Sainte-Tulle

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Sainte-Tulle : descriptif

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Sainte-Tulle

,Sainte-Tulle (Santa Túllia en provençal selon la norme classique et Santo Tùli selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Dans sa propre présentation, la mairie de Sainte-Tulle met en avant son cadre de vie privilégié et l’environnement provençal typique

La commune est, depuis un siècle, liée à la production électrique, avec plusieurs centrales de production électrique qui se sont construites sur son territoire, plusieurs installations annexes et le Centre de conduite hydraulique de 19 centrales situées dans les vallées de la Durance et du Verdon. Le nom de ses habitants est Tullésains.

Géographie

Sainte-Tulle et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
Vue de la commune du sud.

La commune de Sainte-Tulle est située à l'extrême sud du département, avant Corbières et la limite entre les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Le village est situé à 299 m d’altitude.

Les communes limitrophes de Sainte-Tulle sont Manosque, Pierrevert, Gréoux-les-Bains, Corbières-en-Provence.

Relief

L'altitude de la mairie de Sainte-Tulle est de 320 mètres environ, l'altitude minimum et maximum de Sainte-Tulle sont respectivement de 269 m et 521 m.

La superficie de la commune est de 17,07 km2 soit 1 707 hectares.

Les villes et villages proches de Sainte-Tulle sont : Pierrevert à 2,93 km, Corbières à 3 km, Manosque à 5,33 km, Montfuron à 7,77 km et Vinon-sur-Verdon à 7,95 km.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 amplitude thermique annuelle de 17,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vinon Sur Verdon », sur la commune de Vinon-sur-Verdon à 8 vol d'oiseau, est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 607,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,3 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Environnement

Sainte-Tulle compte 297 .

Voies de communication et transports

Voies routières

Sainte-Tulle est située sur l'ancienne RN 96 (actuelle RD 4096), qui relie Château-Arnoux-Saint-Auban à Aubagne.

Sainte-Tulle est à 8 kilomètres de la bretelle autoroutière de Manosque (sortie 18) située sur l'autoroute A51 qui assure une communication rapide vers le sud en direction d'Aix-en-Provence et de Marseille et vers le nord en direction de Gap et de Sisteron.

Les accès secondaires sont assurés par la RD 105 au nord, qui rejoint à Pierrevert.

Services autocars
Lignes intercommunales

Le village est desservi par une ligne intercommunale.

Ligne Parcours
Corbières-en-Provence ↔ Sainte-Tulle ↔ Manosque
Lignes scolaires

Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier les 3 collèges de Manosque, les trois lycées de Manosque, le lycée Félix-Esclangon, le lycée des Iscles et le lycée des Métiers-Louis-Martin-Bret ainsi que le collège de Sainte-Tulle. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon Agglomération au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, deux autres ont été rajoutées.

Ligne Parcours
Pierrevert ↔ Sainte-Tulle
Corbières-en-Provence ↔ Sainte-Tulle
Transports ferroviaires

La gare SNCF la plus proche est celle de Manosque - Gréoux-les-Bains situé à cinq kilomètres de Sainte-Tulle, desservie par les TER de la ligne Lyon-Perrache - Marseille-Saint-Charles (via Grenoble).

La gare TGV la plus proche de Sainte-Tulle est celle d'Aix-en-Provence TGV.

Risques naturels et technologiques

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Manosque-Sud-Est auquel appartient Sainte-Tulle est en zone 2 (sismicité moyenne, la plus élevée de France métropolitaine) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques

, [ ] (DDRM), 2008, p. 39 , et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011. La commune de Sainte-Tulle est également exposée à trois autres risques naturels :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée de la Durance) ;
  • mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort.La commune de Sainte-Tulle est de plus exposée à deux risques d’origine technologique:
  • celui de transport de matières dangereuses, par rail, route et canalisations. Dans le département, la plupart de ces transports livrent des matières premières à destination des usines Arkema de Saint-Auban et Sanofi de Sisteron :
    • en ce qui concerne la voie ferrée, c’est la ligne de Lyon à Marseille (via Grenoble) qui traverse la commune ;
    • l’autoroute A51 et la départementale RD 4096 (ancienne route nationale 96) peuvent être empruntées par les transports routiers de marchandises dangereuses ;
    • enfin, le gazoduc servant à alimenter Digne et Manosque en gaz naturel traverse la commune et constitue donc un facteur de risque supplémentaire ;
  • le second risque d’origine technologique est celui de rupture de barrage. En cas de rupture du barrage de Serre-Ponçon, Sainte-Tulle est dans la zone d’inondation spécifique (crue plus importante que la plus importante des crues naturelles de la Durance) : plus de la moitié de la surface de la commune serait submergée, approximativement jusqu’à la cote 320 m, ce qui inonderait toute la zone artisanale, les usines électriques, mais aussi une partie de la zone résidentielle.

Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1994 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme, mais la préfecture lui en a prescrit un nouveau en 2006 qui inclut le risque feu de forêt ; le Dicrim existe depuis 2010.

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : pour des inondations et des coulées de boue en 2005 et 2011, et pour des mouvements de terrain dus à la sécheresse en 1989 et 1998. L’incendie du détruit 620 Corbières et Pierrevert. Dans la liste qui suit, figurent les tremblements de terre fortement ressentis dans la commune. Ils dépassent une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre :

  • le séisme du , d’une intensité ressentie à Sainte-Tulle de VII et dont l’épicentre était situé à Manosque,
  • le séisme du , avec une intensité ressentie de VI et demi et Beaumont-de-Pertuis pour épicentre,
  • l’essaim de séismes du , avec une intensité ressentie de V et Lambesc pour épicentre.

Toponymie

Le nom du village apparaît pour la première fois au  siècle (Sancta Tulia), d’après le nom de la martyre Tullia, fille de saint Eucher, sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite.

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées La Torre
  2. Plan de Sainte-Tulle sur cartesfrance.fr.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  8. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées tresor
  11. DLVA Mobilité « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  12. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne).
  13. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées prim
  14. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  15. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
  16. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 74.
  17. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  18. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 81.
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  21. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 52.
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  26. , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, lire en ligne)., § 28635, p. 1643


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Toponymie

Le nom du village apparaît pour la première fois au  siècle (Sancta Tulia), d’après le nom de la martyre Tullia, fille de saint Eucher, sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite.

  1. , Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, lire en ligne)., § 28635, p. 1643

Histoire

Préhistoire et Antiquité

La présence humaine à l'époque préhistorique puis pendant la période gallo-romaine à Sainte-Tulle est attestée en de nombreux endroits, tant en colline qu'en plaine, par la présence de vestiges de ces époques (outils en pierre, sépultures, monnaies, poteries...). Le nom romain du village, situé sur un carrefour de routes, peut être Bormonicum.

Moyen Âge

Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire.

Quartorze tombes médiévales ont été découvertes avenue Paul Vaillant-Couturier en .

Du  siècle au  siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possède le prieuré Sainte-Tulle (actuelle chapelle à l’écart du village) et l’église paroissiale Notre-Dame jusqu’au  siècle.

Le fief de Sainte-Tulle relevait du comté de Forcalquier au  siècle. Lorsque ce comté perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Sainte-Tulle, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250.

Le fief est détenu par les Villemus (Glandevès (Oraison au Valbelle jusqu’à la Révolution. La communauté relevait de la viguerie de Forcalquier.

Le village est ravagé par la peste noire de 1348 et, quelques décennies plus tard, par le passage répété de bandes de pillards qui anéantissent les derniers survivants. Le village fantôme est repeuplé au milieu du .

Temps modernes

Pendant les guerres de religion, en , la bataille de Sainte-Tulle est particulièrement meurtrière, au passage de la Durance, un peu au-dessous du village, et fait plus de 500 victimes.

En 1609, les sources de Combe Loubière — actuellement quartier de Prévérend — sont captées et leurs eaux sont conduites dans le village par une canalisation de 2 km jusqu'à la fontaine Plus-haute (fontaine Ronde). En 1670, le Grand chemin royal " venant des villes de Marseille et Aix pour aller dans les provinces du Dauphiné et ailleurs " est dévié par le village grâce à un pont à deux arches en pierres de taille de Mane sur le torrent du Chaffère ainsi que, l'année suivante, la construction — aux frais de la communauté — d'un nouveau Grand logis (hôtel-restaurant) pour le compte du seigneur.

L’épidémie de peste de 1720, partie de Marseille, se propagea un peu partout en Provence et emporta en quelques semaines à Sainte-Tulle 426 personnes sur une population de 810 habitants.

Le pont à deux arches sur le Chaffère est emporté par une crue soudaine, le . Des cultures spéculatives commencent à être pratiquées à Sainte-Tulle dans la deuxième moitié du  siècle, comme la sériciculture.

Révolution française

Durant la Révolution, les terres communales des Iscles de la Durance sont distribuées à tous les habitants en 1792 et le château seigneurial est incendié le dimanche de la même année. La commune compte une société patriotique, créée courant 1791. Elle est affiliée au club des Jacobins de Paris. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Tulle-les-Durance.

Époque contemporaine

Monuments aux morts de Sainte-Tulle.

La ville s’insurge contre le coup d’État de Napoléon III. 44 personnes furent passées en jugement et 17 d'entre elles condamnées à la déportation en Algérie.

Au sériciculture (élevage des vers à soie) avec la réalisation d'une magnanerie expérimentale et la conduite de recherches scientifiques sur les maladies des vers à soie (Eugène Robert).

Comme de nombreuses communes du département, Sainte-Tulle se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu. La même instruction est donnée aux filles, la loi Falloux (1851) imposant l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école.

La commune devient également un centre de production électrique, avec la construction d’une centrale de production d’électricité thermique en 1919, doublée d’une centrale hydroélectrique en 1922.

L’excellence de sa politique édilitaire en matière d’équipements (théâtre, école, mairie, installations sportives et touristiques) lui vaut le prix du village moderne, en 1931.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le canal d'amenée d'eau à la centrale électrique est la cible d'un sabotage des Francs-tireurs et partisans (FTP, résistants communistes) le , journée d'action nationale. Pour préparer le débarquement de Provence, deux équipes Jedburgh sont parachutées les 8 et afin d’agir sur les arrières allemands, et notamment sur les voies de communication. Disposant du soutien de 3 000 FFI, elles prennent le contrôle de la RN 96 qui permet de remonter la vallée de la Durance de Manosque à Veynes. Au cours des opérations suivant le débarquement, les forces alliées franchissent très tôt les premières défenses allemandes, et se lancent dans de rapides offensives de débordement, afin de couper les voies de retraite à la Wehrmacht. Une colonne, partie le de Vidauban, franchit la Durance le au sud de Mirabeau. Le .

La centrale hydroélectrique de 1922 est modernisée et doublée d’une autre, Sainte-Tulle II, en 1965 dans le cadre de l’aménagement hydroélectrique Durance-Verdon. L’ouverture de l’École des métiers (EDF) en 1958 ainsi que la mise en place du Centre de conduite hydraulique des barrages du Verdon et de la Durance en 1981 sont aussi des dates importantes dans l’histoire récente de Sainte-Tulle,. L’école des métiers est fermée en 1997. EDF renforce encore son implantation à Sainte-Tulle au début du  siècle avec la construction d’une centrale solaire photovoltaïque (voir ci-dessous) et un projet d’écocampus.

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  3. « Travaux d’aménagement et de sécurité de la rue du Clos et des abords de la médiathèque », Sainte-Tulle (no)9, novembre-décembre 2013, p. 5.
  4. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées prieuré
  5. Mariacristina Varano,  siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
  6. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 199
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées archeo-provence
  8. Andrée Courtemanche, «  siècle », Provence historique, tome 41, no 164, 1991, p. 185 et 190.
  9. a b c d e f et g Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées histoire-mairie
  10. a b et c Christian Blanc, Les Lavoirs de la fontaine Plus-Basse, Association Rancure, 1998., Sainte Tulle, Auto Edition, , 26 p., p. 3
  11. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Sainte-Tulle, un village pendant la Révolution, association Tétéa Durance Luberon, 1989.
  12. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-301
  13. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 114
  14. Jean-Christophe Labadie (ISBN ), p.9.
  15. Labadie 2013, p. 16.
  16. Labadie 2013, p. 11.
  17. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées basses-alpes3945-ftp
  18. Henri Julien (ISBN ), p.250.
  19. Julien 1994, p. 80.
  20. Julien 1994, p. 81.
  21. Julien 1994, p. 251.
  22. Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Privat, Toulouse, 1991, dans la collection Rivières et vallées de France, (ISBN ), p. 152.
  23. a et b « Programme « Energie Efficace » en Paca / EDF mise sur le développement des énergies renouvelables », Ecollectivités, publié le 11 janvier 2011, consulté le 8 juin 2013.
  24. Damien Frossard, « Eco-campus de Sainte-Tulle : les collectivités touchent au but », Energymed, publié le 22 avril 2013, consulté le 8 juin 2013.

Héraldique

Blason
D'azur aux deux lettres capitales S et T d'or en chef et une rose d'argent en pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).

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Sainte-Tulle dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-pac/40720.html

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