Richard Straker dans la série "Les mondes de Stephen King"

Richard Throckett Straker est un personnage du roman Salem de Stephen King .

Richard, 58 ans, né en Angleterre, arrive à Jerusalem's Lot avec Kurt Barlow et prétend y ouvrir un magasin de meubles anciens - en même temps, ils achètent la maison Marsten comme résidence. Le père de Straker aurait été ébéniste à Manchester et aurait laissé à son fils une belle somme d'argent, qu'il aurait investi dans l'entreprise. Comme la maison est considérée comme maudite, Straker et Barlow sont vus comme des fous dès le début, et il ne faut pas longtemps avant que des rumeurs commencent à circuler selon lesquelles les deux forment un couple gay. Straker explique à Parkins Gillespie que le magasin de Salem's Lot et la rénovation de la maison Marsten sont les projets de retraite du couple.

Straker, qui aurait travaillé avec Barlow à Hambourg et à Londres, arrive le premier, car Barlow serait en voyage d'affaires. Il fait affaire avec le riche agent immobilier Larry Crockett, se fait livrer de mystérieuses boîtes et se démarque lors de ses courses car il est capable de transporter de lourdes charges et le paie avec de l'argent qui n'aurait pas dû être en circulation depuis la Seconde Guerre mondiale. Crockett pense qu'il a accès à un trésor découvert par Barlow ou Hubie Marsten il y a plusieurs décennies.

Le fait que Straker est vu en plein jour à Salem suggère qu'il est un humain mortel et non un vampire. Mark Petrie en est également convaincu lorsqu'il se rend à la maison Marsten avec l'arme de son père. Il est sûr qu'il peut tuer Straker d'un seul coup de pistolet.

Mais lorsque Susan Norton et Mark pénètrent par effraction dans la maison Marsten, Straker parvient à les surprendre, les désarmer et les ligoter. Mark parvient à s'échapper, matraquant Straker avec un pied de chaise et croyant même qu'il l'a tué. Bien que Straker survive, son maître Barlow n'a rien à faire d'un sujet qui a perdu face à un enfant : Barlow le pend par les pieds à une poutre, le laisse se vider de son sang avant de se régaler en le buvant.