Montfort-sur-Meu

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Montfort-sur-Meu : descriptif

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Montfort-sur-Meu

Montfort-sur-Meu est une commune française située sur le Meu dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 6 742 habitants pour une superficie de 14 km2. Montfort-sur-Meu fait partie de la communauté de communes du pays de Montfort (8 communes), et du pays de Brocéliande (4 Intercommunalités). Montfort-sur-Meu est le chef-lieu du canton de Montfort-sur-Meu (15 communes à la suite du redécoupage, avec une partie de la Communauté de Communes de Brocéliande).

Géographie

Situation

Dans le Grand-Ouest de la France, en Bretagne, dans le département d'Ille-et-Vilaine, la ville de Monfort-sur-Meu est située à 30 Rennes, la préfecture départementale et régionale.

Côté centre-est de la Bretagne, elle est traditionnellement comprise dans le Porhoët.

Les communes limitrophes sont Breteil, Iffendic, Talensac et Bédée.

Communes limitrophes de Montfort-sur-Meu
Bédée
Iffendic Montfort-sur-Meu Breteil
Talensac
Carte de la commune de Montfort-sur-Meu.

Géographie physique

La commune est située à 41 mètres d'altitude, aux frontières nord de la forêt de Paimpont (assimilée à Brocéliande, son ancien nom). La région, aujourd’hui bocagère, était autrefois recouverte par un immense massif forestier.

La ville est située à la confluence du Meu et du Garun.

Les carrières locales sont composées de schiste pourpré et ardoisier et de poudingue, ce qui donne une polychromie à l'architecture du pays de Montfort.

Cadre géologique

Carte géologique du Massif armoricain.

Montfort-sur-Meu se situe dans la région de Pont-Péan, localisée dans le domaine centre armoricain, dans la partie médiane du Massif armoricain qui est un socle ouest-européen de faible altitude (maximum 400 orogenèses : icartienne (Paléoprotérozoïque,ca. 2,2-1,8 Ga), cadomienne (Édiacarien 750-540 Ma) et surtout varisque (ou hercynienne, au Dévonien-Carbonifère, 420-300 Ma). La structure du Massif armoricain résulte de la superposition de l'héritage de ces deux derniers orogènes.

Pont-Péan[Quoi ?] est situé dans un vaste bassin sédimentaire constitué de sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion de la chaîne cadomienne et accumulés sur plus de 15 000 socle sur lequel repose en discordance des formations paléozoïques sédimentaires. Le territoire montfortais s’étend sur une seule entité géologique, le synclinal de Paimpont-Guichen qui fait partie de la partie nord-ouest d’une grande unité sédimentaire qui a été déformée par des plissements au Paléozoïque, le synclinorium de Martigné-Ferchaud (« synclinaux du sud de Rennes »). Dans cette unité synclinoriale du Sud de Rennes proprement dite, à structure appalachienne, la sédimentation paléozoïque débute par la mise en place de matériel détritique de couleur rouge, la formation ordovicienne de Pont-Réan, caractérisée notamment par le faciès basal de type Montfort (connu sous le nom de Poudingue de Montfort). Il correspond à la transgression ordovicienne qui débute parfois par un conglomérat polygénique discontinu, d'épaisseur variable (quelques mètres au maximum), empruntant l'essentiel de son matériel au substrat briovérien : galets (de grès, wackes quartzeuses, siltstones, avec des grains de quartz, phtanite, microquartzite) « souvent orientés dans la schistosité, principalement dans les faciès à matrice fine. La coloration est généralement rougeâtre dans les faciès à matrice gréseuse, par altération des cristaux de pyrite et/ou d'oligiste, et dans les teintes brun-beige à verdâtre dans les faciès à matrice plus phylliteuse ».

Transports

La gare TER.
  • réseau régional BreizhGo : ligne 2 (Rennes - Montfort-sur-Meu - Gaël)
  • SNCF - TER Bretagne accessible depuis la gare de Montfort-sur-Meu : ligne St Brieuc-Lamballe-Rennes et ligne La Brohinière-Rennes

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 amplitude thermique annuelle de 12,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Rheu à 13 vol d'oiseau, est de 12,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Sandre, «  ».
  2. Carte des différentes unités litho-structurales de l'ouest du Bassin de Paris et du Massif armoricain, tiré de Michel Ballèvre, « Structure et évolution du Massif armoricain », Géochronique, 105, mars 2008, p. 29-31
  3. Visionner : Plate Tectonics 600Ma to Today by CR Scotese », sur YouTube.
  4. Visionner : Plate Tectonics, 540Ma - Modern World - Scotese Animation », sur YouTube.
  5. L'orogenèse cadomienne est marquée au nord du massif par des directions N70 (groupes de direction N 60° à N 85° et quelques autres issus de failles associées). L'orogenèse varisque est la principale responsable de l'architecture de la majeure partie du massif, notamment au travers du Cisaillement Nord-Armoricain et des deux branches du Cisaillement Sud Armoricain de direction N110 (séparant les quatre grands domaines armoricains (Nord-armoricain, Centre-armoricain, Sud-armoricain et le Léon), des groupes de failles N 20° à N 40 °, et des directions N140 à N160, héritées du pré-rifting atlantique avorté du Permo-Trias. Ces groupes de failles façonnent les directions du tracé de nombreux plateaux et côtes. Cf Paul Bessin, « Évolution géomorphologique du Massif armoricain depuis 200 MA : approche Terre-Mer », thèse Sciences de la Terre. Université Rennes 1, 2014, p. 98 ; Jacques Garreau, « Remarques sur la tectonique post-hercynienne en Bretagne occidentale », Norois, lire en ligne).
  6. Michel Ballevre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al, « Histoire Géologique du massif Armoricain : Actualité de la recherche », Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, nos 10-11,‎ , p. 5-96.
  7. Yann Bouëssel Du Bourg, La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 23.
  8. Carte du Massif armoricain avec les affleurements paléozoïques dans les différents synclinaux, d’après Muriel Vidal, Marie-Pierre Dabard, Rémy Gourvennec, Alain Le Hérissé, Alfredo Loi, Florentin Paris, Yves Plusquellec, Patrick R. Racheboeuf, « Le Paléozoïque de la presqu’île de Crozon, Massif armoricain (France) », Géologie de la France, lire en ligne).
  9. Hubert Lardeux, Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 15.
  10. Notice explicative de la feuille Bain-de-Bretagne à 1/50 000, BRGM, 1989, p. 13
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. «  », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  14. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Monsfortis au .

Montfort-sur-Meu est une formation toponymique médiévale en Mont- suivie de l'adjectif fort au sens de « fortifié ».

D’après un article du quotidien L’Ouest Eclair, le nom Montfort-la-Cane a été donné en 1386 à la ville à cause de la légende de la cane qui faisait alors la réputation de la ville, au point que la ville "a gardé pendant des siècles" ce nom d'après Amedée Guillotin de Corson. Sous la Première République, et la Convention nationale, le décret du 15 brumaire an II (5 novembre 1793) change le nom de Montfort-la-Cane en Montfort-la-Montagne. Ce nom fait allusion à la proximité politique de la municipalité avec les Jacobins, dont Montagne était le synonyme. Sous le Consulat, un Arrêté portant réduction des justices de paix du département d’Ille-et-Vilaine du 27 brumaire an 10 (18 novembre 1801) désigne Montfort-sur-Meu comme une des communes du 5e arrondissement communal d’Ille-et-Vilaine. La ville est siège d’une justice de paix,.

  1. a et b Amedée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes., lire en ligne), p. 273, 279
  2. s.n., « Montfort : A propos d'un cachet municipal. Quelques miettes d'histoire locale », L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial,‎ , lire en ligne)
  3. Jules Forfelier et Louis-Bernard Bonjean, Encyclopédie des lois : dictionnaire général annoté des lois, décrets, ordonnances et règlements depuis 1788 jusques et y compris la session de 1837, avec suite à partir de 1838, Tome 1, Partie 1, Volume 1, Paris, Firmin Didot Frères, 1837-1839, XX + 296 lire en ligne), p. 82
  4. Charles-Antoine Cardot, « Montfort-sur-Meu. Heurs et malheurs d'une petite ville en Haute-Bretagne (1091-1969) », Comptes rendus, procès-verbaux, mémoires... : agriculture, archéologie de l'Association bretonne et Union régionaliste bretonne,‎ , lire en ligne)
  5. J. B. Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, réglemens, et avis du Conseil-d'État, depuis 1788 jusques et y compris 1824, Tome Treizième, Paris, A. Guyot et Scribe, , 543 lire en ligne), p. 179
  6. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini

Histoire

Préhistoire

La présence humaine sur le territoire de Montfort-sur-Meu est attesté dès la fin de la Préhistoire ; en témoigne son patrimoine mégalithique, dont les alignements de la Harelle, l'allée couverte de Beauregard, le menhir de la lande de Coulon et les mégalithes du Bois du Buisson.

Époque gallo-romaine

Le territoire de la commune est occupé durant la période gallo-romaine, comme en témoignent la découverte d'un gisement de tegulae au lieu-dit des Batailles, et de deux trésors monétaires datés respectivement du Haut et du Bas-Empire au Prélong. Une voie romaine reliant Rennes et Carhaix traversait le territoire qu’occupe actuellement la commune d'est en ouest, escaladant les Buttes de la Harelle pour déboucher sur le bois du Buisson, avant de redescendre sur le bassin d'Iffendic.

Moyen Âge

Montfort de Bretagne fut choisi, au  souhaitée], par de Gaël, qui y fit construire son château pour des atouts défensifs, puis érigea une motte féodale sur une butte naturelle qu'il surélève de 5- fossé, dominant les rivières du Meu et du Garun. Le donjon en pierre est dressé vers 1091.

De 1376 à 1389, la forteresse est reconstruite par et elle est entourée de quatre tours d'angle (elle est détruite en 1627). La ville est consolidée par des murailles. Les habitants entrent dans la ville par trois portes : la porte Saint-Jean, la porte de Coulon et la porte Saint-Nicolas. En avant de chaque porte, un faubourg se développe : Saint-Jean au nord-ouest, Saint-Nicolas à l'est et Coulon au sud.

La maison de Montfort de Bretagne (ne pas confondre avec les Montfort, ducs de Bretagne, issus des Yvelines) accéda à la baronnie puis comté de Laval par le mariage en 1405 de ) (1385-1414 ; fils de et petit-fils de Raoul Anne de Laval (1385-1466) : parents de ) (1406-1486), maison de Laval.

Époque moderne

Révolution française

Vieilles maisons à Montfort-sur-Meu vers 1900 (lithographie d'Albert Robida).
La prison de Montfort-sur-Meu vers 1900 (lithographie d'Albert Robida).

Le dimanche , Montfort est assiégé par une bande de paysans armés.

La population est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l'anarchie, fêtée à partir de 1795. La fondation de la .

Le général Vachot écrit le au Comité de salut public de Segré : « J'ai exterminé et presque entièrement détruit les Chouans qui ravageaient les districts de Broons, Saint-Méen, Montfort, Châteaubourg, Vitré, La Guerche, etc. ».

En , une bande de chouans conduite par de Boulainvilliers coupa les Arbres de la liberté dans les paroisses autour de Montfort, Josselin et Ploërmel.

Le | ]

La ville devient au  siècle sous-préfecture d'Ille-et-Vilaine, de ce fait Montfort s’agrandit et effectue des travaux de grande ampleur, mais beaucoup d’édifices, comme la tour Saint-Nicolas, sont détruits.

Le | ]

La Belle Époque
Les bords du Meu au début du XXe siècle.
La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Monfort-sur-Meu porte les noms de 84 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Monfort-sur-Meu porte les noms de 40 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Étienne Maurel, secrétaire de mairie et chef de la musique municipale, organisa dès juin 1940 un groupe de résistants, connu sous le nom de réseau Maurel à Monfort-sur-Meu, en liaison avec des résistants rennais, notamment Victor Janton, professeur (arrêté le ), et des étudiants ; ils créèrent un journal clandestin : La Bretagne enchaînée, diffusé à 5 000 exemplaires. Alain de Kergorlay est parachuté de Londres en octobre 1941 et Pierre Moureaux (alias Pierre Cazin) en décembre 1941 pour renforcer le groupe Maurel, disposant notamment de deux postes émetteurs. Ils participent à partir de 1942 à des groupes de combat, réceptionnant notamment le premier parachutage d'armes organisé en Ille-et-Vilaine dans la nuit du 1er au . Étienne Maurel est arrêté le .

Une plaque commémorative rappelle le souvenir d'Étienne Maurel, mort pour la France en déportation au camp de concentration de Natzweiler-Struthof le . D'autres membres de ce groupe de résistants sont morts en déportation ou tués par les Allemands : André Ménard, Louis et Pierre Normand et Gabriel de Cyresme,.

La ville fut très touchée par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, d'où des secteurs regroupant quasi exclusivement des constructions du XXe siècle.

La légende de la Cane

Cette légende se transmet de génération en génération depuis le début du XVe siècle.

  • Dans une version, la légende raconte qu'une jeune fille d'une beauté sans pareille aurait été enfermée dans le château par le seigneur de Montfort. Elle pria alors saint Nicolas pour qu'il puisse la sauver. Saint Nicolas ayant entendu sa prière, transforma la jeune fille en cane. Elle put alors s'échapper du château.
    Par la suite, et pendant plusieurs siècles une cane sauvage venait tous les ans, aux environs de la Saint-Nicolas, dans l'église et y déposait un de ses canetons en offrande au thaumaturge.
  • Dans la seconde version, l'histoire dit que vers 1386, lors de l'achèvement des fortifications de la ville, le seigneur aurait enfermé dans son château une jeune fille d'une beauté remarquable. Elle comprit bien vite le sort qui lui était réservé, et, apercevant l'église de Saint-Nicolas, elle se mit à prier le saint, promettant qu'elle viendrait le remercier dans son église si elle s'échappait. Le soir même, elle put fuir.
    Malheureusement, elle tomba entre les mains des soudards du seigneur, qui voulurent lui faire subir ce qu'ils supposaient qu'avait fait leur maître. Elle regarda aux alentours pour appeler à l'aide, mais n'aperçut que deux canes sauvages dans l'eau de l'étang (étang qui a été asséché depuis).
    Elle renouvela sa prière à saint Nicolas, le suppliant de permettre que ces animaux soient témoins de son innocence et qu'ils accomplissent chaque année son vœu en son nom si elle venait à perdre la vie.
    Elle réussit à échapper aux soldats, mais mourut peu après, de frayeur, dit-on. Elle fut ensevelie dans le cimetière Saint-Nicolas.
    Or, voilà que la même année, lors de la fête de la Translation, alors que la foule se pressait auprès des reliques de saint Nicolas, une cane sauvage pénétra avec ses canetons dans l'église. Elle voltigea près de l'image du Saint, vola jusqu'à l'autel, et salua le crucifix. Puis elle redescendit vers l'image du Saint, et y demeura jusqu'à la fin de la messe. À ce moment, elle s'envola, suivie de tous ses canetons, à l'exception d'un seul, qui demeura dans l'église.
  • L'histoire devint si célèbre que, comme l'attestent de nombreux documents au cours des siècles, Montfort-sur-Meu fut appelé Montfort-la-Cane pendant plus de 300 ans. Les apparitions sont consignées dans les procès-verbaux plusieurs fois. La dernière apparition de la cane date du . Toutefois, comme seules les archives postérieures au XVe siècle ont pu être conservées, il manque énormément de témoignages, même si, comme le dit un ecclésiastique, « jadis, ces faits étaient devenus si communs qu'on ne prenait plus la peine de les signaler ».
  • L'histoire de la cane a été représentée sur un vitrail qui se trouvait sur la commune de Priziac. Vitrail déposé avant la guerre 1939-1945 et se retrouvant actuellement à Trizac .https://www.ouest-france.fr/bretagne/les-plus-vieux-vitraux-du-cantal-sont-morbihannais-4880684 https://www.lamontagne.fr/trizac/insolite/religion-spiritualite/2017/04/29/du-morbihan-au-cantal-la-drole-d-epopee-des-vitraux-de-trizac_12383123.html

Héraldique

Blasonnement :
D'argent à la croix ancrée de gueules gringolée d'or de huit pièces.
  1. Alain Provost et Gilles Leroux, Carte archéologique de la Gaule - L'Ille-et-Vilaine 35, ISBN  et , OCLC 463616145), p. 150.
  2. a et b Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 ISBN ), p. 55.
  3. Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN )]
  4. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », dans Annales de Bretagne, vol. 21, t. 4, 1905, p. 398–399
  5. Dubreuil, ibid., p. 401.
  6. A. Rebière, Notrs sur les généraux Vachot : François Vachot, "Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze", 1899, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453869s/f68.image.r=Ch%C3%A2teaubourg
  7. Jean Gallet, "Les paysans en guerre", éditions Ouest-France, 1988 (ISBN ).
  8. a et b ACAM-MEMORIAL, «  », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  9. «  », sur memoiredeguerre.free.fr (consulté le ).
  10. «  », sur francaislibres.net (consulté le ).
  11. Pierre Moureaux, né le à Nancy, décédé le à Allach (Allemagne)
  12. ACAM-MEMORIAL, «  », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  13. Eric Blanchais, «  », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  14. Louis Normand, né le à Morlaix et mort le à Paris et mort le au camp de concentration de Natzweiler-Struthof, et son frère Pierre Normand, né le à Morlaix et mort le à Paris
  15. Gabriel de Cyresme, né le au château du Pin en Iffendic, mort le au camp de concentration de Mauthausen
  16. Alain Lefort et Bernard Lucas, "Les hauts lieux de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 1991

Héraldique

Blasonnement :
D'argent à la croix ancrée de gueules gringolée d'or de huit pièces.

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Montfort-sur-Meu dans la littérature

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