Trets
Localisation
Trets : descriptif
- Trets
Trets (prononcer [tʁɛts] ou [tʁɛs]) est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Tretsois et les Tretsoises. La commune se nomme en occitan provençal Tretz selon la norme classique ou Tres selon la norme mistralienne.
Toponymie
Plusieurs théories existent sur l'origine du nom de Trets. La plupart des noms anciens attestés maintenant cependant le t présent dans la graphie classique Tretz. Ainsi, Mistral tout en écrivant Tres souligne les formes anciennes Castrum de Tretis et Trittis. Ce qui élimine donc tout lien avec le chiffre 3 (qui s'écrit tres dans les deux normes, du latin trēs), qui aurait pu être en être rapproché postérieurement pour donner son blason à 3 anémones à 3 lobes.
Une des hypothèses fait référence à la déesse grecque Tritée, ou Trittia, en lien avec de maigres découvertes archéologiques. Une autre hypothèse rattacherait l'origine de Trets à un peuple celto-ligure, peut-être les Tritolli déjà connus par Pline. Enfin, une troisième hypothèse courante évoque l'installation par Rome d'un entrepôt à blé (triticum en latin).
- Frederic Mistral, Lou tresor dóu Felibrige, Marcel Petit (ISBN ), p. 1042
- « ».
- Gaius Plinius Secundus, « ».
Géographie
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Auriol, La Bouilladisse, Peynier, Puyloubier, Rousset, Nans-les-Pins, Pourcieux, Pourrières et Saint-Zacharie.
Accès et transports
Chef-lieu de la Haute Vallée de l'Arc, Trets se situe au sud de la Montagne Sainte Victoire, au pied du mont Olympe, dans la vallée de l'Arc. Il faut 25 minutes pour aller à Aix-en-Provence et 45 minutes pour aller à Marseille.
Relief
Géologie
Sismicité
Il existe trois zones de sismicité dans les Bouches-du-Rhône :
- Faible : Concerne la Camargue et l'est du département.
- Modérée : La plupart des communes du département sont en zone modérée.
- Moyenne : Concerne une bande frontalière avec le Vaucluse s'étalant d'Aix-en-Provence à Salon.
La commune de Trets est en zone de simicité faible.
Hydrographie
L'Arc traverse le nord de la commune et le canal de Provence passe au pied du Mont Olympe.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 amplitude thermique annuelle de 15,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 667,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44 ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 0,7 | 3,2 | 5,8 | 9,4 | 12,8 | 14,9 | 15 | 12 | 9,2 | 4,8 | 1,7 | 7,5 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 6,6 | 9,7 | 12,3 | 16,4 | 20,5 | 23,2 | 23,2 | 19,1 | 15 | 9,9 | 6,7 | 14,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,4 | 12,5 | 16,1 | 18,9 | 23,4 | 28,1 | 31,4 | 31,4 | 26,1 | 20,8 | 15,1 | 11,8 | 20,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,7 29.01.05 |
−13 11.02.12 |
−9,4 02.03.05 |
−3,9 22.04.1991 |
−0,7 18.05.1991 |
2,7 01.06.06 |
5,7 02.07.1991 |
5,8 30.08.1989 |
1,5 29.09.1993 |
−6,2 30.10.1997 |
−9 23.11.1998 |
−10 30.12.05 |
−13 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 28.01.08 |
23,7 27.02.19 |
25,4 30.03.12 |
28,5 29.04.05 |
34,2 22.05.22 |
44 28.06.19 |
39,7 21.07.22 |
41,4 23.08.23 |
35,2 03.09.16 |
33,1 08.10.23 |
23,8 06.11.1992 |
22,6 30.12.21 |
44 2019 |
Précipitations (mm) | 67 | 42,8 | 44,3 | 67,5 | 50,7 | 38,6 | 19,7 | 30,2 | 75,9 | 79,9 | 91,7 | 59,4 | 667,7 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
11,4 0,9 67 | 12,5 0,7 42,8 | 16,1 3,2 44,3 | 18,9 5,8 67,5 | 23,4 9,4 50,7 | 28,1 12,8 38,6 | 31,4 14,9 19,7 | 31,4 15 30,2 | 26,1 12 75,9 | 20,8 9,2 79,9 | 15,1 4,8 91,7 | 11,8 1,7 59,4 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Prévisions météorologique en locale
La station de Météo Trets Paca en plein centre-ville de Trets permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques en climatologie urbaine
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,1 | 0,6 | 2,9 | 5,2 | 9,1 | 12,3 | 14,4 | 14,7 | 11,5 | 9 | 4,1 | 1,1 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 5,7 | 6,6 | 9,5 | 11,7 | 16,2 | 20 | 22,7 | 22,8 | 18,5 | 14,8 | 9,4 | 6,2 | 13,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,3 | 12,6 | 16,2 | 18,3 | 23,3 | 27,7 | 31 | 31 | 25,5 | 20,5 | 14,8 | 11,4 | 20,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,7 29.01.05 |
−13 11.02.12 |
−9,4 02.03.05 |
−3,9 22.04.1991 |
−0,7 18.05.1991 |
2,7 01.06.06 |
5,7 02.07.1991 |
5,8 30.08.1989 |
1,5 29.09.1993 |
−6,2 30.10.1997 |
−9 23.11.1998 |
−10 30.12.05 |
−13 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 28.01.08 |
23,7 27.02.19 |
25,4 30.03.12 |
28,5 29.04.05 |
32,9 23.05.09 |
44 28.06.19 |
39,6 31.07.20 |
41,3 01.08.20 |
35,2 03.09.16 |
30,9 03.10.11 |
23,8 06.11.1992 |
22,6 30.12.21 |
44 2019 |
Précipitations (mm) | 71,4 | 41 | 39,4 | 75,6 | 55,3 | 35,6 | 14 | 28,5 | 87,4 | 85,4 | 78,4 | 64,3 | 676,3 |
- « » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Histoire
Néolithique et Protohistoire
Le territoire de Trets est occupé par l'Homme dès le Néolithique. Plusieurs stations existent sur des monticules naturels dans la plaine de l'Arc. Vers 4000 Chasséen de Trets. En particulier sur le site des Terres-Longues daté de la même période, une opération d'archéologie préventive en 2016 a mis au jour 4500 pièces en obsidienne soit dix fois plus que l'ensemble des objets de cette nature recensés sur tous les autres sites de la région. Les stèles trouvées à la Bastidonne, comme l'ensemble des quelque cinquante stèles ou fragments de stèles du sous-groupe provençal à chevrons, apparaissent comme l'une des plus anciennes manifestations d’art statuaire anthropomorphe de Méditerranée occidentale, entre 3900 et 3600 av. J.-C. environ.
Durant la Protohistoire, plusieurs sites sont occupés, comme la Baume de Onze Heure dans le mont Olympe, ou encore l'oppidum de l'Olympe. Si les populations de l'âge du fer sont très probablement entrées en contact avec les Grecs de Massalia à partir du VIe s. av. J.-C., il n'y a aucune preuve matérielle de la fondation d'une colonie grecque à cette époque à Trets.
Antiquité et haut Moyen Âge
En 102 Marius bat les Teutons dans la plaine de l'Arc, entre Aix-en-Provence et Pourrières. Dès le Arc. Ces implantations sont favorisées par la proximité de la via aurelia, qui relie Rome à la Gaule Narbonnaise.
L'Antiquité tardive et le haut Moyen Âge ne laissent que peu de traces. Quelques villae sont réoccupées entre les IVe et VIe siècles. Il faut aussi mentionner la légende de la fondation de l'ermitage de Saint-Jean-du-Puy à cette époque par Cassien, en lieu et place d'un ancien temple païen dédié à Diane, déesse de la chasse.
Moyen Âge
La ville de Trets apparaît dans l'histoire au Conrad III dit le Pacifique (937-993) donne le fisc de Trets (curtis Tresia dans le cartulaire de Saint-Victor) à un certain Arlulfe (ou Arnulf). Ce dernier serait le fils du comte viennois Teutebert (ou Thibert), et serait venu en Provence en accompagnant Hugues d'Arles au début du . Ce fisc s'étend sur toute la haute Vallée de l'Arc, entre la Montagne Sainte Victoire et les Monts Auréliens, Olympe et Régagnas.
Après son installation, Arlulf de Marseille construit un castrum sur les collines qui dominent la ville, aujourd'hui colline de Saint-Michel. Plus tard, le castrum prend le nom de son fondateur : castrum arnulfo (en 1001 et 1051), puis "Château Arnoux". Cette fortification perchée sur une colline au pied de l'Olympe est le siège du pouvoir seigneurial à Trets. Une chapelle, dédiée à saint Michel, y est consacrée en 1051. Plus bas, dans la plaine, et plus proche des terres cultivables et des voies commerciales, se trouve l'agglomération de Trets à proprement parler, autour de l'église paroissiale Notre-Dame-de-Nazareth, peut-être bâtie à l'emplacement ou non loin d'un établissement antique ou tardo-antique. L'abbaye Saint-Victor de Marseille installe un monastère à l'ouest de cette agglomération vers 1056, année où est consacrée l'église de la Sainte-Trinité.
Les descendants d'Arlulf de Marseille se voient concéder le titre de vicomte de Marseille à la fin du Xe siècle par les comtes de Provence. Ils possèdent alors un immense domaine comprenant 21 communautés entre Sainte-Victoire et La Ciotat, sans compter Marseille, Toulon et leurs possessions de l'est de la Provence. Rapidement, les vicomtes donnent de nombreuses terres aux moines bénédictins de l'abbaye Saint-Victor de Marseille, qui devient l'une des principales puissances de la région, tant du point de vue temporel que spirituel.
À la fin du XIIe ou au début du XIIIe siècle, une branche de la famille vicomtale obtient entre autres le fief de Trets. C'est à cette époque que sont construits les premiers bâtiments du château de Trets, qui sera agrandi plusieurs fois. C'est la construction militaire la plus importante de la haute Vallée de l'Arc au Moyen Âge. Le château possède encore des mâchicoulis et des archères, et était couronné d'une plateforme crénelée.
Au début du puis chevalier, seigneur de Cuers, qui épousa, par contrat du 5 juin 1316, Ermengarde d'Agoult d'Ollières. Au début du . Sa fille Galburge d'Agoult de Sault épousa le seigneur de Cotignac, de Carcès et de Bargême, Foulques de Pontevès.
Guillaume Artaud, seigneur de Saint-André-en Beauchêne, eut de Béatrix de la Roche, dame de Trets, fille de Sibille, dame de Trets et du Revest et de Raimond de Montauban, Raymond de Montauban, viguier de Marseille (1352-1353). Béatrix institua, par testament du 17 juin 1342, ses fils Dragonet et Raymond de Montauban ses héritiers. Raymond devint seigneur de Trets, de Montmaur et du Revest.
Les habitants de Trets forment rapidement une communauté. Cette institution, ancêtre de l'actuelle commune, est connue dès le début du Moyen Âge, le faubourg décline et les Hospitaliers délaissent la chapelle.
Au XIVe siècle, la fréquence des guerres et des conflits poussent les habitants à munir la ville d'un rempart. Il est plusieurs fois remanié ou reconstruit. Sur les huit tours et les trois portes qu'il comprenait, il ne reste que quatre tours et les portails de Saint-Jean (également appelé d'Amont ou de Notre-Dame de Nazareth) et de Pourrières. Le portail de Clastre a été démoli au XIXe siècle. Fait exceptionnel, une partie du fossé, large de plusieurs mètres, est encore visible depuis le boulevard Vauban.
En 1363, le pape Urbain V, ancien abbé de Saint-Victor, fonde à Trets un studium (ou collège) pontifical destiné à former des juristes pour les institutions pontificales qui se trouvent alors à Avignon. Le studium accueille très vite une centaine d'étudiants. Mais deux ans plus tard, à la suite d'une épidémie de peste en Basse-Provence, il est transféré à Manosque.
Trets est alors une des villes les plus importantes de Provence. Une communauté juive conséquente y vit également, dans la carreira judaica, laquelle était dotée d'une synagogue. Dans cette carreira judaica, actuelle rue Paul-Bert, une grande maison romane du ce bâtiment la synagogue, il semble plutôt que ce soit la maison d'un riche notable de Trets.
La mort de la reine ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre d'Anjou. La dame de Trets, Huguette de Fors, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis .
Temps modernes
Au siècle, le château d'Arlulfe est définitivement abandonné tant par les seigneurs que par les habitants. Seule y subsiste une cellule d'ermite qui continue à desservir la chapelle Saint-Michel. De même, le faubourg de Saint-Martin disparaît également. Il ne reste plus que la ville de Trets à proprement parler. En 1536, l'empereur Charles Quint envahit la Provence. , roi de France, n'ayant pas les moyens d'arrêter cette invasion, donne l'ordre de la retraite et demande aux habitants de détruire les récoltes et de vider leurs greniers pour empêcher l'ennemi de se ravitailler. Trets refuse d'obéir à cet ordre. Pour faire exécuter la volonté du roi, le maréchal de Bonneval fait pointer deux pièces d'artillerie sur les remparts. Les soldats pénètrent dans les maisons les unes après les autres, détruisent les récoltes, tuent le bétail, vident les greniers. Lorsque les Autrichiens arrivent, ils mettent le feu à quelques maisons. C'est le sac de Trets, appelé « Bassacagi de Tres ».
En 1590, pendant les guerres de Religion, Trets est de nouveau assiégée. Le seigneur d'Ampus, protestant, campe devant la ville. C'est le seigneur de Carcès, catholique, qui vient délivrer la ville. Les deux armées livrent bataille à Peynier dans la nuit du 29 juillet 1590.
C'est au milieu du siècle que les derniers descendants des vicomtes de Marseille vendent la baronnie de Trets à Christophe de Foresta, premier maître d'hôtel de François Ier, premier gentilhomme de monseigneur le Dauphin et père de Jean-Augustin de Foresta. Jusqu'au début du , les Gaufridy, barons de Trets, descendraient des vicomtes de Marseille.
Au siècle, Trets se relève de ses ruines. Des tanneries et des manufactures de drap se développent et y prospèrent. Christophe Veyrier, sculpteur élève de Pierre Puget, fait ouvrir une carrière de marbre à Saint-Jean-du-Puy. Il est l'auteur du retable en marbre de Carrare de l'église paroissiale Notre-Dame-de-Nazareth.
Révolution française
À Trets, le comité de surveillance est institué en 1793. Il se recrute en partie chez les simples paysans, parfois illettrés, et son institution marque en quelque sorte l’apogée démocratique de la Révolution. Le comité, chargé de la surveillance de l’application des lois, consacre une grande part de son activité à les lire, les recopier, discuter de leur portée, participant ainsi à la formation politique et démocratique des citoyens.
Trois mines de charbon à ciel ouvert sont recensées en 1793 à Trets. La concession pour une mine souterraine est accordée en 1809 par Napoléon. En 1877, la mine et ses cinq puits sont acquis par la compagnie des mines de la Grande Combe. L'ensemble est agrandi l'année suivante avec l'ouverture de la galerie Saint-Jean. La mine ferme définitivement en 1935.
- voir en particulier p.90 La Pierre Magique in Les Grandes Enigmes en Archéologie Provence-Alpes-Côte-D'Azur de Xavier Delestre Ed. Mémoires Millénaires (mai 2015) (ISBN )
- p.190 L'or noir des néolithiques à Trets in Le Guide des sites préhistoriques Provence-Alpes-Côte-d'Azur de Bertrand Roussel et Frédéric Boyer Ed. Mémoires Millénaires (avril 2018) (ISBN )
- Jules Masson Mourey et al., Les stèles anthropomorphes de La Bastidonne (Trets, Bouches-du-Rhône) et leur contexte du Néolithique moyen, Bulletin de la Société Préhistorique Française, Société Préhistorique Française, 2020, 117 (2), pp.273-302. ⟨hal-02544360⟩
- Guérard B., Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, collection des cartulaires de France, t. VIII, Paris, typographie de Ch. Lahure, 1857, charte n° 1041.
- Mazel Fl., La noblesse et l’Église en Provence, fin Xe-début XIVe siècle, Paris, éd. du CTHS, 2002, p. 33-34.
- Gérin-Ricard H., Isnard E., Actes concernant les vicomtes de Marseille et leurs descendants, Monaco-Paris, Archives du Palais-A. Picard, 1926, charte n° 23 ; voir également la pierre de consécration de la chapelle Saint-Michel de Trets, conservée à l'église paroissiale Notre-Dame-de-Nazareth.
- Poly J.-P., La Provence et la société féodale (879-1166), Paris, Bordas, 1976, p. 116 et 126 ; Mazel Fl., La noblesse et l’Église en Provence, fin Xe-début XIVe siècle, Paris, éd. du CTHS, 2002, p. 37 et 144.
- Guérard B., Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, collection des cartulaires de France, t. VIII, Paris, typographie de Ch. Lahure, 1857, charte n° 112.
- B1517f.87v, 31 octobre 1316
- B1942f100v, 27 juillet 1343
- Cortez, les grands officiers, p.116
- Gérin-Ricard, Actes, p.211
- ibid.p.213-214
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 412 (note 55).
- Abbé Robert de Briançon, L’Etat de la Provence ; La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse ; J. Grosdidier de Matons, Armorial Haut-Alpin.
- Jacques Guilhaumou et Martine Lapied, « Paysans et politique sous la Révolution française à partir des dossiers des comités de surveillance des Bouches-du-Rhône », Rives nord-méditerranéennes, 5 | 2000, mis en ligne le 25 mars 2004
- « Les derniers vestiges de la mine de Trets », La Provence, (lire en ligne)
Héraldique
|
Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'argent à trois trèfles de sinople, disposés 2 et 1. [1] |
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