Nissan-lez-Enserune
Localisation
Nissan-lez-Enserune : descriptif
- Nissan-lez-Enserune
Nissan-lez-Enserune (prononcer [nisɑ̃ lez‿ɑ̃seʁyn] ; Nissa d'Ausseruna en occitan) est une commune française située dans le sud du département de l'Hérault en région d'Occitanie. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de la Bastide, le ruisseau de Montady et par divers autres petits cours d'eau
La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (la « basse plaine de l'Aude » et les « collines d'Ensérune » et l'« étang de Capestang ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Nissan-lez-Enserune est une commune rurale qui compte 4 049 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975
Elle est dans l'unité urbaine de Nissan-lez-Enserune et fait partie de l'aire d'attraction de Béziers
Ses habitants sont appelés les Nissanais ou Nissanaises.
Géographie
Localisation
Le village de Nissan est niché dans un terroir de collines tertiaires entre les vallées de l'Orb à l'est et de l'Aude à l'ouest. Il faisait partie du canton de Capestang dans l'Hérault mais depuis 2014 il est rattaché au canton de Béziers-1. Il se situe à la limite du département de l'Aude.
Communes limitrophes
A l'ouest, le point d'intersection avec les communes de Capestang et Coursan est un quinquepoint délimitant aussi les communes de Montels (Hérault) et Cuxac-d'Aude (Aude).
Géologie et relief
Les collines qui l'entourent sont constituées au nord de buttes témoins miocènes (dont la colline d'Ensérune) alors que l'accès vers le sud est barré par une longue ligne de collines oligocènes dont une partie forme les argiles rouges de Nissan. Ces bancs d'argiles ont été exploités au vigne qui les colonise à nouveau. La diminution de l'élevage du mouton a permis le reboisement d'une partie des collines, offrant ainsi de vastes espaces de promenade.
La culture de la vigne a fortement marqué le territoire. Dès l'époque romaine, la vigne s'étend à la fois en plaine et sur les coteaux. Toutefois, le développement massif de cette monoculture date de la fin du céréales dans les zones de plaines aux périodes plus anciennes. La viticulture a également marqué l'habitat. Les anciennes maisons du centre du village, comme dans tous les villages languedociens, ont souvent leur cave et leur remise abritant autrefois les foudres en bois et le cheval.
Pendant la première moitié du XXe siècle, le mouvement des coopératives viticoles a contribué à maintenir en activité un grand nombre de petits propriétaires de vignes. La coopérative de Nissan fait désormais partie de l'un des groupements de caves les plus vastes et les plus actifs du département, les Vignerons du Pays d'Ensérune.
Nissan a bénéficié dès l'installation du chemin de fer d'une gare située à quelque distance du village autour de laquelle s'est développée une petite zone d'activité, en particulier une usine de conditionnement et d'expédition de jus de fruits qui a travaillé sur l'ensemble de l'Europe. La présence de la route royale, grand axe développé à l'époque de Louis XIV afin de faciliter les communications entre Béziers et Narbonne, et le percement du canal du Midi ont contribué à faire vivre le village, bien qu'actuellement ce soient les villages situés en bordure immédiate du canal (Colombiers, Poilhes, Capestang, Sallèles) qui profitent de son attrait touristique.
Depuis 1970, le village s'est fortement développé vers le sud avec l'apparition de nouveaux lotissements et l'installation d'une population de travailleurs urbains (Béziers est à 10 km et Narbonne à 20 km). Le nombre d'habitants directement concernés par la viticulture a fortement diminué. Cependant quelques domaines relèvent le défi de la production de vins de qualité et participent au nouvel essor de la viticulture méridionale.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 amplitude thermique annuelle de 15,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lespignan à 4 vol d'oiseau, est de 15,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS).
Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats : la « basse plaine de l'Aude ». Occupant une superficie de 4 500 sansouires en arrière plage. Il s'agit d'un site majeur pour la Pie-grièche à poitrine rose qui a des effectifs voisin de la moitié des effectifs nationaux et pour des espèces nicheuses dépassant le seuil des 1 % de leur population nationale : Butor étoilé, Blongios nain, Héron pourpré, Busard des roseaux, Échasse blanche, Aigrette garzette, Sterne pierregarin, Sterne naine, Lusciniole à moustaches et Rollier d'Europe.
Un autre site relève de la directive habitats : les « collines du Narbonnais ». Occupant une superficie de 2 149 pins d'Alep se sont développés et trois au titre de la directive oiseaux :
Un troisième relève de la directive oiseaux : l'« étang de Capestang », d'un intérêt écologique exceptionnel notamment en ce qui concerne l'étang et sa phragmitaie (roseaux). L'avifaune est particulièrement riche et intéressante en raison du type de végétation en place (grande étendue de roseaux) et de l'isolement des lieux. Il accueille de très nombreuses espèces nicheuses dont certaines justifient plus particulièrement la proposition de ce site en tant que site d'intérêt communautaire : le Butor étoilé, le Rollier d'Europe.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune :
- la « Basse plaine viticole de l'Aude » (1 438 Aude et deux dans l'Hérault ;
- la « colline de l'Oppidum d'Ensérune » (71 ;
- les « collines de Nissan » (487 ;
- l'« étang et prairies de la Matte » (395 ;
- les « étangs de Capestang et de Poilhes » (759 Aude et quatre dans l'Hérault ;
et deux ZNIEFF de type 2, :
- la « Basse plaine de l'Aude et étang de Capestang » (7 120 Aude et six dans l'Hérault ;
- les « collines de NIssan et Lespignan » (2 645 .
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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Toponymie
Nissan : Attestée sous les formes Aniciano en 1105, puis Anitiano, Anizano et Anissano jusqu'en 1344.
Enserune : Anseruna en 1216, Amsuzena en 1298 et 1346, Ensérune en 1585.
C'est en 899 dans le « Recueil des Actes de Charles III le Simple » qu'apparaît pour la première fois le nom de la colline sous la forme Anseduna. On trouve par la suite Bastida de Anseruna en 1216. C'est en 1585 qu'apparaît finalement la graphie Ensérune. Ce nom d'Ensérune, qui dérive de la forme latine Anseduna, attestée dans les textes les plus anciens avec le sens de «lieu élevé», « montagne », comme on le sait, dans les toponymes hérités du gaulois.[style à revoir][source insuffisante]
- Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France, page 153
- Jean Jannoray,Ensérune: contribution à l'étude des civilisations préromaines de la Gaule méridionale, Volume 1, page 42
Histoire
Antiquité
Nissan-lez-Enserune s'est développé progressivement à partir du dépeuplement de l'oppidum d'Ensérune, principal lieu d'habitations du Élisyques), puis par des Celtes et développant un commerce d'échange avec le monde méditerranéen. Après de timides tentatives de romanisation, dès le Ier siècle de notre ère, le site est abandonné et de nombreuses villas s'installent dans les plaines environnantes.
À l'origine du village se trouve très probablement l'une de ces villas romaines dont le propriétaire aurait pu porter un nom tel que « Anicius ». L'origine, gallo-romaine, du nom du village pourrait être : (Villa d'Anicius. Il en est fait mention, dès 782, sous la forme villa de Aniciano. De telles villas sont fréquentes dans les environs et forment un habitat dispersé caractéristique de l'Empire romain et du haut Moyen Âge. Plusieurs de ces villas ont été reconnues sur le territoire de la commune. Les fouilles du site de la Font del Pastre, au lieu dit Les Farguettes, ont par exemple révélé une exploitation vinicole associée à une grande villa avec thermes.
Moyen Âge
Des vestiges dispersés de l'époque wisigothique ont été également retrouvés dans les environs. Les chapelles et oratoires construits à l'écart du village témoignent de l'essor du christianisme à partir du Ve siècle. Ils sont souvent associés à des vestiges de hameaux et à des villas datant de l'époque romaine. Vers l'an mil, les villages des alentours s'entourent progressivement d'enceintes fortifiées et se regroupent autour d'un castrum. C'est le cas de Nissan, probablement dans le courant du XIe siècle, alors que les hameaux extérieurs sont abandonnés (par exemple Foulpian sur le site de Notre Dame de Miséricorde).
Ce nouveau village est attesté un peu avant 1105. Imbert de Montady et Bernard de Nissan plaident auprès de la vicomtesse de Carcassonne, Ermengarde, pour la possession d'une partie du château de Montady. En 1157, un autre Bernard de Nissan engage pour 2 000 sols le château de Nissan à Raymond et Bernard Pons de Colombiers. Le , Bérenger et ses frères, Pierre et Bernard de Nissan, vendent des terres lors de la profession religieuse de Bérenger à l'abbaye de Fontcaude. Un autre Bernard de Nissan participera activement à la défense des terres du Midi contre les Croisés de Simon de Montfort lors de la croisade contre les Albigeois. Après la prise de Béziers par les Croisés en 1209, les seigneurs de ces villages de plaine difficilement défendables se retrouvent parmi les défenseurs de Minerve. Bernard de Nissan trouve la mort en combattant près du château de Ventenac en ne laissant qu'une fille, Adalays. Le castrum de Nissan sera confisqué par Simon de Montfort qui en fait don à l'archevêque de Narbonne. Ce prélat sera seigneur de Nissan jusqu'à la Révolution.
Le village est régi par un consulat attesté dès 1347 mais dont on ignorons la date d'établissement.A cette date, les consuls rendent hommage et prêtent serment de fidélité à l'archevêque de Narbonne.
Les Templiers et les Hospitaliers
Les Templiers possédaient une commanderie au hameau de Périès,,.
Une ancienne commanderie de l'ordre du Temple qui administrait leurs possessions dans le Narbonnais puis commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem rattachée au grand prieuré de Saint-Gilles après la dévolution des biens de l'ordre du Temple après 1312.
En 1430, Jean de Raymond, commandeur de Périès fut accusé d'un certain nombre de crimes. Il fut capturé par le viguier et le juge de la ville de Narbonne et pendant au gibet de la dite ville.
Temps modernes
Nissan fait partie des vingt quatre villes du diocèse qui députent un représentant à l'assiette des Impôts des Etats du Languedoc. C'est une des étapes du grand tour de France de Charles IX et Catherine de Médicis : le jeune roi y déjeune le 4 janvier 1565.
Lors des guerres de Religion, Henri de Montmorency, nommé gouverneur du Languedoc en 1563, fera de fréquents séjours à Béziers à partir de 1576, tentant de négocier avec les ligueurs du duc de Joyeuse. Plusieurs trêves, en 1584, 1586, 1592 et 1595, seront conclues, le plus souvent à Nissan. Une garnison du duc de Montmorency y sera installée en juillet 1584 pour empêcher le duc de Joyeuse de se saisir du village.
Les délibérations consulaires, conservées à partir du milieu du XVIIe siècle, décrivent l'organisation consulaire et la gestion de la communauté. Sous le contrôle de l'intendant de l'archevêque de Narbonne et de ses baillis et viguiers, les consuls font lever les tailles, veillent aux dépenses (entretien des chemins, réparations de l'église, gestion de la plaine de l'Aude et du cours de la rivière...), attribuent les fermages (moulin à huile, boucherie) et veillent à la bonne organisation du village.
Nissan est mentionnée lors de la peste de 1628-1632, les habitants ayant établi un cordon sanitaire pour interdire l'accès au village par les étrangers. Il en sera de même lors du dernier épisode de peste, à la fin du XVIIIe siècle, où, à nouveau, les autorités du village prennent la décision d'en interdire l'accès aux étrangers pendant toute la durée de l'épidémie.
Révolution française et Empire
Lors de la Révolution, Nissan participe à la rédaction des cahiers de doléances, même si celui de Nissan ne nous est pas parvenu. Les habitants élisent des députés pour les représenter aux assemblées de Béziers. Le conseil municipal est installé selon les nouvelles règles le 7 février 1790. Le 15 août, sous la conduite de citoyens versés dans les affaires militaires, les habitants vont constituer un bataillon de la Garde Nationale après avoir acheté l'équipement nécessaire à 120 citoyens. En 1791, les biens nationaux sont mis en vente, dont en particulier la commanderie de Périès. Les volontaires pour la garde des frontières partent vers l'Espagne.
Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, créée en prairial an II.
Epoque contemporaine
Plus récemment, par décret du , Nissan prend le nom de Nissan-lez-Ensérune,. Un odonyme local (rue du 22-Août) rappelle cet évènement.
- Jannoray, J., Ensérune. Contribution à l'étude des civilisations préromaines de la gaule méridionale, Paris, de Boccard, .
- dom Claude de Vic, dom Joseph Vaissète, Histoire Générale du Languedoc (HGL), Toulouse, Privat (lire en ligne), c.48.
- Buffat, L., Pellecuer, C., Mauné, S., & Pomarèdes, H., « La viticulture antique en Languedoc-Roussillon. », Gallia, 58, 91-111., , p.96.
- lire en ligne), no 419 c.789.
- Rocque, A., Inventaire des actes et documents de l’archevêché de Narbonne. IV, , p.232.
- Barthès, Henri, Histoire de l'abbaye Sainte Marie de Fontcaude et de ses bienfaiteurs., Albi, Ateliers Professionnel de l'OSJ., , Cité dans cet ouvrage p.23.
- Dom Claude de Vic, Dom Joseph Vaissète, HGL VII, Toulouse, Privat, Notes p. 354, 389 Enquêtes 1259-1262.
- Molinier, A., Catalogue des actes de Simon et d'Amauri de Montfort, Paris, Bibliothèque de l'École des chartes, , 153-203 lire en ligne), p.193.
- Rocque, A., IInventaire des actes et documents de l’archevêché de Narbonne. IV, , p.222.
- Damien Carraz (Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, ISBN , lire en ligne), p. 310.
- , « Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs », dans Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, E. Champion, , xv-259, chap. 5.
- Émile Bonnet, « Les maisons de l'ordre du Temple dans le Languedoc méditerranéen », Cahiers d'histoire et d'archéologie, lire en ligne sur Gallica.
- Bonnet 1935, p. 170.
- Bourg 1883, lire en ligne sur GallicaL'auteur donne à tort le nom de Peyrusse à cette commanderie. On trouve également dans d'autres ouvrages Peyrens avec une localisation erronée près de Bizanet mais il s'agit bien de Périès / Périeis, Bonnet 1935, p. 170..
- Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France…, Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica.
- Abel Jouan, Recueil et discours du voyage du Roy Charles IX, Paris, Jean Bonfons, (lire sur Wikisource), « Recueil et discours du voyage du Roy Charles IX », p. 32v
- Azais, J., « Journal de Charbonnea », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, VII lire en ligne).
- Favatier, L., « La vie municipale à Narbonne au XVIIe siècle. Les pestes et le bureau de santé », Bulletin de la Commission Archéologique de Narbonne, 1er semestre, , p. 37-126..
- « Spécial bicentenaire », Bulletin de l'Association Les Amis de Nissan no 47, .
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 415.
- « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Archives communales déposées de Nissan-lez-Ensérune.
- Journal Officiel, 1950, no 203, p. 9177.
Héraldique
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Les armes de Nissan-lez-Enserune se blasonnent ainsi : d'azur à un chien passant d'or surmonté d'un croissant d'argent. |
- Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 53.
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