Saint-Viaud est une commune de l'Ouest de la France située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays Nantais.
Saint-Viaud comptait 2 360 habitants au dernier recensement de 2014
Les habitants de la commune s'appellent les Vitaliens.
Logo de la commune
L'actuel logo date de 2015
Géographie
Situation de la commune de Saint-Viaud dans le département de la Loire-Atlantique.
Saint-Viaud est situé au sud de l'estuaire de la Loire, à 17 Saint-Nazaire, à 4 Paimbœuf et à 40 km à l'ouest de Nantes.
Les communes limitrophes sont Paimbœuf, Corsept, Saint-Père-en-Retz, Chaumes-en-Retz et Frossay.
Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Saint-Viaud est une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Loire-Atlantique.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 amplitude thermique annuelle de 12,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 13 vol d'oiseau, est de 12,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
↑ « », sur fr.distance.to (consulté le ).
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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↑ « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Loire-Atlantique.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 amplitude thermique annuelle de 12,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 13 vol d'oiseau, est de 12,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
↑ « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
Urbanisme
Typologie
Au
La commune, bordée par l'estuaire de la Loire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (29,6 %), terres arables (26,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), forêts (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %), zones humides intérieures (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
↑ « », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
↑ a et bInsee, « ».
↑ « », sur le site de l'Insee (consulté le ).
↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
↑ « », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
↑ « », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
↑ « », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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Typologie
Au
La commune, bordée par l'estuaire de la Loire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit.
↑ « », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
↑ a et bInsee, « ».
↑ « », sur le site de l'Insee (consulté le ).
↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
↑ « », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
↑ « », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (29,6 %), terres arables (26,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), forêts (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %), zones humides intérieures (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
↑ « », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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Toponymie
Saint-Viaud est attesté sous sa forme latine Sanctus Vitalus dès 1123.
Le nom de Saint-Viaud viendrait de Saint Vital (Sanctus Vitalus en latin). Au saint Vital (ou Viau ou Viaud), ascète irlandais, se serait retiré sur le mont Scobrit, sur lequel il bâtit un ermitage à partir duquel le bourg actuel se développa.
La commune se situe au nord de la zone de transition linguistique entre le gallo et le poitevin. En gallo, le nom de la commune peut s'écrire Saint Viaod selon l'écriture ABCD ou Sint Viao selon l'écriture MOGA. La prononciation traditionnelle locale est [].
En breton, la commune a été baptisée Sant-Widel-Skovrid à la fin du XXe siècle par l'Office Public de la Langue Bretonne, signifiant « Saint-Viaud-Scobrit ». Scobrit étant le nom du mont sur lequel est bâti le bourg actuel.
↑ Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 32.
↑ « », sur vendee.catholique.fr (consulté le ).
↑ infobretagne.com, « ».
↑ « », Institut du Galo
↑ « », Chubri
↑ Le breton a été parlé dans la commune jusqu'au breton de la Loire-Atlantique.
Histoire
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847 : Les reliques de Saint-Vital sont transportées à Tournus près d'Autun en Bourgogne devant les invasions normandes.
: Les insurgés de Vue, Frossay et Saint-Viaud vont attaquer la commune de Paimboeuf où réside la garnison républicaine.
: s'arrête sur l’île du Carnet en se rendant à Paimboeuf.
1856 : l'église actuelle est finie d'être construite.
De 1917 à 1919 est implanté sur la commune au lieu-dit « la Ville en Bois » un centre d'aérostation maritime construit par la marine française. Les dirigeables surveillaient la façade atlantique de l'île d'Oléron à Belle-Île. Le
: Tragédie de la Brosse. Il s'agit du dernier fait militaire de la Seconde Guerre mondiale sur le territoire français. La grange où étaient déposées les armes des prisonniers allemands explose faisant 7 victimes, soit 5 FFI du Limousin, le receveur de Saint-Viaud et un facteur de Paimboeuf. Le responsable de la section des FFI, André Desorteaux, petit-fils du maire d'Oradour-sur-Glane qui pense dans un premier temps que les Allemands avaient piégé la grange, évite que les prisonniers stationnés dans le champ d'à côté ne soient massacrés.
1978 : Création de l'usine Zircotube.
1979 : Les bras de Loire sont comblés près des îles du Carnet pour lancer le projet d'une centrale nucléaire au Carnet.
2000 : Intégration de l'usine Zircotube au sein de la Compagnie européenne du zirconium (CEZUS).
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le ).
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le ).
↑ « », sur chemin-memoire39-45paysderetz.e-monsite.com (consulté le ).
↑ « Mémoire. L’ordre du Mérite pour le citoyen d’honneur de Saint-Viaud », Ouest-France.fr, .
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le 10 janvier 2018).
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Loire-Atlantique.
Blasonnement :
D'or à la croix de sable, chargée sur les quatre bras d'un cordon de Saint Vital d'argent.
Commentaires : Ce blason évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Viaud au pays de Retz ; le cordon de Saint Vital est une cordelière. Blason conçu par 1946.
Politique et administration
L'article histoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination des maires de la commune.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790
1791
Jean Lequimener
Sans étiquette
Prêtre recteur
1791
1794
Vincent Bécard
Sans étiquette
janvier 1794
décembre 1794
Jean Morice
Sans étiquette
1794
1795
Jacques Avril
Sans étiquette
1795
1803
Valentin Augot
Sans étiquette
1803
1813
Henri-René Riou
Sans étiquette
1813
1830
Amand Reliquet de Lepertière
Conservateur et Royaliste
Propriétaire du château du Pé au Midy
1830
octobre 1846
William Leray
Sans étiquette
Propriétaire du château du Plessis Grimaud
octobre 1846
mars 1848
Amand Reliquet de Lepertière
Conservateur et Royaliste
Propriétaire du château du Pé au Midy
mars 1848
septembre 1848
Justin Vallée
Sans étiquette
septembre 1848
août 1852
Amand Reliquet de Lepertière
Conservateur et Royaliste
Propriétaire du château du Pé au Midi
août 1852
novembre 1868
Justin Vallée
Sans étiquette
15 novembre 1868
20 mai 1888
Narcisse Prosper Richard
Sans étiquette
Entrepreneur de travaux publics
20 mai 1888
5 avril 1903
François Boquien
Sans étiquette
Notaire
5 avril 1903
10 mai 1925
Adolphe Jollan de Clerville
Conservateur
Médecin, président du Conseil général de la Loire-Inférieure
10 mai 1925
7 octobre 1945
Louis Jollan de Clerville
Conservateur
Industriel nantais
7 octobre 1945
26 octobre 1945
Joseph Guimard
Sans étiquette
Commerçant
26 octobre 1945
27 mars 1965
Auguste Boutin
Artisan Charpentier Menuisier
27 mars 1965
14 mars 1971
Francis Fillaud
Directeur de la Laiterie de Saint-Père en Retz
1971
2001
Fernand Bouchereau
RPR
Directeur d'école
mars 2001
mars 2014
André Barreau
Sans étiquette
Artisan électricien
mars 2014
En cours
Roch Chéraud
Sans étiquette
chargé d'affaires Économie Sociale et Institutionnels
Les données manquantes sont à compléter.
Le 30 novembre 2014, les habitants de la commune de Saint-Viaud sont les premiers de Loire-Atlantique à pouvoir s'exprimer sur la réunification et l'Assemblée de Bretagne lors d'une votation organisée par le collectif Dibab. Pour pouvoir participer au scrutin, il fallait avoir au moins 16 ans et pouvoir justifier sa domiciliation dans la commune. Il y a eu 336 votants sur 1 566 inscrits sur les listes électorales, ce qui représente un taux de participation de 20 %. Les participants s'exprimant à 75 % pour une Bretagne à cinq départements et à plus de 80 % pour la fusion des conseils départementaux et du conseil régional.
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↑ Saint-Viaud : 75 % de oui pour la réunification, mais faible participation, Christophe Turgis, France 3 Pays de la Loire, 1er décembre 2014.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.
En 2022, la commune comptait 2 846 habitants, en évolution de +15,83 % par rapport à 2016 (Loire-Atlantique : +6,68 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 678
1 194
1 440
1 332
1 627
1 575
1 612
1 616
1 702
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 823
1 744
1 615
1 588
1 607
1 668
1 754
1 710
1 672
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 614
1 554
1 496
1 491
1 433
1 370
1 360
1 384
1 417
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 488
1 508
1 359
1 576
1 713
1 840
2 046
2 106
2 336
Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2018
2022
-
-
-
-
-
-
-
2 564
2 846
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 299 hommes pour 1 265 femmes, soit un taux de 50,66 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
0,6
5,7
75-89 ans
6,0
14,1
60-74 ans
13,7
18,5
45-59 ans
18,7
22,8
30-44 ans
22,9
14,4
15-29 ans
16,0
24,1
0-14 ans
22,2
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,8
6
75-89 ans
8,6
15,1
60-74 ans
16,4
19,4
45-59 ans
18,8
20,1
30-44 ans
19,3
19,2
15-29 ans
17,4
19,5
0-14 ans
17,6
↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
↑ Insee, « », 30 juin 2021 (consulté le 29 décembre 2021).
↑ Insee, « », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).
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Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.
En 2022, la commune comptait 2 846 habitants, en évolution de +15,83 % par rapport à 2016 (Loire-Atlantique : +6,68 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 678
1 194
1 440
1 332
1 627
1 575
1 612
1 616
1 702
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 823
1 744
1 615
1 588
1 607
1 668
1 754
1 710
1 672
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 614
1 554
1 496
1 491
1 433
1 370
1 360
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1 417
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1962
1968
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1990
1999
2006
2008
2013
1 488
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1 576
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2 046
2 106
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Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2018
2022
-
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2 564
2 846
-
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De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 299 hommes pour 1 265 femmes, soit un taux de 50,66 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
0,6
5,7
75-89 ans
6,0
14,1
60-74 ans
13,7
18,5
45-59 ans
18,7
22,8
30-44 ans
22,9
14,4
15-29 ans
16,0
24,1
0-14 ans
22,2
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,8
6
75-89 ans
8,6
15,1
60-74 ans
16,4
19,4
45-59 ans
18,8
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30-44 ans
19,3
19,2
15-29 ans
17,4
19,5
0-14 ans
17,6
↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
↑ Insee, « », 30 juin 2021 (consulté le 29 décembre 2021).
↑ Insee, « », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).
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Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.
En 2022, la commune comptait 2 846 habitants, en évolution de +15,83 % par rapport à 2016 (Loire-Atlantique : +6,68 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 678
1 194
1 440
1 332
1 627
1 575
1 612
1 616
1 702
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 823
1 744
1 615
1 588
1 607
1 668
1 754
1 710
1 672
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 614
1 554
1 496
1 491
1 433
1 370
1 360
1 384
1 417
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 488
1 508
1 359
1 576
1 713
1 840
2 046
2 106
2 336
Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2018
2022
-
-
-
-
-
-
-
2 564
2 846
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
Histogramme de l'évolution démographique
↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
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Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 299 hommes pour 1 265 femmes, soit un taux de 50,66 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
0,6
5,7
75-89 ans
6,0
14,1
60-74 ans
13,7
18,5
45-59 ans
18,7
22,8
30-44 ans
22,9
14,4
15-29 ans
16,0
24,1
0-14 ans
22,2
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,8
6
75-89 ans
8,6
15,1
60-74 ans
16,4
19,4
45-59 ans
18,8
20,1
30-44 ans
19,3
19,2
15-29 ans
17,4
19,5
0-14 ans
17,6
↑ Insee, « », 30 juin 2021 (consulté le 29 décembre 2021).
↑ Insee, « », 27 juin 2024 (consulté le 13 juillet 2024).
Lieux et monuments
Le château du Plessis-Mareil est inscrit comme monument historique en 1978.
La villa du Plessis-Grimaud date de 1508. Il devient en 1872 orphelinat départemental agricole pour les garçons orphelins jusqu'en 1949. Actuellement, ce château abrite des chambres d'hôtes.
L'église Saint-Vital (reconstruite au Haut Moyen Âge.
La croix Saint Vital à la pierre Cantin
Le calvaire de la Grand'Croix
La croix percée
Le moulin de la Ramée
Le menhir de la Tuterie
Le canal de la Martinière
Château du Plessis-Mareil
Villa du Plessis-Grimaud
Eglise Saint-Vital
La pierre Cantin est surmontée d'une croix en pierre (1845) dédiée à saint Vital.
Calvaire Grand Croix Saint-Viaud
Moulin de la Ramée
Menhir de la Tuterie
Canal de la Martinière
↑ « Le Plessis-Grimaud, une propriété se découvre », Ouest-France.fr, 17 septembre 2012 (lire en ligne, consulté le 10 janvier 2018).
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Saint-Viaud, sur Wikimedia Commons
Saint-Viaud, sur le Wiktionnaire
Articles connexes
Canton de Saint-Père-en-Retz
Communauté de communes du Sud Estuaire
Pays de Retz Atlantique
Pays de Retz
Pays traditionnel de Bretagne
Pays nantais
Liste des communes de la Loire-Atlantique
Loire-Atlantique
Pays de la Loire
Bretagne
Liens externes
Notices d'autorité :
BnF (données)
Ressources relatives à la géographie :
Ldh/EHESS/Cassini
Ressource relative à plusieurs domaines :
Annuaire du service public français
Site de la mairie
Articles connexes
Canton de Saint-Père-en-Retz
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Pays de Retz Atlantique
Pays de Retz
Pays traditionnel de Bretagne
Pays nantais
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Cartes
Géographie
Situation de la commune de Saint-Viaud dans le département de la Loire-Atlantique.
Saint-Viaud est situé au sud de l'estuaire de la Loire, à 17 Saint-Nazaire, à 4 Paimbœuf et à 40 km à l'ouest de Nantes.
Les communes limitrophes sont Paimbœuf, Corsept, Saint-Père-en-Retz, Chaumes-en-Retz et Frossay.
Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Saint-Viaud est une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Pays de la Loire et Climat de la Loire-Atlantique.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 amplitude thermique annuelle de 12,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 13 vol d'oiseau, est de 12,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le 5 janvier 2024)
↑ « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le 5 janvier 2024).
↑ « », sur fr.distance.to (consulté le 5 janvier 2024).
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 5 janvier 2024).
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le 5 janvier 2024).
↑ « », sur meteofrance.fr, novembre 2022 (consulté le 5 janvier 2024).
Toponymie
Saint-Viaud est attesté sous sa forme latine Sanctus Vitalus dès 1123.
Le nom de Saint-Viaud viendrait de Saint Vital (Sanctus Vitalus en latin). Au saint Vital (ou Viau ou Viaud), ascète irlandais, se serait retiré sur le mont Scobrit, sur lequel il bâtit un ermitage à partir duquel le bourg actuel se développa.
La commune se situe au nord de la zone de transition linguistique entre le gallo et le poitevin. En gallo, le nom de la commune peut s'écrire Saint Viaod selon l'écriture ABCD ou Sint Viao selon l'écriture MOGA. La prononciation traditionnelle locale est [].
En breton, la commune a été baptisée Sant-Widel-Skovrid à la fin du XXe siècle par l'Office Public de la Langue Bretonne, signifiant « Saint-Viaud-Scobrit ». Scobrit étant le nom du mont sur lequel est bâti le bourg actuel.
↑ Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 32.
↑ « », sur vendee.catholique.fr (consulté le 10 janvier 2018).
↑ infobretagne.com, « ».
↑ « », Institut du Galo
↑ « », Chubri
↑ Le breton a été parlé dans la commune jusqu'au breton de la Loire-Atlantique.
Histoire
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847 : Les reliques de Saint-Vital sont transportées à Tournus près d'Autun en Bourgogne devant les invasions normandes.
12 mars 1793 : Les insurgés de Vue, Frossay et Saint-Viaud vont attaquer la commune de Paimboeuf où réside la garnison républicaine.
10 août 1808 : s'arrête sur l’île du Carnet en se rendant à Paimboeuf.
1856 : l'église actuelle est finie d'être construite.
De 1917 à 1919 est implanté sur la commune au lieu-dit « la Ville en Bois » un centre d'aérostation maritime construit par la marine française. Les dirigeables surveillaient la façade atlantique de l'île d'Oléron à Belle-Île. Le US Navy et devient la Naval Aerostation de Paimboeuf. Près de 500 marins américains et 4 dirigeables sont présents à la fin de la Première Guerre mondiale. Grâce à l'action des dirigeables aucun convoi américain en provenance des États-Unis qui débarquèrent à Saint-Nazaire ne fut coulé.
12 mai 1945 : Tragédie de la Brosse. Il s'agit du dernier fait militaire de la Seconde Guerre mondiale sur le territoire français. La grange où étaient déposées les armes des prisonniers allemands explose faisant 7 victimes, soit 5 FFI du Limousin, le receveur de Saint-Viaud et un facteur de Paimboeuf. Le responsable de la section des FFI, André Desorteaux, petit-fils du maire d'Oradour-sur-Glane qui pense dans un premier temps que les Allemands avaient piégé la grange, évite que les prisonniers stationnés dans le champ d'à côté ne soient massacrés.
1978 : Création de l'usine Zircotube.
1979 : Les bras de Loire sont comblés près des îles du Carnet pour lancer le projet d'une centrale nucléaire au Carnet.
2000 : Intégration de l'usine Zircotube au sein de la Compagnie européenne du zirconium (CEZUS).
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le 10 janvier 2018).
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le 10 janvier 2018).
↑ « », sur chemin-memoire39-45paysderetz.e-monsite.com (consulté le 8 janvier 2018).
↑ « Mémoire. L’ordre du Mérite pour le citoyen d’honneur de Saint-Viaud », Ouest-France.fr, lire en ligne, consulté le 8 janvier 2018).
↑ « », sur saint-viaud.fr (consulté le 10 janvier 2018).
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Loire-Atlantique.
Blasonnement :
D'or à la croix de sable, chargée sur les quatre bras d'un cordon de Saint Vital d'argent.
Commentaires : Ce blason évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Viaud au pays de Retz ; le cordon de Saint Vital est une cordelière. Blason conçu par 1946.
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Sie befinden sich in der französischen Version der Website, Ihr System gibt jedoch an, dass Sie die deutsche Sprache bevorzugen. Die gesamte Site ist noch nicht übersetzt, aber die Menüs und Schaltflächen auf der Benutzeroberfläche sind weitgehend übersetzt.
11/03/2025 16:13:40 Cette version de la page est en cache (à la date du 11/03/2025 16:13:40) afin d'accélérer le traitement. Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la dernère version de la page.
Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 21/01/2025 Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-pdl/40275.html
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