Tokelau, Tokelau
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Localisation
Tokelau : descriptif
- Tokelau
Les Tokelau ou les Tokélaou, appelées Îles de l'Union de 1916 à 1946, sont un archipel d'atolls polynésiens du Nord-Ouest de l'océan Pacifique Sud
Il s'agit d'un territoire dépendant du royaume de Nouvelle-Zélande
Le territoire n'a aucune frontière terrestre avec un autre pays souverain ou territoire ; les pays et territoires les plus proches des atolls sont les Samoa, les Samoa américaines, Wallis-et-Futuna, les Tuvalu, Niue, Fidji et les îles Cook
L'archipel étant isolé dans l'océan Pacifique et ne partageant aucune frontière terrestre, le territoire a une zone économique exclusive plus vaste que celles de l'Algérie, du Sénégal, du Danemark continental ou de la Pologne. Les Tokelau sont une monarchie constitutionnelle parlementaire et, en tant que territoire de la Nouvelle-Zélande, membres du Commonwealth
La devise du territoire insulaire est depuis 2008 « Les Tokelau pour Dieu », en tokelau « Tokelau mo te Atua », et son drapeau représente une pirogue en or sur fond bleu marine avec la Croix du Sud à la gauche, représentation d'une constellation
Son hymne est Le Dieu des Tokelau
Tokelau pour le Tout-Puissant, localement (première phrase en tokelau et seconde phrase en anglais), Te Atua o Tokelau
Tokelau for the Almighty
Le territoire étant dépendant de la Nouvelle-Zélande, il a également l'hymne (God Defend New Zealand) et la devise (God Defend New Zealand) néo-zélandais
Le territoire n'a pas de capitale mais un centre administratif sur chacun des trois atolls composants l'archipel, c'est-à-dire Atafu, Nukunonu et Fakaofo, et a pour langues officielles le tokelau et l'anglais
Sa monnaie est le dollar néo-zélandais. Les Tokelau tirent ce nom depuis 1945, date à laquelle l'archipel n'est plus nommé les Îles de l'Union mais Tokelau, mot polynésien signifiant littéralement « nord-nord-est » ou « vent du nord »
La population autochtone serait formellement établie sur l'archipel que depuis quelques centaines d'années et serait descendante des Austronésiens, les premiers navigateurs de l'humanité
Avant la moitié du XIXe siècle et l'arrivée des missionnaires chrétiens, les trois atolls étaient occupés par des clans séparés les uns des autres basés sur une économie de subsistance
En 1877, le territoire devient un protectorat britannique et en 1916, il appartient à la colonie des Îles Gilbert et Ellice avant de passer sous l'administration néo-zélandaise en 1925. En 1948, les atolls sont déclarés faisant partie de la Nouvelle-Zélande mais ces derniers gardent une autonomie par rapport au reste du pays
Il faut attendre les années 1980 pour voir l'autonomie du territoire se prononcer de plus en plus avec l'apparition d'un gouvernement à part et de services publics distincts de la Nouvelle-Zélande. Les Tokelau sont, avec un PIB nominal de 10 millions de dollars US en 2016, la 241e économie mondiale derrière Sao Tomé-et-Principe et devant Tonga, les Tuvalu et Wallis-et-Futuna
Son IDH de 0,750 n'est pas très élevé (119e en 2008) mais se démarque d'autres pays et territoires océaniens devant les Fidji, Nauru, les Tonga, les Tuvalu, le Samoa, les îles Marshall, les Kiribati, la Micronésie, le Vanuatu, les îles Salomon et la Papouasie-Nouvelle-Guinée
L'archipel n'a pas connu d'homicide depuis au moins 150 ans
Le territoire avec l'économie la plus faible du monde se spécialise dans l'exportation de timbres, de coprah et de produits artisanaux pour une valeur s'élevant à environ 70 000 euros par an alors qu'il importe jusqu'à 7,5 millions d'euros en marchandises diverses dont une grande partie de cette importation est subventionnée par la Nouvelle-Zélande,
En 2014, la population des Tokelau est d'environ 1 337 habitants
Le territoire est membre de la Communauté du Pacifique et unique membre associé du Forum des îles du Pacifique. L'un des pays et territoires les moins peuplés du monde (seuls le Vatican, les Terres australes et antarctiques françaises, les îles Pitcairn et les îles de Géorgie du Sud et Sandwich du Sud ont une population moins élevée), les Tokelau sont aussi l'un des pays et territoires les plus petits du monde (Gibraltar, Monaco et le Vatican ont une superficie plus petite).
Géographie
Localisation, frontières et superficie
L'atoll central est Nukunonu, à l'ouest et à l'est de celui-ci, respectivement, Atafu et Fakaofo. Ces trois atolls forment l'archipel des Tokelau, l'un des territoires dépendants du royaume de Nouvelle-Zélande avec les Îles Cook, Niue et la dépendance de Ross.
Les atolls océaniens et polynésiens de l'archipel des Tokelau sont situés dans le Nord-Ouest de l'océan Pacifique Sud. Sa délimitation n'a jamais changé simplement parce qu'il s'agit de trois atolls isolés (selon l'indice d'isolement, l'archipel est extrêmement isolé au même titre que les Tuvalu et l'île Pitcairn) dans l'océan Pacifique occupés jadis par trois clans principaux, un sur chacun des atolls, et est devenu un protectorat britannique peu de temps après l'arrivée de missionnaires chrétiens. Après le protectorat britannique, il est passé sous la main du gouvernement néo-zélandais avant d'en devenir un territoire indépendant. Le territoire est bordé du nord au sud et de l'ouest à l'est par l'océan Pacifique et par trois lagunes, une par atoll. Il n'est frontalier d'aucun autre pays ou territoire ; les pays et territoires les plus proches sont les Samoa au sud, les Samoa américaines au sud-sud-est, Wallis-et-Futuna au sud-ouest, les Tuvalu à l'ouest, Niue au sud, Fidji au sud-ouest et les îles Cook au sud-est. En distance orthodromique, l'atoll central est situé à 3 360 Auckland, ville la plus peuplée de Nouvelle-Zélande.
La longueur du littoral des Tokelau est de 101 kilomètres. S'agissant d'un État insulaire, la longueur des côtes représente une proportion de 100% du périmètre total. Le territoire s'étend ainsi sur 10,2 km² répartis sur les trois atolls. Cette superficie en fait le quatrième territoire ou pays le plus petit du monde devant Gibraltar, Monaco et le Vatican ; c'est donc le plus petit territoire ou pays de l'Océanie et du reste du monde en dehors de l'Europe (les trois autres pays et territoires se situant en Europe occidentale).
Jusqu'en décembre 2011, le fuseau horaire des Tokelau était UTC-11, directement à l'est de la ligne de changement de date. Le , les Tokelau sont passés de l'autre côté de cette ligne pour éviter tout décalage avec les Samoa voisines, en adoptant le fuseau horaire UTC+13. Concrètement, les habitants de Tokelau conservaient la même heure, mais la date du calendrier se trouvait modifiée.
Revendication
L'atoll d'Olohega, nommée l'île Swains par les anglophones, est une île faisant partie du territoire américain des Samoa américaines depuis 1925 mais revendiquée par les Tokelau. Cette revendication est d'autant plus prononcée d'un point de vue géographique mais également du fait qu'en 2008, quand le gouvernement des Tokelau a dû choisir un drapeau officiel pour l'archipel, une proposition représentait, à la place de la Croix du Sud, les trois atolls et l'atoll d'Olohega (ils étaient représentés sous la forme de quatre étoiles représentant la position des atolls dans le Pacifique). Bien que dépendance des États-Unis, l'île appartient culturellement aux Tokelau, ce qui en fait le seul territoire en dehors des Tokelau où l'on parle couramment le tokelau.
Géologie, topographie et hydrographie
L'ensemble des Tokelau sont des atolls de petite taille nommés « nukus ». Ces anneaux de coraux délimitent un lagon présent dans chacun des trois atolls composant le territoire et ces lagons sont séparés de l'océan Pacifique par cette barrière de corail bien qu'en fonction des différentes marées, l'eau des océans entre dans l'anneau via des passes nommées « hoa » ; ces dernières se situent entre les « motu », des petites îles basses. La composition des hoa et des motu est généralement des débris coralliens, des grès et du sable qui, ensemble, forment ce qui est nommé une « beachrock ». Par la faible altitude des atolls et l'entrée des eaux par les passes, le système des atolls est l'un des systèmes insulaires les plus fragiles au monde.
Les atolls des Tokelau, y compris l'atoll revendiqué (l'île Swains), sont probablement sortis des eaux grâce aux points chauds d'Arago et de Macdonald. Les atolls, dans une reconstitution de la plaque pacifique, sont placés au-dessus des points chauds d'Arago mais les atolls présentent une similarité isotopique avec ceux de Macdonald. Les atolls sont sortis de terre par l'activation des points chauds de Macdonald entre 55 et 75 millions d'années. Les atolls font par conséquent partie de la chaîne de montagne sous-marine des Tokelau. La variété topographique des trois atolls de Tokelau est presque inexistante, les atolls se ressemblant les uns des autres. Ces derniers sont polynésiens et sont facilement discernables des îles et atolls présents en Mélanésie qui sont plus volumineux et permettent d'y trouver des ressources naturelles ou d'y pratiquer une agriculture minime. Ce n'est donc pas le cas des Tokelau qui doivent se contraindre à une économie de subsistance, les espaces des atolls ne permettant aucune exploitation des sols.
L'analyse des anomalies de gravité de Bouguer, qui est utile pour la compréhension des unités lithologiques sous l'eau et le sable (les éléments composant en grande partie l'archipel), est cohérent à ce que les scientifiques avaient calculé avant l'analyse en fonction de la composition géologique des atolls. Les scientifiques n'ont fait qu'analyser l'atoll d'Atafu mais on peut en conclure que les deux autres atolls répondent aux calculs des scientifiques. Cette analyse a permis de conclure qu'avec une présence d'un certain nombre de milligals, le sous-sol de l'atoll était composé principalement de basalte.
L'atoll d'Atafu, qui est le plus septentrional des trois atolls, est de type corallien et se situe à un endroit où la profondeur de l'océan atteint les 4,2 km. Il est composé d'une cinquantaines de motu. Avec 2,5 km2, c'est le plus petit des trois atolls composant l'archipel. Son lagon est également le plus petit avec une étendue de 19 km2. Au contraire, l'atoll de Nukunonu est le plus large avec ses 5,5 km2 et ses 109 km2 pour son lagon.
Préservation de l'environnement, faune et flore
Il faut attendre l'année 1998 pour qu'une étude sérologique transversale soit réalisée dans les Tokelau sur des animaux, ici, les porcs et les volailles. Les résultats rapportent que ces populations d'animaux sont atteints par plusieurs types de parasites. Il faut toutefois préciser que la présence de ces parasites n'est pas dangereuse car ce ne sont pas des maladies contagieuses présentes sur la liste A de l'OIE. En 1996, la population des animaux domestiques, c'est-à-dire les porcs et les volailles sans compter les chats, s'élevait à 4 962 dont 1 976 étaient des porcs et 2 986 des volailles. La population de ces animaux étant assez bien répartie sur les trois atolls bien que celui de Fakaofo en compte plus. Ces animaux ne sont pas présents sur l'île dans un but d'exportation mais de consommation de viande pour les locaux.
De septembre à novembre, des tortues vertes nichent sur les différents atolls des Tokelau qui est un endroit de ponte secondaire pour cette espèce.
Catastrophes naturelles
Tsunamis
Les Tokelau sont extrêmement fragiles face aux tsunamis. Bien que les vagues puissent venir de tous horizons, par exemple du sud par des tremblements de terre sur la côte ouest sud-américaine (Pérou et Chili), la grande menace proviendrait du nord-est de l'archipel ; l'étendue de l'océan Pacifique dans cette direction est en effet presque dépourvue de terres émergées cassant les trains de vagues des tsunamis. Pour faire face à cette vulnérabilité, le gouvernement néo-zélandais a placé les Tokelau dans un projet de gestion des risques liés aux tsunamis dans le Pacifique du ministère de la Défense civile et de la Gestion des situations d'urgence (MCDEM).
Une dizaine de sources sismiques peuvent menacer l'archipel : Tōhoku au Japon, la fosse des Kouriles, l'arc volcanique des Îles Aléoutiennes, l'arc volcanique des Cascades, le sud du Pérou, le Chili, la fosse des Tonga, l'arc des Vanuatu et la fosse des Vanuatu. Malgré ces nombreuses sources sismiques pouvant nuire à la sécurité des atolls, aucun fait d'une vague provoquée par un tel phénomène n'est à recenser dans l'histoire des Tokelau.
Pour que les vagues des tsunamis de ces régions puissent atteindre les Tokelau, il faudrait que la magnitude soit supérieure à 8. Ces vagues seraient de tailles minimes sans causer de dégâts sur l'archipel. Dans l'histoire moderne des séismes dans le Pacifique, une trentaine de séismes ont atteint une magnitude supérieure à 8 ; parmi ceux-ci, on peut citer les tsunamis du 22 mai 1960, du 28 mars 1964, du 4 novembre 1952, du 11 mars 2011, du 31 janvier 1906 et du 27 février 2010, tous supérieurs à une magnitude de 8.8.
En ce qui concerne la prévention à la vue d'un probable séisme provoquant un tsunami, les habitants des Tokelau pourront être prévenus bien avant que les vagues ne déferlent sur les atolls : deux heures en moyenne pour les séismes aux Îles Aléoutiennes et au Pérou ; trois heures en moyenne pour les séismes au Chili, aux Îles Kouriles, sur la côte de Tohoku et la fosse des Tonga ; et soixante-dix minutes pour un séisme au nord des Tonga.
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- Communiqué de presse du gouvernement de Tokelau.
- « », sur The Asia-Pacific Journal: Japan Focus (consulté le )
- Christian Giusti, « Piotr Migoń,Geomorphological Landscapes of the World », Géomorphologie : relief, processus, environnement, ISSN 1266-5304, lire en ligne, consulté le )
- « », sur repository.library.noaa.gov (consulté le )
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Histoire
Tokelau avant l'arrivée des Européens
Il y a 5 000 ans (), des habitants du littoral de la Chine du Sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s'installer à Taïwan. Vers , des migrations ont lieu de Taïwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Célèbes et Timor et de là, les autres îles de l’archipel indonésien. Vers , un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au-delà, les îles du Pacifique. Les Austronésiens sont sans doute les premiers navigateurs de l'histoire de l’humanité.
Bien que des preuves archéologiques indiquent que les atolls des Tokelau ont été occupés il y a environ 1 000 ans, les traditions orales et les généalogies reconstituées font remonter l'occupation à seulement quelques centaines d'années. Les trois atolls vivaient de façon assez indépendante les uns des autres tout en maintenant une grande cohésion sociale et linguistique. La société des Tokelau était dominée par des clans de chefs traditionnels (les aliki polynésiens) et il y a eu à la fois des escarmouches nombreuses et des mariages inter-îles. Fakaofo (608 habitants) a eu une légère prédominance sur Atafu (421 Nukunonu (376 inati.
Contacts avec les Européens
En 1765, le Commodore Byron de la British Navy est le premier Européen à aborder les trois atolls.
Les premiers contacts avec les Européens apportèrent des changements importants dans la société des Tokelau. Les navires apportèrent de nouvelles nourritures, des vêtements, des outils ainsi que la connaissance de nouveaux modes de vie. Dans les années 1850, des missionnaires catholiques et protestants (de la London Missionary Society), introduisirent la chrétienté qui fut adoptée par tous. Actuellement[Quand ?], la majorité de la population d'Atafu est congrégationnaliste et la plupart des habitants de Nukunonu sont catholiques. À Fakaofo, 70 % sont protestants et le restant est catholique.
Vers 1860, des navires péruviens, cherchant de la main-d'œuvre forcée pour les mines du Pérou, visitèrent les trois atolls et forcèrent 253 hommes valides à se rendre au Pérou, soit la quasi-totalité de la population active masculine. La variole et la dysenterie décimèrent ces travailleurs forcés et très peu (une vingtaine) revinrent aux Tokelau. Avec la perte de ces hommes et de nombreux chefs, les Tokelau se reportèrent sur les conseils des anciens, les Taupulega afin de mieux gouverner les îles. Sur chaque île, les familles étaient représentées individuellement au sein du Taupulega.
Évolution statutaire
Les Tokelau passèrent sous protectorat britannique en 1877 (notamment pour les protéger des navires étrangers), statut qui fut formalisé en 1889. Les îles de l'Union (Union Islands) furent annexées en 1916 et incluses dans la colonie des îles Gilbert et Ellice. Elles furent transférées administrativement de facto à la Nouvelle-Zélande en 1925. Il n'y a jamais eu de présence administrative résidentielle aux Tokelau, et, de ce fait, l'administration y a toujours été « légère », sans provoquer de changement substantiel dans la vie des atolls. La souveraineté formelle a été transférée à la Nouvelle-Zélande par le Tokelau Act de 1948 qui rétablit l’ethnonyme. Bien que les Tokelau fussent déclarées faire partie de la Nouvelle-Zélande à partir du , elles gardèrent leur culture distincte et leur système à part.
Depuis les années 1980, les Tokelau ont progressé vers une plus large autonomie qui était déjà présente en partie à partir de 1965 quand, avec les îles Cook et Niue, les Tokelau optèrent pour une indépendance à usage interne. Il existe désormais un corps législatif national et un conseil exécutif. Un pouvoir judiciaire local existe ainsi que des services publics. Cette autonomie est notamment atteinte en 1974 par le ministère des Affaires étrangères de Nouvelle-Zélande qui dira commencer un processus administratif de décolonisation.
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Des navires permettent à l'archipel d'être relié. Toutefois, le seul bateau assurant une liaison régulière est un cargo samoan qui passe tous les quinze jours, ce qui limite encore les relations entre les îles de l'archipel. Il existait en 2014 un projet pour relier les trois atolls au moyen de Varas (bateaux traditionnels, à rapprocher des Va'a tahitiens et des différents Vaka des îles Cook).
Les télécommunications locales se développent ; l'arrivée de l'électricité sans coupure a permis la démocratisation de l'accès à internet. Les élèves peuvent ainsi plus facilement suivre des cours à distance.
La criminalité reste faible, peu de vols, pas d'homicide depuis 150 ans, seuls des problèmes liés à la consommation d'alcool et au tapage sont relevés par les forces de police locales.
- Weissbach, 2014.
- Hélène Guiot, « La construction navale polynésienne traditionnelle. Dimension culturelle d'un processus technique », Techniques & Culture. Revue semestrielle d'anthropologie des techniques, .
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Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/tk/tk-00-toke.html
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