Les Cerqueux

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Les Cerqueux : descriptif

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Les Cerqueux

Les Cerqueux est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Son territoire, situé à l’extrême sud du département, est essentiellement rural. Sa proximité avec le département des Deux-Sèvres est telle que la mairie et l'église des Cerqueux en sont situées à moins de 300 mètres, accroissant l'attractivité de la commune (économique et scolaire) sur les fermes et villages proches de Nueil-les-Aubiers et de l'ancienne commune de Saint-Aubin-de-Baubigné intégrée à Mauléon.

Géographie

Localisation

La commune angevine des Cerqueux se situe dans le sud du département, à 19 Cholet et à 53 Angers. Elle fait partie du département de Maine-et-Loire et de l’arrondissement de Cholet.

Le bourg, situé sur un plateau de 148 Saint-Aubin de Baubigné, vers Somloire et Vihiers. C’était, il y a trois siècles, la seule voie de communication empierrée figurant sur les cartes officielles. La départementale 148, venant d’Yzernay, aboutit aussi dans la commune. Au .

Sa superficie actuelle est de 1 386 hectares. Cette surface était sensiblement plus importante au Deux-Sèvres et donc à Saint-Aubin-de-Baubigné au moment de la Révolution.

Sa longitude est de 0° 38’ 26 ouest et sa latitude de 47° 00’ 01 nord, la même que Québec.

Communes limitrophes

Les communes les plus proches sont Somloire (4,6 .

Géologie et relief

Géologiquement rattaché aux Mauges, le sous-sol appartient au Massif armoricain, composé essentiellement de terrain métamorphique (granit) et de schiste. Ce sous-sol granitique a justifié la présence de deux carrières d’extraction sur la commune.

Comme dans l’ensemble du Massif armoricain, la masse de roches constituant l’essentiel du sous-sol a été soulevée et fragmentée durant l’Ère primaire (plissement hercynien). Les déformations ont été accompagnées et suivies de phases d’érosion provoquant l’émergence de collines arrondies, développées en majeure partie dans les granits.

Comme en Vendée et dans le Poitou tout proche, les points culminants correspondent aux sommets de ces collines et portent parfois le nom de Puy : Puy Crapaud à Pouzauges avec 269 Aubiers avec 173 m, Puy Aubrun aux Cerqueux avec près de 186 mètres.

Le bourg de la commune, est placé au centre du territoire variant du plus bas à 139 .

Topographie

Son territoire se situe sur l'unité paysagère du plateau des Mauges. Le paysage des Cerqueux s’apparente à celui de la Vendée bocagère avec les arbres et les haies encore très présents. Comme dans tout le bocage, la plupart des champs sont entourés de haies vives où poussent chèvrefeuille, églantier, houx, aubépine et sureau.

De même qu'en Vendée, la tuile (canal ou tiges de botte) est employée quasiment partout dans l'habitat rural alors que l’utilisation du schiste et du granit dans les constructions anciennes évoque aussi la Bretagne toute proche.

On ne trouve que peu de bois ou de taillis sur la commune, à part près de l'ancien château de Daillon. Ce même village de Daillon était, jusqu’à une période récente, le seul à posséder un étang digne de ce nom, quoique situé sur la commune de Somloire.

Hydrographie

Aucune rivière d’importance n’irrigue ni ne traverse la commune. Seul, le ruisseau La Pommeraye qui prend sa source dans l’étang du Moulin de la Sévrie, délimite plus ou moins les frontières des Cerqueux et donc du Maine-et-Loire avec les Deux-Sèvres tout proches, entre le village du Plessis et celui de La Sallée. Il rejoint l’Ouère à Somloire avant que celle-ci ne se jette dans l’Argenton qui rejoint lui-même le Thouet, affluent de la Loire dans laquelle il se fond à Saumur.

Ainsi la commune possède la particularité d’avoir deux bassins versants et donc deux schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE). Celui du Thouet pour la raison évoquée ci-dessus, le second étant celui de la Sèvre Nantaise.

La ligne de partage des eaux des deux versants passe, à son sommet, au niveau des bâtiments d’exploitation de la ferme de Roulais.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 amplitude thermique annuelle de 14,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Nueil-les-Aubiers à 8 vol d'oiseau, est de 12,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. a et b Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), Géoportail Les Cerqueux (49), consulté le 4 juin 2015
  2. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Les Cerqueux (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 4 juin 2015 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune des Cerqueux (49058), consultée le 3 juin 2015.
  4. Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), «  », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. a b et c IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2013), consulté le 4 juin 2014 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. André Sarazin, Pierres qui meurent en Anjou, Cholet, Farré et fils, (BNF 35318416), Le Château de la Séverie près des Cerqueux de Maulévrier.
  7. Gérard Linden, Les mots des mines et carrières du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Éditions Cheminements, , 253 ISBN , BNF 39916279, lire en ligne), Page 75.
  8. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 ISBN ), WikiAnjou.
  9. Délégation Inter-Régionale de l’ONCFS Poitou-Charentes Limousin, «  », sur polebocage.fr (consulté le ).
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  11. « Les Cerqueux », sur Observatoire de l'eau de Maine-et-Loire (eau.maine-et-loire.fr) (version du sur Internet Archive), consulté le 14 juin 2015.
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Toponymie

Au fil du temps, la paroisse puis la commune se verront nommées de bien d’autres façons jusqu’à l’appellation « les Cerqueux » actuelle : 1169 Sarcos, 1308 Les Sarquex de Monlevrer, 1630 les Sercueils de la Sevrie, 1603-1615 Les Serqueulx-de-M., 1615 les Serqueulx soubz M., 1617 de Cerqueux, 1653-1654 Serqueux de la Séverie, les Cercueils de Maulévrier, 1668 Cercogagi de Mallevrario, 1790 Les Cercueils de Maulévrier, Les Cerqueux de Maulévrier, 1996 Les Cerqueux (Journal officiel du ),,.

Mais peut-être l’étymologie du nom « Cerqueux » remonte-t-elle à des époques plus anciennes. Le mot Cerqueux pourrait être un vieux mot gallo-romain dérivé du mot latin Circus, cercle, et synonyme de Chromlech, mot moderne formé avec des racines celtiques (chrom, cercle et lech, pierre sacrée).

Jean Alexandre, linguiste et traducteur, fait naître l’étymologie des Cerqueux depuis « cercueils », dérivé du latin sarcofagus, le mot cercueil désignant alors un tombeau. On peut en déduire qu'il s'agissait d'un lieu de sépulture pour les premiers seigneurs de Maulévrier. Tout en précisant qu'aucun seigneur de Maulévrier n'y fut jamais enterré.

Nom des habitants (gentilé) : Les Cerquois, Cerquoises.

  1. Célestin Port 1874, p. 565 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  2. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (ISBN , OCLC 57373029, BNF 39295447), p. 45-46.
  3. Insee, Code officiel géographique (COG), Modifications des communes de Maine-et-Loire, consultées le 26 juin 2012.
  4. Pierre-Louis Augereau, Les Mauges mystérieuses, Le Coudray-Macouard, Cheminements, ISBN , BNF 37043455), p. 54 et suivantes.
  5. Patrice Lefort, Maulévrier, Miroir de la cité : regard sur le patrimoine historique du XIe au XIXe siècle, P. Lefort (Impr. Graphique de l'Ouest), , p. 37.

Héraldique

Blason
D'argent à trois macles de gueules ; à la bordure partie au 1er d'azur chargée de six fleurs de lis d'or et au 2e de gueules chargée de six tours d'or, maçonnées de sable, ouvertes et ajourées de gueules.
Détails
L'écu central rappelle celui des Du Puy du Fou de la Sévrie, longtemps seigneurs des Cerqueux. La bordure rappelle les armes de l'Anjou et du Poitou dans les marches communes desquelles se trouvaient Les Cerqueux.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Histoire

Préhistoire

On a trouvé sur le territoire de la commune deux haches de pierre polie en diorite (dont une est conservée au musée de Cholet). Les lieux-dits Le Vas des pierres, La Pierre Levée, le Grand et le Petit Chiron, semblent révéler un habitat préhistorique.

Aucun vestige gallo-romain ne subsiste aux Cerqueux. Pourtant, des traces d’une station romaine ont été évoquées au village de La Grande-Troche, tout près de la voie romaine menant d’Angers à Saintes.

La Pierre Levée à La Petite Foucherie des Cerqueux.

Par contre, les monuments celtiques abondent – ou plutôt abondaient – aux Cerqueux, dans un périmètre circonscrit aux Foucheries (Petite et Grande), à la Petite et Grande Troche et à la Gagnerie.

Il ne fait aucun doute que les Cerqueux ont abrité d’importantes nécropoles néolithiques. Voici ce qui est relaté dans le Bulletin des antiquaires de l’Ouest : « Monsieur Gillot signala sur la voie romaine menant de Saintes à Angers le lieu-dit « Les Cerqueux de Maulévrier ». Cerqueux, dont les formes anciennes sont serqueu, Serqueuil, Sarco, Sarchia, traduites ici par « Cercueil, Sépulcre, Sarcophage ». Les archéologues connaissent ces anciennes nécropoles dont l’importance d’alors n’est pas en rapport avec la population actuelle des localités. Nul doute que Les Cerqueux de Maulévrier n’aient possédé une ancienne et importante nécropole dont ils ont tiré leur nom ».

Moyen Âge

La paroisse des Cerqueux appartient au abbaye Saint-Jouin de Marnes, mais elle est sans doute de création plus ancienne. C’est dans la bulle de 1179 ou Nicolas, prieur de Saint-Jouin-de-Marnes, obtient du pape Alexandre III la reconnaissance des possessions de l’abbaye que l’on voit apparaître pour la première fois la mention de l’église des Cerqueux de Maulévrier : Ecclesiam de Sarcos de Malebrario,.

Au . Guillaume des Cerqueux, né au début du .

Ancien Régime

Maurice du Puy du Fou, le fils de Jean du Puy du Fou et de Jeanne des Cerqueux, épouse N. de Maumusson en 1485. Il en a un fils, René du Puy du Fou. René devient donc le légitime Seigneur de la Sévrie. Mais c'est sans compter avec sa grand-mère, Jeanne des Cerqueux, qui, en troisièmes noces, a épousé Jacques de Daillon dont elle a eu un fils, Pierre de Daillon. Les Daillon tentent alors de s'arroger la châtellenie des Cerqueux au détriment des Puy du Fou. S'ensuivent procès sur procès au cours du guerres de religion qui touchent durement la paroisse. Eusèbe La Garnache et lieutenant-général au gouvernement du Poitou. Il s'engage fortement dans les rangs de la Ligue catholique et guerroye assidûment dans la région pendant la seconde partie du XVIe.

Pont-Levis et entrée du château de La Sévrie.

En représailles, son château de la Sévrie est brûlé le par les huguenots commandés par le Capitaine Baudouin, tenant pour le Roi au château de Vezins. C'est ce même jour où le comte de La Rochepot accorde une trêve, mais qui n'est connue que le .

Les guerres de religion en sommeil, les procès débutent entre les seigneurs de La Sévrie et les seigneurs de Maulévrier, toujours dans le but de s'approprier des droits sur les terres des Cerqueux. Le seigneur de Maulévrier, Gouffier de Roanne, souhaite « tirer les marrons du feu » à l'issue du conflit récurrent opposant le Puy du Fou aux Daillon. Ces procès durent pendant toute la première moitié du XVIIe.

Eusèbe . Cette dernière, après le décès d'Eusèbe II et son remariage avec Mr de Neuillant, gouverneur de Niort, est nommée tutrice de Françoise d'Aubigné qu'elle héberge quelque temps à la Sévrie. Dès son arrivée, Françoise d'Aubigné fait office de servante. Chaussée de sabots, elle alla garder les dindons vêtue d'un loup et d'un chapeau de paille pour protéger son teint car la mode était aux carnations de nacre. Madame de Neuillant décide de confier l'éducation religieuse de Françoise au prêtre de la paroisse des Cerqueux. Jeune encore, Françoise d'Aubigné épouse le poète Scarron puis devient la maitresse et enfin l'épouse morganatique de Louis XIV sous le nom de Madame de Maintenon.

La branche des Puy du Fou n'ayant pas produit d'héritier, vont alors succéder des descendants par les femmes, les La Haye-Montbault. En 1767, François Abel Jameron, seigneur du Coudray-Montbault, prend le titre de baron de La Sévrie.

La Révolution sonne le glas de cette puissante demeure qui cesse alors d’être, comme on disait autrefois, « habitée noblement ».

La Révolution et les guerres de Vendée

La première municipalité des Cerqueux, remplaçant administrativement la paroisse auprès du pouvoir Royal de Louis XVI, est élue en . Sur un électorat potentiel de 98 chefs de familles, seuls 26 peuvent voter compte tenu des conditions d’âge et surtout de revenus, et donc d’imposition fixées. Paroisse essentiellement rurale, la cure des Cerqueux y possède un cinquième des terres. C’est une des proportions les plus importantes des Mauges. De même, la présence d’un bureau de charité atteste de la relative pauvreté des habitants.

Lors de cette élection Jean-Joseph Brosseau, laboureur de 39 ans au village de la Grande Foucherie, est nommé syndic. Il a pour adjoints Pierre Simonneau, bordier à la Petite Troche et Pierre Bonin, laboureur à la Sallée. À eux trois ils payent alors 20 % de la taille due par la paroisse.

Les cahiers de doléances de la paroisse sont rédigés le dans une auberge du village. Ils ne diffèrent pas sensiblement de ceux des autres communes d’Anjou, réclamant principalement l’abolition de la gabelle et la suppression des avantages pécuniaires des nobles et ecclésiastiques.

Située au cœur de ce que l’on appellera plus tard la Vendée militaire, à 20 Cholet et 12 de Châtillon-sur-Sèvre, à 8 Henri de La Rochejaquelein et 10 de celui de Nicolas Stofflet, la paroisse des Cerqueux n’échappe pas aux évènements de 1793.

Même si certains combattants ont déjà participé dès le mois d’ à l’attaque de Bressuire, le gros des troupes (2 compagnies de 40 hommes selon Pierre Devaud) est levé début par Henri de La Rochejaquelein.

Les Cerqueux payent un lourd tribut aux guerres de Vendée. Plus de 50 soldats sont tués (à titre de comparaison la guerre 1914-1918 ne fera « que » 31 victimes). Le bourg et les fermes avoisinantes sont incendiés deux fois. Une première fois le

Les combats de 1799 aux Aubiers et de 1815 pendant les Cent-Jours ne font pas d'autres victimes de la commune.

Pendant la Révolution, le château de la Sévrie est vendu comme bien national. Chauvin Hersant est le seul à se présenter aux enchères. Il eut la Sévrie à vil prix pour en faire bénéficier son gendre, Tonnet, qui habite Niort. En 1900, la Sévrie est encore dans la famille Tonnet. Le propriétaire en est le comte de Brie qui a épousé une fille Tonnet.

Époque contemporaine

Trois jeunes hommes des Cerqueux disparaissent pendant les guerres Napoléoniennes, un autre pendant la guerre de 1870 contre les Prussiens.

En ce qui concerne la Première Guerre mondiale, une source indique, mais sans citer de noms, que 33 habitants perdent la vie. Le livre d'or des communes aux archives nationales recense quant à lui 32 noms. Enfin, le monument aux morts de la commune liste 31 morts, à l'identique du site web spécialisé MémorialGenweb qui propose en outre médailles et photos de nombreuses sépultures des soldats tués.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, un habitant est tué et un autre porté disparu. De nombreux éléments du  régiment du génie d'Angers sont faits prisonniers des Allemands le aux Cerqueux.

Un soldat perd la vie lors de la Guerre d'Algérie.

  1. Célestin Port 1874, p. 566.
  2. Comité des travaux historiques et scientifiques, Bulletin Archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, Paris, imprimerie nationale, Ernest Leroux, rue Bonaparte, , Page LIV.
  3. Docteur Atgier, « Stations mégalithiques autour de Maulévrier », Société des sciences, lettres et arts de Cholet,‎ 1892-1899, p. 119 et suivantes.
  4. Bulletin de la Société des Antiquaires de l’Ouest, Poitiers, Fradet et Barbier, (BNF 34428253, lire en ligne), p. 572.
  5. « Chartularium Sancti Jovini. Cartulaire de Saint-Jouin-de-Marnes », Société de statistique du département des Deux-Sèvres,‎ , Tome XIV.
  6. a et b Célestin Port 1965, p. 600.
  7. a b et c Célestin Port 1874, p. 567.
  8. Célestin Port (édition revue et corrigée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, ISBN  (édité erroné), BNF 35857376), p. 397.
  9. Georges Michel, Yzernay au cœur de l’histoire, t. I, VDM Éditions, , p. 374.
  10. « Françoise Tiraqueau », sur Les Cerqueux - Histoire et histoires d'un petit village (lescerqueux.com) (version du sur Internet Archive).
  11. « Françoise d'Aubigné », sur Les Cerqueux - Histoire et histoires d'un petit village (lescerqueux.com) (version du sur Internet Archive).
  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées pierresquimeurent
  13. Décret du 22 décembre 1789 relatif à la loi du 22 décembre 1789 relative à la constitution des assemblées primaires et des assemblées administratives, lettres patentes du roi sur le décret données à Paris au mois de janvier 1790 (Collection complète des Lois, Décrets, Ordonnances, Règlements et Avis du Conseil d'État, J.P. Duvergier (Paris), 1824).
  14. Célestin Port, La Vendée angevine : les origines - l'insurrection (janvier 1789 - 31 mars 1793), Hachette, (BNF 31137802), p. 20.
  15. «  », sur Archives départementales de Maine-et-Loire (archives49.fr) (consulté le ).
  16. a b et c Pierre Devaud, Le livre de la Gère : Mémoires, Nantes, Forest et Grimaud, (lire en ligne), p. 37, 53, 55.
  17. Marie-Louise-Victoire de Donissan de la Rochejaquelein, Mémoires de madame la marquise de la Rochejaquelein : écrits par elle-même, Tournai, J. Casterman, , p. 53.
  18. Savary, Guerres des Vendéens et des Chouans contre la République française, t. III, Paris, Baudouin Frères, , p. 291.
  19. « Chauvin Hersant », sur Les Cerqueux - Histoire et histoires d'un petit village (lescerqueux.com) (version du sur Internet Archive).
  20. a b et c Port 1965, p. 599.
  21. Archives nationales, «  », sur Système d'information des Archives nationales (siv.archives-nationales.culture.gouv.fr) (consulté le ).
  22. «  », sur MémorialGenWeb (memorialgenweb.org), 4 juin 2004 (relevé initial) (consulté le ).

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Les Cerqueux dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-pdl/291156.html

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