Guillaumes
Localisation
Guillaumes : descriptif
- Guillaumes
Guillaumes est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Guillaumois. La commune est membre de la Communauté de Communes Alpes-d'Azur Son nom en provençal est Guihèume.
Toponymie
Le toponyme de Barels est dérivé du nom provençal : barra = barre, à-pic rocheux qui ferme une vallée.
La toponymie des bourgs castraux : approches quantitatives.
Peuplement et toponymie en Provence orientale et dans le pays niçois.
- Circuit de Bartels
- La toponymie des bourgs castraux : approches quantitatives, par Elisabeth Sauze, Monde alpin et rhodanien (Le). Revue régionale d’ethnologie Année 1997 25-2-4 pp. 165-178
- Peuplement et toponymie en Provence orientale et dans le pays niçois, par Marie-Louise Gourdon, Monde alpin et rhodanien (Le). Revue régionale d’ethnologie Année 1997 25-2-4 pp. 151-163
Histoire
Préhistoire
Le territoire de Guillaumes est fréquenté dès le néolithique, comme en témoignent les vestiges de la grotte de Tremens dans le vallon de Cante ou encore les mines de cuivre des gorges de Daluis, exploitées par les hommes préhistoriques.
Antiquité
Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Guillaumes dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas.
Moyen Âge
C'est de Provence dit le Libérateur, comte de Provence, qui, en guerroyant dans la région contre les Sarrasins, repéra l'intérêt stratégique du site. Le castrum de Guillelme est mentionné pour la première fois dans un texte de la première moitié du .
Le château de Guillaumes a été fondé par le comte de Provence Raymond Béranger V durant la première moitié du XIIIe siècle, probablement entre 1233 et 1235. L'agglomération a été fondée à sa suite vers 1235-1240, en tant que ville neuve et à son emplacement actuel.
Falconis Roche, Baile-clavaire de Villeneuve (1340) et de Vence (1341), damoiseau, originaire de Guillaumes, fut le fils du seigneur de Guillaumes Faraud Roche.
Au maison d'Anjou accorde aux habitants des faveurs et privilèges, dont le pouvoir de s'administrer librement par des consuls élus, organiser des marchés et des foires, exemption du fouage, de la taille, de la dîme. La reine Jeanne l'autorise même à porter ses couleurs dans ses armoiries et lui accorde l’assurance de ne jamais être aliéné du domaine comtal. La mort de la reine ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre d'Anjou. La mort de celui-ci facilite les ralliements, dont celui de la communauté de Guillaumes, à son jeune fils, Louis II d'Anjou, en 1385. En 1390, Guillaumes est désigné par Marie de Blois, comtesse de Guise, comme chef-lieu de viguerie.
À la fin du Moyen Âge, Guillaumes est un petit centre commercial et accueille une foire qui se maintient jusqu’à la fin de l’Ancien Régime,.
Les terres du prieuré de Buyeï-Les Roberts figurent sur la liste des biens du temple saisis le 13 octobre 1307.
À la fin du d'Anjou, Roi de Naples, ajoute au château le donjon circulaire, symbole de son pouvoir. En 1481, du fait du rattachement de la Provence à la France "comme un principal à un autre principal",,, conformément au testament de Charles du Maine, Guillaumes devient une enclave contrôlée par la France dans les États sardes et dès lors son importance militaire ne fait que se confirmer au fil des siècles.
D'après Charles de Rémusat, Guillaumes est le berceau de la famille de Rémusat. On trouve dans les archives de la mairie un Pierre Rémusat, notaire de 1437 à 1481. Jean, notaire de 1620 à 1674, aurait le premier quitté Guillaumes pour s'établir à Marseille.
Époque moderne
lui accorde le titre de ville royale.
Bourg très isolé aux confins du royaume, Guillaumes est mieux relié au reste de la France à partir de 1674, lorsque l’évêque d’Entrevaux Ithier instaure un service postal bimensuel avec Aix, par mulets, qui dessert également Annot et Guillaumes.
Le 29 novembre 1637, une météorite d'environ 27 kilos (ou 17 selon les sources) tombe aux confins des territoires de Guillaumes et de Péone. Son nom officiel est "météorite du Mont Vaisi". Elle fut remise au seigneur de Daluis, et est aujourd’hui perdue.
Le 22 août 1682 le village est détruit partiellement par un incendie.
De 1700 à 1706, de nouvelles fortifications sont réalisées par Vauban qui séjourna deux fois à Guillaumes pour en établir les plans.
En 1734, des ingénieurs militaires visitent les fortifications du sud-est de la France et passent par Guillaumes. Ils jugent la place inattaquable. Ils la décrivent dans leur rapport :
« Les casernes du château peuvent contenir 400 soldats et leurs officiers. Tout le bas-étage est un souterrain voûté à l’épreuve des bombes. » …
« Dans l’enceinte de la ville, il y a 75 maisons habitées par 360 personnes. On compte un curé et deux vicaires, deux médecins et chirurgiens, trois marchands, cinq cabaretiers, un fournier boulanger, six maîtres-cordonniers et huit garçons, quinze tisserands, un charpentier, trois maréchaux-ferrants forgerons… Le Magistrat est formé de quatre consuls renouvelés tous les ans par les habitants. La justice est administrée par un juge royal et son lieutenant que la communauté nomme tous les ans, un greffier et autres officiers subalternes. Il y a une corporation des Arts et Métiers, une chapelle ou confrérie des Pénitents, un puits dans la ville et deux citernes au château, un four dans la ville où l’on peut cuire 1 500 rations de pain en 24 heures, un moulin dans la ville et huit dans les environs. »
Du 4 au 8 juillet 1744, les troupes franco-espagnoles qui doivent attaquer Entraunes et Saint-Martin-d’Entraunes stationnent dans la ville.
En 1748, après le traité d’Aix-la-Chapelle, Louis XV réduit la garnison de Guillaumes à deux compagnies d’invalides, puis à une seule. Les invalides sont des soldats ayant été blessés, devenus moins valides, et affectés à la défense des places.
En 1760, la place est démantelée à la suite du traité du 24 mars 1760 rectifiant les frontières entre les royaumes de Louis XV et de Charles-Emmanuel III, Guillaumes est cédée à la maison de Savoie et le château est démantelé malgré la révolte de ses habitants. Les troupes françaises quittent la ville le 10 octobre et le commissaire sarde prend possession de la ville le 20 octobre.
Révolution et Empire
En 1792, les troupes révolutionnaires prennent possession du village qui reste français jusqu’au traité de Vienne.
Par le traité de Paris, signé le 15 mai 1796, le roi de Sardaigne cède ses droits sur le comté de Nice à la France. Des volontaires locaux, les Barbets, qui avaient été armés par les Sardes pour lutter contre les troupes françaises, continuent leurs opérations militaires et de résistance. Un rapport du ministère de la Justice évalue alors leur nombre à 4 000. Ils étaient concentrés dans la vallée de la Vésubie et dans le Haut-Var. Les derniers ne furent arrêtés qu’en 1818.
C'est contre les réquisitions pratiquées dans les villages par les armées françaises pour assurer leur approvisionnement que ces volontaires s'étaient tout d'abord révoltés.
Les soldats guillaumois revenus vivants de la campagne de Russie sous Napoléon I firent le vœu de rendre, chaque année, hommage à la Vierge le jour de son assomption.
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Les traités de Paris de 1814 et 1815 replacent le comté de Nice sous la souveraineté de la Maison de Savoie. Guillaumes reste chef-lieu de mandement.
Après un bref retour sous la souveraineté sarde, Guillaumes comme le comté de Nice est, grâce à l'action de Napoléon III, définitivement rattaché à la France, le 24 mars 1860.
En 1845, Charles-Albert (roi de Sardaigne), fait endiguer la rive gauche du Var devant la ville pour la protéger des crues.
En 1860, Le comté de Nice est rattaché à la France à la suite d’un référendum contesté par certains.
Dès le rattachement, l'État français décide la création de la route impériale ,.
La 202 arrive à Guillaumes le 4 mai 1884. En la prolongeant, elle est devenue la route des Grandes Alpes.
En 1902, Louis Payany construit une petite usine hydroélectrique pour alimenter le village en électricité. Cette usine a été nationalisée en 1952 pour être exploitée par Électricité de France.
Début de l’enquête d’utilité publique en février 1904 pour la construction d’un réseau de tramways départementaux comprenant la ligne du « Haut-Var », reliant le pont de Gueydan — en jonction avec la ligne de chemin de fer Nice-Digne — à Guillaumes.
La construction de la ligne de tramway du Haut-Var, d’une longueur de 19,120 km, débute en 1910. Les travaux de terrassement de la plate-forme sont terminés en 1914. La pose de la voie métrique est achevée en 1915. La plateforme suit la route. Le franchissement des gorges de Daluis nécessite le percement de tunnels qui sont aujourd’hui utilisés par la route. À l’entrée amont des gorges se trouve le pont de la Mariée de 58 mètres d’ouverture permettant au tramway de franchir la vallée du Var et d'atteindre Guillaumes par sa rive gauche où il rejoint la RN202 au pont des Roberts.
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1914 - 1918 : Première Guerre mondiale. 46 Guillaumois sont tués au cours de la guerre.
La ligne de tramway du Haut-Var est inaugurée le 29 juillet 1923 après les épreuves des ouvrages qui ont été faites le 16 juillet.
Le cahier des charges prévoyait trois aller-retour journaliers en hiver et quatre en été. Mais ce rythme n’a jamais été atteint, il n’y en a jamais eu plus de deux. La durée d’un voyage Pont de Gueydan – Guillaumes était de 1 h 25 min.
L’exploitation de la ligne va se montrer déficitaire. Par exemple, en 1925, les recettes sont de 60 000 francs pour des dépenses de 132 000 francs.
La ligne de tramway est coupée par des éboulements en octobre 1928. Elle entre alors en déclin. Le 16 mai 1929, devant les dépenses importantes nécessaires pour le maintien de la ligne, son exploitation est arrêtée, à peine six ans après son inauguration. La ligne de tramway est déclassée et son matériel est utilisé sur la ligne de la Tinée le 2 avril 1932.
3 septembre 1939 - 2 septembre 1945 : Seconde Guerre mondiale.
En 1939, dans le cadre du secteur fortifié des Alpes-Maritimes (SFAM) de la « Ligne Maginot alpine », est achevée la construction de la casemate (blockhaus) située à deux kilomètres en aval du bourg à l'entrée amont des gorges de Daluis. En juin 1940, les défenseurs de cette casemate n'auront pas à utiliser son armement (un canon antichar AC 25 et une mitrailleuse), les envahisseurs italiens n'ayant pas réussi à franchir la vallée de la Tinée où ils ont été arrêtés, notamment dans le secteur d'Isola.
Guillaumes est la première commune du département libérée par les F.F.I., le 14 juillet 1944.
Jean Vercelli, né en 1925 à Saint-Léger, abattu à Guillaumes (Alpes-Maritimes) le 23 juillet 1944 ouvrier agricole, célibataire, maquisard ORA.
Le jeune Jean Vercelli avait rejoint la zone libérée de Beuil-Guillaumes-Valberg au début de juillet 1944. Lors des combats contre les colonnes allemandes voulant forcer les barrages établis par les FFI, il aurait été capturé au col de Roua et exhibé à l'entrée de l'ennemi dans le village de Guillaumes le 21 juillet. Il fut torturé en tant que "terroriste" puis abattu sur la route de Bouchanières deux jours plus tard. Une plaque rappelant son sacrifice est apposée en bordure de la route. Les allemands ayant peur de tomber dans une embuscade ont fait demi-tour à cet endroit.
Les 4 et 5 novembre 1994, les crues du Var menacent à nouveau le village. Guillaumes est classé en zone sinistrée.
- Pays de Guillaumes : Histoire
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- Guillaumes sur le site Montagnes Niçoises
- Catherine et Jean-Claude Poteur, Le château de Guillaumes, Saint-Cézaire-sur-Siagne, Castrum Alpes-Maritimes, , 98 ISBN )Un château de guerre, p. 32 à 34
- AD du 13, série B1992f115
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 411.
- Louis Stouff, « carte 86 : Port, routes et foires du Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Baratier et Hilsdesheimer, « carte 122 : Les foires (1713-1789) », in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
- Histoire de la Provence, PUF 1987, p. 50-52
- Histoire de la Provence, Privat, 1990, p. 219-222.
- « », sur univ-amu.fr (consulté le ).
- Charles de Rémusat, Mémoires de ma vie, Plon, 1958, Tome 1, p15-16.
- Émile Lauga, La poste dans les Basses-Alpes, ou l’histoire du courrier de l’Antiquité à l’aube du ISBN ), p. 58
- Ville de Nice, « », sur artcotedazur.fr, (consulté le )
- La Tribune de Guillaumes, journal d'information du Conseil municipal, no 30 août 2010, page spéciale 1860-2010 : 150e Anniversaire du rattachement du Comté de Nice à la France, p. 2.
- Jean-Loup Fontana et Michel Foussard, Route Napoléon, De Louis XIV à Louis-Philippe, l’histoire du Grand Chemin, Nice, Presses d’Imprimix, , 99 ISBN ) Cahiers des Alpes-maritimes no 11
- Pays de Guillaumes : le tramway
- Pays de Guillaumes : La Résistance
- Jean Vercelli
Géographie
Localisation
Le village est construit à la confluence du Var et du Tuébi. Il est dominé par un éperon sur lequel se trouvent les ruines d'un ancien château. Une partie du domaine skiable de la station de Valberg (les pistes du Vasson et de Barzès), se trouve sur la commune de Guillaumes.
Géologie et relief
Le village constitue la porte d'entrée du val d'Entraunes et du parc national du Mercantour.
Espaces protégés des Alpes occidentales méridionales, le Parco naturale Alpi Marittime (Italie) et le parc national du Mercantour sont jumelés depuis 1987.
La réserve régionale des gorges de Daluis est en grande partie située sur son territoire.
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité moyenne.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- fleuve le Var ;
- rious de bante, de la palud ;
- torrents la barlatte, le Tuébi ;
- ruisseaux la barlattette, de raton ;
- vallons de coni, de costa plana, du riou, de cante, d'amen, de berthéon, de la palud, des pénettes, du mercier, de l'ubac, de pabane, des anseingues, de la clastre, des fountettes, du pous, d'estouffagne, des chaumas, de la lave des guis, de tireboeuf, de champ de messieria, de rio frei, de la fraccietta, de diane.
Guillaumes dispose de deux stations d'épuration :
- la station d'épuration de Guillaumes d'une capacité de 800 équivalent-habitants ;
- la station d'épuration de Péone - Valberg d'une capacité de 9 000 équivalent-habitants.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Var, Alpes-Maritimes » et « Alpes du sud ».
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Péone », sur la commune de Péone à 5 vol d'oiseau, est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 31 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Voies de communications et transports
Voies routières
Routes départementales 902 de St-Benoît à Daluis, puis départementale 2202.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Le réseau Lignes d'Azur.
- Train des Pignes : Gare du Sud – Nice / Digne, arrêt Entrevaux (20 .
Communes limitrophes
Hameaux et Lieux-dits
- Amen
- Barels
- Barzès
- Bouchanières
- Le Collet
- Les Hivernasses
- Les Points
- Les Pourchiers
- La Ribière
- Les Roberts
- Saint-Brès
- La Saussette
- Valberg (en partie)
- Veynas
- Villeplane
- Villetale Basse
- Villetale Haute
- e Parco naturale Alpi Marittime (Italie) et le Parc national du Mercantour
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Description de la station Valberg.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- La Ligne Azur 790 Guillaumes-Nice
- Ligne du train des Pignes
- Les hameaux de Barels
- Le Hameau de Bouchanières
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Héraldique
Blason | Parti : au . |
|
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
- Dominique Cureau, « », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
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Guillaumes dans la littérature
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Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-pac/292327.html
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