Perpignan
Localisation
Perpignan : descriptif
- Perpignan
Perpignan , est une commune du Sud de la France, préfecture du département des Pyrénées-Orientales et quatrième ville la plus peuplée de la région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune, ancienne capitale continentale du royaume de Majorque, est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Basse et par la Têt. Perpignan est une commune urbaine qui compte 119 656 habitants en 2021
Elle est dans l'agglomération de Perpignan et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan
Ses habitants sont appelés les Perpignanais ou Perpignanaises. Selon l'Insee, sa population municipale intra-muros était en 2020 de 118 032 habitants
Son aire urbaine concentre 323 388 habitants.
Géographie
Localisation
Perpignan, préfecture des Pyrénées-Orientales, est une ville de 6 807 hectares située au centre de la plaine du Roussillon. La ville est encadrée au sud par la chaîne des Pyrénées, à l’ouest par la région des Corbières, à l’est par la mer Méditerranée, au nord par le ruisseau de la Llabanère, tandis que le Réart lui sert de limite méridionale. La ville se situe à 13 mer Méditerranée (Canet-en-Roussillon) par voie express, à 25 Le Perthus) et à 85 domaine skiable le plus proche (Espace Cambre d'Aze, 2 400 France métropolitaine. Perpignan se situe à 850 Paris, à 205 km de la capitale administrative de la région, Toulouse, à 450 km de Bordeaux et Lyon, à 320 km de Marseille, à 470 km de Nice, à 1 070 km de Lille (1 150 km de Dunkerque), à 190 km de Barcelone, capitale de la Catalogne, à 533 km de Valence, capitale de la Communauté valencienne et à 160 km d'Andorre-la-Vieille, capitale d'Andorre. Plus proches sont les villes de Narbonne (65 km) ou encore Montpellier, à 155 km.[pertinence contestée]
Perpignan est la ville de France par sa population, derrière Limoges et Metz, mais devant Boulogne-Bt et Besançon. Elle est aussi la septième ville du pourtour méditerranéen français (après Marseille, Nice, Montpellier, Toulon, Nîmes et Aix-en-Provence), et la quatrième ville de la région Occitanie (également troisième aire urbaine, derrière Toulouse et Montpellier, mais devant Nîmes).
La ville s'est beaucoup agrandie au fil des siècles, transformant des villages voisins en quartiers (faubourgs du Vernet, lieu-dit de La Patte d'Oie et Saint-Gaudérique sont les exemples les plus marquants). En effet, dans ces quartiers l'architecture change et rejoint celle d'un petit village (ruelles et immeubles donnant sur la rue).
Le paysage de Perpignan est surtout marqué par l'impressionnant pic du Canigou (Pic del Canigó) (2 784 ), situé au sud-ouest de la ville non loin de la frontière franco-espagnole (région autonome de Catalogne) et visible depuis le centre-ville. La chaîne des Albères, qui culmine à 1 256 pic du Néoulous, forme une barrière au sud et marque la limite avec l'Espagne, pays avec lequel elle communique facilement au col du Perthus, dont l'altitude n'excède pas 300 mètres, à environ 30 km de la cité.
Perpignan s'étend du nord au sud sur près de 14 .
La superficie de Perpignan est de 68,07 km2. La densité de population de Perpignan est de 1 776 habitants par km2. La latitude de Perpignan est de 42,698 degrés Nord et sa longitude de 2,893 degrés Est.
Communes limitrophes
Perpignan est entourée, des communes (en commençant par le nord-est, puis dans le sens des aiguilles d'une montre) de Bompas, Villelongue-de-la-Salanque, Canet-en-Roussillon, Cabestany, Saleilles, Théza, Villeneuve-de-la-Raho (ces trois dernières communes par un quadripoint), Pollestres, Canohès, Toulouges, Le Soler, Baho, Saint-Estève, Peyrestortes, Rivesaltes et Pia.
Géologie et relief
L’altitude de la commune varie de 8 à 95 mètres. Son point culminant se situe au fort du serrat d'en Vaquer (100 Roussillon. Perpignan est construite sur plusieurs collines formant plusieurs niveaux, à savoir, le niveau Têt, le niveau Cassanyes, le niveau La Lunette-Champ de Mars, le niveau Moulin à Vent (deuxième point le plus haut, de 80 mètres environ) et le Serrat d'en Vaquer-Porte d'Espagne (point culminant de la colline à 100 ). L'altitude moyenne de Perpignan est de 40 mètres environ.
La ville est située dans la plaine du Roussillon, à quelques kilomètres de la mer à l'Est, entourée par la chaîne des Albères au sud, les massifs du Canigou et du Capcir à l'ouest et la chaîne des Corbières au nord.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée.
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Vue panoramique de Perpignan depuis le Palais des Rois de Majorque. On distingue au loin de gauche à droite : le Canigou, les monts du Capcir et la chaîne des Corbières.
Hydrographie
La ville est traversée par la Têt ainsi que par son affluent, la Basse. Elle est traversée aussi par plusieurs canaux d'irrigation alimentant la ville en eau : au sud, par le biais de l'aqueduc des arcades (canal Las Canals provenant d'Ille-sur-Têt), au nord, par le canal de Vernet-Pia qui prend sa source dans les terres et par le ruisseau de la Llabanère, et le Réart au sud.
Perpignan est une ville qui subit régulièrement de fortes inondations. En novembre 1892, une crue de la Têt provoque la destruction de trente-neuf maisons dans le quartier de la route de Bompas et laisse une soixantaine de familles sans-abri. En 1986, la ville connait une très grosse inondation qui arrache une partie de l'ancienne gare routière du centre-ville à l'Espace Méditerranée.
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Vue du centre-ville de Perpignan. À gauche, la place de la Résistance, lieu de jonction du boulevard Georges-Clemenceau et du boulevard Wilson. Au centre droit, le Castillet (El Castellet). La rivière la Basse, petit affluent du fleuve côtier la Têt est longée par le quai Sadi-Carnot (à gauche) où se trouvent la préfecture et le conseil départemental, et à droite le quai Vauban et ses commerces.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 amplitude thermique annuelle de 15,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 16,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 4,8 | 5 | 7,6 | 9,7 | 13,3 | 17,2 | 19,7 | 19,7 | 16,1 | 12,9 | 8,4 | 5,3 | 11,6 |
Température moyenne (°C) | 8,7 | 9,2 | 12 | 14,2 | 17,8 | 22 | 24,6 | 24,5 | 20,9 | 17 | 12,3 | 9,3 | 16 |
Température maximale moyenne (°C) | 12,7 | 13,4 | 16,4 | 18,7 | 22,3 | 26,8 | 29,5 | 29,4 | 25,6 | 21,2 | 16,3 | 13,3 | 20,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−8,2 23.01.1963 |
−11 10.02.1956 |
−5,9 07.03.1971 |
0,2 10.04.1977 |
2,4 05.05.1977 |
7,4 17.06.1978 |
11,2 04.07.1925 |
10,4 30.08.1992 |
5 24.09.1928 |
1,2 27.10.1973 |
−5,7 22.11.1998 |
−6,3 27.12.1931 |
−11 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
25 29.01.1944 |
26,5 05.02.1933 |
28 17.03.1997 |
32,4 20.04.1945 |
34,4 29.05.01 |
42,4 28.06.19 |
40,5 07.07.1982 |
39,9 23.08.23 |
36,8 01.09.1936 |
34,2 03.10.1985 |
28,1 09.11.1927 |
26,7 29.12.1925 |
42,4 2019 |
Ensoleillement (h) | 140,9 | 163,6 | 206,6 | 219,8 | 240,7 | 267,6 | 299,9 | 272,9 | 223,8 | 175,1 | 146,8 | 131 | 2 488,6 |
Précipitations (mm) | 60,1 | 40,9 | 51,6 | 66,1 | 45,6 | 23,6 | 15,1 | 22,7 | 43 | 82,1 | 72,6 | 54,9 | 578,3 |
Transports
Transport ferroviaire
La ville est dotée d'une étoile ferroviaire à vocation à la fois régionale, nationale et internationale. La gare de Perpignan est en effet desservie par des TGV, des trains Intercités de nuit et des TER de la région Occitanie.
Grâce à la ligne Narbonne – Port-Bou, et à la nouvelle ligne à grande vitesse de Perpignan à Barcelone, qui était partiellement opérationnelle depuis fin 2010, la ville constitue une étape importante pour le trafic ferroviaire franco-espagnol. À la suite de l'achèvement du tronçon entre Figueras et Barcelone, les liaisons directes à grande vitesse entre Perpignan et Barcelone sont devenues pleinement opérationnelles.
Des TGV relient quotidiennement Perpignan à Paris (gare de Lyon) et à Barcelone. Le week-end, un TGV relie également Perpignan à la Belgique (Bruxelles sans changement, via Lyon et Lille). En outre, des Intercités de nuit, qui effectuent des liaisons vers Paris (gare d'Austerlitz) via Nîmes et la côte languedocienne, circulent quotidiennement pendant les vacances scolaires et les week-ends le reste de l'année.
Le trafic régional est assuré par des trains TER qui relient de nombreuses fois par jour Narbonne, Carcassonne, Toulouse et Montpellier, ainsi que Marseille. Vers l'ouest, la ligne Perpignan – Villefranche-de-Conflent, qui se prolonge par la ligne de Cerdagne vers Mont-Louis et Latour-de-Carol, relie l'agglomération au bassin de vie de la vallée de la Têt et à Prades, sous-préfecture du département, puis à la Cerdagne et à l'Andorre.
Selon le plan de déplacement urbain (PDU) de Perpignan Méditerranée Métropole, une augmentation du service TER sur ce réseau est prévue, avec entre autres l'instauration de nouvelles haltes ferroviaires (Tecnosud-Université au sud de Perpignan) souhaitée] et de navettes cadencées Villefranche-de-Conflent – Elne toutes les 40 minutes aux heures de pointe.
De nombreux trains de conteneurs et de produits frais partent de Perpignan Saint-Charles depuis des décennies. Deux trains partaient tous les jours (sauf le week-end) pour Rungis avec des fruits et légumes en wagons réfrigérés. Mais depuis le printemps 2019, cette ligne est supprimée, car les wagons sont vétustes, ce qui a déclenché un tollé national pour des raisons environnementales (le train est alors remplacé par 20 000 camions).
Le , le maire, Louis Aliot demande au nouveau Premier ministre, Jean Castex, de s’engager fermement sur l’accélération de la ligne LGV Montpellier-Perpignan et sur le désenclavement de Perpignan et de son département. Le chef du gouvernement lui répond qu’il mettra « toute [s]on énergie à le faire avancer à une vitesse supérieure à celle qui est la sienne jusqu’à présent ».
Le projet est finalement entériné et la ligne grande vitesse devrait arriver à Perpignan en 2040.
Transport aérien
L'aéroport Sud de France de Perpignan-Rivesaltes (anciennement aéroport de la Llabanère) assure des vols nationaux et internationaux, pour certains uniquement pendant certaines périodes de l'année, à destination de villes françaises ou internationales.
Transport routier
La ville est reliée à Narbonne au nord et Barcelone au sud par l'autoroute A9 (prolongée en Espagne par l'autoroute AP-7), qui constitue l'épine dorsale du réseau routier du littoral méditerranéen.
En complément de l'autoroute, un réseau de voies rapides rayonne autour de la ville, d'abord construit à partir des années 1970 pour relier les stations balnéaires en plein développement à la suite de la Mission Racine (vers Rivesaltes et Le Barcarès au nord, Canet-en-Roussillon à l'est, la Côte Vermeille au sud), et plus récemment pour désenclaver l'ouest du département (vers Ille-sur-Têt à l'ouest, sur la route nationale 116, route d'Andorre).
Afin de relier entre eux ces différents axes et décongestionner le centre-ville, un contournement ouest de l'agglomération est envisagé depuis plusieurs décennies. La première tranche de ce nouveau contournement de la ville, jumelé à l'autoroute A9, a ouvert en avril 2013, ce tronçon relie alors l'actuelle pénétrante nord à la voie sur berge, à hauteur de la clinique St Pierre, sans passer par le Pont Arago. Dans un deuxième temps, cette nouvelle voie express à deux fois deux voies sera prolongée jusqu'à l'échangeur 42 (Perpignan Sud) de l'autoroute A9 (tronçon déclaré d'utilité publique, dont l'ouverture est programmé à l'horizon 2017), puis, dans un troisième temps, jusqu'à la RD 914 (voie express vers Elne et la Côte Vermeille, section non programmée à ce jour).
Réseau de transports urbains
Origines du réseau
À partir de 1900, Perpignan a possédé un réseau de tramway, démantelé en 1955. Il assurait une desserte urbaine par le biais de trois lignes (dont une prolongée jusqu'à Rivesaltes). Ce réseau était complété par les lignes ferroviaires de plaine de la Compagnie des chemins de fer des Pyrénées-Orientales (CFPO), et la ligne de tramway suburbain reliant la ville à Canet.
Une ligne de trolleybus a succédé à ce réseau à partir de 1952 ; elle fut démantelée une quinzaine d'années plus tard, en 1968. Depuis, le service est exclusivement assuré par des bus.
Sankéo
Le réseau de bus de Perpignan Méditerranée Métropole est appelé Sankéo, anciennement Compagnie de transports Perpignan Méditerranée ou CTPM jusqu'en 2017, filiale du groupe Vectalia.
Le réseau a opté il y a quelques années pour un réseau organisé « en étoile », où presque toutes les lignes convergent vers le centre-ville.
Le service se compose de lignes régulières, de lignes scolaires et inter-campus universitaires, de transport de proximité (navettes gratuites assurant une desserte locale dans le centre-ville et à Canet-en-Roussillon), et de transport à la demande (notamment le dimanche, pour certaines lignes).
La ligne 4, alors principale ligne du réseau, circulait sur un axe nord-sud et bénéficiait depuis le 9 mars 2013 des aménagements réalisés dans le cadre du projet de bus à haut niveau de service « Bus-Tram » (voies réservées, priorité aux feux, etc.), environ un an après la restructuration du réseau, le 1er janvier 2012.
Une restructuration totale du réseau est présentée au public à partir du 1er juin 2018 et entre en vigueur le 3 septembre suivant. Cette restructuration s'opère dans la même logique et la même continuité voulue par la création de la marque Sankéo.
Le nouveau réseau est organisé autour de trois lignes structurantes A à C, correspondant respectivement aux anciennes lignes 4, 2 et 8 assurant 40 % de la fréquentation du réseau, avec une amplitude horaire étendue, une fréquence renforcée (10 minutes pour la ligne A contre 12 à 15 minutes pour la ligne 4, 15 minutes pour les lignes B et C contre 20 et 30 minutes pour les lignes 2 et 8) et la mise en place de quatre pôles de correspondances (Languedoc, Massilia, Lycée Maillol et Gare TGV) entre ces lignes et le reste du réseau.
Le reste du réseau est composé de 24 lignes régulières (lignes 1 à 24) desservant toute l'agglomération, la numérotation est remise à plat à cette occasion ; les lignes 1, 7 et 9 à 24 sont sur tout ou partie de leur parcours exploitées en transport à la demande aux heures creuses et le week-end, soit les lignes desservant les secteurs de l'Agly, des Aspres et du littoral ; tous les jours en soirée, un transport à la demande est aussi mis en place entre la gare et l'aéroport.
À ces lignes régulières s'ajoutent le Canet'On, le P'tit Bus, le Nit Bus, la NCMI, le train de Canet.
Enfin, la desserte estivale des plages est revue afin de faire face à la hausse continue et importante de la fréquentation avec la mise en place de deux lignes express « Sankéo Plage » : l'une sur le trajet Gare TGV - Sainte-Marie-la-Mer - Torreilles - Le Barcarès et l'autre sur le trajet Gare TGV - Canet-en-Roussillon.
Réseau départemental
La gare routière intermodale de Perpignan constitue le point de convergence de la plupart des lignes du réseau départemental d'autocar « Le bus à 1 euro », qui dépend de la région Occitanie depuis 2017 dans le réseau liO (lignes d'Occitanie). Conformément à la politique du "Bus à 1 .
Location de vélos et de trottinettes
- De 2008 à 2017, quinze stations de vélo BIP! rassemblant environ 150 vélos, sont mises en place à l'instigation de la municipalité de Perpignan, en libre-service dans toute la ville. Mais l'évaluation de leur utilisation n'a pas conclu à la nécessité de renouvellement de la concession avec la société Clear Channel et les vélos BIP ont disparu en janvier 2018.
- Le parking Arago offre à la population une location de vélos.
- Le réseau Sankéo propose un service de location de vélos et de trottinettes à la journée, à la semaine ou au mois.
- L'Internaute (Villes), « ».
- Itinéraire sur Mappy.
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- Sankeo, « Vélo », sur sankeo.com (version du sur Internet Archive).
Toponymie
Formes du nom
La mention la plus ancienne du nom de la ville de Perpignan date d’un document de l’an 927, sous la forme Perpinianum,.
On retrouve plus tard dans d’autres textes sous les formes suivantes : « Villa Perpiniano » (959) ; « Pirpinianum » au .
De nos jours, en catalan la ville se nomme Perpinyà.
Étymologie
Une hypothèse populaire mais fantaisiste attribue l'origine du nom à un légendaire laboureur surnommé en catalan Pere Pinya (Pierre Pigne en français) qui serait descendu de la montagne pour fonder la ville de Perpignan.
L'étymologie la plus probable est celle d'un nom de domaine (ou fundus) de l'époque romaine dont le propriétaire aurait eu pour nom Perpennius, suivi du suffixe anum marquant la propriété. Le nom de famille de Perpenna est courant dans le monde romain. En 77 av. J.-C., on trouve par exemple un certain Marcus Ventus Perpenna (ou Perperna) venu avec son armée renforcer, en Hispanie, les troupes du général Sertorius. Le toponyme fundu Perpennianu peut avoir évolué normalement ensuite en Perpiniano puis en Perpenya ou Perpinyan.
- Basseda 1990, p. 565.
- Catafau 1998, § 1.
- Jean Sagnes (ISBN ).
- lire en ligne).
Étymologie
Une hypothèse populaire mais fantaisiste attribue l'origine du nom à un légendaire laboureur surnommé en catalan Pere Pinya (Pierre Pigne en français) qui serait descendu de la montagne pour fonder la ville de Perpignan.
L'étymologie la plus probable est celle d'un nom de domaine (ou fundus) de l'époque romaine dont le propriétaire aurait eu pour nom Perpennius, suivi du suffixe anum marquant la propriété. Le nom de famille de Perpenna est courant dans le monde romain. En 77 av. J.-C., on trouve par exemple un certain Marcus Ventus Perpenna (ou Perperna) venu avec son armée renforcer, en Hispanie, les troupes du général Sertorius. Le toponyme fundu Perpennianu peut avoir évolué normalement ensuite en Perpiniano puis en Perpenya ou Perpinyan.
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Histoire
Préhistoire et protohistoire
Malgré la difficulté de pratiquer des fouilles en milieu urbain, quelques vestiges témoignent de l'occupation du site de Perpignan avant le développement de la ville.
On peut mentionner des traces d'habitat néolithique trouvés près du mas Bruno (vers l'échangeur de la RN 116), quelques objets de la civilisation des champs d'urnes de l'âge du Bronze final dans le même secteur, ainsi que des débris de céramique de la fin de l'âge du bronze et du début du premier âge du fer dans les environs de l'école Saint-Jean.
Époque romaine
L’histoire de Perpignan ne commence pas avant le ibère, les Sordes, aurait occupé la plaine du Roussillon, vers 500 avant Jésus-Christ. Les échanges commerciaux et culturels ont pu se faire à travers les comptoirs grecs installés le long de l'actuelle Catalogne, à Empúries, et aussi à Agde, en Languedoc. La deuxième guerre punique amène les Romains dans ces contrées. Les Ibères ont été ainsi en dehors des Ligures de Provence, romanisés bien avant les Celtes installés plus au nord.
À cette époque, Perpignan n’existait toujours pas, mais l’oppidum de Ruscino (actuel lieu-dit du Château-Roussillon ou Castell Rosselló), situé à l’est de la ville, était le siège de l’administration romaine de la région. Étymologiquement, Roussillon doit son nom à Ruscino.
Au fil des années, Ruscino se voit disputer le titre de capitale par la ville d’Elne (Illiberis), jusqu’à la chute de Rome et l’arrivée des Wisigoths en 412. Actuellement, il n'y aucune trace ou document stipulant le passage des Wisigoths à Ruscino ; en outre, les chrétiens fondent l'évêché d'Elne, délaissant ainsi la ville de Ruscino,. Par la suite, les Sarrasins vont annexer le royaume wisigoth vers 711.
Après l'invasion par les Arabes, Pépin le Bref, puis, par la suite, Charlemagne, reconquièrent définitivement la région vers 811 ; c'est alors que commence l'ère carolingienne et la construction de plusieurs villages sur la plaine du Roussillon, notamment Perpignan à quelques kilomètres de Ruscino.
Après-Ruscino
D’après la tradition, Perpignan aurait été fondée par Pere Pinya (Pierre Pigne). La légende a été restituée par Bernard Sergent.
Les plus anciens vestiges archéologiques découverts sont datés du siècle.
La première mention de Perpignan figure dans un acte daté du par lequel un certain Aton (Ato) vend, pour 1 000 sols, les alleux d’Anglars et de Saleilles, avec leurs églises Saint-Jean et Saint-Étienne, à Wadalde, évêque d’Elne et frère du comte Gausbert d’Empúries et de Roussillon : ces alleux confrontaient d'un côté avec Cabestany (villa de Cabestagnio) et, de l'autre, avec Perpignan (villa Perpiniano).
En , Guisandus et son épouse Genta vendent à Sisegutus et à son épouse Arcedonia, une vigne sise au territoire de Villa Gothorum ou Malleoles (aujourd’hui Mailloles ou Malloles, au sud-ouest). Elle était sur le chemin qui va du village de Villa Perpiniani à Orle. Enfin en , le testament du comte de Rouergue, marquis de Gothie, parle de l'alleu de Perpignan…
…illo alode de Perpiniani…
…qu'il lègue par tiers à l'abbaye de Saint-Pierre de Rodes (actuellement en Catalogne), et aux cathédrales de Gérone et Elne. 961 est l’année où Guilabert comté de Roussillon en héritage de son père tandis que son frère reçoit celui d’Empúries (actuellement en Catalogne). En 991 Guilabert s’installe à Perpignan, transformant la ville en capitale locale. À cette époque, le Roussillon n'était qu'un territoire côtier.
Du début du Moyen Âge au royaume de Majorque
C’est au Moyen Âge, à partir de la fin siècle, que la ville connaît son essor. Ce succès est dû au choix des comtes de Roussillon d'alors ( ou son fils ) de faire de Perpignan leur capitale, qui gagnera plus tard en importance, jusqu’à attirer l’évêque, résidant jusque là à Elne. On y construit le château comtal, une église (consacrée en 1025) et un hôpital, le tout placé sous le patronage de saint Jean. De nos jours, l’église est nommée Saint-Jean-le-Vieux, elle se trouve à côté de la cathédrale. L’hôpital a changé de lieu : il est actuellement au nord de la ville (Haut-Vernet), mais retrouve son nom d’origine d'hôpital Saint-Jean. Quant au château, il n’en reste que quelques salles enterrées situées actuellement sous le cours Maintenon ; à cette époque, la ville n'est pas dotée de remparts.
En , l’ Saint-Jean le Vieux) devient une collégiale.
La communauté des habitants de Perpignan se voit octroyer des chartes de privilèges en puis en , , et .
En , le comte de Roussillon lègue son comté au comte de Barcelone — le roi d’Aragon — afin qu'il ne tombe pas entre les mains de ses demi-frères que les papes et avaient écartés de la succession en les déclarant adultérins. Cent quarante-cinq chefs de famille prêtent serment d’hommage de fidélité à Alphonse . En , le roi envisage de déplacer la ville sur le Puig des Lépreux (auj. place du Puig).
En , une charte de consulat règle l’organisation municipale de Perpignan. Ses habitants disposent de privilèges étendus, comme celui d’élire des consuls, un par « main » représentante chacune d’une classe sociale. On distingue ainsi les mains majeure, moyenne et mineure, qui sont représentées sur la façade de l'Hôtel de Ville encore à l'heure actuelle.
Capitale du royaume de Majorque
d'Aragon, dit « le Conquérant », fait des conquêtes vers l'Est de la couronne d'Aragon, propulsant ainsi Perpignan à son apogée durant 68 années (1276-1344).
Entre 1276 et 1344, Perpignan connaît son âge d’or ; la ville est alors la capitale continentale du royaume de Majorque constitué par Jacques le Conquérant pour l'enfant Jacques, son fils cadet, et comprenant, outre les îles Baléares, le Roussillon, la Cerdagne et la seigneurie de Montpellier. Sa population et sa surface quadruplent en moins d’un siècle. C’est l’époque des grands chantiers, ceux de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste et du palais des rois de Majorque.
De plus, durant cette période d'apogée, Perpignan connaît un essor industriel et commercial important grâce notamment à son rôle politique, à sa structure consulaire et corporative et à sa population active, notamment de pareurs de draps, de teinturiers, et de tisserands.
Le roi de France le Hardi y meurt le 5 octobre 1285.
De la réintégration à la couronne d'Aragon à l'annexion au royaume de France
En 1344, Perpignan perd son statut de capitale par la réintégration du royaume de Majorque dans la couronne d’Aragon. Dès 1346, elle est durement touchée par la peste noire. La ville mettra longtemps à se rétablir.
Du au , tient un concile à Perpignan.
À la mi-septembre 1415, l'empereur se rend à Perpignan pour un pseudo-concile avec le roi d'Aragon et l'antipape . Il en repart le sans avoir convaincu ce dernier d’abdiquer.
En 1463, occupe Perpignan en confirmant ses anciens droits,, mais la ville se soulève contre les Français en 1473. Après un siège terrible, qui se termine le , le titre de « Fidelíssima vila de Perpinyà » (Très fidèle ville de Perpignan) est décerné par les rois d’Aragon.
Plus tard, en 1493, restitue le Roussillon et la Cerdagne aux Rois catholiques, qui venaient de fonder l'unité d'Espagne, par le mariage entre la Castille et l'Aragon.
Malheureusement, la rivalité franco-espagnole et les conflits qui ont suivi devaient faire chuter l'économie de Perpignan, dotée par , à cet égard, de puissantes fortifications.
Devenue place avancée de la monarchie espagnole face à la France depuis 1479, Perpignan entre dans une logique militaire, enfermée dans des remparts puissants renforcés à toutes les époques (par Vauban notamment), elle n’est plus qu’un enjeu entre les deux grandes puissances. en 1642, elle est annexée avec le reste du Roussillon (en fait, les provinces ou comarques historiques du Roussillon, du Conflent, du Vallespir, du Capcir, de Cerdagne (Haute-Cerdagne, l'autre partie, la Basse-Cerdagne se trouvant en Catalogne) et celle, occitane, du Fenouillèdes) au royaume de France par le traité des Pyrénées de 1659.
Le palais des Corts, édifié au début du . Le plafond d’une des salles présente un motif identique au plafond de l'Alcazar de Colón à Santo-Domingo.
Le , fait son entrée à Perpignan.
Perpignan à la fin de l'Ancien Régime
Augustin-Joseph de Mailly (-) est lieutenant général, puis commandant en chef en Roussillon, où il est à l’origine de grands travaux, du renouveau de l’université et où il joue un grand rôle au sein de la franc-maçonnerie catalane.
Il commence, après la paix avec l'Espagne, à négocier les rectifications de frontières. Il conclut avec l'Espagne, en 1750, un traité particulier qui fixe les limites des deux royaumes. Rénovateur de l’urbanisme de la ville des rois de Majorque, Mailly fonde le premier théâtre du Roussillon dans les locaux de la Loge. Les dirigeants du théâtre donnent également de nombreux bals masqués, quatorze plus précisément, au tournant de l’année 1779-1780. Il semble également que la salle de spectacle, sise à la loge de mer, soit utilisée à l’occasion de bals publics comme cela a été le cas en 1776 où les consuls informent que, sur la sollicitation de .
À l’époque des Lumières, le déploiement des différents réseaux de sociabilité, relevant d’initiatives individuelles ou collectives, s’articule dans la cité, fruit du volontarisme du commandant en chef de la province, le futur maréchal de Mailly. Nombre de francs-maçons, avec en figure de proue, l’homme du Roi, le commandant en chef de la province - le maréchal de Mailly - investissent l’espace des Lumières à Perpignan en l’insérant dans le maillage du tissu provincial catalan et en y circulant à l’intérieur.
Les catholiques ne sont pas oubliés. Ils le remercieront pour la fondation des prix d'émulation, celle de douze places pour l'entretien des pauvres, et plusieurs autres établissements aussi utiles que glorieux, en l'an de grâce 1784. D’ailleurs, un premier chapitre d'honneur héréditaire est créé pour le comte Augustin-Joseph de Mailly, marquis d'Haucourt et ses hoirs et successeurs chefs de sa Maison, dans l'église cathédrale de Perpignan, à perpétuité. Il crée de nombreux jardins publics.
Il laissera son nom à l'une des rues les plus connues de la Ville, ainsi qu'au Campus universitaire du centre-ville
Temps modernes
Perpignan prend le statut de « capitale provinciale », c'est-à-dire de chef-lieu ; elle est le siège d’une intendance et d’un Conseil souverain.
Les gigantesques travaux de Vauban devaient faire de Perpignan une cité désormais imprenable et, pourtant, il ne reste à peu près rien de son œuvre car, au début du siècle, la municipalité a décidé de les faire démolir dans le but d'aérer le quartier central et de pouvoir étendre la ville vers la plaine du Roussillon. Aujourd’hui, il ne reste que le Castillet, le palais des rois de Majorque, des casernes, des souterrains ainsi qu'une partie des remparts épargnés, qui témoignent de l'époque de la grandeur de Perpignan et de ses installations militaires.
Cette ouverture de la Ville permettra cependant la floraison d'ensembles de style Art Déco, aujourd'hui remis en valeur par le biais d'un festival et d'une association de défense, Perpignan Art Déco (PAD) qui argue que Perpignan est " gothique et art déco "
Le chemin de fer venant de Narbonne arrive, à la gare provisoire du Vernet, sur la rive gauche de la têt, le . Un service d'omnibus dessert la ville. Le pont sur la Têt et la gare de Perpignan sont mis en service le par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne.
Époque contemporaine : faits marquants
Lors de la révolte viticole de 1907, la préfecture de Perpignan est prise d'assaut par des vignerons et incendiée.
La ville est libérée par la DFL (division française libre), le 19 août 1944.
En 1962, afin de faire face à l'arrivée massive des pieds-noirs d'Algérie, le conseil municipal mené par Paul Alduy fait créer la Ville-nouvelle du Moulin-à-Vent, qui agrandit de manière importante la zone urbaine de la Ville vers le sud. Ce grand ensemble architectural sera classé, entre autres, site d'intérêt portant le label « Patrimoine du en 2015.
En 2005, des échauffourées éclatent dans le centre-ville de Perpignan, faisant suite à des agressions intercommunautaires. La ville est en état de guérilla et il faudra plusieurs semaines pour arriver à un retour au calme sous la surveillance de plusieurs compagnies de CRS.
Histoire religieuse
- La cathédrale Saint-Jean-Baptiste : de style gothique méditerranéen, sa construction a commencé en 1324 pendant le règne du deuxième roi de Majorque, Sanche, mais, elle n'a été consacrée qu'en 1509. Sa façade est en galets et briques et, à sa droite, se trouve une tour carrée surmontée d'un beau campanile en fer forgé, qui date du saint Jean Baptiste, patron de Perpignan, qui porte les armes de la cité (armes de l'Aragon et de la Catalogne royale). Un passage à gauche permet d'accéder à l'ancien sanctuaire de Saint-Jean-le-Vieux, avec son beau portail roman en marbre caractérisé par ses arcs géminés.
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La cathédrale Saint-Jean et la fontaine.
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Le portail de la cathédrale Saint-Jean-le-Vieux (détail).
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Christ du portail méridional de Saint-Jean-le-Vieux.
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Bas-relief funéraire de Bernard Miafre (représente le Jugement dernier).
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Le gisant de Louis Habert de Montmor dans la cathédrale.
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La Chapelle Dévôt-Christ
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Les orgues de la cathédrale.
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Brian Swager (San Francisco, USA) au clavier du carillon de la cathédrale.
- l'église Saint-Jacques, datant du XIIIe siècle est le siège de la confrérie de la Sanch.
- l'ancien couvent de Notre-Dame de la Merci.
- la synagogue (rue François Arago).
- plusieurs temples de diverses obédiences protestantes et évangéliques occupent le territoire au fil du XXe siècle.
- une grande mosquée, située au nord de Perpignan (Polygone Nord) a été achevée en 2006.
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