Chapelle-sur-Aveyron Melleroy

Géologie et relief

Géologie

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°365 - Montargis » et « n°366 - Courtenay » de la carte géologique au 1/50 000ème du département du Loiret, et leurs notices associées,.

Carte géologique de la commune
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
Fz  : alluvions récentes des lits mineurs, Holocène
FC  : alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, Holocène
Fy  : alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, Holocène
Pléistocène
qC  : colluvions indifférenciées de versant, Quaternaires
qCS  : colluvions à silex de versant, Quaternaires
qOE  : Limons et Loess, Quaternaire
Néogène
(2.58 - 23.03)
Pliocène  non présent
Miocène  non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène  non présent
Éocène
e4PN  : poudingue de Nemours, Paléocène-Éocène inférieur
Paléocène
e1-4Rc  : complexe argilo-sableux à silex = argiles à silex, Paléocène-Éocène inférieur
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
c4Cr  : craie blanche à silex, Santonien
c3Cr  : craie blanche à silex, Coniacien
Relief

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 40,34 ,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 40,38 . L'altitude du territoire varie entre 104 .

Hydrographie

Le territoire de la commune est traversé par l'Ouanne, un affluent du Loing, très méandreuse à ce stade de son parcours.

Lieux-dits et écarts

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 amplitude thermique annuelle de 15,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Amilly à 13 vol d'oiseau, est de 11,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

ZNIEFF

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Château-Renard ne comprend pas de ZNIEFF.

Natura 2000
Grand murin.

Une marnière à La Volve abrite des chauve-souris. Elle a été regroupée avec sept autres marnières de l'est du Loiret dans le même cas, cet ensemble de cinq sites ayant en 2013 été classé en zone spéciale de conservation (ZSP) et le tout intégré au réseau Natura 2000. La marnière de la Volve, de 30 vespertilions à oreilles échancrées, des vespertilions de Bechstein et des grands murins,. Le murin de Daubenton et le murin à moustaches ont également été recensés sur la commune.

Espaces protégés

Par ailleurs, les caves de Saint-Nicolas ont été acquises par un conservatoire d'espaces naturels.

Conservatoire naturel

Un verger conservatoire a été créé en 1986 en bas des Gauffaudières, réunissant 136 pommiers (60 variétés) et 64 poiriers (de 35 à 40 variétés, dont le poirier Sauger).

  1. «  », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  2. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. «  », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ).
  6. « Carte géologique de Château-Renard » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
  7. a et b «  », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  8. «  », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  9. «  », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. Insee, «  », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, «  », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, «  », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. IGN, «  », sur drive.google.com.
  14. Carte IGN interactive de Château-Renard sur geoportail.gouv.fr. Couches « cartes IGN classiques » et « limites administratives » activées. Vous pouvez moduler ou désactiver chaque couche dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche.
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  17. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. Huit marnières souterraines à Chantecoq, La Chapelle-sur-Aveyron, Château-Renard, Dordives, Douchy et Triguères, abritant des chauve-souris, sont ensemble désignées comme « Grottes d'intérêt régional de l'est du Loiret » sous le même code (Code Natura 2000 : 8310).
  23. . Document d'objectifs du site Natura 2000. Octobre 2005. Pp. 25-26 : relevés de la grotte de Château-Renard ; p. 38 : tableau de répartition des espèces de chauve-souris trouvées dans les sites respectifs.
  24. Sites à chauves-souris de l'est du Loiret, fiche INPN.
  25. Espèces protégées à Château-Renard, fiche INPN.
  26. Caves de St Nicolas, fiche INPN.
  27. Richard Poulet, .
  28. , article du 25/05/12 sur larep.fr.


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Toponymie

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Réunion-sur-Ouanne.

L'actuelle dénomination Château-Renard a pris officiellement effet le en application du décret du . L'ancienne dénomination était Châteaurenard. Le changement de dénomination a donc permis de supprimer l'homonymie séculaire existant avec le nom de la ville de Châteaurenard (Bouches-du-Rhône).

Une hypothèse donne pour origine le nom du premier seigneur ayant fait construire le château de la commune ; il était comte de Sens et avait pour nom de famille Renard.

Guy Rousseau maire de Chateau-Renard entre 1967 et 1979 a donné son nom au stade local.

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  2. .

Histoire

Préhistoire et Antiquité

L'existence d'ateliers de taille de silex atteste l'occupation de la vallée de l'Ouanne dès la préhistoire.

Haut Moyen Âge

La première désignation connue pour le bourg est celui de « Mont d'Ouanne », en regard de sa haute colline avec un dénivelé pentu d'environ 80  siècle un « château » de la Motte, ancêtre du château éponyme existant de nos jours, édifié dans la vallée entre deux bras de rivière et à quelques centaines de mètres de l'actuel château de la Motte. C'était probablement un bâtiment en bois tenant lieu de place forte. Sur le Mont d'Ouanne les bénédictins avaient bâti un prieuré dédié à saint Amand, administré par l'abbaye de Ferrières comme tout le Gâtinais carolingien ; mais il deviendra plus tard une dépendance du prieuré de La Charité et fera partie du diocèse de Sens.

Un fragment (45 × 32 mérovingien a été découvert dans les années 1970, gisant sur une place publique où les voitures roulaient dessus. Il est décoré de bandes de stries gravées à obliquité alternée, déjà repéré dans le nord-est du Loiret (Sceaux-du-Gâtinais, Préfontaines, Beaune-la-Rolande, Girolles et Cortrat.

Hugues le Grand s'étant emparé de la Haute Bourgogne, il institue Fromond comme vicomte de Sens en 937. Ayant offensé l'archevêque de Sens Gerlanus ou Gerlair (938 - 954), se retrouve exilé par le roi (Louis IV) à la « ville d'Ouanne ». Il a peut-être alors rebâti la Motte, mais encore en bois. C'est là que son fils grandit : , que Hugues le Grand fait comte de Sens à la mort de et qui gagne le sobriquet de « Petit Vieux ».
De caractère ambitieux, le « Petit Vieux » se donne comme tâche de piller les biens des abbayes locales, y compris celle de Ferrières. Il guigne particulièrement le Mont d'Ouanne et ses pentes stratégiques, qu'il obtient ainsi par pillage. En 961, ayant lui aussi eu trop de démêlés avec l'archevêque de Sens, il se fait comme son père exiler à la ville d'Ouanne par le roi Lothaire. Il y fait construire le château-haut sur la butte autour de l'église des moines. C'est à cette date que le bourg prend le nom de Château-Renard. Pour augmenter sa popularité et faire oublier saint Amand qui rappelle trop l'autorité de Ferrières, il offre au bourg les reliques de saint Pavas, pillées au cours de la prise de Bray-sur-Seine qui les avait pillées du Mans lors des invasions normandes. décède en 996 (il est inhumé près de Sens, dans l'église du village de Sainte-Colombe). Noter qu'il a aussi fondé Joigny.

Ses descendants (Fromond II et Renard II) continuent dans la même ligne d'indiscipline, pillage et rébellion inculquée de famille - tant et si bien que Robert le Pieux destitue Renard II du comté de Sens en 1015. Il est cependant toujours comte de Joigny, et s'adonne toujours aux mêmes activités de pillage, détroussage et autre banditisme de tradition familiale. Lassé de cet anarchisme et des plaintes subséquentes, Louis VI le Gros fait détruire leur château-haut en 1110 - y compris l'église. De plus il ordonne aux Courtenay, cousins des Renard mais plus disciplinés envers la monarchie, d'ériger le château de la Motte pour surveiller leur parenté. Enfin il leur fait aussi construire le château de la Volve, en face du château-haut, avec ordre d'y installer leur bailli - toujours dans l'optique de surveillance des quasi-renégats Renard. Sous cette surveillance poussée, les Renard tentent malgré tout de reconstruire leur château-haut en 1131 ; nouvelle intervention du roi, qui aboutit au résultat souhaité : les Renard se soumettent. Ils se renomment alors comtes de Joigny et cessent leurs pillages. Le bourg profite de cette accalmie de un siècle pour reconstruire l'église sur la colline et la dédier à saint Étienne. Vers cette époque ou peu après, il existe sur la paroisse de Châteaurenard un prieuré Saint-Savinien-de-Dullot, dont le prieur est nommé par le prieuré de Flotin,.

Bas Moyen Âge

Vers 1195, Gaucher de Joigny, seigneur de Venisy (Yonne) du chef de son épouse Alix de Venisy (Trainel), cadet de la famille comtale, est seigneur de Château-Renard. Il est le premier porteur attesté du titre seigneurial. Il décède après 1211. Aucune charte ou chronique n'établit un quelconque lien filiatif des comtes de Joigny avec les comtes de Sens, dont ils ne sont que les successeurs territoriaux. On rappellera que les liens familiaux allégués sont issus de l'historiographie du et que le comté de Joigny n'émerge qu'entre 1055 (ou 1040) et 1080. De ce fait, les partages de 998, 999, 1008 et les conventions politiques de 1015, 1032 et 1034 (car les auteurs ne sont pas en peine de trouver des dates) ne sont pas à l'origine de droits héréditaires faisant émerger le comté de Joigny.

Ancienne porte Rouge.

Le château-haut est reconstruit en 1232 par Gaucher II de Joigny, descendant de la famille Renard et gendre de Simon de Montfort, avec l’autorisation royale - celle de Blanche de Castille, qui est alors régente - et avec une structure grandiose : 16 tours, donjon monumental, fossé de 6 Triguères pendant la Terreur).
Gaucher II meurt en 1241 lors d'une croisade en Terre Sainte.

Vers 1280, le château-haut passe à la famille des Artois. Mahaut d'Artois (1268 - † 1329, petite-nièce de Saint-Louis) y reçoit Philippe le Bel qui trouve le château fort à son goût. Au tournant du Henri IV de Sully (prince de Boisbelle) a le château de la Motte. Ainsi quand Mahaut cède son fief à son cousin Henri IV de Sully prince de Boisbelle en 1312, elle aurait fait de lui le maître du bourg si Philippe le Bel ne lui avait imposé un échange avec le château de Dun-le-Roi. Philippe installe une garnison dans le château-haut en 1317.

Philippe Le Long concrétise le projet de son père Philippe le Bel de monter en puissance dans la possession du comté d'Angoulême. Une première opération consiste à rassembler des éléments fonciers de la vallée de la Vanne et de la forêt d'Othe pour les céder en échange à des membres de la famille de Sancerre détenteurs de portions du comté d'Angoulême. Une seconde opération lui est consécutive : il cède en échange au comte de Joigny la suzeraineté de la jeune châtellenie de Mâlay-le-Roi (aujourd'hui Malay-le-Petit, Yonne) pour en obtenir sa part de suzeraineté sur Château-Renard.

Arrive la guerre de Cent Ans, au cours de laquelle Château-Renard reste relativement épargné.

Renaissance

Suit la Renaissance, qui voit 4 000 habitants à Château-Renard au début du  siècle. Mais c'est l'époque qui voit aussi la fin des châteaux forts, et le château-haut est réduit au Chastellet, soit uniquement sa partie haute. Il est acheté par de Coligny en 1522 - dont la famille est une tête de proue du protestantisme - ; il achète ensuite le château de la Motte en 1531. S'ensuivent les guerres de religion où tout d'abord les protestants massacrent les moines du prieuré, puis les catholiques incendient l'église Saint-Étienne et une tour du château-haut. Louise de Coligny récupère son héritage au début du 1622, c'est la fin du Château-haut : Louis XIII prend le Chastellet par ruse et le fait détruire.

Temps modernes

Le 12 juin 1841, la périphérie de la ville fut le lieu de la chute d'un météore, dont près de 30 kg ont été récupérés.

Entre le 29 janvier et le 8 février 1939, plus de 2 800 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l'insuffisance des structures d'accueil d’Orléans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts, dont un à Château-Renard. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, et le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux préférant rester sont regroupés au camp de la verrerie des Aydes, à Fleury-les-Aubrais.

Héraldique

Blason
De gueules à un château donjonné d'argent, maçonné de sable, soutenu d'un renard d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.
Détails
Armes parlantes.
.
  1. a b c d et e Liliane Violas, « Histoire de Château-Renard », L'Éclaireur du Gâtinais, lire en ligne).
  2. Jean Née de La Rochelle, Pierre Gillet et Jean-François Née de La Rochelle, Mémoires pour servir à l'histoire civile, politique et littéraire […] de la Nièvre…, lire en ligne), p. 342.
  3. Gilbert-Robert Delahaye, « Loiret. Châteaurenard, préservation d'un fragment de sarcophage mérovingien », Bulletin monumental, lire en ligne [sur persee], consulté le ).
  4. Branche Le Riche de Paris.
  5. Gilles Menage et Augustin F. Jault, « Saint Pavas, troisième évêque du Mans », dans Dictionnaire etymologique de la Langue françoise, lire en ligne), lxxv.
  6. Henri-François Delaborde, « Recherches critiques sur les premiers seigneurs de Joinville », Bibliothèque de l'école des chartes, lire en ligne).
  7. Abbé Duchâteau, Histoire du diocèse d'Orléans depuis son origine jusqu'à nos jours, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais, (lire en ligne), p. 133.
  8. Etienne Meunier, « Le Sénonais au temps du changement dynastique », Bulletin de la Société des Sciences historiques et naturelles de l'Yonne, no 119,‎ 1987 (1988), p. 19 à 38.
  9. Etienne Meunier, « La châtellenie de Mâlay-le-Roi », Bulletin des Amis du vieux Villeneuve, no 28,‎ , p. 9 à 61.
  10. , La république du Centre, 10 mai 2018
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  12. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées sodigné-47
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées sodigné-43-44
  14. Le blason de la ville sur Cœur de France et Gaso. Consulté en : mars 2008.


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Héraldique

Blason
De gueules à un château donjonné d'argent, maçonné de sable, soutenu d'un renard d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.
Détails
Armes parlantes.
.
  1. Le blason de la ville sur Cœur de France et Gaso. Consulté en : mars 2008.

Culture

  • Maison des jeunes et de la culture
  • Musée vivant de l'apiculture
  • Médiathèque
  • Le cinéma Vox,
  • Association Les enfants de l'Odonna
  • Maison des Jeunes et de la Culture (MJC)
  1. Musée vivant de l'apiculture.
  2. Médiathèque de Château-Renard.
  3. Association Vox Populi, cinéma Vox de Château-Renard.
  4. «  », sur levox.fr (consulté le ).
  5. MJC de Château-Renard.

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Château-Renard dans la littérature

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