Névache
Localisation
Névache : descriptif
- Névache
Névache (en occitan alpin : Nevascha [neˈvastʃa, neˈvaːtsɔ] en graphie classique ; Nevacho en graphie mistralienne) est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
La commune de Névache est sur la frontière italienne. Elle est traversée par le parallèle nord, et de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Voies de communications et transports
Voies routières
- Depuis le bas de la vallée de la Clarée et Briançon, par la D994G.
- par la D1T, qui passe le col de l’Échelle depuis l’Italie, accessible en été.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Gare de Briançon
Localisation
Valloire Valmeinier | Orelle | Modane | ||
Le Monêtier-les-bains | N | Bardonèche (it) | ||
O Névache E | ||||
S | ||||
La Salle-les-Alpes | Val-des-Prés | Montgenèvre |
Vallées
Névache est la plus haute commune de la vallée de la Clarée. Son chef-lieu, le hameau de Ville-Haute, se situe à 1 594 m d'altitude.
Le territoire de la commune de Névache est composée de la Haute Vallée de la Clarée et de la Vallée Étroite. Cette dernière est depuis des temps immémoriaux l'une des montagnes de la communauté, puis commune de Mélezet qui a été fusionnée le avec la commune de « Les Arnauds », puis le avec celle de Bardonnèche.
La vallée de la Clarée et la vallée Étroite communiquent par plusieurs cols, mais un seul, le col de l’Échelle, peut être franchi, de manière saisonnière, par les automobiles de tourisme.
Hameaux
Habitats permanents
- Ville-Haute 45° 01′ 07″ N, 6° 36′ 16″ E
- Le Château 45° 01′ 10″ N, 6° 36′ 35″ E
- Ville-Basse 45° 01′ 08″ N, 6° 36′ 46″ E
- Le Cros 45° 01′ 07″ N, 6° 37′ 01″ E
- Fort-Ville 45° 01′ 05″ N, 6° 37′ 04″ E
- Salé 45° 01′ 09″ N, 6° 37′ 31″ E
- Roubion
- Plampinet
Hameaux d'alpage
- Chalets des Acles
- Chalets de Biaune
- Chalets de Buffère
- Chalets de Fontcouverte
- Chalets des Gardioles
- Chalets des Granges
- Chalets de Lacha
- Chalets de Larau
- Chalets de Laval
- Chalets des Meuilles
- Chalets du Queyrellin
- Chalets de Ricou
- Chalets de Rif Tord
- Chalets des Thures
- Chalets du Vallon
- Chalets du Verney
- Les Granges (Vallée Etroite)
Hameaux d'alpage disparus
- Chalets de Lacou (Entre-deux-guerres)
- Chalets de la Sausse (Sauce, Saulce)
Sommets
- Aiguille Rouge (en italien : Guglia Rossa) (2 545 m) ;
- Mont Thabor (3 178 m) ;
- Pointe des Cerces (3 097 m) ;
- Tête de la Cassille (3 069 m) ;
- Roche Bernaude (3 222 m) ;
- Pic de la Moulinière (2 936 m) ;
- Roche du Chardonnet (2 960 m) ;
- Rocher de la Grande Tempête 45° 04′ 49″ N, 6° 33′ 31″ E (3 002 m) ;
- Guiau (2 654 m).
- Pic Ombière 45° 00′ 27″ N, 6° 31′ 09″ E (2 832 m) ;
Cols
- Le col des Âcles ou de la Pertusa
- Le col de l'Aiguille Noire
- Le col des Béraudes
- Le col de La Chapelle
- Le col des Désertes
- Le col de Dormillouse
- Le col de l'Échelle
- Le col de l'Etroit du Vallon
- Le col des Fontaine Froide
- Le col de la Gran Bagna
- Le col des Thures (2 194 m)
- Le col du Vallon
- Le col du Vallon Froid
- Le Col du Lac Blanc
- Le col de la Madeleine
- Le col des Méandes
- Le col des Muandes
- Le col de Névache
- Le col du Raisin
- Le col de Roche Noire
- le seuil des Rochilles
- Le col du Chardonnet (2 425 m).
- Le col de Buffère.
- Le col de l'Oule
- Le col des Trois Frères Mineurs
- Le col de Vallée Étroite
- Le col de Valmeinier
- Le Passage Sainte-Marguerite
- Le Pas de l'Âne
- Le Pas de l'Ours
- le Pas des Rousses
- Le Pas du Lac Blanc
- Le Pas du Lac Rouge
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- rivière la Clarée,
- torrents de Brune, de Roubion, des Âcles, le Riou Blanc, de la Cula, du Creuzet,
- ruisseaux du Chardonnet, de la Raoute, de Buffère, de Cristol, des Béraudes, des Sagnes Froides, du Moutet, de Saint-Jacques, de la Recare, du Lac Laramon, de Rif Tord, du Raisin, de Guillet, de Gardiole, de Biaune, de l'Oule, de Vallée Etroite
- ravins du Longet, du Lau, du Riou Sec, de Saume Longue, des Quartiers, du Châtelard, du Content, de l'Opon.
Lacs
- Le Grand Lac de l'Oule
- Le lac de la Barre
- Le lac des Béraudes
- Les lacs de la Casse Blanche
- Le lac Rouge.
- Le lac Blanc du Vallon
- Le lac Biron
- Le lac de la Clarée (2 433 m)
- Le lac Laramon 45° 02′ 55″ N, 6° 33′ 17″ E.
- Le lac du Serpent45° 03′ 03″ N, 6° 33′ 44″ E.
- Les lacs des Gardioles45° 03′ 46″ N, 6° 34′ 05″ E.
- Le lac de Privé
- Le lac de la Recare45° 03′ 33″ N, 6° 33′ 33″ E.
- Le lac de la Cula45° 03′ 51″ N, 6° 32′ 55″ E
- Le lac Long des Muandes45° 04′ 48″ N, 6° 31′ 15″ E
- Le lac Noir
- Les lacs de la Mine
- Le lac du Peyron
- Le lac Rond des Muandes
- Les lacs de la Madeleine (2 634 m)
- Le lac Chavillon ou lac des Thures
- Le lac Bellety
- Le lac Lavoir
- Le lac Blanc de Vallée Etroite
- Le lac Chardonnet
- Les lacs de La Grande Tempête
- Le lac de la Petite Tempête
- Le lac Vert.
- Accès routiers
- Marco Battistoni 2006, p.24
- L'eau dans la commune
- La Durance
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Annavasca en 739; Nevasca en 1118; Nevachia en 1232; Nevasia en 1334,.
La première forme connue pour désigner Névache, figure dans le testament du Patrice Abbon qui cède, en 739, avec de nombreuses autres propriétés, Annevasca Valle, à l'abbaye de la Novalaise.
Le Nevacha haut-alpin s'est francisé en Névache.
Les toponymistes analysent ce nom sur la base d’un radical Annav- et d'un suffixe -asca,. Ils considèrent que le suffixe -asca est d'origine ligure ou plus généralement préceltique. Il a donné des noms de lieux qui se terminent en -acha (-ache) dans les Alpes, en -asque (occitan -asca, -asco) en Provence et -asca en Corse, ainsi qu'en Italie. Ils expliquent le premier élément par un anthroponyme, c'est-à-dire un nom de personne gaulois Annavo- (selon la suggestion de Dottin) ou roman Annavus, ce qui revient au même.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 496a
- Ernest Nègre 1990, [1]
- Joseph Roman 1901, p. 13
Histoire
Préhistoire, antiquité et haut Moyen Âge
Présence de plusieurs pierres à cupules (tavola a coppelle en italien) dans le secteur de Lacou.
Moyen Âge
La paroisse de Névache
La paroisse de Névache est la structure sociale dont l’existence est la plus anciennement documentée grâce aux documents que conservait la prévôté de Saint Laurent d'Oulx qui prélevait la dîme.
Le dans le testament qu'il dicte à La Perrière, le dauphin Guigues VIII ordonne à ses exécuteurs testamentaires de faire reconstruire l'église de Névache,.
La co-seigneurie de Névache
Névache semble avoir fait partie, dès leur prise de possession du Briançonnais, des fiefs que les dauphins de Viennois tenaient de l'empereur germanique au travers du royaume d'Arles. Ils s'en servent de monnaie d'échange afin de pouvoir participer à la coseigneurie que les descendants de Witbald de Bardonnèche avaient créée, dans cette communauté et dans celles de Beaulard et de Rochemolles, probablement à la faveur des troubles de la succession de Bourgogne, à la fin du siècle, et qui échappait à la suzeraineté des princes de Briançonnais, soit qu'elle était considérée comme un alleu, soit qu'on la tienne vassale immédiate du royaume d'Arles.
Certains historiens ou érudits ont conjoncturé que Névache faisait partie, de la seigneurie de la famille de Bardonnèche. Les documents qui énoncent les propriétés que le Dauphin transfère au fils du roi de France, en 1343, distinguent le « fief de Bardonesche » et le « fief de Navasche ».
Le , à Bonneville, le dauphin , avec le consentement de sa mère, Béatrice de Faucigny, inféode à Boniface de Bardonnèche, les biens delphinaux de Névache.
Le , le dauphin Jean ,.
Le , Anne de Bourgogne, comtesse de Vienne et d'Albon, dame de La Tour du Pin, qui a succédé à son frère, le dauphin Jean .
Le , à Saint-Bonnet-en-Champsaur, le dauphin Jean II de la Tour du Pin confirme à Hugonnet de Bardonnèche, fils de Boniface, l'inféodation de la juridiction sur Névache que son oncle avait concédé à Boniface de Bardonnèche et à ses descendants.
Le , Hugues de Bardonnèche, Aymon Galvain, Boniface et Mathieu de Navaysse, coseigneurs de Névache, cèdent au dauphin Guigues VIII les vassaux, les redevances, les droits de justice et tous les biens qu'ils possèdent à Névache.
La communauté de Névache
Le , le dauphin Guigues VII de Viennois renonce, en faveur des habitants de la paroisse de Névache, contre 30 Livres viennoises et 30 Sols viennois pour le salaire du mistral, payables le jour de la Saint-Michel, à son droit de lever sur eux des tailles. Les habitants de la paroisse se voient reconnaître par la même occasion le droit de s'assembler, hors même de la présence du châtelain afin de répartir entre eux cette dette, mais doivent s'adresser au châtelain pour contraindre les réfractaires et les mauvais payeurs. Cette concession qui tend, au fil du temps, à se généraliser en Briançonnais et dans plusieurs régions du Dauphiné, est la plus ancienne connue dans la seigneurie briançonnaise. Elle constitue l'acte fondateur du régime municipal de Névache, encore que les habitants de la paroisse de Plampinet sont exclus de ses bénéfices.
En 1328, les habitants de la vallée de Névache, avec ceux de Césane et d'Exilles, encouragés par Obert Auruce, se soulèvent contre le pouvoir du dauphin. Une révolte a lieu la même année à Bardonnèche contre ceux des coseigneurs.
En 1332, le dauphin Guigues VIII passe un accord avec les habitants de Névache par lequel ceux-ci s'interdisent tout forme d'intelligence avec le comte de Savoie.
En 1343, la communauté de Névache rentre, pour la seule paroisse de Plampinet, dans le système d'accords complexes qui régissent les Escartons du Briançonnais. La paroisse de Névache comme celles de Bardonnèche, de Rochemolles et de Beaulard dispose de sa propre charte, et profite de l'ambiguïté de sa situation pour conserver un semblant d'autonomie en certaines matières.
Le , la communauté de Névache achète à Hugonnet de Bardonnèche, pour la somme de 300 florins, un alleu qu'il possède sur son territoire.
Le , les communautés de Névache, de Montgenèvre et de Val-des-Prés obtiennent une ordonnance de Jean Daillon, gouverneurs du Dauphiné, qui fixe le nombre de feux taxables en fonction de la fertilité des fonds de chaque communauté et non du nombre de leurs habitants,.
Les châteaux de Névache
Le premier château
La tradition orale veut que le sommet du rocher nommé « la Taroche » soit le site où un premier château fut construit. Il n'existe à vrai dire aucune preuve de son existence. L'hypothèse de sa destruction « par les Sarrasins » est tout aussi fantaisiste.
Le second château
Le projet d'inféodation du Dauphiné à l'église romaine, transmis par le dauphin Humbert II de Viennois au pape Benoit XII, fait état d'un « castrum de Navaycha »,, mais aucun document, contrairement aux autres châteaux delfinaux du Briançonnais, n'en mentionne le châtelain ou une quelconque réparation des défenses. il est probable que ce château ou une fortification du hameau de Ville-Haute, n'a jamais existé. La tradition historiographique locale voit néanmoins, dans la base du clocher de l'église actuelle, les vestiges de la tour de ce bâtiment,.
Le troisième château
C'était une construction qui matérialisait le pouvoir de juridiction que détenaient encore certains des seigneurs, qui était située au lieu-dit « Le Château » 45° 01′ 11″ N, 6° 36′ 34″ E. Son emplacement exact est inconnu. En 1773, la Communauté de Névache l'achète à Antoine des Ambrois et le revend, le à Laurent Rochas qui y installera une fabrique de cotonnades.
siècle
Le plus grand événement du siècle à Névache réside certainement dans la reconstruction et l'embellissement des églises de Névache et de Plampinet.
siècle
siècle
En 1708, à cause de l'invasion des troupes du Duc de Savoie, les habitants du village se réfugient dans les montagnes.
siècle
siècle
À la fin des années 1920, la Commission Royale du Grand Paradis décide, avec le concours financier du gouvernement italien, de procéder à une expérimentation de l'acclimatation du renne dans les Alpes et choisit la Vallée Étroite pour accueillir les animaux qu'elle acquiert en Norvège. Deux mâles âgés de quatre ans et cinq femelles, âgées de deux ans, semi-domestiques, arrivent à Bardonnèche le . Ils sont dans un premier temps parqués dans un enclos près de la gare, mais les mâles prennent l'habitude de s'en échapper afin d'aller pâturer où bon leur semble. L'un d'eux finit par vivre en liberté. Ils sont finalement tous mis en liberté aux abords du Lac Vert. Quelques incidents font craindre à leurs propriétaires de la Commission qu'ils ne passent la frontière française, et celle-ci décide de les installer dans le Grand Paradis.
Le territoire de la commune s’est agrandi de la Vallée Étroite (auparavant italienne) en 1947, à la suite des rectifications de frontière après la Seconde Guerre mondiale. Cet ajout constitue une exception à la règle faisant passer les frontières aux lignes de partage des eaux.
Pendant les années 1970, la route du Col de l'Échelle, qui n'a fait que peu de travaux de drainage, sur le versant Bardonnèche se révèle instable. Tandis que les autorités italiennes la défendent et provisionnent des budgets pour la stabiliser, les autorités françaises se retranchent derrière des projets comme celui de la société Sovocal qui défend la création d'une autoroute Bardonnèche-Fos-sur-Mer. En 1975, le préfet des Hautes-Alpes interdit la route à tout trafic.
Ce projet rencontre l'opposition des défenseurs de l'environnement aussi bien français qu'italiens, aux premiers rangs desquels figurent l'« Association des habitants de Val-des-Prés », présidée par Émilie Carles, et l'« Association Les amis de la Névachie », présidée par Wladimir Rabinovitch, du maire de Bardonnèche et de celui de Jean-Louis Tane, maire de Névache, qui lance un concours d'aménagement de la vallée de Névache et de la vallée Étroite dans lequel les propositions d'aménagement ferroviaire à voix étroite sont majoritaires. Le mouvement d’opposition gagne progressivement en popularité.
Le talent d'oratrice, l'énergie, la passion d'Émilie Carles et la publication, en 1978, de son livre de souvenirs Une soupe aux herbes sauvages médiatisent fortement le sujet. Le public de l'extérieur et celui du village de Val-des-Prés font une lecture totalement différente du livre qui entraîne, localement, une réaction de rejet qui finit par s'estomper avec le temps,,.
Le projet autoroutier est vite abandonné. Dès 1978, la municipalité de Bardonnèche renonce à tout aménagement en relation avec un quelconque projet de tunnel et obtient une réouverture du parcours, pendant la saison estivale au seul trafic touristique. La réussite de cette mobilisation est attribuée à la personnalité charismatique d’Émilie Carles, mais elle a été acquise dans un contexte complexe. D'une part, la doctrine de la politique d'aménagement du territoire est en train de changer, dont témoigne le « discours de Vallouise », prononcé par « Valéry Giscard d’Estaing » en 1977, met fin aux « Plans Neige » qui avaient été mis en œuvre depuis 1964 afin de développer le tourisme de masse dans les zones montagneuses. Le succès de la mobilisation aurait été sans doute plus difficile sans l'existence concomitante de transformations économiques et sociales notamment : l'installation, dans le cadre du mouvement de « retour à la terre », de nouveaux ménages porteurs d'une conscience « écologiste » et héritiers de traditions de lutte sociales qui étaient traditionnellement marginales en Briançonnais.
En 1987, Pierre Bernard-Reymond, alors député des Hautes-Alpes, remet sur le tapis la question d'une percée autoroutière sous le Col du Montgenèvre dont le principal argument est la nécessité d'une liaison performante entre Marseille et Turin. Un arrêté préfectoral du , crée le Syndicat mixte d'ÉTUde pour le tunnel du MONTgenèvre (SÉTUMONT) dont les membres sont la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, les chambres régionales de commerce et d'industrie, le département des Hautes-Alpes, les Chambres de commerce et d'industrie des Hautes-Alpes et de Marseille-Provence, ainsi que les communes de Gap, Manosque, Marseille, Montgenèvre, Névache et Val des Prés. Trois projets de tunnels routiers sont mis à l'étude : le tunnel du Montgenèvre, le tunnel sous l'Échelle, et une variante de ce dernier : « Plampinet-Beaulard » qui évite la ville de Bardonnèche. En novembre 1991, le rapport Legrand préconise la solution du tunnel routier sous l'Échelle qui serait techniquement et financièrement la plus facile à réaliser » ,.
En juillet 1992, Ségolène Royal, alors ministre de l'Environnement, signe le décret de classement de l'intégralité de la vallée de la Clarée.
- Valbonnais 1721, p. 236 [lire en ligne]
- Ulysse Chevalier 1913, p. 175. pièce 25964 [lire en ligne]
- Ulysse Chevalier 1874, lire en ligne]
- Ulysse chevalier 1913, p 871, entrée 11102 [lire en ligne]
- Charles Maurice 1976
- Joseph Roman 1890, p. 196.
- Joseph Roman 1886, lire en ligne]
- Louis Des Ambrois de Névache 1901, p. 157.
- Joseph Roman 1890, lire en ligne]
- André Allix 1923, p. 639, note 1
- André Allix 1923, p. 636
- Ulysse Chevalier 1874, lire en ligne]
- Henri Rostolland 1930, p. 126
- Ettore Mascheroni 1931, p. 3
- La Stampa - 31 mai 1975
- Wladimir Rabinovitch 1983
- La Stampa - 4 avril 1957
- Pierre Chomette 2020, § 10
- Jean-Louis Tane 2018
- France Archives 2012
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Héraldique
Blasonnement : |
Ancienne version du dessin du blason de Névache. |
- Armorial de France
- Dominique Cureau, « », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- Philapostel 2008
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