Sainte-Florine
Localisation
Sainte-Florine : descriptif
- Sainte-Florine
Sainte-Florine est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes
Depuis la création de l'ancien diocèse de Clermont, le village était intégré à l'Auvergne et culturellement rattaché à l'aire d'influence de l'Aquitaine
Situé dans la région traditionnelle du Brivadois et rattachée à l'histoire d'Auzon et du Brivadois, Sainte-Florine a été successivement un village fortifié, une ville minière, un village auvergnat et vigneron et une petite ville située aujourd'hui non loin de l'autoroute A75
Rattachée à la Haute-Loire après la Révolution, Sainte-Florine est aujourd'hui intégrée à la grande région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
Localisation
La commune de Sainte-Florine se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune est située à l'extrême pointe nord-ouest du département de la Haute-Loire. Elle est bâtie sur une cuvette peu profonde. la commune est située dans une cuvette près d'un plateau partageant l'Allier et l'Allagnon. Le plateau de Pegrey est au Sud-Ouest : il s'y trouvait la mine de Grosménil. Au Nord se trouve la colline d'Armois. A l'Est se situe la falaise de Chamas. souhaitée]
Elle se situe à 73 du Puy-en-Velay, préfecture du département, et à 16 , sous-préfecture
Les communes les plus proches sont : Brassac-les-Mines (1,3 Frugerès-les-Mines (2,3 Vézézoux (2,3 Charbonnier-les-Mines (2,8 Jumeaux (3,4 Vergongheon (3,8 Lempdes-sur-Allagnon (4,3 Moriat (4,4 km).
Géographie culturelle
Sainte-Florine fait partie de l'Auvergne. Le village est situé dans le Brivadois et a appartenu au Brivadois des chanoines "comtes" de Brioude. L'identité culturelle et cultuelle de Sainte-Florine s'est construite dans le Brivadois : irrémédiablement lié à Florine (dont on connaît encore mal le culte à travers les siècles), le village de Sainte-Florine était lié à celui de Mazoires qui détenait également des reliques de la sainte. L'histoire du culte de Florine reste à faire.
L'architecture de Sainte-Florine montre l'utilisation d'une pierre tendre et rappelle les constructions de Lamontgie. Comme dans de nombreux villages de cette partie de l'Auvergne, les bâtiments de fermes ne sont pas très grands hormis les grands domaines... souvent les petites maisons sont dotées d'escaliers : région vigneronne. Enfin c'est la tuile romaine qui règne initialement dans cette partie de l'Auvergne même si, depuis l'industrialisation, les couvrements des toitures sont diversifiés.
Brioude était parvenue à un haut degré de centralité au XIIIe siècle : Brioude dépassait Montferrand et même Saint-Flour. Il faut donc souligner que Brioude est à cette date un phare économique dans la région en plein essor.
Lieux-dits
- Arrest
- Fondary
- Grosmenil
- Moulin d'Alagnon
- Moulin du Dardelin
- Tuilerie la Leuge
- Verrerie Mègecoste
- Château de Bellevue
Communes limitrophes
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 amplitude thermique annuelle de 16,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontannes », sur la commune de Fontannes à 15 vol d'oiseau, est de 11,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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- Stephan Georg, « », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- Jean-Luc Fray, "Quelle est la nature et le degré de la "centralité" de Brioude ? Comment comprendre le Brivadois et sa place par rapport aux autres territoires ?", dans, Brioude aux temps féodaux, Presses universitaires Blaise-Pascal, , p.40.
- (1887 Comte de Saint-Maurice)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Histoire
Historiographie
Aucun historien de métier n'a fait d'expertise de l'histoire de Sainte-Florine. L'abbé Cubizolles a donné quelques indications précises et quelques articles d'amateurs font allusion à Sainte-Florine dans l'Almanach de Brioude. Enfin, le mémoire d'Huguette Redon a le mérite d'exister mais il ajoute de la "légende" avec quelques caricatures historiques regrettables et ne donne malheureusement pas les sources. Un travail sérieux reste donc à conduire.
L'ancien bourg : une villa romaine
La villa de Seiverag semble issue de l'Antiquité. Des structures gallo-romaines ainsi que des monnaies datées du siècle chemin de fer. Nous ne possédons pas d'"Actes" du martyre de la vierge Florine. Le premier texte mentionnant le sanctuaire de Florine est le cartulaire du monastère de Sauxillanges.
La ville a porté différents noms à travers les âges. D'abord nommé Seveirag dans les sources, il semble qu'une forteresse était située sur les hauteurs de l'actuel Sainte-Florine (?). On ne connait que mal la forme de ce bâtiment. Le nom vient de Sever Ager dont la traduction signifie "région administrative de Sévère" (gouverneur romain). Puis le nom de Florine apparaît. La légende fait remonter l'histoire de Florine au temps de Brandulus (Ive s.) mais rien n'est certain. Plus tard, Sainte-Florine a été dénommée "Florine-Les-Charbons" : les fougues révolutionnaires avaient voulu supprimer le nom trop « chrétien » de la ville. Mais en 1798, le nom « Sainte-Florine » revient non sans mal...
Sancta Florina
Du an mil, nous ne savons absolument rien pour l'instant, faute de fouilles.
Le vieux bourg de Seiverag fut supplanté par celui de Sancta-Florina. Brandulus étant gouverneur d'Auvergne, (?) Florina martyrisée devint un exemple pour les habitants de Seiverag. Florine fut alors considérée comme sainte et le culte débuta. Le nom Florine dérive de "fleur" et peut également évoquer "Flore" déesse italienne de la végétation mais aussi Flora de Cordoue, vierge et martyre (+851).
Féodalité : château et fortifications
La connaissance des sources n'est pas encore claire : les écrits érudits et les articles mélanges parfois plusieurs lieux : où était situé le château ? On peut penser que le quartier de la corne était le lieu du dit "château". Dès le début de la féodalité, les seigneurs d'Auzon tiennent ce domaine en fief (cultura de Sainctae Florinae, vicaria d’Also).
Cette villa est également mentionnée dans une charte du siècle où, Bompar d'Auzon, donne au chapitre de Saint-Julien de Brioude, un manse appartenant à cette villa. Un sanctuaire chrétien est édifié et les d'Auzon ainsi que la famille de Laroche se partagent ses revenus. Le fondateur, un propriétaire terrien, ancêtre de Bompar d'Auzon, parent de Guillaume de la Roche, qui avait donné sainte Florine comme titulaire au sanctuaire avait édifié un sanctuaire à ses frais sur ses terres. Ainsi vers l'an mil un terroir porte déjà la nom de Florine. Seveirag, la villa romaine du lieu était donc devenu un petit village entourant la chapelle Sainte-Florine. Dès le début du XIIe siècle, le village de Sainte-Florine porte le nom de la sainte : il est souvent appelé à l'époque "villa de Sainte-Florine". On connait également deux clercs de l'église de Sainte-Florine : en 1112, un certain Robert est prêtre de Sainte-Florine et en 1122, un certain Julien est nommé comme chapelain de Sainte-Florine.
Si l'on en croit le rapport d'Huguette Redon, le dit "château" est au XVe siècle véritablement une forteresse appartenant au seigneur de La Roche. Vers 1700, le seigneur du lieu est le chevalier Jean-Baptiste de Pons, comte de Collanges et de Sainte-Florine...
En 1070 (?), le seigneur de la Roche aurait fait don de l'église de Sainte-Florine (à quoi ressemble-t-elle ?) aux moines de Cluny par le truchement de Sauxillanges.
Couvent de moniales de Sainte-Florine
Le monastère est situé à côté de l'église Saint-Jacques. Il est composé de logis aménagés autour d'une cour rectangulaire. En mauvais état, il est aujourd'hui menacé. Les logis ont été vendus séparément à la Révolution. Les logis de type vigneron sont toujours visibles. Dans la région, la première communauté de religieuses s'établit en 1151 à Esteil alors sur la commune d'Auzat-sur-Allier. Elle se développe rapidement. En 1201, Sybille, fille du comte d'Auvergne Robert V et religieuse de Fontevrault maison mère de l’ordre de Fontevraud fait élever un autre couvent à Seiverag qui va prendre le nom de Sainte-Florine. En avril 1641, l'église est construite. Le monastère compte vingt moniales. La dernière prieure de Sainte-Florine avant la fin de l'Ancien Régime est Marie de la Volpilière (1787)[réf. à confirmer]. On peut penser que le dit cloître correspond à l'actuelle cour carrée située à côté de l'église. L'entrée des moniales se faisait par la chapelle accolée encore à l'église. Les moniales devaient assister à l'office dans la chapelle.
Au XIIIe siècle, on connait le nom des prieures Catherine de Lespinasse et Catherine de Trizei. On décide visiblement de faire fortifier le couvent. La tour carrée était-elle de cet élément fortifié ? On peut le penser, mais la formule reste étrange pour un couvent. L'ensemble des années 1440 est aujourd'hui visible - fondu dans des constructions. En 1635 des moniales de Sainte-Florine fondèrent le prieuré fontevriste de Brioude. Le prieuré et les biens de la communauté ont été vendus en 1791.
Période révolutionnaire
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Florine-le-Charbon : il faut signaler également que pendant certaines périodes, la procession d'enterrement (en tenue de choeur pour le prêtre) était interdite dans les rues de la ville.
L'église paroissiale (Saint-Jacques)
L’église de Sainte-Florine a été construite au (1641). Elle est issue d'un vieux prieuré fontevriste.
En 1070 l'église est confiée à Sauxillanges. Puis en 1201 une église est construite vers le couvent. L'église actuelle reconstruite sur les murs de l'ancienne église (on remarque des reprises du mur du chevet plat), a été réparée vers 1743. L'autel et les boiseries (malheureusement à restaurer) sont de 1755 : il est représenté la prieure du côté de l'épître et Sainte-florine du côté de l'évangile : deux médaillons. L'artisan a signé le maitre-autel : "amiral fecit". Remise en état en 1936 générale de l'édifice.
Le tracé du cloître du couvent reste visible. La chapelle latérale conserve la trace de ce couvent. La nef couverte en plein cintre possède un seul bas côté nord. Le chœur assez étroit se présente sous la forme d'un chevet plat. Le clocher carré est percé de deux baies à arc brisé sur chaque face. Ce clocher est-il le vestige "gothique" des églises postérieures : on peut le penser, il présente les caractéristiques des XIIIe et XIVe siècles.
En façade une rose étroite surmonte le portail, tandis qu'à l'est la rose ouvrant sur le chœur a été obturée sûrement lors du montage du retable de bois montant jusqu'à la voûte. La chaire démontée se trouve être coupée en plusieurs morceaux. Le corps de la chaire se situe dans le chœur tandis que son parapluie se trouve entreposé au-dessus de la porte latérale. Un escalier dans œuvre est ménagé dans le mur et permet d'accéder au balcon de bois surplombant l'espace d'avant-nef. L'église paroissiale est dédiée à saint Jacques. d'après d'anciennes photographies le banc de communion était également surmonté d'un arc de nef en fer forgé délimitant l'espace du clergé cloitré ? La chaire était située à droite.
La chapelle Sainte-Florine (cimetière)
Au , la chapelle (datant de 1740) dédiée à sainte Florine a été reconstruite près du cimetière. Elle possède une nef unique voûtée en plein cintre et un chevet plat. Les parements sont réalisés en appareil irrégulier. Un simple clocheton termine le pignon de façade. Un auvent réalisé en béton et en bois, fait office d'avant-nef, séparé de la nef par une simple grille. L'autel, surmonté de colonnes torsadées polychromes, a été modifié récemment par des fresques contemporaines avec un tableau moderne représentant la sainte.
En 1739, il y eut la bénédiction de la chapelle. Puis en 1780, il y eut la construction d'une nouvelle chapelle. Elle fut restaurée en 1808, en 1873, 1903, 1936.
Gilbert Belin a réalisé des peintures murales sur l'ensemble de la chapelle en 2013. Les fresques représentent la sainte et des passages de la vie du Christ dans des paysages imaginaires rappelant tant les décors médiévaux que contemporains. On retrouve les thèmes de la nativité du Christ, de la passion du Christ, de sainte Véronique, des rois mages et même de saint Jean. Les décors baroques ont été intégrés partiellement à cette nouvelle décoration. L'iconographie riche en détails redonne une nouvelle vie à cette chapelle. Le tableau baroque de la sainte a été déplacé pour l'instant dans l'église paroissiale pour laisser la place à une représentation contemporaine de Florine. Dans un style décomplexé, reprenant la tradition iconographique des grands thèmes de la peinture chrétienne, le peintre a fait jouer les couleurs vives. Les éléments végétaux, les branches, les montagnes rappellent l'iconographie médiévale. Les personnages eux ne sont pas sans rappeler Buffet ou peut-être même Cocteau. Les scènes tragiques de la passion prennent un caractère attendrissant et aimable. C'est toute la synthèse d'un héritage chrétien merveilleux qui se joue sur un fond bleu représentant le ciel éternel. Ce ciel rappelle encore la tradition des voûtes étoilées médiévales et de la Renaissance.
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voute Sainte-Florine
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descente de croix (chapelle Sainte-Florine
La liturgie "florinoise"
Il est difficile de faire l'histoire de la liturgie de Sainte-Florine. Assurément, et d'après les études récentes, la liturgie brivadoise rayonnait dans l'ensemble du Brivadois et même au-delà. Dans l'église de Pébrac, on avait copié pour bréviaire de Brioude pour l'adapter à la communauté. La liturgie fontevriste réservait certainement une place particulière à sainte Florine dans le couvent de la ville. Aujourd’hui les bréviaires de Brioude donnent quelques information sur le culte de la sainte. Après la Révolution, la paroisse toujours fervente, avait construit et reconstruit une chapelle spécialement dédiée à sainte Florine. L'abbé Cubizolles, dans son étude consacrée à sainte Florine avait relevé la présence de Florine dans le bréviaire de 1518 de Brioude. Une étude récente révèle que sainte Florine était célébrée par les chanoines de Brioude depuis les années 1420. Les bréviaires du Puy et de Clermont n'en parlent pas. Les missels de Brioude ne parlent pas de Florine avant le XVe siècle : la réputation de la sainte était peut-être plus locale. On fête Florine par une liturgie de 3 leçons à Brioude dès 1420. Au XVIIe siècle Florine est toujours fêtée à Brioude par un office de "commémoraison". Cette fête était célébrée à Brioude le du XVe siècle jusqu'au XVIIe siècle. Dès le XVIIIe siècle, la fête de Florine était réalisée à Brioude à la date du .
Les édifices de "Florine" (Mazoires & Sainte-Florine)
Ici se trouvent l'église de Sainte-Florine - dédiée à saint Jacques (commune de Sainte-Florine), la chapelle de Sainte-Florine, et l'église de Mazoires (village de la sainte)
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Église paroissiale de Sainte-Florine dédiée à saint Jacques
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Statues du retable.
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Sacristie.
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Église de Mazoires où sont les reliques de sainte Florine.
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Le retable tridentin de la chapelle de Sainte-Florine dégradé en 2012.
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La récente restauration valorise l'église dans son aspect déjà revisité dans les années 1930. L'église avait un autre aspect plus « tridentin » avant le siècle.
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nef de l'église paroissiale
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Maitre autel de l'église de Sainte-Florine
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Chapelle Sainte-Pezade (Sainte-Florine) sur le lieu du martyr (d'après la légende)
Charbon & vins
On ne peut parler de cette partie de l'Auvergne sans rappeler l'histoire des mines. Malheureusement, les villes du bassin minier ont souvent décidé d'effacer les traces de l'histoire : les monuments de la Mine sont souvent rasés : ce fut le cas à Auzon. Pourtant, on fait de l'extraction du charbon la principale économie de la région au XIXe siècle et au XXe siècle. Depuis le XVe siècle, peut-être avait-on commencé à l'exploiter.
On ne peut effacer non plus de la mémoire le passé viticole de la région. La récolte de 1792-93 avait été abondante en Auvergne alors qu'elle été déficitaire dans les autres provinces. Les marchands de l'Allier vendaient du vin ou du charbon : il fut un temps ou le vin était plus porteur que le charbon.
- Abbé Pierre Cubizolles, Auzon : ville royale fortifiée : une des treize « bonnes villes » d'Auvergne, Nonette, Créer, , 462 ISBN , lire en ligne), p. 58.
- Abbé Pierre Cubizolles, Sainte-Florine Vierge et martyre, p. 3.
- Abbé Pierre Cubizolles, Sainte-Florine : Vierge et martyre, p.8.
- Huguette Redon, Sainte-Florine, mémoire, sans date, p.9.
- Abbé Pierre Cubizolles, Le Diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Créer, (lire en ligne), p. 132.
- Abbé Pierre Cubizolles, Le Diocèse du Puy-en-Velay, des origines à nos jours, Éditions Créer, 2005.
- Joelle Ernoul, « » (consulté le )
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- Denys Tixidre, L'Église et le monastère de Sainte-Florine, Almanach de Brioude, 1940-1941, p. 11-60.
- Huguette Redon, Sainte-Florine, mémoire, p.73.
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- Fabien Vivier, Saint-Julien de Brioude, Recherches sur les liens ..., thèse, (lire en ligne).
- Fabien Vivier, La Collégiale Saint-Julien de Brioude (43). Recherche sur les liens entre l'architecture ecclésiale, son agencement iconographique & la liturgie d'une communauté canoniale au Moyen Âge, vol. VII (thèse dirigée par Bruno Phalip), .
- Fabien Vivier, Saint-Julien de Brioude, Recherches sur les liens ..., thèse, (lire en ligne).
- Huguette Redon, Sainte-Florine, mémoire, p.34.
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Sainte-Florine dans la littérature
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