Vic-le-Comte

Localisation

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Vic-le-Comte : descriptif

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Vic-le-Comte

Vic-le-Comte est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes

Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand et comptait 5 242 habitants au recensement de 2021.

Géographie

Localisation

Vic-le-Comte est située dans le Val d'Allier, à 19,6 Clermont-Ferrand et 11,1 Issoire à vol d'oiseau. Une partie du territoire communal est couverte par les bois de la Comté.

La commune est aujourd'hui composée de deux bourgs : Vic et Longues, ainsi que de plusieurs villages : Lachaux, Enval, Bord, Lépétade, Charbonnier et Brolac.

Elle a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes d'Allier Comté Communauté, intégrée dans le Pays du Grand Clermont. Elle est considérée comme le principal pôle de vie du sud de l'agglomération clermontoise.

Neuf communes sont limitrophes de Vic-le-Comte :

Communes limitrophes de Vic-le-Comte
Corent,
Les Martres-de-Veyre
Saint-Maurice Laps
Vic-le-Comte Pignols
Parent,
Montpeyroux
Yronde-et-Buron Saint-Babel

Hydrographie

La commune est traversée à l'ouest par la rivière Allier.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 16,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat à 8 vol d'oiseau, est de 11,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records PLAUZAT_SAPC (63) - alt : 503m, lat : 45°37'56"N, lon : 3°08'01"E
Records établis sur la période du 01-05-1995 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 0,2 2,4 4,8 8,2 11,7 13,5 13,4 10,1 7,9 3,5 0,9 6,4
Température moyenne (°C) 3,7 4,2 7,4 10,2 13,8 17,6 19,7 19,5 15,8 12,5 7,2 4,3 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,3 12,4 15,6 19,4 23,4 25,9 25,7 21,5 17,2 10,9 7,6 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−13,5
13.01.03
−15,8
09.02.12
−15,4
01.03.05
−7,1
08.04.03
−1,9
15.05.1995
2,1
04.06.01
5,2
17.07.00
3,1
30.08.1998
0,9
30.09.1995
−7,2
29.10.1997
−10,9
22.11.1998
−13,8
15.12.01
−15,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
22,1
30.01.02
22,8
20.02.1998
25,4
17.03.04
27,9
30.04.05
31,1
12.05.15
38,3
29.06.19
38,7
31.07.20
39,5
24.08.23
36,3
04.09.23
32
02.10.23
24,6
08.11.15
19,9
24.12.12
39,5
2023
Précipitations (mm) 29,2 21,2 27,9 56 75,8 64,3 72,8 70,3 52,7 52,9 53,4 30,3 606,8
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  2. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  8. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Vic-sur-Allier,.

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  2. Décret des 25-26 octobre 1792 qui change le nom de la commune de Vic-le-Comte en celui de Vic-sur-Allier.

Histoire

Préhistoire et protohistoire

Le village d'Enval situé au nord du bourg de Vic-le-Comte abrite un vaste site d’habitat en abri-sous-roche d'époque magdalénienne. L'escarpement gréseux est haut de plus de 40 mètres et long de plus d'un kilomètres et surplombe la rive droite (côté nord) du ruisseau de Pignols qui conflue avec l'Allier à moins de 2 . Cette station comprend actuellement trois sites distincts : l'abri Durif,,,, l'abri Moliard et l'abri Enval 2. La relation entre les trois sites n'est pas encore clairement établie. Ils ont livrés de nombreux vestiges lithiques et fossiles dont certains ont été ramassés à plus de 200 kilomètres. D'autres stations de la même période préhistorique ont été découvertes à l'aval, dans le hameau de Charbonnier, dans le bourg de Longues (poignard découvert dans l'enclos de la Banque de France) ainsi que sur d'autres secteurs du territoire communal.

En raison du fort potentiel archéologique de cette partie du territoire communal, celui-ci fait l'objet d'une Zones de présomption de prescription archéologique.

Plusieurs autres vestiges allant de l'âge du bronze à l'âge du fer ont été découverts sur la commune et recensés dans la base patriarche concernant la commune.

Moyen Âge

Du vicus gallo-romain au vicus mérovingien

L'ancienne église paroissiale (aujourd'hui presque entièrement disparue) dédiée à Saint-Pierre, était située à une vingtaine de mètres de l'église Saint-Jean-Baptiste dans laquelle se trouvait, jusqu'à la Révolution, les fonts baptismaux. Cet ensemble ecclésial serait l'un des tout premiers prieurés fondés par l'abbaye bénédictine de Manglieu. La date exacte de sa fondation demeure pour l'instant inconnue et se situerait entre le pour le premier auteur à avoir travaillé sur l'histoire de la commune, période reprise depuis dans les travaux plus récents. Ce prieuré aurait été fondé dans une des églises du groupe baptismal issu d'un chef-lieu d'une paroisse mérovingienne. Le noyau primitif urbain du village actuel se serait développé autour de cet enclos ecclésiale mais les investigations archéologiques manquent pour connaître avec plus de certitudes l'histoire urbaine de la ville des origines.

Aux origines de la ComtéAux origines de la Comté
Guy II d'Auvergne combattant le roi de France Philippe-Auguste. Chroniques de Saint-Denis, British Library.

À l’avènement de Philippe Auguste, la marge de manœuvre du roi de France reste limitée en Auvergne, puisque le comté relève de la suzeraineté du duc d’Aquitaine, vassal du roi d'Angleterre depuis le mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec Henri II Plantagenêt. Mais le roi de France recouvre la suzeraineté sur l’Auvergne en 1189 par le traité d’Azay-le-Rideau. Désormais, il peut agir directement sur les comtes d’Auvergne si ceux-ci manquent à leurs devoirs vassaliques.

Or le conflit permanent entre les évêques de Clermont et les comtes d'Auvergne s'accentue dès 1196 jusqu'à son paroxysme en 1210 où Guy II d'Auvergne attaque plusieurs abbayes dépendantes de l'épiscopat de Clermont dont l’abbaye de Mozac, alors sous protection royale. Philippe Auguste saisit alors cette occasion pour intervenir en Auvergne. Le roi engage tout d'abord des négociations par lettres. Après leur échec, il exploite les possibilités d’interventions qui lui sont offertes par le droit féodal et envoie des troupes en Auvergne.

Pour tenter de renverser un rapport de force qui lui est défavorable, Guy II renoue des contacts en 1212 avec le roi d'Angleterre Jean sans Terre alors en conflit avec Philippe Auguste. Mais malgré une théorique alliance anglaise, le comte Guy II se voit être défait par les armées du roi de France à la suite du siège de Tournoël en décembre 1213. Il est alors dépouillé de son comté dont une grande partie est confisquée par le roi de France. Le grand comté d'Auvergne déjà divisé entre le Dauphiné d'Auvergne créé en 1167, la seigneurie épiscopale de Clermont existante depuis 1202 et propriété de l'évêque de Clermont (agrandie après la confiscation des terres du comte) et le Comté d'Auvergne, comprend désormais une nouvelle partie sous contrôle royal, la Terre d'Auvergne dont la capitale est Riom.

Le Comté d'Auvergne se résume désormais à un petit territoire central de la Limagne autour de Vic-le-Comte sur lequel Guy II conserve ses droits ainsi que le titre de comte d'Auvergne. Les terres restées aux mains du comte se nomment désormais la Comté d'Auvergne. Vic devient dès lors la capitale de la Comté dans laquelle s'installeront désormais les comtes d'Auvergne et prend le nom de Vic-le-Comte.

La Comté d'Auvergne

Le comte d'Auvergne accorde une charte de franchise aux habitants de Vic-le-Comte en 1367. L'administration de la ville est confiée à quatre consuls élus par les habitants.

Bertrand VI de La Tour d'Auvergne et son épouse, Louise de La Trémoille, résolurent de faire construire un couvent de Cordeliers à Vic-le-Comte. La première pierre du couvent est posée le . L'église est consacrée par R. Bertrand d’Audigier, évêque de Bethléem, suffragant du cardinal de Bourbon, le . Jeanne de Bourbon a demandé à être inhumée dans l'église du couvent.

La Comté d'Auvergne est restée dans les mains comtales jusqu'au mariage de Catherine de Médicis, comtesse d'Auvergne avec le roi Henri II. Le comté d'Auvergne passe alors à Henri de France jusqu'à ce qu'il devienne roi en 1574, et intègre alors le domaine du Roi.

De la Renaissance à la Révolution

Lors de son Grand tour de France organisé par sa mère Catherine de Médicis, le jeune Charles IX accompagné de ses frères, après avoir dîné au château de Dieu-y-Soit, (commune des Martres-de-Veyre), longea l'Allier pour rejoindre la ville de Vic-le-Comte et y passer la nuit du 29 au 30 mars 1566,. Le lendemain, il quitta Vic-le-Comte pour rejoindre Saint-Amant-Tallende.

Dans le contexte des Guerres de Religion, dans la lutte qui opposa la Ligue catholique au roi Henri IV, Vic-le-Comte subit un siège de vingt-sept jours et fut conquis par la Ligue le . Une grande partie des Ligueurs étaient de Riom, ce qui entraîna ensuite des combats entre cette ville et celles de Clermont et Monferrand : « Les Clermontois faisaient de fréquentes sorties, et dans leurs courses rapides enlevaient tous ceux qui n'étaient pas des leurs, imposant un rachat considérable ou une rude prison. Des villages surpris et brûlés, des captures successives… ».

Époque contemporaine

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La faïencerie de Vic-le-Comte

Les évolutions politiques et économiques issues de la Révolution (loi Allarde de 1791 favorisant la libre entreprise, adjudication et vente des biens nationaux à partir de 1791), la demande de plus en plus importante en faïences dans la population rurale, et enfin le blocus continental vont favoriser l'essor d'une industrie de la faïence fine en France. Dans le département du Puy-de-Dôme, après celles de Clermont-Ferrand, Ravel et Billom, c'est Vic-le-Comte qui accueillera une fabrique sur son territoire. La date d'implantation de cette faïencerie n'est pas connue (un plan et une coupe d'un fourneau pour la faïencerie de Vic-le-Comte réalisé en 1789 par l'architecte Michel Amable Richier est conservé à la médiathèque de Clermont-Ferrand) mais son activité n'est certaine qu'à compter de 1829. La faïencerie est installée dans l'ancien couvent des Cordeliers, vendu comme bien national aux enchères publique le 5 février 1791. La production de faïence perdurera jusqu'en 1876. Aujourd'hui, les remaniements successifs des bâtiments ou leur démolition partielle ne permettent pas de retrouver le four ni aucune trace de cette activité manufacturière.

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La papeterie de la Banque de France

La papeterie qui fabrique le papier des billets émis par la Banque de France est située à Longues dans la commune de Vic-le-Comte. Elle y est installée depuis 1919, date de début de sa construction mais elle n'entrera en production qu'en 1923. Auparavant, c'était la papeterie de Biercy, encore appelée papeterie du Gouffre, installée dans la commune de Jouarre dans le département de Seine-et-Marne qui produisait le papier-monnaie de la Banque de France. Cette papeterie fut aménagée entre 1862 et 1865 et la Banque de France s'y installe à partir de 1876 afin de compléter la production de la papeterie de Crèvecœur-Marais sur la commune de Jouy-sur-Morin. Lors de la bataille de la Marne durant la Première Guerre mondiale, les Allemands sont à quelques kilomètres de la papeterie de Biercy. La Banque de France décide alors de reprendre en gestion directe la fabrication (papeterie et imprimerie) des billets, jusque-là confiée en partie à des sociétés privées comme celle de la papeterie de Jouy-sur-Morin et surtout de regrouper ces installations dans le centre de la France, en Auvergne, loin des frontières et des grands axes de circulation. C'est ainsi qu'en 1916, deux terrains sont acquis par la Banque de France : l’un à Chamalières, où sera créée l’imprimerie, l’autre à Vic-le-Comte, pour accueillir la papeterie. Le site de Vic-le-Comte sera d'ailleurs préféré à celui de Blanzat dans la vallée du Bédat. L'usine de Vic-le-Comte va dès lors progressivement remplacer celle de Biercy qu'elle supplantera définitivement en 1933.

  1. « Vic-le-Comte, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. [Bourdelle & Merlet 1991] Yves Bourdelle et Jean-Claude Merlet, « Le site d'Enval. Commune de Vic-le-Comte (Puy-de-Dôme) », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee]).
  3. [Surmely et al. 1997] Frédéric Surmely, Laure Fontana, Yves Bourdelle et René Liabeuf, « Nouveaux éléments apportés à l'étude du site magadalénien d'Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme, France) et du peuplement de la Limagne d'Auvergne », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee]).
  4. [Pales & Saint-Péreuse 1979] Léon Pales et Marie Tassin de Saint-Pereuse, « L'abri Durif à Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme) : II. Gravures et sculptures sur pierre », Gallia Préhistoire, lire en ligne [sur persee]).
  5. [Delpech 1998] Françoise Delpech, « Note sur la faune magdalénienne de l'abri Durif à Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme)/Note on the Magdalenian fauna of the Abri Durif at Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme) », Paléo, lire en ligne [sur persee]).
  6. Frédéric Surmely, « Objets de curiosité dans le site magdalénien d’Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme, France) », PALEO. Revue d'archéologie préhistorique, ISSN 1145-3370, DOI 10.4000/paleo.4823, lire en ligne, consulté le )
  7. Fréderic Surmely, Laure Fontana, Yves Bourdelle et René Liabeuf, « Nouveaux éléments apportés à l'étude du site magdalénien d'Enval (Vic-le-Comte, Puy-de-Dôme, France) et du peuplement de la Limagne d'Auvergne », Bulletin de la Société préhistorique française, DOI 10.3406/bspf.1997.10875, lire en ligne, consulté le )
  8. Yann Deberge, INRAP, Ancienne route de Saint-Maurice à Longues (Rapport de diagnostic), SRA Auvergne, , 64 p.
  9. Yann Deberge, INRAP, Longues (Rapport de diagnostic), SRA Auvergne, , 61 p.
  10. Gérard Vernet, « Vic-le-Comte – Longues », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia,‎
  11. «  », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  12. Jean-Baptiste Fouilhoux, Vic-le-Comte : monographie d'une paroisse : 1ère partie : histoire religieuse, lire en ligne), p. 8
  13. Gabriel Fournier, Le peuplement rural en basse Auvergne durant le haut Moyen-Âge : Thèse pour le doctorat ès lettres présenté à la faculté des lettres et des sciences humaines de l'université de Paris, Paris, Presses Universitaires de France, , 683 p., pp 187-189
  14. Rémy Roques, «  », sur journals.openedition.org, mis en ligne le 03 janvier 2022 (consulté le ).
  15. Cambridge University Press, , 486 ISBN , lire en ligne), p. 239-240.
  16. R. P. Jacques Fodéré, « Narration historique et topographique des convens de l'ordre de S. François et monastères Saincte-Claire érigez en la province anciennement appelée de Bourgogne, à présent Sainct-Bonaventure. De la Custoderie d'Auvergne. Du convent de Vic-le-Comte », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Ferdinand Thibaud imprimeur-libraire, lire en ligne)
  17. Jean Anglade, Histoire de l'Auvergne, Paris, Hachette littérature, , 383 ISBN , BNF 34559868), p. 117.
  18. Jean-Baptiste Fouilhoux, Fiefs et châteaux forts relevant de la comté d'Auvergne (capitale Vic-le-Comte) par le chanoine J. B. Fouilhoux, Clermont-Ferrand, Mémoires de l'Académie des sciences et belles-lettres et art de Clermont-Ferrand, Deuxième série, fascicule 27e, , 540 lire en ligne), p. 52-53
  19. «  », sur 45°42'38.9"N 3°12'30.4"E (consulté le ).
  20. C. de Baschi et L. Ménard, Pièces fugitives pour servir à l'histoire de France : Avec notes historiques et géographiques, lire en ligne), p. 70
  21. Pierre Champion, Catherine de Médicis présente à Charles IX son royaume : 1564-1566, Paris, Editions Bernard Grasset, , lire en ligne), p. 414
  22. André Imberdis, Histoire des guerres religieuses en Auvergne, pendant les lire en ligne), p. 226.
  23. «  », sur bibliotheques-clermontmetropole.eu (consulté le ).
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  25. Centre France, «  », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
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  27. Bruno Jégou, « La dynamique séculaire d’industrialisation dans les vallées des Morin et de la Marne », dans Jean-Claude Daumas, Pierre Lamard et Laurent Tissot (dir.), Les territoires de l’industrie en Europe (1750-2000). Entreprises, régulations et trajectoires, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, , 71-86 ISBN , DOI 10.4000/books.pufc.27374, lire en ligne), p. 80
  28. Centre France, «  », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  29. Jean-Claude CAMUS, La Fabrication des billets à Chamalières et à Vic-le-Comte: Cent ans d'histoire industrielle, FLAMMARION, , 224 ISBN )
Héraldique

Les armes traditionnelles de la ville de Vic-le-Comte se blasonnent ainsi : D'or à trois macles de gueules remplies d'argent ; au chef de gueules plain.

Blason de la ville de Vic-le-Comte

D'Hozier donne un champ différent : D’argent à trois macles de gueules ; au chef du même.

Blason de la ville de Vic-le-Comte d'après Charles D'Hozier dans l'Armorial général de France (édit de 1696), 2e volume, Auvergne, folio N°288.
  1. «  », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  2. Charles-René d'Hozier, Volumes reliés du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, par Charles d'Hozier. (1697-1709). II Auvergne, 1701-1800, 462 lire en ligne), p. 288

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