Avallon
Localisation
Avallon : descriptif
- Avallon
Avallon est une commune française située dans le département de l’Yonne, dont elle est, avec Sens, une des deux sous-préfectures, en région Bourgogne-Franche-Comté (sud-est de Paris)
Elle est incluse dans le parc naturel régional du Morvan. Les habitants, appelés les Avallonnais, sont au nombre de 6 387 en 2021
L'aire d'attraction d'Avallon compte 24 457 habitants en 2021 et est composée de 74 communes.
Géographie
Situation
Avallon est dans le sud du département de l'Yonne, à 51 Auxerre. Le département de la Côte-d'Or est à 16 Nièvre est à 9 Domecy-sur-Cure).
La ville, chef-lieu d’arrondissement, est située sur un plateau dominant la vallée du Cousin. Sa superficie est d’environ 2 673 hectares, pour une altitude comprise entre 163 et 369 mètres. Elle s’est établie sur les collines surplombant la vallée du Cousin.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe au nord des communes d'Étaule et d'Annéot à l’est de la commune de Magny ; au sud elle est bordée par Saint-Germain-des-Champs ; à l’ouest par Pontaubert et Vault-de-Lugny.
Aire urbaine et aire d'attraction
Description
D’une superficie 26,75 km2, Avallon est partagée en quatre quartiers.
L'historien Victor Petit décrit la ville ainsi :
« Avallon, ville d’origine extrêmement ancienne, est bâtie dans une situation remarquablement pittoresque. Aussi jugeons-nous utile de mettre sous les yeux de nos lecteurs une carte topographique des environs d’Avallon, un plan de l’ancienne ville et enfin une vue panoramique de la ville actuelle. La vue d’ensemble, prise du haut du parc des Alleux peut donner une idée générale de l’aspect agreste et charmant de la haute colline rocheuse sur le sommet de laquelle se développe la ville tout entière (…).
Vers le centre du dessin on remarque les deux principaux monuments d’Avallon : l’église de Saint-Lazare, et, un peu sur la gauche, la tour de l’Horloge. En avant du clocher de Saint-Lazare se trouvent les restes de l’église Saint-Pierre. Un peu à gauche est le tribunal donnant sur la rue Bocquillot et aboutissant à la Petite-Porte en avant de laquelle on voit la charmante promenade dite Terreau de la Petite-Porte. La tour Gaujard est à gauche ; l’Eperon fortifié, qui domine la route de Lormes, est à droite et domine les beaux escarpements de roches granitiques qui plongent jusqu’au fond de la vallée. Le chevet de l'église Saint-Lazare cache le vaste bâtiment des Ursulines. La tour qui est en face porte le nom de l’Escharguet.
Plus à droite se voit une autre tour s’élevant au-dessus d’une énorme muraille défensive très bien conservée ainsi que sa petite guérite en pierre. Un peu plus à droite, on voit l’église neuve de Saint-Martin. Plus à droite encore, et précédée de quelques arbres verts, on remarque la sous-préfecture. Enfin, à l’extrémité du dessin, on aperçoit l’ancienne église Saint-Martin. En avant s’étend un immense terrain rocheux et ondulé qu’on nomme Les Chaumes. Le versant rapide de cette colline forme, à gauche, le vallon profond qui isole et borde, à l’est, tout un côté de la ville. Le fond de ce vallon est occupé par un petit cours d’eau venant de l’étang des Minimes. Une route longe ce ruisseau, qui traverse un groupe de maisons formant le faubourg de Cousin-La-Roche.
À droite, on voit la route de Quarré-les-Tombes, aboutissant au Pont-Claireau. Le cours du Cousin, divisé par plusieurs îles, occupe le premier plan (…) Remontons à la tour de l’Horloge. Derrière la tour Gaujard, mais à 700 mètres au-delà, se trouve l’Hôpital (…) À gauche de la maison d’école, on voit le Terreau de la Porte-Neuve. Au-dessous on reconnaît la bordure de la route de Lormes, contournant, en écharpe, le flanc cultivé de la montagne, et descendant droit au grand pont du Cousin, par le fond du vallon de l’ouest, arrosé par le petit cours d’eau du Pautot ou de Touillon. On entrevoit ce pont à la base de beaux escarpements de roches de la colline dite La Morlande, au sommet de laquelle s’élève une maison bourgeoise, qui, en construction en 1830, a pris le nom de Maison-d’Alger.
En avant du pont du faubourg de Cousin-le-Pont, s’élance d’une rive à l’autre la belle arche construite pour le passage des tuyaux des fontaines remontant au niveau de la ville après être descendus d’un plateau un peu plus élevé. C’est à l’extrémité de ce plateau que s’élève la belle maison des Alleux, placée au sommet de magnifiques escarpements de roches (…) Le camp des Alleux se trouve tout à fait en dehors de notre panorama et ainsi l’étroite et tortueuse vallée du Cousin est oubliée. La vallée n’est belle que vue de la ville, et la ville n’est réellement belle que vue de la vallée »
Hydrographie
Avallon est traversée par un cours d'eau naturel à l'air libre : le Cousin. La commune reçoit en moyenne 807 .
Le Cousin venant du Sud a un débit moyen de 0,6 à 8,3 . Il peut alors se produire des inondations, mais elles sont rares et localisées. Le débit du Cousin a été observé sur une période de 26 ans (1994-2020), à la station hydrologique d'Avallon.
Le module de la rivière à Avallon est de 3,9 . La surface étudiée du bassin versant à cet endroit est de 347 .
Le Cousin présente des fluctuations saisonnières de débit moyen typiques des rivières du sud-est du bassin parisien (Yonne, Arroux, Cure, Armançon et aussi Dheune et Ouche). Les hautes eaux se déroulent en hiver, et portent le débit mensuel moyen à un niveau de 3,9 à 8,3 . Mais ces moyennes mensuelles cachent des variations bien plus importantes.
Les hauteurs d'eau les plus importantes sont de 2,7 . Les débits les plus importants enregistrés sont de 91 .
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Miroir d'eau en amont de l'échancrure.
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Seuil d'un ancien moulin.
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Échancrure dans le seuil.
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Moulin Brenot et passe à poissons rustique.
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Ancienne tannerie le long du Cousin.
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Arche, près des anciennes tanneries.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 amplitude thermique annuelle de 15,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine à 11 vol d'oiseau, est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- « », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
- « Avallon, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- Petit 1870.
- « », sur Infoclimat (consulté le ).
- Banque Hydro - Ministère de l'Écologie, « » (consulté le ).
- « », sur vigicrues.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Le nom d'Avallon est attesté sous la forme Aballo au ,, il apparaît pour la première fois sur une monnaie du peuple des Éduens. Ensuite l’itinéraire d’Antonin mentionne Aballone et la table de Peutinger Aballo.
Le toponyme est généralement considéré comme issu du nom de la « pomme » en gaulois suivi du suffixe du neutre -on.
Cependant des recherches plus récentes montrent qu’aballo- signifie plus précisément « pommier », le simple abalo- (un seul « l ») signifiant « pomme » (cf. gallois afall, breton avalenn « pommier » ; gallois afal, breton aval « pomme »). La terminaison toponymique -o/-on, d'où Avallon, est un suffixe neutre localisant et Avallon se comprend donc comme « la pommeraie » ou « le verger ». Le nom commun érable conserve peut-être la trace du gaulois abalo-, puisqu’il serait issu d'un composé latin gaulois acer-aballo (latin médiéval acerabulus « érable », siècle) littéralement « érable-pommier », mode de composition que l'on retrouve par exemple dans le vieil irlandais fic-abull « figuier-pommier » → « figuier » ou le gallois cri-afol « sorbier des oiseaux », etc.
Le mot a la même racine que le nom du dieu-arbre Abellio(n), patron de la bonne fructification et protecteur des arbres fruitiers en général.
- Dauzat et Rostaing 1979, p. 40b.
- « », sur archive.org (consulté le ).
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éd. Errance, (ISBN ), p. 1.
Histoire
Antiquité
Le site est déjà occupé avant l’époque romaine. La présence d’un oppidum du peuple gaulois des Éduens en offre le témoignage.
Il semble que la ville dépendait de la province d’Autun. Le Morvan avallonnais a dû jouer un rôle attractif pour les riches familles gallo-romaines venues d’Autun avec ses sources nombreuses et ses immenses forêts. La ville étant facilement accessible grâce à la via Agrippa construite pour relier Lyon à Boulogne-sur-Mer et, à ce titre, elle figure sur la table de Peutinger. À cette époque la ville comporte un temple, un tribunal et un théâtre.
Moyen Âge
Haut Moyen Âge
Au Jonas mentionne un château nommé Cabalonem Castrum cacographie pour Abalonem castrum. Mais ce dispositif d'avertissement défensif n'empêche pas des invasions sporadiques de déferler sur la cité :
- les Sarrasins venus d'Espagne en 731 en Occitanie et y demeurant dans des réduits, tentent des raids parfois fructueux au cœur de la Bourgondie au milieu du VIIIe siècle ;
- les bandes vikings multiplient leurs incursions après 843.
Les habitants, effrayés, décident d'entourer Avallon d'une grande muraille.
Avallon est alors le chef-lieu du pagus Avalensis. Le sort de la bourgade est lié à celui de la Bourgondie : tantôt royaume indépendant, tantôt réuni au royaume d’Austrasie (jusqu’au 806 Charlemagne, dans un capitulaire, fait don d’Avallon et de l’Auxois à son fils Louis le Débonnaire. En 817, celui-ci le transmet à son fils Pépin.
En 931, le duc de Bourgogne Gislebert part en guerre contre le roi des Francs Raoul, son beau-frère, qui s’est emparé d’Avallon et l’a annexé au comté d’Auxerre.
À la fin de l'époque carolingienne, la ville est ravagée par les vikings.
Moyen Âge central
En 1005, le roi Robert le Pieux veut garder le duché de Bourgogne face à Landry de Nevers et à Otte-Guillaume : Avallon est assiégée et prise par l'armée royale la même année. Une fois la ville prise, le château est détruit. La ville retombe aux mains du duché de Bourgogne en 1032, peu après la mort du roi Robert en 1031.
Au siècle, la ville se dote de nouveaux remparts.
Les habitants, serfs ou bourgeois, appartiennent alors à trois maîtres différents : le duc de Bourgogne ; l'abbé de Saint-Martin (l'abbaye ou prieuré St-Martin d'Avallon dépendait de l'abbaye Saint-Martin d'Autun) ; les chanoines de St-Lazare (la collégiale d'Avallon dépendait de Cluny et de l'évêché d'Autun, donc de la cathédrale Saint-Lazare).
En 1200, le duc de Bourgogne Eudes III affranchit les habitants d’Avallon et leur octroie une charte de commune. C'est ensuite l’abbé de Saint-Martin qui imite le duc. Par contre les chanoines, conservateurs, ne cèdent que beaucoup plus tard et sous la contrainte. Ils obtiennent « le droit de nommer quatre échevins pour régir, gouverner, manier, administrer la ville et subvenir à ses affaires et négoces, celui de présenter au choix du roi un capitaine ou lieutenant pour leur défense, et, quand le tiers état est admis aux Etats de Bourgogne, aux alentours du . En 1232 est passée une transaction entre les maîtres et frères de la léproserie d'Avallon et l'abbé de l'abbaye Saint-Martin d'Autun.
Au cours du Moyen-Âge, des citernes et des puits sont installés dans les maisons, la ville disposant de seulement deux sources d'eau : la Morlande et la source Beurdelaine.
Bas Moyen Âge
Malgré une amélioration et un agrandissement des remparts du siècle, Avallon n'échappe pas aux violences engendrées par la guerre de Cent Ans. En 1359, le roi Édouard III d'Angleterre, après avoir bousculé les troupes bourguignonnes à Montréal, s'installe dans l'ancien château de Guillon, d'où il ravage l'Avallonnais. Malgré le traité de Guillon et le départ des Anglais, des bandes de mercenaires continuent à piller la région.
Au commencement du siècle, les tours et les remparts sont en ruines. En 1419 et 1421, une aide financière accordée par les ducs de Bourgogne, Jean sans Peur et Philippe le Bon, permet de les relever. Bien avant cette aide financière, Jean sans Peur avait renforcé les défenses de la ville en y faisant construire la tour Beurdelaine dès 1404 de forme circulaire. Puis en 1419, il fait installer des tours pouvant permettre l'usage de bombardes et améliorer la défense de la porte Auxerroise.
En 1433, Jacques d'Espailly dit Fort-Épice, mercenaire et capitaine au service du roi de France, bailli de Melun, en fait un Ecorcheur au service de Charles VII (Parti des Armagnacs) contre les Bourguignons, s'empare de la ville par surprise et la garde pendant huit mois. Le duc Philippe le Bon en personne commence un siège de six semaines pour reprendre Avallon. Le duc de Bourgogne doit utiliser une bombarde armée de boulets en pierre, des chevaliers et des arbalétriers pour l'assaut de la ville. L'attaque est repoussée par Jacques d'Espailly, mais ce dernier s'enfuit avec quelques hommes à Montréal ce qui permet à Philippe le Bon de s'emparer de la ville le 17 octobre 1433. Toutefois la cité, avec ses faubourgs brûlés et détruits, a perdu la moitié de sa population. Il faut vingt ans à la ville pour se relever de cette épreuve (cf. Ambroise Challe : (L'Echo d'Auxerre) : Le siège d'Avallon ; Ernest Petit : (L'Echo d'Auxerre) : Les Ecorcheurs dans l'Avallonnais, p. 104 et 114 sq.).
Après la prise de la ville, Philippe le Bon fait reconstruire les remparts, dont la Tour Beurdelaine en 1435 pour en faire un dépôt d'artillerie, en partie abattus par la sape et le bélier des assiégeants. Il fait élever en 1453 une tour carrée au point le plus haut d'Avallon, pour y établir le guet et y placer une horloge, puis en 1455, il modernise les fortifications en faisant équiper les remparts pour l'usage des armes à feu. À la même époque, les rues se pavent.
L'époque moderne
En 1543, la population a presque triplé. Mais les guerres de Religion ne vont pas épargner la ville, ainsi les ligueurs, en 1590, causent de grands dommages. La foudre endommage aussi le grand clocher de Saint-Lazare et le petit clocher, respectivement en 1589 et 1595. Il faut ajouter à ce sombre tableau, la peste en 1531, et 1587.
En 1606, la ville subit une nouvelle épidémie de peste. Une des conséquences de l'événement est l'arrivée de quatorze moines de l'ordre des Minimes en 1607. En 1652, avec le soutien d'Anne-Autriche, mère de Louis XIV, l'ordre s'oppose à l'arrivée de l'ordre des Franciscains . En 1622, l'église Saint-Julien passe sous la surveillance de l'ordre avec l'aide de l'ordre des Capucins.
Le .
En 1790, pendant la Révolution française, le couvent des Minimes est vendu à la ville.
L'époque contemporaine
Du 16 au 17 mars 1815, , après s'être enfui de l'île d'Elbe et en route pour Paris, passe la nuit à Avallon, à l'hôtel de la Poste.
Au . C'est dans ce contexte qu'en 1842, Eugène Belgrand réalise des travaux d'adduction d'eau afin de résoudre des problèmes d'alimentation en eau par un système de siphon. Le centre-ville ne possédant pas de nappe phréatique et les eaux pluviales ruisselant jusqu'au bas de la vallée. Lors de ces travaux, un aqueduc construit près des tanneries, passe au-dessus du Cousin. Les travaux se terminent le , même si la fontaine Laboureau en centre-ville ne sera construite qu'en 1870.
Le 16 janvier 1871, les Prussiens bombardent la ville avant de s'en emparer et de piller des magasins et certaines maisons particulières.
- Bataille 1992, p. 23.
- Bataille 1992, p. 25.
- Jacky Besnard, Les agglomérations antiques de Côte d'Or, Presses universitaires de Franche-Comté, , 303 ISBN , lire en ligne), p. 157.
- Bataille 1992, p. 33.
- Martin 1990, p. 146.
- Challe 1857.
- Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte n°XLVIII. Texte en ligne[Où ?]. Voir aussi Essai historique sur l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, de l'ordre de Saint-Benoit, Autun, Michel Dejussieu, , 427 lire en ligne).
- Déborde 2020, p. 14.
- Martin 1990, p. 146.
- « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tourbeurdelaine.fr (consulté le ).
- Martin 1990, p. 147.
- L'Yonne républicaine 2014.
- Villetard 1947.
- . Napoléon essaie de rallier, sans succès, le maire de la ville, Jean-Edme Michel Auguste Raudot à sa cause. Depuis 1911, une plaque ovale en marbre rappelle ce séjour. Source : Claude Garino, Le vol de l'Aigle en Bourgogne, revue « Pays de Bourgogne » n° 224 de février 2010, pp. 23-33.
- « », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le ).
Héraldique
Blasonnement :
D'azur à une tour d'argent maçonnée de sable.
Commentaires : La devise d'Avallon est Esto nobis, Domine, turris fortitudinis (Soyez pour nous, Seigneur, la plus forte des tours !)
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