Gannat

Localisation

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Gannat : descriptif

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Gannat

Gannat est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes. Bureau centralisateur de canton, sous-préfecture jusqu'en 1926, la commune comptait 5 759 habitants en 2021. On y trouve un château du Moyen Âge et deux principales églises : Sainte-Croix de Gannat, au centre de la ville, qui possédait un évangéliaire du IXe siècle, et Saint-Étienne, dans le faubourg du même nom. Chaque été, au mois de juillet, s'y déroule le festival Les Cultures du monde.

Géographie

Localisation

Gannat est située en Limagne bourbonnaise, au sud du département de l'Allier, au carrefour d'axes routiers importants.

Par la route, elle est située à 51 Clermont-Ferrand, à 57 Moulins (préfecture de l'Allier) et à 21 Vichy.

Dix communes sont limitrophes, dont deux dans le département limitrophe du Puy-de-Dôme.

Communes limitrophes de Gannat
Bègues Mazerier Saulzet,
Monteignet-sur-l'Andelot
Ébreuil Gannat
Saint-Priest-d'Andelot
Champs (Puy-de-Dôme)
Saint-Genès-du-Retz
(Puy-de-Dôme)
Poëzat, Charmes

Géologie et relief

Hydrographie

La ville de Gannat est arrosée par l'Andelot, ruisseau affluent de l'Allier ; son cours est canalisé dans la traversée de la ville et longe au sud le tracé des anciens remparts. Le Sigillon prend sa source sur la commune, traverse le faubourg Saint-Étienne puis les quartiers du nord, avant de se jeter dans l'Andelot. En amont de la ville, l'Andelot reçoit le Gouënant, à proximité de la chapelle Sainte-Procule.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 amplitude thermique annuelle de 16,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 5 vol d'oiseau, est de 11,9 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records CHARMES_SAPC (03) - alt : 330m, lat : 46°03'48"N, lon : 3°14'01"E
Records établis sur la période du 01-08-1995 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,7 3,1 5,6 9,1 12,7 14,4 14,5 11,1 8,5 4 1,4 7,2
Température moyenne (°C) 3,9 4,6 8 11 14,5 18,5 20,6 20,5 16,7 13 7,5 4,5 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7 8,5 12,9 16,3 19,9 24,3 26,9 26,6 22,2 17,5 11,1 7,5 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−12,1
25.01.07
−14,3
05.02.12
−13,7
01.03.05
−5,6
08.04.03
−0,1
07.05.1997
3,6
04.06.01
7
17.07.00
4,8
30.08.1998
1,5
28.09.08
−6
29.10.1997
−9,4
22.11.1998
−12,3
15.12.01
−14,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19
30.01.02
22,1
24.02.21
25,7
31.03.21
29,3
30.04.05
32,2
27.05.17
41,2
26.06.19
42,1
24.07.19
39,9
12.08.03
36,6
04.09.23
32
02.10.23
23,9
01.11.14
17,9
25.12.22
42,1
2019
Précipitations (mm) 39,1 25,1 39 63,9 79,1 67,3 69,2 73,1 57,3 57,4 61,2 43,7 675,4
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  2. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  3. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  4. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906.
  5. Carte de Gannat sur le site Géoportail de l'IGN.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Origine du nom

Le nom originel de la ville de Gannat est Watenacum comme cela est attesté par des monnaies mérovingiennes où figure la mention latinisée Vaddinacum (germanique - Watenus - complété par un suffixe gallo-romain « acum » qui veut dire « domaine ». Gannat est donc Watenacum : « le domaine de Watenus ».

Langue régionale (bourbonnais)

Carte linguistique de l'Allier selon l'Atlas sonore des langues régionales de France (CNRS). En rouge sombre : le bourbonnais du Croissant ; en bleu : le bourbonnais d'oïl ; en vert : l'arpitan.

Le bourbonnais du Croissant,qui fait partie de l'occitan, donne par la suite la forme Gatnat. Gannat fait en effet partie de la moitié méridionale de l'Allier qui appartient traditionnellement à l'aire linguistique du Croissant : c'est une zone où l'occitan (la langue d'oc) connaît des traits de transition vers le français (la langue d'oïl).

  1. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Librairie Droz, (ISBN , lire en ligne), p. 743
  2. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda (Limsi, CNRS), « Comparaison de dialectes du Croissant avec d’autres parlers d’oïl (berrichon-bourbonnais et poitevin-saintongeais) et d’oc », communication au colloque « 2èmes Rencontres sur les Parlers du Croissant », Montluçon, 2019, [lire en ligne].
  3.  », sur jornal.aprene.org ; site officiel d'Aprene !, .
  4. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, Paris, L'Harmattan,‎ (ISBN , lire en ligne).
  5. «  », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .

Histoire

Avant les hommes

Les traces les plus anciennes découvertes à Gannat remontent à quelque vingt-trois millions d'années. Ce sont des brachypothères, autrement dit des rhinocéros de la fin de l'Oligocène et du début du Miocène.

Gannat, dont les hauteurs à l'ouest bordaient le lac tropical qui couvrait la Limagne, semble avoir été un véritable cimetière pour ces animaux, si bien que l'on découvre des multitudes d'ossements fossilisés. On trouve aussi des poissons, reptiles, tortues ou crocodiles, des oiseaux galliformes, des mammifères, des marsupiaux, des insectivores, rongeurs et carnivores. Le site est particulièrement riche en fossiles de rhinocéros. Dès 1854, Duvernoy fit même la description d'un spécimen dit Acerotherium gannatense (le nom officiel restant Diaceratherium lemanense, le « Diaceratherium » de la Limagne). À ce jour, le squelette le plus complet de rhinocéros fut découvert en 1993 quand d'importants fossiles furent mis au jour sur la carrière de la Sichaux (près du Mont Libre) par le paléontologue François Escuillié (notamment découvreur d'un petit mammifère proboscidien, ancêtre de l'éléphant d'il y a 50 millions d'années). Ce dernier fut également à l'origine de la création de l'association Rhinopolis en 1994 et fondateur de Eldonia, société entre autres spécialisée dans la rénovation de fossiles et dont les activités étaient à l'origine liées à Rhinopolis. L'association Rhinopolis est toujours active sur la carrière de Gannat et depuis les années 1990 de nombreux ossements de rhinocéros ont été découverts.

Diaceratherium lemanense, dont de nombreux spécimens incomplets ont été trouvés à Gannat, mesurait environ 1,50 herbivore qui se nourrissait de feuilles, de branchages et de fruits. L'espèce a été décrite pour la première fois par Auguste Pomel en 1853, mais Cuvier, dès 1824, en avait étudié un fémur trouvé à Gannat, qui fut plus tard attribué à cette espèce.

Une autre espèce de rhinocéros fossile, plus proche de nos rhinocéros actuels, a été trouvée à Gannat, mais elle est beaucoup moins bien connue : Pleuroceros pleuroceros. Il était plus petit et moins lourd que Diaceratherium, également herbivore. Les mâles avaient deux cornes nasales symétriques. C'est également à partir d'une découverte de Gannat (crâne) qu'il a été décrit par Duvernoy en 1852.

Gannat est une très importante localité pour la paléontologie. Les études sur les faunes fossiles de l'Oligocène et du Miocène inférieur de la région ont une portée non seulement auvergnate ou bourbonnaise mais surtout française, européenne et internationale.

De l'occupation primitive à la période gallo-romaine

Les chantiers autoroutiers sur le territoire gannatois ont permis de découvrir plusieurs industries sur galets de quartz qui feraient remonter le peuplement de la région autour de huit cent mille ans.

Le gisement du Clos de Montsala a révélé des bifaces et des fragments osseux qui indiquent une présence de chasseurs vers trois cent mille ans.

Une structure de petits blocs calcaires contenant de nombreux ossements de chevaux ainsi qu'une industrie lithique originale sont les seuls restes d'une halte de chasse d'un petit groupe de chasseurs venus du Nord il y a dix-sept mille ans.

[réf. nécessaire]

Huit haches néolithiques ont été trouvées sur la commune, dont une en silex poli au lieu-dit Bègues, une hache polie (matière indéterminée) à Biozat, une autre à Charmes, deux autres à Poëzat, une hache en serpentine à Fleuriel, une lame à Échassières, des écraseurs à grain à Saint-Pont. Toujours du Néolithique, une inhumation en coffre a été mise au jour au lieu-dit Puy-Chenotel ; elle est faite de dalles brutes posées sur champ et couvertes par des dalles horizontales. Les squelettes sont couchés avec les bras allongés. Un souterrain au lieu-dit Mazerier a peut-être été occupé au Néolithique. Aux Diagots se trouve un camp sur un promontoire escarpé, avec une table de pierre.

La découverte de fosses, silos, puits, céramiques, bracelets de bronze ou de verre bleu, enclos avec entrées, cendres et charbons de bois nous montre que la région était déjà intensivement occupée par les populations du Bronze final au deuxième âge du fer.[réf. nécessaire] Quelques poteries de la Tène A2 - B1 ont été trouvées sur la commune.

Après la résistance des Gaulois à Gergovie puis la défaite de Vercingétorix à Alésia en 52 av. J.-C., la population locale a vu arriver les Romains fort intéressés par les richesses de la Limagne. Ils développèrent l'espace cultivé par le drainage du sol, notamment dans les terres marécageuses du Petit-Marais.

Les Gaulois se sont romanisés peu à peu et l'on peut voir de nombreuses structures gallo-romaines dans les communes de Saint-Priest-d'Andelot, Bègues ou Mazerier. Des artisans fleurissent çà et là pour satisfaire la demande romaine. Les matériaux de construction sont importés et échangés contre la production locale artisanale ou agricole. Les centres urbains se développent ainsi que les voies de communication, reliant la capitale Clermont à Menat, Biozat, Vichy, Gannat, Bègues et Chantelle.

[réf. nécessaire]
Ferme puis villa des Chazoux

Ce site est à 3 Tène D1 (seconde moitié du . Le site a livré entre autres des céramiques à pâte grossière, des plats à enduit rouge imitant la céramique culinaire italique du , faits de pâte semi-fine micacée. Ces céramiques datent de la Tène D2b (juste avant l'invasion romaine).

Atelier de poterie antique

Une fouille dans le faubourg Saint-Étienne vers 1880 a découvert un atelier de poterie, signalé par une trentaine[réf. nécessaire] de moules, des vases, un four et deux ateliers[réf. nécessaire] de potiers. L'atelier produit des céramiques à pâte blanche ainsi que des vases de même pâte, datés du début du Vichy et Saint-Rémy-en-Rollat. Parmi les figures représentées se trouve un guerrier blessé gisant à terre, un légionnaire romain combattant, un cavalier gaulois (représenté sur deux exemplaires). Les représentations de cavaliers gaulois sont particulièrement intéressantes, notamment par leur analogie avec les cavaliers de plaques estampées découvertes dans la propriété Baratela (à Este, province de Padoue), datées des derniers siècles avant notre ère.

Moyen Âge

Porte de chêne provenant de Gannat, datée de 1200-1300, exposée au Victoria and Albert Museum, Londres.

La première paroisse se développe dans le quartier Saint-Étienne. Au  siècle, un premier château à motte est établi sur le site actuel de l'église Sainte-Croix et la population commence à s'agréger autour du château. Au  siècle, le château de Gannat est construit à l'extérieur de l'enceinte de la ville, mais en s'appuyant sur celle-ci.

Entrée dans le domaine des sires de Bourbon, la ville reçoit en novembre 1236 une charte de franchises d'Archambaud VIII de Bourbon ; la charte de Gannat sera un modèle pour celles de Montluçon (1242), de Charroux (1245), de Hérisson. Pour administrer la ville les bourgeois élisent quatre prud'hommes, qui peuvent être des prud'femmes ; ils sont assistés d'un conseil de vingt bourgeois. Les limites de la franchise sont plus étroites que celles de la paroisse, mais s'étendent à quelque distance de la ville proprement dite. En septembre 1367, le duc Louis II confirme les franchises et octroie aux habitants le droit d'élire annuellement quatre représentants qui pourront prendre le titre de consuls et faire acte de consulat.

Période moderne

Par un édit de septembre 1587, Henri III crée l'élection de Gannat. Y sont rattachées non seulement des villes et paroisses bourbonnaises, mais aussi des villes faisant partie du bas pays d'Auvergne, enlevées à l'élection de Clermont : Ébreuil, Aigueperse, Maringues, Saint-Pourçain, Cusset. À l'origine, l'élection ne comportait que 95 « villes, bourgs, paroisses et collectes », mais vers 1630, sous l'influence du maréchal d'Effiat, seigneur de Gannat, 80 paroisses de la généralité de Riom furent jointes à l'élection de Gannat.

Au  siècle, la ville est ouverte par la destruction de ses portes et d'une large partie de ses remparts, dont il reste deux tours (tours Calixte-Moulin et Larat).

Révolution française et Joseph Hennequin

Pendant la Révolution française, Joseph Hennequin, issu d'une famille bourgeoise importante, devint maire de Gannat (en 1789), puis fut député à l'assemblée législative en 1791, et sous-préfet de l'Allier et député au Corps législatif de 1807 à 1814. Une statue (un buste) a été érigée en son honneur, qui est située actuellement devant le collège public qui porte son nom.

Époque contemporaine

Entre 1916 et 1940 a existé à Gannat une fabrique de grès d'art fondée par Louis Méténier et continuée par son fils Gilbert. Elle a acquis une renommée nationale et même internationale.

Un château de la commune abrita brièvement une expérience éducative pétainiste. L'École nationale des Cadres de la Jeunesse, création du régime de Vichy, fut installée le 12 août 1940 au château de La Faulconnière avant d'être transférée dès le Uriage, près de Grenoble. Inspirée de la pensée personnaliste d'Emmanuel Mounier, acquise aux idées de la « Révolution nationale » mais hostile au nazisme, l'école fut animée par le capitaine Pierre Dunoyer de Segonzac (1906-1968) et Hubert Beuve-Méry. Pierre Laval la supprima par un décret du 27 décembre 1942.

Une cour martiale est établie à Gannat par une loi du 24 septembre 1940 pour juger ceux qui agissent « contre l'unité et la sauvegarde de la patrie », c'est-à-dire ceux qui combattent le régime, en particulier les gaullistes. Elle siège jusqu'en octobre 1941 et elle est supprimée par une loi du 10 novembre 1941. Elle siège au château de Gannat dans les bâtiments de l'ancienne maison d'arrêt, qui doivent servir aussi à la détention des prévenus et des condamnés. Parmi les personnalités condamnées, on trouve Claude Hettier de Boislambert et Antoine Bissagnet, qui réussissent à s'évader de la prison de Gannat le 2 décembre 1942, ainsi que le gouverneur Félix Éboué et le général Catroux, condamnés par contumace.

Le 23 juillet 1944, les troupes allemandes stationnées à Gannat exécutent quatre résistants cachés dans une cabane au lieu-dit les Vignes et incendient la maison des propriétaires de la cabane.

Un centre accueillant des relégués, jugés antisociaux après l'abolition du bagne, était installé dans la prison du château de Gannat.

  1. a b c d et e «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur rhinopolis.org.
  2. [Pardieu 1937] Marquis de Pardieu, « Le Néolithique en Bourbonnais », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee]), p. 303.
  3. a et b Guillon, Monographie préhistorique de la région de Gannat. Cité dans Pardieu 1937, p. 309, 310, 311.
  4. a et b Pardieu 1937, p. 314.
  5. a et b Pardieu 1937, p. 311.
  6. Pardieu 1937, p. 306.
  7. a et b Pardieu 1937, p. 313.
  8. Pardieu 1937, p. 308.
  9. [Augier et al. 2018] Laurence Augier, Ines Balzer, David Bardel, Sylvie Defressigne, Eric Bertrand, Félix Fleischer, Sabine Hagmann, Michaël Landolt, Christine Mennessier-Jouannet, Clémence Mège lire en ligne [sur halshs.archives-ouvertes.fr]), p. 571.
  10. [Trescarte 2013] Jérôme Trescarte, Les céramiques de la cité des Arvernes au Haut-Empire : production, diffusion et consommation (lire en ligne), p. 99.
  11. Trescarte 2013, p. 25.
  12. Trescarte 2013, p. 68.
  13. Trescarte 2013, p. 86.
  14. [Déchelette 1904] Joseph Déchelette, Les Vases céramiques ornés de la Gaule romaine (Narbonnaise, Aquitaine et Lyonnaise), lire en ligne), p. 61.
  15. Déchelette 1904, p. 29.
  16. Déchelette 1904, p. 62.
  17. Les fondations d'une tour ronde et d'une tour carrée ont été découvertes au  siècle.
  18. René Germain (, Annie Regond et Michel Thévenet, Châteaux, fiefs, mottes, maisons fortes et manoirs en Bourbonnais, Éd. de Borée, , 684 ISBN ), p. 505-506.
  19. René Germain, Chartes de franchises et fortifications au duché de Bourbon, Gannat, Gannat Édition, 2006, p. 155, 342-349, avec le texte intégral de la charte.
  20. Jean-Baptiste Bouillet, Tablettes historiques de l'Auvergne, , p. 127-137. Avec une liste des 175 entités et la répartition des impositions entre elles.
  21. Jacques Legrand (ISBN ), p. 82.
  22. Henri-Ferreol BILLY, «  », sur Histoire et Généalogie (consulté le ).
  23. Jean-Claude Vimont, « Figures paradoxales d’antisociaux des années 50 », Criminocorpus, Les rebelles face à la justice, mis en ligne le 10 octobre 2014, consulté le 1er janvier 2016.

Héraldique

Blason de X…, seigneur de Gannat, ayant participé à la septième croisade (XIIIe siècle) :
D'azur au lion d'argent.
(source : Armorial de l'Auvergne, du Forez et du Bourbonnais d'Yves Carrias).
Ancienne version du blason de Gannat :
Écartelé, au premier et quatrième d'argent au chardon au naturel et au deuxième et troisième d'azur au gantelet dextre d'argent posé en bande.
Blason actuel :
Écartelé, au premier et quatrième d'azur au gantelet dextre d'argent, au deuxième et troisième d'argent au chardon au naturel.

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