Figeac

Localisation

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Figeac : descriptif

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Figeac

Figeac est une commune française, sous-préfecture du département du Lot, en région Occitanie

Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Célé, le Drauzou, le ruisseau de Planioles et par divers autres petits cours d'eau

La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. La commune est le centre de l'aire urbaine de Figeac, agglomération de 26 200 habitants, et de la Communauté de communes Grand-Figeac regroupant un peu plus de 43 560 habitants

C'est aussi la commune-centre de l'aire d'attraction et le chef-lieu de l'arrondissement de Figeac, ainsi que le bureau centralisateur pour les différents cantons

Figeac se classe dans les 3 communes urbaines du département avec Cahors et Pradines. Durant l'été, la commune est une des villes les plus visitées de la région Occitanie, ce qui lui vaut le label « Grand Site d'Occitanie »

Figeac est également labellisée « French Impact » et « ville d'art et d'histoire »

La ville de Figeac a reçu la Croix de Guerre avec étoile de vermeil, et la cité est souvent classée dans Les Plus Beaux Détours de France

La commune accueille également un Institut universitaire de technologie (IUT) regroupant plusieurs grands bâtiments sur les hauteurs de la ville.

Géographie

Localisation

Commune du Lot située dans le Massif central au débouché de l'Auvergne et du Haut Quercy. Cette commune est proche de l'Aveyron et du Cantal. C'est une des deux sous-préfectures du département, elle est aussi au centre de l'unité urbaine de Figeac et de l'aire urbaine de Figeac.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Figeac
Camburat,
Lissac-et-Mouret
Planioles Viazac
Camboulit Figeac[1] Lunan
Béduer Faycelles Capdenac

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 3 516 hectares ; son altitude varie de 170 à 451 mètres.

Hydrographie

La commune est arrosée par le Célé et ses affluents le Ruisseau de Planioles et le Drauzou.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 amplitude thermique annuelle de 16,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Faycelles à 6 vol d'oiseau, est de 13,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune : les « bois de Felzins et des Rouquettes, Roc de Gor et cours du Célé attenant » (332  et la « rivière Célé » (1 383  et trois ZNIEFF de type 2, :

  • la « basse vallée du Célé » (4 063  ;
  • la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 Aveyron et 28 dans le Lot ;
  • le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 Cantal et 22 dans le Lot.
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Le toponyme est attesté dès le . D'après une charte attribuée à Pépin le Bref, ce lieu était nommé Fiat.[réf. nécessaire]

Une anecdote prétend qu'il aurait été déformé par la suite en Figeac à partir de l'expression latine Fige acum. Elle tente aussi, par cette façon, d'expliquer l'origine des monuments appelés aiguilles. Beaucoup de pèlerins se perdaient dans les forêts aux alentours de Figeac et l'abbé aurait répondu à ceux qui le lui faisaient observer : « Fige acum », qui se traduit par : « Plantez une aiguille ». Selon la légende, un vol de colombes, dessinant une croix dans le ciel, sous les yeux de Pépin le Bref, décida de la fondation, en ces lieux, d'un monastère, en 753. Le roi aurait dit « Fiat là ! » (« qu'il [le monastère] soit fait là ! »), cette expression aurait donné le nom Figeac.

Ces légendes étymologiques ne sont pas validées par les travaux des toponymistes. Ils se basent sur la forme la plus ancienne du nom attestée dès le -acum, suffixe localisant et de propriété d'origine gauloise -acon (celtique *-āko) qui a généralement abouti à -ac dans le domaine linguistique occitan, parfois à -at (Auvergne, Limousin). Il est précédé de l'anthroponyme gallo-roman Fidius, ou *Fibius, variation possible de Fabius, que l'on retrouverait dans Fiac (Tarn) et Fyé (Yonne, Fiacus, 830).

En occitan, la ville se nomme Fitsat, écrit Fijac.

  1. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 289a - 188b - 189a.
  2. , Statistique du département du Lot, ISBN ), p. 445-447.
  3. La naissance d'une cité lotoise : Figeac, conte sur le site Quercy.net.
  4. et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 ISBN , BNF 40220401), p. 111.

Histoire

Préhistoire

En 2008, des sondages sont réalisés avant la construction de la déviation Ouest de Figeac. Près du lieu-dit Sabatié, au pont actuel de la D19 sur la D802, des archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives mettent au jour des vestiges d'occupation humaine datant du Néolithique moyen, du Bronze ancien et du premier âge du Fer. Ce petit habitat se situait sur un replat proche de la rive gauche du Célé. Il a révélé des fragments de céramiques, de charbons de bois ; des fosses, des trous de poteaux de palissade, des restes d'un mur à ossature bois ; des tessons d'urnes, de vases, de coupelles, de jattes et de plats ; des perles et fusaïoles. Un petit nombre des vases à cordon est décoré par des traces de doigts ou de bâtonnets. Ils se rapprochent de mobiliers découverts à la grotte de la Crouzate près de Gramat.

Antiquité et Haut Moyen Âge

Le territoire de Figeac appartenait il y a plus de deux mille ans au peuple gaulois des Cadurques ; ces derniers seront soumis par les Romains en -51 après la reddition de la forteresse d'Uxellodunum.

Une voie romaine franchissait le Célé à gué et l'on a trouvé des restes de murailles et des sarcophages gallo-romains.

Selon la légende, un vol de colombes, dessinant une croix dans le ciel, sous les yeux de Pépin le Bref, décida de la fondation, en ces lieux, d'un monastère, en 753. En 755, le pape Étienne II, venu bénir l'église, vit Jésus lui-même escorté par des anges, venir consacrer le monastère. Quoi qu'il en soit, le lieu était déjà habité dans l'Antiquité.

Période féodale

Selon Malte-Brun, une abbaye aurait été fondée dans la première moitié du Vikings y auraient tué soixante moines après avoir massacré les habitants réfugiés dans l'église.

Une abbaye est refondée après le passage des Vikings. Bien située sur les chemins de Compostelle et de Rocamadour, elle prospéra et entraina rapidement le développement d'une agglomération. À la suite de tensions croissantes, à partir de 1244, entre les consuls, représentants des principales familles marchandes, et l'abbé, Figeac, à l'issue d'une négociation menée par Guillaume de Nogaret et moyennant rachat par la couronne des droits abbatiaux, passa sous la dépendance directe de Philippe IV le Bel en 1302. Le roi lui accorda le rare privilège de battre la monnaie. Grâce à un artisanat prospère, la ville s'enrichit.

Selon Malte-Brun, en 1318, Philippe V le Long, satisfait des habitants de Figeac qui l'auraient promptement reconnu roi de France, confirma les prérogatives, libertés, franchises déjà obtenues. Il accorda une charte particulièrement favorable : sceaux, drapeaux, consuls choisis parmi les habitants. Ils possédaient les murs, tours, remparts et fossés. Ces privilèges furent confirmés par Philippe VI de Valois (1334) et Louis XI, à l'occasion de sa visite en 1463.

Les routiers au service des Anglais Bernardon de la Salle et Bertucat d'Albret s'emparent le de Figeac,,. À partir de Figeac, ils mènent des raids dans la région et dans le Gévaudan et le Vivarais. Ils n'acceptent de l'évacuer que presque deux ans après, le , en échange de la somme très importante de 120 000 francs,.

Les Templiers et les Hospitaliers

La commanderie de Figeac, fondée en 1187 (située au 41 rue Gambetta aujourd'hui) est classée au titre des monuments historiques en 1991.

Les guerres de religion

Les guerres de Religion trouvèrent la ville divisée. Jeanne de Genouillac, fille de Galiot, seigneur d'Assier, travailla à gagner la population à la foi nouvelle. Les protestants tentèrent, à partir de Capdenac, devenue protestante en 1563, de s'emparer de Figeac à deux reprises en 1564, puis le , avant d'y parvenir finalement en 1576 lorsque les calvinistes à l'intérieur de la ville ouvrirent les portes à ceux de dehors. Les armées protestantes s'emparèrent de la ville, se livrèrent à un massacre et brûlèrent une partie de la ville. La colline du Puy fut transformée en place forte. Le 10e synode national protestant se tint à Figeac le . L'édit de Nantes laissa la ville aux protestants et ce n'est qu'après la chute de Montauban, en 1622, que Louis XIII fit démanteler la citadelle.

Le Grand Siècle

Le , un des chefs de la jacquerie des Croquants de 1624, Doüat est écartelé à Figeac, après l'échec de la révolte paysanne qui a suivi l'annulation de l'exemption de gabelle dont bénéficiait le Quercy.

Révolution française et Empire

Le Révolution vit la guillotine faire tomber cinq têtes, place de la Raison. Le maréchal Ney se cacha à Figeac, peu avant son arrestation.

Époque contemporaine

Figeac est reliée au chemin de fer le 10 novembre 1862, date d'inauguration de l'axe Brive-Toulouse par la gare de Figeac. En 1864, l'ouverture de la ligne de chemin de fer vers Aurillac, au titre de la concession de Clermont au Lot, permet également une liaison ferroviaire avec le Cantal. Les voies forment alors un « Y » caractéristique à la gare de Figeac.

Dans la nuit du 25 août 1892, les habitants de Figeac ressentirent un léger tremblement de terre, relaté dans un article de la Dépêche du Midi du .

Seconde Guerre mondiale

Résistance à l'occupant
Machine-outil de l'entreprise Ratier Figeac détruite en 1944.

Après que les Allemands ont envahi la Zone libre en , la résistance s'établit dans l'arrondissement de Figeac et les lieux boisés propices situés au Nord. De nombreux jeunes réfractaires au service du travail obligatoire s'y rallient, les gendarmes se montrent indulgents voire complices.

Les résistants du département du Lot sont très actifs, soutenus par la population et visibles. Ils réalisent de nombreuses actions : occupation de lieux publics comme la gare de Figeac, récupération d'armes par attaque des forces de l'ordre le

Le à 9 heures du soir, les habitants de Figeac entendent cinq explosions provenant des usines Ratier qui travaillaient sous la contrainte pour l'aviation du Troisième Reich. La résistance a fait exploser trois machines à reproduire les hélices, un four à cémenter et une presse de trente tonnes pour faire chuter la production destinée à l'occupant.

Réactions allemandes
Monument à la mémoires des victimes de la rafle d'avril et mai 1944 dans la région de Figeac.

Selon Gilbert Lacan, les réactions des Allemands se répartissent sur trois périodes et ne doivent rien au hasard :

  • de 1942 à début , une phase de préparation, sans réaction apparente, pendant laquelle la police allemande collecte des renseignements et établit des fichiers grâce à des informateurs ;
  • d'avril à fin auront lieu les déportations ;
  • enfin, du débarquement à la fuite des occupants, les populations subissent des représailles.

Le , quelques soldats allemands, venus en voiture de tourisme, procèdent à l'arrestation ciblée de trois Figeacois. Les Allemands ont connaissance de parachutages d'armes qui ont eu lieu sur le plateau de Lascamps entre Béduer et Faycelles. Le , cent soldats contrôlent les carrefours avec des fusils mitrailleurs et cernent quelques maisons dont ils arrêtent les occupants. André Aigueperse, Louis Bergman et Pierre Prokusky sont abattus sans raison devant leur domicile. Beaucoup de jeunes prennent alors le maquis.

Dans la nuit du 10 au , une partie de la  division SS Das Reich traverse la ville de Figeac sans s'arrêter. La population se rassure à tort car c'est le début d'une énorme opération de police. À chaque carrefour après la côte de Planioles, la colonne se divise en deux pour ratisser tout le nord du Lot.

Le 12 mai vers 6 heures du soir, quelques voitures reviennent vers Figeac et occupent la poste, la gare et les différents carrefours. Les premières arrestations débutent et au matin quarante personnes sont regroupées à l'hôtel Tillet (place des Carmes).

Plaque noire à la mémoire des agents SNCF exécutés

Le 13 mai à 7 heures du matin, la ville est encerclée et tous les hommes de Figeac sont convoqués à la gendarmerie pour une vérification de papiers. Après un premier tri où sont écartés les plus de 60 ans et les employés des services publics, ils sont regroupés au soleil dans la cour de l'école primaire voisine et subissent des brutalités. Les Allemands chargent 800 Figeacois debout dans 32 camions qui, vers 18 heures, démarrent vers Cahors. Après des interrogatoires à la caserne de dragons de Montauban, 540 d'entre eux sont déportés vers les camps de Neuengamme et de Dachau. Huit femmes de Figeac sont envoyées au camp de Ravensbrück. Le chef de gare intérimaire, René Cabibel, est arrêté lors de cette rafle à 16 heures. Son corps est retrouvé à 2,5 .

Le , la  division SS Das Reich passe par Figeac. Ses derniers éléments sont attaqués par les maquisards dans la côte de Planioles. En représailles, des habitants sont tués et des maisons incendiées.

Le , un groupe de maquisards de l’Armée Secrète a saboté l'aiguillage de la bifurcation des lignes de Cahors et de Brive. Dénoncés, à leur retour, ils sont encerclés, au lieu-dit Lavayssière, par un détachement allemand qui tue quatorze des résistants, Huit autres sont fusillés le soir même à Capdenac-Gare, Un autre homme est arrêté et confié à la Sipo-SD. Le , il fera partie des trente fusillés de Sainte-Radegonde près de Rodez. Une stèle a été érigée au sud de Figeac, au niveau de l'actuel giratoire, à l'intersection de la D840 et de la D802,.

Citation de la ville de Figeac

Le , la ville de Figeac a reçu la Croix de Guerre avec étoile de vermeil.

Fin du | ]

Le , la gare de Figeac est ravagée par un violent incendie qui se déroule vers quatre heures du matin. Le bâtiment est partiellement détruit. La piste accidentelle est privilégiée malgré le peu d'indices disponibles. Datant de 1862 et apprécié des figeacois, il ne reste de l'édifice que la façade et les murs. Il faut attendre la mi-décembre pour voir un retour à la normale de la circulation des trains.

Le 22 avril 2022, le président-candidat Emmanuel Macron tient sous la halle de Figeac son dernier meeting de campagne avant le second tour de l'élection présidentielle.

  1. Marie-Luce Merleau, Anne Lagarrigues, Laurent Bruxelles, Sylvie Coubray et Frédérique Durand, « Figeac Sabatié : fréquentation d'une terrasse alluviale en bordure du Célé (Lot) au Néolithique, Bronze anciens et premier âge du Fer », Actes des Rencontres Méridionales de Préhistoire Récente,‎ 8 et 9 octobre 2010, lire en ligne [PDF]).
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  4. a b et c Armand Jamme, « Routiers et distinction sociale : Bernard de La Sale, l’Angleterre et le pape », dans Guilhem Pépin (éd.), Routiers et mercenaires pendant la guerre de Cent ans : Hommage à Jonathan Sumption, Bordeaux, Ausonius Éditions, ISBN , DOI 10.4000/books.ausonius.16384, lire en ligne), p. 57–84.
  5. Nicolas Savy, « Les procédés tactiques des compagnies anglo-gasconnes entre Garonne et Loire (1350-1400) », dans Guilhem Pépin (éd.), Routiers et mercenaires pendant la guerre de Cent ans : Hommage à Jonathan Sumption, Bordeaux, Ausonius Éditions, ISBN , DOI 10.4000/books.ausonius.16407, lire en ligne), p. 115-131.
  6. a et b Jean-Marie Moeglin, « Albret Bertucat ou Bretucat d' », dans Jean-Marie Moeglin (dir.), Dictionnaire de la Guerre de Cent Ans, Paris, Bouquins éditions, , 1492 ISBN ), p. 15-17.
  7. «  », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
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  9. a b c d e f et g Gilbert Lacan, Figeac en Quercy : sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99 p..
  10. Jean-Louis Ponnavoy, « CABIBEL René, Marie », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
  11. Eric Panthou, « Figeac (Lot), Lavayssière, 23 juin 1944 », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
  12. «  », sur fusilles-40-44.maitron.fr (consulté le )
  13. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur onac-vg.fr (consulté le ).
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  15. Audrey Lecomte, «  », sur ladepeche.fr, .
  16. Audrey Lecomte, « Présidentielle : Figeac se prépare à accueillir Emmanuel Macron » , sur ladepeche.fr, 22 avril 2022.

Héraldique

Les armes de Figeac se blasonnent ainsi : d'azur à la croix d'argent

  1. , Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, Les éditions du Bastion,  (réimpr. 1980), 58 p., p. 41-45.

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Figeac dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-occ/39215.html

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