Pont-Saint-Esprit

Localisation

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Pont-Saint-Esprit : descriptif

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Pont-Saint-Esprit

Pont-Saint-Esprit est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie. La commune possède un patrimoine naturel et architectural remarquable : trois sites Natura 2000 et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique, ainsi que de nombreux monuments historiques.

Géographie

Localisation

La commune de Pont-Saint-Esprit se situe au nord de Bagnols-sur-Cèze, à la frontière immédiate de trois départements : outre le Gard où elle se trouve, l'Ardèche à l'ouest et le Vaucluse à l'est.

Pont-Saint-Esprit est ainsi au carrefour de trois régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Elle est traversée par le Sentier de grande randonnée GR 4.

La commune est la ville-centre de l'Aire d'attraction de Pont-Saint-Esprit, de l'Unité urbaine de Pont-Saint-Esprit et de son bassin de vie, ainsi que dans la zone d'emploi de Bagnols-sur-Cèze

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Saint-Just-d'Ardèche, Carsan, Saint-Alexandre, Saint-Paulet-de-Caisson, Lamotte-du-Rhône et Mondragon.

Communes limitrophes de Pont-Saint-Esprit
Saint-Just-d'Ardèche Saint-Just-d'Ardèche Lamotte-du-Rhône
Saint-Paulet-de-Caisson Pont-Saint-Esprit Mondragon
Carsan Saint-Alexandre Mondragon

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 18,49 .

Hydrographie

Carte du réseau hydrographique et des infrastrctures de la commune

La ville de Pont-Saint-Esprit est située sur la rive droite du Rhône à la confluence de l'Ardèche et du Rhône Outre la Drôme qui passe à proximité, elle est traversée par la Cèze, qui draine les affluents du Rhône, et par la Tave.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 amplitude thermique annuelle de 18,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records PONT ST ESPRIT (30) - alt : 79m, lat : 44°14'53"N, lon : 4°37'38"E
Records établis sur la période du 01-02-1972 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 2,1 5 7,4 11,2 14,7 17,1 17,1 13,4 10,2 5,6 2,6 9
Température moyenne (°C) 5,5 6,5 10,3 13,1 17,3 21,1 23,9 23,7 19,1 14,8 9,4 6,1 14,2
Température maximale moyenne (°C) 9,1 11 15,7 18,9 23,4 27,4 30,6 30,4 24,8 19,3 13,1 9,6 19,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,7
07.01.1985
−10,2
10.02.1986
−7,7
02.03.05
−1,4
14.04.1998
1,6
03.05.1979
5
04.06.1984
8
11.07.1993
7,1
30.08.1986
4
29.09.1974
−0,2
30.10.12
−5
27.11.10
−7,2
14.12.01
−12,7
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19,9
31.01.20
23,2
24.02.20
27
18.03.1997
30
24.04.07
34,4
30.05.01
39,3
14.06.03
40,1
18.07.22
42,2
06.08.03
36
03.09.05
30,9
10.10.23
23,6
01.11.22
20
05.12.1988
42,2
2003
Précipitations (mm) 67,8 43,9 47 67,3 64,3 48,6 39,9 47,2 109,1 117,6 118,2 58,9 829,8
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats :

  • « le Rhône aval », d'une superficie de 12 579  ;
  • la « basse Ardèche urgonienne », d'une superficie de 6 851,3  ;

et un au titre de la directive oiseaux :

  • le « marais de l'Ile Vieille et alentour », d'une superficie de 1 460 .
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune : la « basse Ardèche » (221 , et les « ripisylves du Rhône en aval de Pont-St-Esprit » (138  et quatre ZNIEFF de type 2, :

  • la « basse Ardèche » (1 655  ;
  • « le Rhône » (3 202 Ardèche, 1 dans les Bouches-du-Rhône, 12 dans le Gard et 12 dans le Vaucluse ;
  • « le Rhône et ses canaux » (3 879 ;
  • le « massif du Bagnolais » (7 716 .


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  2. BRGM, «  ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  8. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  9. a et b «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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Histoire

Moyen Âge

Vue du Pont-Saint-Esprit par Tassin (1634).
Pont-Saint-Esprit, l'église Saint-Saturnin vue depuis le pont Saint-Esprit.
Vue d'ensemble du pont médiéval enjambant le Rhône à Pont-Saint-Esprit.

La ville s'appelait au milieu du Moyen Âge Saint-Saturnin-du-Port (en latin Portum Sancti Saturnini). Le nom actuel de la ville lui vient de la construction du pont sur le Rhône par le frère de saint Louis, le comte de Poitiers et de Toulouse Alphonse de Poitiers ; elle commença en 1265 pour s’achever en 1309. D’après Viollet-le-Duc, elle fut confiée à la branche pontife des Hospitaliers (la branche des constructeurs de ponts, formée par ces moines-soldats pour faciliter les pèlerinages) et consacrée au Saint Esprit. Elle était dirigée par Jean de Tensanges ou de Thianges. Ce pont, le plus vieux de tous les ponts sur le Rhône, sept cents ans, reliant la Provence au Languedoc, en aval du Rhône, a longtemps constitué un point de passage privilégié sur le Rhône. Il est constitué de vingt arches, mesure un kilomètre de long, et a fait la fortune de cette petite ville par le paiement de l'octroi y afférent. Il a été construit en respectant le cours impétueux du fleuve, et fut protégé à ce titre fort longtemps, par exemple, les chariots de marchandises voulant l'emprunter étaient déchargés, on transférait ces marchandises sur des barges traversant le fleuve et les chariots traversaient en roulant sur de la paille disposée sur la chaussée du pont pour ne pas ébranler celui-ci. On raconte, de même que le roi Louis XI, se présentant là avec ses troupes, dut mettre pied à terre, avant de l'emprunter.

Le 29 décembre 1360, l'imposteur Giannino Baglioni, revendiquant être le roi de France légitime, Jean le Posthume, occupe la ville grâce aux mercenaires embauchés avant d'être arrêté le 7 janvier 1361 et d’être emprisonné à Aix, puis à Marseille et enfin Naples. Il meurt probablement dans cette ville en 1362.

Arrivés près de la vallée du Rhône, au début de 1382, les Tuchins campèrent dans les gorges de la Cèze où ils furent rejoints par des nobles dont Régis de Saint-Michel-d'Euzet, Étienne Augier, dit Ferragut du Pin, Vachon de Pont-Saint-Esprit et Verchère de Vénéjan qui prirent leur tête. Ils s’emparèrent alors de Cavillargues, Chusclan et Tresques, avant de piller les châteaux de Sabran, La Roque-sur-Cèze, Saint-Laurent-des-Arbres et Cornillon. Dans ce dernier château se trouvait le trésor de Clément VI. Son neveu, Guillaume III Roger de Beaufort, alors Lieutenant des armes du Sénéchal de Beaucaire, organisa la répression. En , il recruta des mercenaires et fit venir une compagnie d’arbalétriers d’Avignon. Ses troupes cantonnées à Bagnols-sur-Cèze attaquèrent alors Cornillon. Dirigées par Gantonnet d'Abzac, Commandant du Saint-Père pour le Païs de Saint-Esprit, elles semèrent la terreur. Guillaume III fit ensuite intervenir son capitaine des gardes de Bagnols, Jean Coq. Ce dernier réussit à pacifier le pays en expulsant les chefs du Tuchinat. Ce qui permit de signer la paix en février 1383.

Portrait de femme, Maison des Chevaliers, 1337-1343.

Au Isabeau de Bavière, reine de France, prétendant avoir seule, à l'exclusion du dauphin Charles son fils, le gouvernement et l'administration du royaume, au nom du roi Charles VI tombé en démence, se lie pour accomplir son pernicieux dessein, avec le duc de Bourgogne, ennemi du roi et du dauphin. Isabeau, pour amener le peuple à son parti, fait passer des émissaires dans toutes les provinces, particulièrement en Languedoc où on avait tant à se plaindre du gouvernement du duc de Berri ; et pour y mieux réussir, elle fit publier partout, qu'on ne paierait plus de subsides. La ville de Pont-Saint-Esprit, influencée par Gui de Brosse ou de Broce, moine bénédictin du prieuré de Saint-Pierre et cousin de Jean ,.

Gui de Brosse, appelé par Charles VI à Troyes en Champagne, où il résidait avec la cour, fut admis auprès de son souverain qui, à l'instigation de la reine, l'avait choisi pour remplir une mission importante dans le Midi, et après qu'il lui eut donné audience, le roi le chargea d'aller trouver de sa part le comte de Foix, son lieutenant en Languedoc, et de lui déclarer ainsi qu'aux gens d'Église, aux nobles et aux communes de sa province, sa résolution de défendre qu'on rendît aucune sorte d'obéissance à celui qui se dit le régent du royaume. Cinq jours après, (), le roi donna les instructions par écrit à Gui de Brosse qui prit congé, et se rendit diligemment à Béziers où le comte de Foix, gouverneur du Languedoc tenait l'assemblée générale des trois ordres de la province,. On dit à ce sujet que le gouverneur avait secrètement l'intention de faire déclarer tout le pays en faveur du dauphin en sa qualité de régent du Royaume ; mais Gui de Brosse présentant au comte de Foix, l'ordre formel du roi le fit changer de résolution et l'amena au parti de la reine et du duc de Bourgogne. Gui eut le même succès auprès des Grands et du peuple, si bien que l'archevêque de Toulouse, le clergé en général et le plus grand nombre des communes, enfin tout le Languedoc, à l'exception de la ville de Beaucaire et de son sénéchal, des villes de Roquemaure, Fourques, Saint-André-lès-Avignon ; tout le pays, à cette exception près, embrassa le parti d'Isabeau de Bavière, gouvernant au nom de Charles VI, malade et en démence. Cependant, l'année suivante, le dauphin reconquit le Languedoc et Gui de Brosse fut emprisonné à Avignon puis remis à son supérieur hiérarchique, le cardinal de Cambray grâce à qui il se retrouva sain et sauf dans son cloître,.

En , le roi Louis XI (1423-1461-1483) expédia ses lettres patentes à l'Hôpital du Pont-Saint-Esprit pour sa protection royale. Puis, il confirma les privilèges du prieuré de Saint-Saturnin-du-Port, en .

Temps modernes

En 1562, la ville est prise et pillée par le baron des Adrets alors qu'Antoine de Broche alias de Brosse (docteur en droit, 1er Consul et député pour la ville du Saint Esprit et appartenant à la famille de Gui de Brosse précédemment cité) levait une compagnie d'hommes d'armes qu'il commandait dans la ville du Saint Esprit. Ceci se reproduisit une seconde fois en 1567, mais l'année suivante (1568), Antoine de Broche contribua puissamment à le faire rentrer sous l'obéissance du Roi. En 1576, Antoine de Broche seconda, avec le même succès, l'entreprise du capitaine de Luynes qui, sur la révélation à lui faite des menées secrètes du Maréchal de Damville-Montmorency, Gouverneur commandant de la province du Languedoc, tendant à remettre les protestants en possession du Pont-Saint-Esprit, fit arrêter le frère du Maréchal furtivement introduit dans la place pendant la nuit pour y fomenter la révolte. En récompense, Henri III nomma Luynes, Gouverneur du Pont-Saint-Esprit et adressa une lettre autographe à Antoine de Broche, datée de Blois, le .

Révolution française et Empire

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Le général Jean-François Carteaux, envoyé par la Convention, y défait les insurgés du Midi le . Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Pont-sur-Rhône.

Époque contemporaine

La section de la ligne ferroviaire de la rive droite du Rhône passant par Pont-Saint-Esprit est inaugurée le par le Paris-Lyon-Méditerranée. La gare de Pont-Saint-Esprit perd ses trains de voyageurs en 1973. Le 28 août 2022, la ligne de la rive droite du Rhône a été remise en service par la SNCF et la région Occitanie. Elle a pour terminus les gares de Nîmes et Avignon.

Au mois d', le régiment d'infanterie est mobilisé dans la ville.

Après enquête, le préfet du régime de Vichy décide de maintenir Louis Flandin, le maire radical-socialiste de Pont-Saint-Esprit, suspecté d’attitude équivoque, surtout après l’affaire du changement de noms de rues.

C'est de cette commune qu'est originaire la famille du père de Jacqueline Bouvier, la femme du président John F. Kennedy. L'arrière-arrière-grand-père Bouvier, ancien officier de la Grande Armée de Napoléon, avait émigré aux États-Unis après la défaite de l'Empire.

Affaire du pain maudit

Le , une épidémie d'empoisonnement, marquée par des épisodes psychotiques aigus et divers symptômes, survient à Pont-Saint-Esprit. Quelques personnes se plaignent de douleurs à l'estomac, mais plus tard, au moins 100 personnes ont les mêmes symptômes, dont des insomnies. L’une d’entre elles affirme avoir fait une insomnie de plus de 21 jours. Les victimes commencent à avoir des hallucinations, comme la sensation de brûler de l'intérieur, ou penseront être capables de voler. Certaines se défenestrent. Au total, plus de 300 personnes ont été sujettes à des hallucinations, dont 7 sont mortes et 50 hospitalisées. La première piste fut la résurgence d'une ancienne maladie du Moyen Âge, l'ergotisme. La police interrogea le minotier mais aucune trace d'ergot de seigle ou de poison connu n'a été retrouvée dans les analyses.

Mais éclate l'hypothèse d'un empoisonnement au trichlorure d'azote et un essai d'armes chimiques, comme le LSD, menés par la CIA dans le cadre d'un programme précurseur du Projet MK-Ultra (créé plus tard en 1953) de la CIA. L'hypothèse suggère l'implication de la CIA qui a opéré par pulvérisation aérienne d’une mixture à base de LSD ainsi que par la contamination de « produits alimentaires locaux » pour en étudier les effets à grande échelle.

Le 15 novembre 2022, dans une liste de documents de la CIA à déclassifier, apparait une mention indiquant « ...tous les documents en relatif à la durée du projet y compris les fichiers de Pont-Saint-Esprit... (...any and all records relating to project span including pont-saint-esprit files...) » sans que l'on sache, à ce stade, si le document F-2020-01831 est lié à une activité de l'agence américaine.

  1. cf l'hommage de Raimond II Pelet, seigneur d'Alès, rendu à Simon IV de Montfort le , Archives nationales J 890 no 20.
  2. Robert Ducluzeau. Alphonse de Poitiers, frère préféré de Saint Louis. La Crèche : Geste éditions, 2006. 239 p. (ISBN ), op. cit. p. 150.
  3. Structurae. Pont du Saint-Esprit. Article en ligne [1], consulté le 4 mai 2007
  4. Géraud Lavergne, « Les noms de lieux d'origine ecclésiasticque » (sic), Revue d'histoire de l'Église de France, Tome 15, no 68, 1929, p. 322.
  5. Eugène Viollet-le-Duc. Dictionnaire raisonné de l’architecture française, article Pont. Disponible en ligne [2]
  6. Correspondance, Nicolas Montard, «  », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  7. Jean-Pierre Saltarelli, Les seigneurs de Cornillon au Cornillon en ligne
  8. a b et c Mémoire historique et généalogique de la Maison de Brosse alias de Broche et livre de raison de Joseph de Broche des Combes 1846
  9. a b et c Dom Claude Devic, dom Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc.
  10. Lettres patentes de Louis XI, juillet 1462 (lire en ligne).
  11. Lettres patentes de Louis XI, Tours, mai 1469 (lire en ligne).
  12. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 ISBN , OCLC 299354152, présentation en ligne)., p. 233
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  14. «  », sur gard.gouv.fr (consulté le ).
  15. Armand Cosson, « La Francisque et l’écharpe tricolore : Vichy et le pouvoir municipal en Languedoc », Annales du Midi, 1992, no 104-199-200, p. 295.
  16. GEO, l'affaire s’arrête là c'est seulement .
  17. Loïc Chauvin, «  », sur L'Obs/Rue89, (consulté le ).
  18. lire en ligne [PDF])

Héraldique

Blason
D'azur au pont de cinq arches d'or sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, sommé d'une croisette haussée au milieu du pont et de deux petits bâtiments, celui de dextre avec une girouette, le tout d'or, la croisette accostée de deux fleurs de lys du même et surmontée d'une colombe aussi d'argent en pal volant vers la pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Pont-Saint-Esprit dans la littérature

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