Angoulême - Iculisma

Localisation

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Angoulême : descriptif

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Angoulême

Angoulême est une commune française, préfecture du département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine. Établie sur un éperon dominant un méandre de la Charente et les confluents de celle-ci avec la Touvre et l'Anguienne, la ville est surnommée le balcon du Sud-Ouest

La commune compte moins de 50 000 habitants (41 970 en 2013), mais elle est le centre d'une agglomération rassemblant près de 110 000 habitants (107 652 en 2012, au 60e rang des plus grandes agglomérations en France) au sein d'une conurbation qui s'étend sur une quinzaine de kilomètres d'est en ouest

Angoulême fait aussi partie d'une communauté d'agglomération appelée GrandAngoulême comportant plus de 140 000 habitants en 2017. Ancienne capitale de l'Angoumois sous l'Ancien Régime, Angoulême a longtemps été une place forte convoitée en raison de sa position de carrefour de voies de communication importantes, et a subi de nombreux sièges

De son passé tumultueux, la cité, juchée sur son éperon rocheux et reconnue ville d'art et d'histoire, a hérité d'un remarquable patrimoine historique, religieux et urbain qui attire de nombreux visiteurs et touristes de passage. Aujourd'hui, Angoulême occupe le centre d'une agglomération demeurant parmi les plus industrialisées entre Loire et Garonne (industrie papetière établie au XVIe siècle, fonderie et électromécanique développées à une période plus récente)

C'est également une ville commerciale et administrative, dotée d'un centre universitaire, et d'une vie culturelle remarquablement animée

Celle-ci est dominée par le célèbre Festival international de la bande dessinée qui contribue largement au renom international de la cité, ainsi que par le Festival du film francophone et le Circuit des remparts.

Géographie

Angoulême, ville acropole, est située sur un éperon calcaire, appelé localement le Plateau, et dominant une boucle de la Charente, limitée en amont par la confluence de la Touvre et en aval par celles de l'Anguienne et des Eaux Claires.

Localisation

Angoulême est au centre du département de la Charente, à 110 Bordeaux à vol d'oiseau, et à 100 océan Atlantique. Elle est aussi à une centaine de kilomètres de La Rochelle, Poitiers, Limoges, moins d'une centaine de kilomètres de Périgueux et Saintes.

Rose des vents La Rochelle 120 km Paris 435 Poitiers 110 Niort 110 km Montluçon 236 Guéret 170 Confolens 50 km Rose des vents
Cognac 40 Saintes 70 Royan 100 km N Limoges 100 km
O    Angoulême    E
S
Bordeaux 110 km Libourne 90 Bergerac 110 km Périgueux 80 km

Géologie et relief

Topographie de la ville d'Angoulême.

Géologiquement, la commune appartient au Bassin aquitain, comme les trois quarts ouest du département de la Charente. Elle se trouve à environ 60 kilomètres au sud du seuil du Poitou, et à seulement une trentaine de kilomètres à l'ouest du Massif central (Charente limousine).

Le territoire communal se trouve dans le calcaire du Crétacé supérieur qui occupe la moitié sud du département de la Charente, non loin du Jurassique qui commence au Gond-Pontouvre.

Le crétacé le plus ancien, le Cénomanien, occupe les zones relativement basses (l'Houmeau, hauteurs de Saint-Cybard, Sillac), à une altitude moyenne de 50 m.

La ville s'est établie sur le plateau (altitude 100 Charente, une formation du Turonien (appelé aussi Angoumien) qui forme un plateau découpé de vallées parallèles ainsi qu'une cuesta faisant face au nord qui se prolonge vers La Couronne à l'ouest et Garat vers l'est.

Ce plateau calcaire comporte des cavités naturelles réaménagées par l'homme sous forme de trois à quatre étages de caves dont certaines comportent des silos à grains antiques.

La vallée de la Charente est occupée par des alluvions anciennes et récentes, ce qui a donné une terre riche pour l'agriculture et quelques sablières. Ces alluvions se sont déposées successivement lors du Quaternaire dans l'intérieur des deux méandres du fleuve que sont Basseau et Saint-Cybard. On trouve les alluvions les plus anciennes dans la plaine de Basseau, et elles atteignent une hauteur relative de 25 ,.

La partie ancienne de la ville est bâtie sur le plateau, éperon rocheux créé par les vallées de l'Anguienne et de la Charente, culminant à une altitude de 102 mètres, alors que la berge du fleuve est à 27 mètres. Angoulême est caractérisé par la présence de ses remparts sur un à-pic de 80 mètres.

Le plateau de Ma Campagne, au sud de la vieille ville, offre à peu près les mêmes caractéristiques et culmine à 109 Eaux Claires, qui fait la limite sud de la commune, de celle de l'Anguienne, qui est parallèle.

Ces deux plateaux surplombent à leurs extrémités occidentales la vallée de la Charente et les quartiers périphériques que sont l'Houmeau, Basseau, Sillac… Le plateau d'Angoulême est le prolongement nord-ouest de celui de Soyaux. Au nord du plateau s'étendent l'Houmeau, le quartier de la gare et celui de la Grand-Font qui sont le long d'une petite vallée, aussi affluent de la Charente, la Vimière, mais plus dégagée côté nord (vers Gond-Pontouvre et L'Isle-d'Espagnac) que celle de l'Anguienne au sud.

La commune d'Angoulême culmine à une altitude de 133 Puymoyen. Le point le plus bas est à 27 .

Communes limitrophes

Communes limitrophes d’Angoulême
Saint-Yrieix-sur-Charente Gond-Pontouvre L'Isle-d'Espagnac
Fléac
Saint-Michel
Angoulême Soyaux
La Couronne Puymoyen Dirac

Panorama de la ville

Panorama d'Angoulême, vu de Saint-Martin.

Hydrographie

Réseau hydrographique
Réseaux hydrographique et routier d'Angoulême.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Charente, l'Anguienne, les Eaux Claires, un bras de la Charente, un bras de la Charente, un bras de la Charente, un bras de la Charente, un bras de l'Anguienne, un bras de l'Anguienne, un bras de l'Anguienne, le ruisseau de Lunesse et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 ,.

La Charente, d'une longueur totale de 381,4 Chéronnac et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes. Elle fait sur la commune deux méandres. La commune est principalement située sur la rive gauche, et trois ruisseaux affluents sur cette rive arrosent aussi la commune.

L'Anguienne, d'une longueur totale de 4 Dirac et se jette dans un bras de la Charente sur la commune, après avoir traversé 4 communes. Elle traverse le sud de la ville.

Les Eaux Claires, d'une longueur totale de 13,7 Torsac et se jette dans la Charente à Fléac, après avoir traversé 7 communes. Elle fait la limite d'Angoulême, entre Clairgon et Saint-Michel.

Un petit ruisseau aujourd'hui canalisé, la Vimière, naît à la Grand-Font et se jette dans la Charente à l'Houmeau.

Gestion des cours d'eau

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 établissement public territorial de bassin Charente. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .

Climat

Le climat est océanique de type aquitain. La station météorologique la plus proche est celle de La Couronne.

Statistiques 1981-2010 et records Station LA COURONNE (16) Alt: 58m 45° 37′ 36″ N, 0° 05′ 54″ E
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,3 2,2 4,1 6 9,7 12,5 14 13,6 10,8 8,8 4,9 2,9 7,7
Température moyenne (°C) 5,7 6,5 9,2 11,4 15,3 18,5 20,6 20,3 17,2 13,9 8,8 6,2 12,8
Température maximale moyenne (°C) 9,1 10,7 14,2 16,8 20,9 24,5 27,2 27,1 23,6 18,9 12,8 9,6 18
Record de froid (°C)
date du record
−17
16.1985
−14,6
08.1991
−11
02.2005
−4
09.1977
−1
07.1979
1,5
05.1976
5
03.1980
4
31.2010
0,5
21.1977
−3,9
26.2003
−8,3
22.1993
−11,5
31.1996
−17
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18,3
01.2023
25,6
27.2019
26,7
20.2005
30,4
30.2005
33,8
30.2001
39,5
18.2022
40,8
10.1991
41,1
04.2003
37,3
04.2023
31
02.2011
24,6
08.2015
19,3
07.2000
41,1
2003
Ensoleillement (h) 80 122,2 164 191,4 216,1 267,7 262,2 236,7 218,8 149,8 88,9 91,8 2 089,3
Précipitations (mm) 74,3 59,8 62,2 73 76 63,8 57,9 51,8 64,5 81,1 89,5 89,3 843,2
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 12,5 9,6 10,3 11,4 11,5 8,5 7,7 7,2 8,4 11,6 11,5 12,3 122,5
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 5,3 4,1 4,4 5 5,4 3,9 3,2 3,1 4,3 5,8 6,2 6,5 57,1
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 2 1,7 1,6 2,1 2,3 1,9 1,7 1,6 2,1 2,7 3,1 3,1 25,9
Source : [MétéoFrance] «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/06/2021 dans l'état de la base
Ville Ensoleillement
 (h/an)
Pluie
 (mm/an)
Médiane nationale 1 852 835
Angoulême 2 089 843
Paris 1 717 634
Nice 2 760 791
Strasbourg 1 747 636
Brest 1 555 1 230
Bordeaux 2 070 987
  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper.
  2. « Angoulême, carte BRGM 1/1.000.000 » sur Géoportail.
  3. « Angoulême, carte géologique interactive » sur Géoportail.
  4. B. Bourgueil, P. Moreau et J. Vouvi (hydrogéologie), «  » BRGM, (consulté en ).
  5. a et b « Angoulême, carte interactive » sur Géoportail.
  6. a et b «  », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « Réseau hydrographique d'Angoulême » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
  9. Sandre, «  »
  10. Sandre, «  »
  11. Sandre, «  »
  12. «  », sur gesteau.fr (consulté le ).
  13. «  », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).

Toponymie

Le nom de la ville est attesté pour la première fois chez le poète Ausone dans une lettre à son disciple Tétrade, vers la fin du  ; on trouve aussi à peine plus tard Eculisna, civitas Ecolismensium vers 400,, Ecolisima (sur une monnaie mérovingienne), Ecolisina et Aquilisima en 511, Ecolisna et Ecolisina dans le même texte, l'Histoire des Francs de Grégoire de Tours au , Egolisina au ,, Engolesme fin . L'évolution du c en g et la nasalisation de la consonne initiale n'apparaissent donc que tardivement, autour de l'an mil.

Ce nom est resté longtemps incompris, ce qui a engendré diverses tentatives d'explications étymologiques, sans rapport avec les formes anciennes bien attestées, et peu probables phonétiquement :

  • Elle serait issue d'incolumissima « très saine et sûre », or, il n'y a aucune trace d'un [n] dans les formes les plus anciennes et pas de trace d'un groupe [mi] non plus.
  • Elle serait une altération d'In collisnâ qui signifierait « sur la partie supérieure de la colline ». Or, un toponyme n'est jamais formé à partir de la préposition latine in ; quant au mot colline en français, il passe pour un emprunt à l'italien collina à l'époque de la Renaissance (attesté pour la première fois en 1555). En outre, le suffixe -isnâ n'a pas servi à produire des dérivés à partir de mots latins et on ignore même s'il existe. Enfin, les altérations indépendantes des évolutions phonétiques régulières se produisent sous l'effet de l'analogie ou plus précisément de l'étymologie populaire, c'est-à-dire l'analogie avec d'autres noms semblables et fréquents dans la région ou la tentative de relier le toponyme à un terme faisant sens.

Quelques hypothèses mieux fondées ont été proposées :

  • L'identification de la forme primitive comme étant Eculisna, puis l'alternance des formes anciennes en -isna et -isma conduit Ernest Nègre à préférer les premières en -isna. Le premier élément serait Ecul-. Selon lui, on ne saurait ni affirmer de la celticité de ces deux éléments, ni de leur sens. L'altération en *Angulisma aurait été causée par l'attraction paronymique du nom de personne germanique Angelisma, dont l'existence est confirmée par Marie-Thérèse Morlet.
  • On peut cependant reconnaître un suffixe -isma dans la forme la plus anciennement attestée, qui représenterait une évolution du suffixe surperlatif gaulois -isama que l'on retrouve dans le nom de la divinité gauloise Belisama, très fréquent en toponymie dans les types toponymiques Blesme, Bellême, etc., dont l'évolution de la finale -esme, -ême est semblable à celle d'Angoulême,. Dans cette perspective, le premier élément Icul- / Ecol- peut-être rapproché du radical gaulois ico/eco signifiant « eau, source » avec un caractère sacré : on connaît notamment par une dédicace le nom de la déesse Icauna à l'origine du nom de l'Yonne. Avec le suffixe superlatif -isma, Iculisma serait donc « la bien arrosée ».

Cette dernière hypothèse est confirmée par un rapprochement proposé récemment par Pierre-Henri Billy entre le nom de la ville et le nom de l'Anguienne, le ruisseau dont la vallée longe au sud l'éperon sur lequel Angoulême est installée. Appelée fluvium Inguine au XIe siècle, puis Enguena au XIIe siècle, Pierre-Henri Billy analyse ce nom comme formé du radical eco- ou ico- et du suffixe hydronymique -enna, ce qui aboutirait à une forme initiale *Equenna. Une évolution identique à celle ayant affecté le nom de la ville aurait alors abouti à Enguena. Le nom de la ville serait formé sur celui du ruisseau avec ajout du suffixe superlatif -isama : *Equennisama> *Equennisma, qui aurait ensuite évolué en *Equelisma par dissimilation consonantique, puis Iculisma.

Le nom d'Angoulême renverrait alors à « la très sacrée Icauna », déesse des sources, lesquelles sont effectivement nombreuses à la base du plateau sur lequel la ville est installée (sources alimentant l'Anguienne en particulier).

À l'époque de la Révolution française, la ville est connue sous l'appellation transitoire de Montagne-Charente,.

  • Le quartier de la Bussatte tiendrait son nom du bas latin buxetta / buxettum qui signifie « lieu planté de buis », équivalent des Boissay de langue d'oïl.
  • Le quartier de l'Houmeau aurait été un « petit orme » ou « ormeau » ; le terme est vraisemblablement issu du bas latin ulmellum.
  • Sillac serait issu du bas latin Siliacum ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété (suffixe -acum) d'un gallo-romain nommé Silius.

Le nom de la ville en saintongeais est Engoulæme.

  1. Lettre d'Ausone, Louis Maurin dans Jean Combes (ISBN , BNF 34901024, présentation en ligne), p. 56, 69, 70.
  2. a b c d et e , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Librairie Droz, ISBN , lire en ligne), p. 53..
  3. , Aquitaine seconde VI, 3, fin IVe siècle - début Ve siècle.
  4. a et b et , Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud,  (ISBN ), p. 19..
  5. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, http://www.thelatinlibrary.com/gregorytours.html.
  6. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac,  (lire en ligne), p. 229.
  7. Pierre Dubourg-Noves (Éditions Privat, ISBN , BNF 35072424, présentation en ligne), p. 20.
  8. a b et c [Cassagne & Seguin 1998] Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, éd. Jean-Michel Bordessoules, , 311 ISBN ), p. 15-16.
  9. étymologie de « colline », sur cnrtl.fr.
  10. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Paris, éditions Errance, (ISBN ), p. 199, 329. Article uxellos et leto-.
  11. Jacques Lacroix, Les noms d'origine gauloise : La Gaule des dieux, éditions Errance, , 286 ISBN ), p. 52-53.
  12. Pierre-Henri Billy, Dictionnaire des noms de lieux de la France (DNLF), éditions Errance, , 639 ISBN ), p. 70.
  13. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en ) .
  14. Cassagne & Seguin 1998, p. 59, 151, 273.


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Histoire

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