Montceau-les-Mines
Localisation
Montceau-les-Mines : descriptif
- Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté. C'est une ancienne ville minière du bassin minier de Saône-et-Loire, bassin exploité dès le Moyen Âge, mais de façon industrielle à partir du XIXe siècle et ce jusqu'en 2000, permettant l'essor de l'industrie sidérurgique et mécanique dans la région. Il s'agit de la 13e commune de Bourgogne-Franche-Comté en nombre d'habitants.
Géographie
Localisation
Saint-Berain-sous-Sanvignes | Blanzy | |||
N | ||||
O Montceau-les-Mines E | ||||
S | ||||
Sanvignes-les-Mines | Saint-Vallier |
Géologie et relief
La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années).
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversé par la Bourbince.
Transports
La ligne Montchanin – Paray-le-Monial dispose une gare ferroviaire au centre-ville de Montceau, à laquelle desservie par la liaison TER Montchanin – Moulins.
Pour le transport local, la commune est desservie par 5 lignes d'autobus, dont une permet de rejoindre la gare TGV du Creusot-Montchanin-Montceau-les-Mines.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mt-Saint-Vincent », sur la commune de Mont-Saint-Vincent à 9 vol d'oiseau, est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,6 ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,3 | 0,1 | 2,9 | 5,5 | 9,1 | 12,5 | 14,6 | 14,7 | 11,2 | 7,9 | 3,3 | 0,7 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 2 | 2,9 | 6,5 | 9,6 | 13,4 | 17,1 | 19,3 | 19,3 | 15,2 | 11 | 5,8 | 2,9 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,3 | 5,6 | 10 | 13,8 | 17,7 | 21,6 | 24 | 23,9 | 19,2 | 14 | 8,3 | 5,2 | 14 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,1 09.01.1985 |
−21,1 10.02.1956 |
−13,2 06.03.1971 |
−5,9 12.04.1986 |
−2,3 06.05.1957 |
2 02.06.1962 |
5,2 10.07.1948 |
4,7 30.08.1986 |
1,7 26.09.1972 |
−4,2 29.10.1997 |
−9,6 22.11.1998 |
−16,2 25.12.1962 |
−21,1 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,4 01.01.22 |
21,3 28.02.1960 |
22,3 28.03.1989 |
26,2 22.04.1968 |
30 18.05.1945 |
34,7 22.06.03 |
37,2 31.07.20 |
37,6 12.08.03 |
31,8 07.09.23 |
27,3 01.10.1985 |
21,3 07.11.1955 |
17,2 10.12.1978 |
37,6 2003 |
Ensoleillement (h) | 734 | 1 001 | 1 619 | 190 | 2 083 | 2 438 | 2 645 | 239 | 1 872 | 1 299 | 827 | 692 | 19 499 |
Précipitations (mm) | 69,5 | 56,3 | 61,6 | 66,8 | 87,7 | 71,6 | 81 | 71,4 | 71 | 85,1 | 91,8 | 77,4 | 891,2 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4,3 −0,3 69,5 | 5,6 0,1 56,3 | 10 2,9 61,6 | 13,8 5,5 66,8 | 17,7 9,1 87,7 | 21,6 12,5 71,6 | 24 14,6 81 | 23,9 14,7 71,4 | 19,2 11,2 71 | 14 7,9 85,1 | 8,3 3,3 91,8 | 5,2 0,7 77,4 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- BRGM, (lire en ligne).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Le terme de Montceau apparaît pour la première fois en 1266 sur un titre des archives de la Côte-d'Or.
La mention des mines apparait avec l'intensification de l'activité houillère au XIXe siècle.
Histoire
En 1475, Montceau compte environ 25 âmes et il faut attendre 1645 pour trouver trace du nom actuel : Le bar. Les siècles passant, les communes voisines se développent. Au départ, une auberge et quelques fermes forment un hameau. L'un de ces domaines s'appelant Le Montceau ; le nom de la future commune est trouvé. La construction du canal du centre entre 1783 et 1791 puis l'installation de la Compagnie des mines de houille de Blanzy en 1833, sont les deux principaux événements qui ont entraîné naissance de la ville. A l'initiative de Jules Chagot, dirigeant de la Compagnie, le , une loi instaure la commune de Montceau-les-Mines, communauté de 1300 habitants, sur un territoire ponctionné sur les communes de Blanzy, Saint-Vallier, Saint-Berain-sous-Sanvignes, et Sanvignes-les-Mines. En 1857, Léonce Chagot, premier maire de la ville et gérant des Mines de Blanzy, fait construire une église et réaliser un cimetière. Un bureau de poste est mis en place en 1869, un nouvel hôpital en 1871 et l'hôtel de ville est achevé en 1876, mais la devise de la République ne viendra s'y ajouter qu'en 1996. C'est donc l'exploitation du charbon à Blanzy qui fait prospérer la ville. Véritable laboratoire social du paternalisme, Montceau voit une fin de XIXe siècle et un début du XXe particulièrement agités par des mouvements sociaux (voir Grèves ci-dessous).
Par son expansion économique et industrielle, la commune connaît une croissance exceptionnelle de sa population, atteignant un maximum de près de 29 000 habitants en 1901, contre moins de 20 000 depuis 2005. Vingt maires se succèdent en 144 ans à la tête de la commune, depuis Léonce Chagot en 1856 jusqu'à Marie-Claude Jarrot en 2020.
La ville fait partie des 17 villes françaises décorées, par décret du 24 avril 1946, de la médaille de la Résistance. La citation précise "dès 1943, malgré de nombreuses et cruelles déportations, la torture, les exécutions capitales, Montceau-les-Mines devient un centre très actif de sabotage et de renseignements. Le "Centre Noir" redouté des allemands s'affirme comme la capitale résistante de la Région... Montceau fournit au département un tiers de ses maquisards. Les "gueules noires" reconnues et recherchées forcent l'admiration par l'audace de leurs innombrables sabotages et embuscades...".
Grèves
En , les Montcelliens élisent un républicain à la tête de la commune, le Léonce Chagot le dirigeant de la Compagnie. Quinze mineurs de tendance républicaine sont licenciés. Une grève éclate le 27 février, à la grande surprise des autorités. Les gendarmes interviennent quelques jours plus tard. Les bases d'un syndicat de mineurs sont jetées et leurs membres tenant leurs réunions en plein air et de nuit sont surnommés la bande noire. Les troubles et attentats anarchistes qui émaillent les années 1882-1884 à Montceau leur sont imputés. Début 1899, des mouvements de grêve commencent avec succès au Creusot, à la faïencerie de Digoin, aux forges de Gueugnon et aux chantiers de Chalon-sur-Saône. Le , un groupe de grévistes se rend au puits Saint-François et réussit à débaucher ses camarades. L'opération est réitérée avec succès au puits Sainte-Eugénie, puis Saint-Pierre et la Maugrand. Une grève générale est en cours. Un comité de grève s'érige en bureau syndical et rallie 8 000 adhérents. Le juillet, les grévistes obtenaient gain de cause, renvoi de la police de la mine, dite Bande à Patin, et reconnaissance du syndicat. Plus tard le patronat aida à la constitution de syndicats dissidents, constitués d'ouvriers acquis à leur cause. Ces syndicats jaunes virent le jour en 1899 au Creusot puis à Montceau où le premier fut officiellement fondé le par un petit groupe de mineurs. Outre la création de ce syndicat jaune pour réduire la force du mouvement ouvrier, la lutte contre la grève de 1899 s'appuie sur l'envoi de 3000 soldats.
En 1900, la dynastie Chagot cède la place à la Compagnie des mines de houille de Blanzy, société anonyme. Un polytechnicien, M. Coste, est nommé directeur de la mine. Jean Bouveri est élu maire le . C'est le premier maire issu d'une liste socialiste élu en France. Un certain réveil libertaire voit le jour parmi les ouvriers. Le directeur avait décidé de réduire les effectifs afin d'augmenter production et productivité. Les ouvriers étaient payés selon la valeur du charbon extrait. Un travail identique ne rapportait pas, malheureusement, un salaire identique. Le , le syndicat, qui avait entrepris des négociations le 19, est débordé par sa base. La grève est déclenchée. Des députés viennent soutenir les mineurs grévistes. La Soupe Populaire est mise en place le . La collecte des vivres et des victuailles s'organisait dans l'arrière-pays. De janvier à , une troupe qui compte jusqu'à 25 000 hommes est déployée à Montceau-les-Mines. Le discours du à l'Assemblée nationale n'eut pas le retentissement escompté par les Montcelliens. La grève de 1901 a été une des plus longues du mouvement ouvrier : 108 jours. Elle se termina le .
Bande noire
Le nom de Bandes noires fut associé aux bandes anarchistes qui commirent des attaques entre 1882 et 1885. Les premières actions spectaculaires furent dirigées contre différents symboles de la religion chrétienne, comme les croix. Le clergé local était alors accusé de beaucoup de zèle envers les ouvriers peu habitués à fréquenter l'église.
En 1883, leurs attaques prennent une tournure différente, et sont majoritairement dirigées contre ceux considérés comme bourgeois, ou informateurs, on peut par exemple citer l'ingénieur Michalowski qui voit sa chambre à coucher dynamitée à trois reprises entre le et le mais qui y échappe à chaque fois.
Le , un piège monté par la gendarmerie et un informateur nommé Claude Brenin, mais l’exécutant (et cible) nommé Jean Gueslaff, censé poser une bombe, tire alors sur deux gendarmes et sur un maréchal des logis qui sont tous les trois grièvement blessés,. Gueslaff est arrêté et dénonce de nombreux membres de la bande noire.
À la suite de cet attentat raté et des arrestations qui suivirent, le procès a lieu en . Durant celui-ci, trente-deux accusés sont jugés : Jean Gueslaff le tireur est condamné à dix ans de travaux forcés, Brenin l'informateur à cinq ans et huit autres membres sont condamnés à des peines allant de quatre ans de prison à vingt ans de travaux forcés. Douze accusés sont finalement acquittés. À la suite de ces lourdes condamnations, les Bandes noires font beaucoup moins parler d'elles.
C'est en 1885 qu'on assiste aux derniers attentats des Bandes noires dans le bassin minier et ses alentours.
Mine de Montceau
Les premiers travaux d'exploitation débutent à Blanzy en 1813 et se propagent ensuite à Montceau en 1820. Depuis 1833, le charbon a toujours été extrait en sous-sol. En 1884, on dénombre 6 500 mineurs pour une population de 24 000 individus. Une part importante de cette population dépend donc directement de la Compagnie, compte tenu que les enfants en fréquentent les écoles. L'emploi des enfants est réglementé. L'entrée à la mine se fait à 12 ans. Une loi du interdit le travail de nuit aux enfants de moins de 16 ans de 9 heures du soir à 5 heures du matin. Le travail souterrain est interdit aux femmes et aux filles. Quant aux jeunes gens, certaines exceptions les amènent à travailler dans les galeries, où les conditions de travail sont particulièrement pénibles. La journée est de 10 heures. Dans l'eau, la chaleur, la poussière, l'angoisse, l'obscurité, les cris. La maladie les guette tous, La Compagnie est très hiérarchisée. Les femmes travaillent aussi mais pas au fond. Les différentes explosions et accidents ont causé près de 400 décès du début de l'exploitation jusqu'à 1882 (voir Coup de grisou). La Grande Guerre permet à la SA des Mines de Blanzy de battre des records de production (2 786 500 tonnes) en 1918. Les puits Darcy et Plichon voient le jour après la guerre.
L'agglomération de Montceau-les-Mines compte une importante communauté polonaise qui, 70 ans après l'arrivée des mineurs polonais, est toujours très active. À la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1946, on trouve encore 8 puits, et 10 000 ouvriers y travaillent. Maurice Thorez, vice-président du Conseil, vient prononcer un discours encourageant la production. Vers 1960, ce seront plus de 100 puits pour une production annuelle atteignant 2,5 millions de tonnes. Mais de plus en plus concurrencées par les productions étrangères, particulièrement par le charbon des pays de l'Europe de l'Est et d'autres sources d'énergie, la production passe sous les 2 millions de tonnes en 1965 puis sous le million en 1985. Le procédé d'exploitation en découverte apparaît dans les années 1980 comme le moyen de sauvegarder des emplois et de maintenir l'extraction du charbon dans la région. Le site d'exploitation de Darcy cesse toute activité le , après 159 ans d'activité. Il n'y a dès lors plus d'exploitation du fond. Le vendredi , l'extraction du charbon dans le bassin minier montcellien se termine avec la fin de l'exploitation en découverte de Saint-Amédée à Sanvignes.
-
Les puits Lucy.
-
Le puits Sainte-Eugénie.
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Le puits des Alouettes.
-
Le puits Maugrand.
Catastrophes minières
- Cinq Sous
- 6 morts le .
- 13 morts le .
- 89 morts le (coup de grisou).
- Ravez
- 10 morts le .
- 29 morts le .
- Sainte-Eugénie
- 41 morts le .
- Le dimanche , un incendie se déclare dans une galerie du puits Sainte-Eugénie. Une formidable explosion le lendemain matin balaie le barrage mis en place pour étouffer l'incendie et tue tous ceux qui s'y trouvaient. 21 morts, 7 disparus, portant à 28 le nombre de victimes de la catastrophe. Deux ans plus tard, un autre accident dans ce même puits coûte la vie à 4 mineurs. À chaque catastrophe, la Compagnie recherche un coupable. En l'espèce, elle désigne le mineur ayant voulu rallumer sa lampe, alors qu'un délégué mineur alertait l'attention des responsables depuis plus de six mois sur l'absence de sécurité et les risques du grisou.
- Plichon
- Le , un coup de poussière ébranle le puits Plichon. Ce que beaucoup redoutaient s'est malheureusement produit. Il s'agit certainement de la catastrophe minière la plus marquante du xxe siècle pour la région (20 morts).
Depuis la fermeture des mines
Depuis la fermeture de la dernière mine à Montceau en 2000, la ville a su se transformer : la zone minière entre le centre-ville et la route express est, en partie, devenue un ensemble de deux parcs, le parc Maugrand, au sud, et le parc Saint-Louis, au nord. De nombreux quartiers ont été réhabilités, et la vie culturelle a été entretenue, notamment à travers le centre culturel créé en 1979 baptisé « Centre d'animation et de rencontres », puis renommé en 2003 « l'Embarcadère ».
La ville maintient donc une dynamique de modernisation et continue sa transformation. Parmi les grands projets en cours de réalisation on trouve :
- la transformation en des logements écologiques d'ensembles sociaux des années 1960.
- la poursuite de la mise à 2×2 voies de la route express qui dessert la ville et qui fait partie d'un axe qui traverse la France, la Route Centre-Europe Atlantique (ou RCEA).
En 2010, Montceau-les-mines est la .
L'ancienne tour de refroidissement (100 centrale thermique de Lucy ont été détruites par explosif le 8 novembre 2023. Mais une partie du site produit depuis 2022 de l'électricité, cette fois à partir de 30 000 panneaux photovoltaïques (alimentant l'équivalent de 7 000 foyers) et la commune envisage aussi une production d'hydrogène in situ.
Elle est en déclin démographique (- 20 % de population en 20 ans).
- Quelques chiffres significatifs de l'évolution des effectifs des houillères
- 1850 - 975 mineurs
- 1914 - 6 700 mineurs
- 1918 - 12 700 mineurs
- 1939 - 8 300 mineurs
- 1948 - 12 000 mineurs
- 1991 - 651 mineurs
- 2000 - Fin de l'exploitation des découvertes.
- Frédéric Lagrange, Chagot-ville ou la naissance de Montceau-les-Mines 1851-1856-1881,, Blanzy, Association la mine et les hommes, 175 p..
- « », sur ordredelaliberation.fr (consulté le ).
- Léon Laroche et al., Montceau à 100 ans, Montceau-les-Mines, Brochure, , 124 p., p. 100.
- Jean-Yves Mollier, Jocelyne George, La Plus longue des Républiques : 1870-1940, Fayard, , p. 351.
- Diana Cooper-Richet, La foule en colère : les mineurs et la grève au XIXe siècle, Revue d'histoire du XIXe siècle, Tome 17, 1998/2. Les foules au XIXe siècle, p. 65.
- R.Beaubernard, Montceau-les-Mines : Un "laboratoire social" du XIXe siècle, p. 114-115.
- Emmanuel Germain, « La Bande Noire : société secrète, mouvement ouvrier et anarchisme en Saône-et-Loire (1878-1887) », Dissidences, ISSN 2118-6057, lire en ligne, consulté le ).
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- « », sur Les Archives du Spectacle (consulté le ).
- « », sur journaldunet.com (consulté le ).
- « », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
- « », sur Office de Tourisme Creusot Montceau, (consulté le ).
Héraldique
Blason | Écartelé au 1) de gueules à la lampe de mineur ancienne d’argent, au 2) d'argent à la masse de sable et à la hache du même passées en sautoir, au 3) d’argent au marteau de sable et au pic du même passés en sautoir, au 4) de gueules à la lampe de mineur de sûreté d’argent ; au caducée de mercure d’or brochant en pal sur la partition ; le tout sommé d’un chef d’azur de trois étoiles d’argent. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Montceau-les-Mines dans la littérature
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