Skhira

Histoire

À 5 kilomètres au nord de la ville moderne de Skhira, au lieu-dit Henchir Fleguess, des fouilles archéologiques de sauvetage sont entreprises en 1959 au moment de l'agrandissement du terminal du pipeline pétrolier originaire d'El Borma (Algérie). Sous la direction de Mohamed Fendri, deux basiliques chrétiennes sont dégagées. Ces découvertes font l'objet d'une publication en 1961, avec la contribution de N. Fendri. Il a été proposé d'identifier le site avec Benfas, ou Bennefa, un centre mentionné par les listes d'évêchés du siècle^,, remplaçant une identification antérieure à Lariscus.

Au Nord-ouest de la ville moderne de Skhira se trouve la zaouïa de Sidi Mhadheb. Il s'agit d'un imporant lieu local de dévotion, comme l'atteste sa régulière mention dès les premiers comptes rendus de voyageurs européens.

↑ ^{a et b} Noël Duval, Les églises africaines à deux absides : recherches archéologiques sur la liturgie chrétienne en Afrique du Nord : II. Inventaire des monuments, interprétation, Paris, Éditions de Boccard, 1973, 455 BNF 36206684), .
↑ Mohamed Fendri et N. Fendri, Basiliques chrétiennes de la Skhira, Paris, Presses universitaires de France, 1961 (BNF 33005078)..
↑ Hédi Slim, Pol Trousset, Roland Paskoff, Ameur Oueslati, Michel Bonifay et Jean Lenne, Le littoral de la Tunisie : étude géoarchéologique et historique, Paris, CNRS Éditions, 2004, 306 ISBN ), .
↑ Abdelmajid Ennabli, « Lariscus (Skhira), Tunisia », dans Richard Stillwell, William L. MacDonald et Marian Holland McAllister, The Princeton Encyclopedia of Classical Sites, Princeton, Princeton University Press, 1976 (lire en ligne).
↑ Par exemple, la zaouïa est dénommée « Sidi Mehedub » dans Londres, Saunders & Otley, 1835, ou encore « Sidi-Maheddeb » dans Victor Guérin, Voyage archéologique dans la Régence de Tunis, Paris, Henri Plon, 1862 (BNF 30551697, lire en ligne), .

[Q124629393_253-1] {a et b} Noël Duval, Les églises africaines à deux absides : recherches archéologiques sur la liturgie chrétienne en Afrique du Nord : II. Inventaire des monuments, interprétation, Paris, Éditions de Boccard, 1973, 455 BNF 36206684), .

[2] Mohamed Fendri et N. Fendri, Basiliques chrétiennes de la Skhira, Paris, Presses universitaires de France, 1961 (BNF 33005078)..

[3] Hédi Slim, Pol Trousset, Roland Paskoff, Ameur Oueslati, Michel Bonifay et Jean Lenne, Le littoral de la Tunisie : étude géoarchéologique et historique, Paris, CNRS Éditions, 2004, 306 ISBN ), .

[4] Abdelmajid Ennabli, « Lariscus (Skhira), Tunisia », dans Richard Stillwell, William L. MacDonald et Marian Holland McAllister, The Princeton Encyclopedia of Classical Sites, Princeton, Princeton University Press, 1976 (lire en ligne).

[5] Par exemple, la zaouïa est dénommée « Sidi Mehedub » dans Londres, Saunders & Otley, 1835, ou encore « Sidi-Maheddeb » dans Victor Guérin, Voyage archéologique dans la Régence de Tunis, Paris, Henri Plon, 1862 (BNF 30551697, lire en ligne), .

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Localisation

Skhira : descriptif

Histoire

Skhira dans la littérature

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