Polynésie française

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Statistiques

Le pays comporte actuellement 207i entités, dont 16i de niveau ville (8 %) et 191i entités moins importantes, ce qui représente moins de 1 % des localités (ville, village, lieu-dit) reprises sur ce site.

Le pays couvre actuellement moins de 1 % de la surface des pays repris sur ce site.

RégionsRécurence
RégionsRécurence
Îles Tuamotu-Gambier000073 73 localités
Îles du Vent000045 45 localités
Îles Sous-le-Vent000038 38 localités
Îles Marquises000033 33 localités
Îles Australes000017 17 localités

Polynésie française : descriptif

Informations de Wikipedia
Polynésie française

La Polynésie française (en tahitien : Pōrīnetia farāni) est une collectivité d'outre-mer (plus spécifiquement pays d'outre-mer ou POM) au sein de la République française (code 987), composée de cinq archipels regroupant 118 îles dont 76 sont habitées : l'archipel de la Société avec les îles du Vent et les îles Sous-le-Vent, l'archipel des Tuamotu, l'archipel des Gambier, les îles Australes et l'archipel des Marquises

Les Polynésiens la désignent par le terme fenua, mot signifiant « le pays » en tahitien

Elle est située dans le Sud de l'océan Pacifique, à environ 6 500 km à l'est de l'Australie

Elle inclut aussi les vastes espaces maritimes adjacents

La Polynésie française, « pays d'outre-mer » français, est un territoire non autonome relevant de l'article 73 de la Charte des Nations unies. Les premiers habitants de ces îles, des Austronésiens, proviennent selon toute vraisemblance de migrations en provenance d'Asie du Sud-Est vers l'an 300 ou peu avant (Ier siècle pour les Marquises)

La rencontre avec les navigateurs européens se produit à la fin du XVIIIe siècle

La France impose progressivement son protectorat, à compter de 1842, contrant ainsi l'influence britannique et marginalisant progressivement les autochtones, acculturés et soumis à un statut subalterne. Les indigènes polynésiens accèdent au droit de vote en 1946 et disposent d'un premier gouvernement local depuis 1957 et renouent progressivement avec leur propre culture : les langues polynésiennes finissent par retrouver toute leur place dans les écoles en 1977

La Polynésie française est devenue aujourd'hui un pays d'outre-mer, bénéficiant d'une large autonomie par rapport au gouvernement métropolitain

Son axe principal de développement demeure le tourisme, qui repose sur le riche patrimoine naturel et culturel du pays et de sa population, dont une partie s'autodésigne comme Maōhi nui.

Histoire

Peuplement des cinq archipels par les Polynésiens

L'hypothèse généralement retenue à l'heure actuelle est celle d'un peuplement de la Polynésie à partir du Sud-Est asiatique.

Durant le Chine du sud, locuteurs des langues formosanes, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s'installer à Taïwan. Vers le Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Sulawesi et Timor et de là, les autres îles de l'archipel indonésien, important avec elles leur langue. Vers le Nouvelle-Guinée et au-delà, aux îles du Pacifique. Les Austronésiens sont vraisemblablement les premiers navigateurs de l'histoire de l'humanité. Les premières îles atteintes sont probablement les îles Marquises au Polynésiens auraient alors depuis cette base essaimé vers l'île de Pâques (500), Hawaï (900) et la Nouvelle-Zélande (1100).

En 2010, une expédition sur une pirogue simple à balancier et à voile, a retracé en sens inverse le chemin de peuplement, de Tahiti à l'Asie.

Histoire moderne et contemporaine

Du | ]

À partir de 1521, date à laquelle Magellan découvre fortuitement Puka Puka (sans doute une des deux îles Infortunées), les Européens explorent progressivement la Polynésie orientale aux XVIIe et XVIIIe siècles.

Tahiti n'est découverte par les Européens qu'en 1767 par le Britannique Samuel Wallis, suivi en 1768 par Bougainville et par Cook en 1769.

La fin du , un chef de Tahiti qui, allié aux Anglais, fonde la lignée des Pomare, et par l'implantation à Moorea de missionnaires britanniques de la London Missionary Society qui débarquent le .

Buste de Bougainville à Papeete.

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Au début du Pomaré régnant sur le royaume de Tahiti (1790-1880), tandis que des missions catholiques françaises s'implantent aux Gambier et aux Marquises dès les années 1830.

Les années 1840 sont marquées par le début de l'implantation coloniale française, d'abord aux Marquises puis à Tahiti, où, au terme de la guerre franco-tahitienne (1844-1847) la reine Pōmare IV doit finalement accepter le protectorat français établi en 1843. En 1880, le roi Pōmare V accepte de céder son royaume de Tahiti à la France.

La cession à la République française du royaume tahitien est ratifiée par la loi du 30 décembre 1880 qui donne la nationalité française de plein droit à tous les sujets du roi Pomare. Avec la citoyenneté française, les habitants ont le droit de vote, ce qui était rarement le cas pour les indigènes des autres colonies françaises, simples sujets français.

En 1881, Tahiti prend le nom de colonie des Établissements français de l'Océanie (EFO) et le commandant est remplacé par un gouverneur désormais assisté du directeur de l'intérieur (ex-directeur des affaires indigènes), du chef du service judiciaire et du conseil d'administration. À partir de cette date, les gouverneurs ne sont plus des officiers, ce sont des hauts fonctionnaires civils. Les îles encore indépendantes sont intégrées aux EFO de 1887 à 1901, notamment : les Tuamotou, Rapa et les îles Gambier en 1882, puis les îles Sous-le-Vent en 1898.

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Des habitants des Établissements français de l'Océanie (EFO) participent aux combats de la Première Guerre mondiale avec le bataillon du Pacifique ; parmi eux le futur chef du mouvement anticolonialiste, Pouvanaa Oopa. Mais il faut attendre la fin de la Seconde Guerre mondiale pour qu'une évolution sensible ait lieu.

En 1940, les EFO rallient la France libre et un nouveau bataillon du Pacifique est formé. En 1942, l'armée américaine installe une base militaire sur l'île de Bora-Bora dans le cadre de l'opération Bobcat. Accueillant jusqu'à 6 000 soldats, cette base métamorphose l'archipel.

En 1946, la République établit l'Union française : les EFO passent du statut de colonie à celui de territoire d'outre-mer et le droit de vote est accordé aux habitants. Le mouvement anticolonialiste se structure dans les années 1945-1949 : en 1949, Pouvanaa Oopa est élu député et fonde le RDPT, parti autonomiste, qui domine la vie politique dans les années 1950, malgré la formation de l'Union tahitienne de Rudy Bambridge, parti attaché au maintien de la souveraineté française.

En 1957, les EFO prennent le nom de « Polynésie française » et bénéficient d'un statut plus autonome grâce à la loi-cadre Defferre. Pouvanaa Oopa devient ainsi le premier vice-président, et chef d'un gouvernement d'élus locaux. L'assemblée est dotée de compétence accrue. Le gouverneur demeure cependant le président de celle-ci. Mais l'installation de la République en entraîne une forme de mise au pas, avec un renforcement des pouvoirs du gouverneur au détriment du gouvernement local. L'arrestation de Pouvanaa Oopa le 11 octobre 1958, bafouant son immunité de député, condamné à 8 ans de prison et à 15 ans d'exil, est le point d'orgue de cette reprise du pouvoir par l'État central.

À partir de 1962, et consécutivement au référendum sur l'autodétermination de l'Algérie de janvier 1961, la Polynésie française entre dans une ère nouvelle : celle de l'installation du Centre d'expérimentations du Pacifique (CEP) qui amène plusieurs milliers de militaires et de techniciens dans le territoire, à Moruroa, Fangataufa, Hao, mais aussi à Papeete qui connaît de surcroît un afflux de populations polynésiennes. En 1963, l'Église évangélique de Polynésie française devient autonome.

Dans les années 1970, deux questions d'ailleurs liées sont essentielles : celle du statut du territoire et celle des effets d'essais nucléaires commencés en 1966. La France a mené 46 essais nucléaires atmosphériques en Polynésie entre 1966 et 1974, suivis de plus de 150 essais souterrains. L'Union tahitienne (Rudy Bambridge, puis Gaston Flosse), ralliée au parti gaulliste (UNR, UDR puis RPR) défend les positions gouvernementales tandis que le RDPT est plus contestataire : il est d'ailleurs dissous en 1963, ce qui amène la création du Pupu Here Aia en 1965 (John Teariki). Une nouvelle personnalité politique apparaît en 1965 : Francis Sanford, avec le parti E'a Api, qui adopte une orientation autonomiste. La mesure d'exil à l'encontre de Pouvanaa Oopa est levée en 1968, il est accueilli triomphalement à Papeete et devient sénateur en 1971 pour le Pupu Here Aia.

Au cours des années 1970, en pleine renaissance culturelle polynésienne, apparaissent des formations plus nettement indépendantistes, notamment le parti créé par Oscar Temaru (FLP/Tavini Huiraatira). Un premier changement de statut a lieu en 1977 (autonomie de gestion), complété en 1984 (autonomie interne). En ce qui concerne les essais nucléaires, devenus souterrains en 1975, ils sont suspendus en 1992, mais une reprise a lieu en 1995-1996, puis le démantèlement du CEP est décidé.

Dans les années 1990 et 2000, la vie politique est structurée autour de deux partis : Tavini Huiraatira (Oscar Temaru) et Tahoeraa Huiraatira (Gaston Flosse).

De 1991 à 2004, Gaston Flosse règne sans partage. Il met en place un vaste réseau de propagande au service de son parti, le Tahoeraa Huiraatira. La justice lui a ainsi reproché d'avoir fait signer des « contrats cabinets » à des militants du parti, mis à la disposition de communes, de fédérations sportives, d'une radio, de syndicats ou de services sociaux. Il est condamné le à ce titre par le tribunal correctionnel à quatre ans de prison ferme. Il développe également un service de sécurité (Groupement d'Intervention de la Polynésie) de plusieurs centaines d'hommes, et un service de renseignement (Service d'études et de documentation - SED). Il a été condamné en appel le pour avoir entrepris « une entreprise de destruction systématique » des documents du SED. Il a fait également l'objet de diverses condamnations pour détournement de fonds publics, certaines procédures étant encore en cours en 2012.

En 2004, plusieurs formations se regroupent autour du Tavini et forment l'UPLD. De 2004 à nos jours une période d'instabilité chronique s'ouvre : treize gouvernements se succèdent entre 2004 et 2011, mais seulement trois hommes occupent la place de président : Gaston Flosse, Oscar Temaru et Gaston Tong Sang.

La loi du dite « loi Morin » sur la reconnaissance des victimes des essais nucléaires français en Polynésie française et au Sahara algérien reconnaît de façon historique et officielle les dommages sanitaires causés par les expérimentations nucléaires. Cependant le premier décret d'application se révèle rapidement trop restrictif et le président de la république prend l'engagement début 2011 de publier un nouveau décret élargissant les zones géographiques et la liste des maladies éligibles.

Le , Gaston Flosse, rattrapé par des affaires judiciaires qui ont émaillé sa carrière politique, définitivement condamné, et n'ayant pu obtenir une grâce présidentielle, se voit signifier son inéligibilité pour trois ans. Il perd ainsi ses mandats locaux.

En 2022, les demandes d'indemnisation des victimes des essais nucléaires ont explosé, avec 50 % de nouveaux dossiers par rapport à l’année précédente. En mai 2023, l'INSERM publie une étude selon laquelle les essais nucléaires ont bien eu un impact sur les cancers de la thyroïde. En octobre 2023, Hina Cross, la représentante du Tavini à l'Assemblée de la Polynésie française, affirme dans une émission diffusée sur France Télévision : C'est à nous, malades polynésiens, d'essayer de prouver qu'on est malade (...) On est toujours dans un semblant de reconnaissance mais avec beaucoup d'hypocrisie (...) Je trouve ça dégueulasse que ce soit l'État français qui ait à juger de son propre crime.

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  2. (en) John T. Mason, The Pacific War Remembered : An Oral History Collection, Naval Institute Press, , p. 40.
  3. Paul Benkimoun, «  », Le Monde, (consulté le ).
  4. Le Monde du 4 octobre 2011.
  5. Rapport de la chambre territoriale des comptes publié en 2006.
  6. Président de la Polynésie française.
  7. dans Libération, 6 septembre 2014.

Géographie

Carte topographique de la Polynésie française.

La Polynésie française comprend environ la moitié des eaux marines françaises (5 millions de kilomètres carrés) et plusieurs groupes d'îles et d'atolls dont la plus importante et la plus peuplée est Tahiti.

Rapportée à l'Europe, la Polynésie française révèle son immensité. En plaçant l'île de Tahiti au niveau de Paris, Hatutu (l'île la plus « septentrionale » de Polynésie française dans l'archipel des Marquises) se situerait à Ålberga en Suède. Mangareva (l'île la plus « orientale » de Polynésie française dans l'archipel des Gambier) se situerait à Prekopčelica en Serbie. Rapa (l'île la plus « méridionale » de Polynésie française dans les îles Australes) se situerait en mer Tyrrhénienne au sud-est de la Sardaigne au large du phare de Capo Ferrato. Et Manuae (l'île la plus « occidentale » de Polynésie française et des îles Sous-le-Vent dans l'archipel de la Société) se situerait dans la Manche au sud-ouest des Cornouailles anglaises au large du cap Lizard.

Le domaine maritime et la zone économique exclusive (ZEE) s'étendent bien au-delà de ces îles et couvre environ 5 500 000 .

Îles et atolls

Les îles de la Polynésie française sont issues de l'activité volcanique, soit d'un âge proche de la plaque sur laquelle ils reposent (50 à 60 millions d'années, c'est le cas des soubassements de l'archipel des Tuamotu), soit de points chauds. Du fait du mouvement de la plaque océanienne (qui se déplace vers le nord-ouest), le point chaud restant, lui, fixe, des chapelets d'îles peuvent ainsi se former. Ainsi le point chaud de la Société, qui a donné naissance aux deux volcans de Tahiti, n'est qu'à 85 kilomètres au sud-est de Tahiti. Ces massifs volcaniques s'érodent, s'enfoncent progressivement (du fait de leur poids et du phénomène de subsidence), jusqu'à disparaître de la surface.

La seule trace visible en est alors le récif corallien, s'il a pu se développer, dont la croissance continue compense l'affaissement du support : les îles sont alors appelées atolls, par opposition aux îles hautes qui, elles, sont montagneuses. Le passage du stade de volcan île haute à atoll ne prendrait que quelques millions d'années.

Un grand nombre d'atolls, à la surface émergée très réduite, sont inhabités, ou seulement utilisés pour la pêche et la culture perlière.

Les très nombreux atolls des Tuamotu rendent la navigation dangereuse dans la région, et sont célèbres pour les échouages qu'ils provoquent. Leur lagon est alimenté en eau océanique par quelques passes (des ruptures de la barrière corallienne peuvent être les traces d'anciennes rivières), et les profonds cratères offrent des eaux très froides et limpides contrastant avec les eaux chaudes des faibles fonds des plateaux lagunaires, qui abritent une faune et une flore marines riches. Par contre, sur les parties émergées, le manque ou parfois l'absence totale d'eau douce ne permet qu'une flore terrestre très pauvre, et ces atolls souvent très désolés ne sont peuplés que de crustacés et servent de refuges aux oiseaux.

À Tahiti, la plus grande île, les vestiges des deux volcans continuent à culminer à des hauteurs importantes (2 241 Orohena, le plus haut sommet de Polynésie française) entourés de larges vallées et plaines alluvionnaires fertiles et sur les flancs desquelles se sont formés par endroits des massifs coralliens. Les côtes, protégées par les massifs coralliens sont faiblement érodées par la mer, en raison d'un très faible marnage, et offrent de longues plages basaltiques.

Tahiti et les autres îles du Vent voisines sont situées sur un point où l'amplitude de la marée est nulle, sauf en début d'été austral (pleine lune de la Toussaint).

Il permet la culture des perles en eaux peu profondes sur les atolls polynésiens. Il permet aussi l'installation de bungalows hôteliers dans les lagons aux eaux limpides. Le très court plateau confère à la houle océanique une puissance qui engendre de remarquables rouleaux près des plages, ce qui en fait un paradis pour les surfeurs.

En revanche, aux îles Marquises, dont la formation géologique est ancienne (50 millions d'années), les structures volcaniques sont fortement érodées et offrent un paysage montagneux abrupt, constellé de vallées étroites aboutissant à des plages courtes aux eaux profondes.

Climat

Du fait de la situation dispersée des différents archipels sur plusieurs centaines de kilomètres, entre le 8e et le 27e degré de latitude sud, la Polynésie française ne peut pas être résumée à une seule zone climatique.

Ainsi, le nord de l'archipel des Marquises connaît plutôt un type de temps tropical aride alors que le sud de l'archipel des Australes est plutôt soumis à un type de temps des moyennes latitudes. Deux grandes saisons se distinguent :

  • de novembre à avril, une saison dite « chaude » ou été austral (humidité élevée) ;
  • de mai à octobre une saison dite « fraîche » ou hiver austral (humidité moindre).

De façon très schématique, il est possible de distinguer trois types de temps :

  • les alizés, vents d'Est, tant en saison chaude qu'en saison fraîche ;
  • les épisodes de perturbations pouvant évoluer en dépression tropicale, parfois très vigoureuse, atteignant à l'extrême le caractère cyclone. Ce type de temps est caractéristique de la saison chaude (décembre à mars). Ces dépressions apparaissent sur les eaux chaudes de l'océan ;
  • les perturbations d'ouest sur les Australes, sud Tuamotu et Gambier. Ces archipels sont d'ailleurs régulièrement concernés par des vents forts, liés aux dépressions subtropicales associés à ces fronts froids. Enfin, il convient de souligner qu'à l'arrière de ces perturbations d'ouest, sous la poussée d'un anticyclone (en général celui de Kermadec), peut naître un type de temps particulier le « mara'amu ».

Risques naturels (cyclones et tsunamis)

Tous les archipels sont soumis au risque cyclonique, à l'exception des Marquises. Le dernier cyclone, Oli, a frappé l'île de Tubuai en 2010.

L'onde d'un séisme peut générer un risque de tsunami. Le séisme du 22 mai 1960 au large des côtes chiliennes a entraîné des vagues aux Marquises de 7 à 10 m, elles ont été plus limitées dans les autres archipels. Ainsi, le centre-ville de Papeete aurait été inondé par une vague d'environ un mètre. Un dispositif d'alerte ad hoc est en place sur chaque île.

Impact du réchauffement climatique

L'analyse des températures indique que le climat polynésien s'est réchauffé au cours de ces dernières décennies. Du fait du dérèglement climatique, la Polynésie française connaîtra plus de sécheresses et de submersions marines.

  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
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  4. «  », sur planet-terre.ens-lyon.fr (consulté le ).
  5. Météo France.
  6. Sébastien Larrue et Thomas Chiron, « Les îles de Polynésie française face à l’aléa cyclonique », Vertigo, ISSN 1492-8442, DOI 10.4000/vertigo.10558).
  7. 2014.
  8. «  », 20 Minutes, (consulté le )

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La Polynésie française dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
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