Bressols

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Bressols : descriptif

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Bressols

Bressols est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, cette commune fait partie du pays de Montauban, à la limite du Languedoc (Pays toulousain) et du Quercy. Exposée à un climat océanique altéré, la commune, arrosée par le Tarn, a un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Faisant partie de l'unité urbaine de Montauban et de l'aire d'attraction de Montauban, Bressols est une commune urbaine qui, en 2021, comptait 3 729 habitants, ayant connu une forte augmentation de sa population depuis 1962

Ses habitants sont appelés Bressolais ou Bressolaises.

Géographie

Situation

Bressols est situé au sud-ouest de Montauban (chef-lieu du département), son centre se trouvant à environ 4 km du centre de Montauban (mairie).

La commune est aussi à environ 50 km au nord de Toulouse (chef-lieu de la région et du département de Haute-Garonne) et 15 km à l'est de Castelsarrasin (chef-lieu d'arrondissement).

Communes limitrophes

Bressols est limitrophe de cinq autres communes : Montauban, Labastide-Saint-Pierre, Lacourt-Saint-Pierre, Montbartier et Montech.

Communes limitrophes de Bressols
Lacourt-Saint-Pierre Montauban
Montech Bressols
Montbartier Labastide-Saint-Pierre

Agglomération secondaires et lieudits

Brial

Brial est un village situé au sud de la commune de Bressols. On y trouve une église, Saint-Jean-de-Brial, avec un cimetière attenant, et une plaine de jeux avec un terrain de tennis, un boulodrome, un city stade et un terrain de basketball à l'intérieur en face de l'église. On y trouve aussi une ancienne école, reconvertie en centre aéré et en salle polyvalente, ainsi qu'une zone industrielle à "Umberti".

En ce qui concerne l'environnement naturel, on trouve à Brial de petits lacs éparpillés (le Clos du Lac par exemple), des restes de la forêt de Montech (groupes d'arbres regroupés sur plusieurs points dans la commune) et des ruisseaux (comme le Vergnet).

On y trouve aussi un monument à la mémoire de deux personnes qui ont été fusillées à cet endroit le 18 août 1944, peu avant la Libération, Joseph Merzyck et André Mercadier.

Autres villages, hameaux et lieudits

Tenance, Pérayrols, Trixe, Le Pastenc.

Voies de communication

La commune est desservie par l'autoroute A20 (Vierzon-Montauban) qui rejoint au sud l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse). La commune a un accès à l'autoroute (à Moulis). L'échangeur A20-A62 se trouve au sud de la commune, aux environs de Brial.

Elle est traversée (à l'est) par l'ancienne route nationale 630 (Montauban-Lavaur) aujourd'hui route départementale 930 (dans le Tarn-et-Garonne). La mairie de Bressols est située sur cette route.

La commune est aussi traversée par la route départementale 77 (Montauban-Monbéqui) qui rejoint la D 813, ancienne route nationale 113 (Bordeaux-Marseille), passant par Verdun-sur-Garonne, Castelsarrasin et Moissac.

Les autres routes sont d'intérêt communal. La plus importante, appelée route de Trixe, est une sorte de bretelle reliant la D930 et l'autoroute A20 à Moulis.

Hydrographie

Réseaux hydrographique et routier de Bressols.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, qui fait partie du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau du Vergnet, le ruisseau de Miroulet, le ruisseau de la Loube et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 23 ,.

Elle est arrosée par le Tarn, qui constitue la limite orientale de la commune de Bressols, et par divers cours d'eau, le ruisseau du Vergnet, le ruisseau de Miroulet, etc.

Le Tarn, d'une longueur de 380 Pont de Montvert (Lozère), coule d'est en ouest et conflue avec la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave après avoir traversé Montauban et Moissac.

Le ruisseau du Vergnet, d'une longueur de 11 Montech, coule d'ouest en est et conflue avec le Tarn dans la commune de Bressols.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 amplitude thermique annuelle de 15,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban à 6 vol d'oiseau, est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,6 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune : la « forêt d'Agre-Montech » (1 561  et une ZNIEFF de type 2, : la « basse vallée du Tarn » (3 623 Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne.

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. La présence d'une église signifierait qu'il s'agit d'une ancienne paroisse, dans ce cas on ne peut pas parler de « hameau ». Ou s'agit-il d'une chapelle ?
  3. «  » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. «  », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, «  »
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  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  19. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


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Toponymie

Origine du nom de la commune

Selon une croyance répandue, « Bressols » viendrait du mot latin Brictius (du gaulois Brictos), nom du quatrième évêque de Tours, saint Brice (sanctus Brictius), mort en 444. Le nom latin Brictius a donné « Brice » en français et Breis en occitan. Cependant cette hypothèse n'est pas pleinement convaincante[réf. nécessaire].

Bressols est la seule commune française de ce nom, mais il existe deux communes appelées Bressolles, une dans l'Ain, l'autre dans l'Allier. Pour la première, attestée au Moyen Âge sous la forme Breissola, l'origine serait brocelle (« bois, taillis »).

L'historien local du , une des deux familles y détenant des droits seigneuriaux au Moyen Âge.

À l'heure actuelle, on ne dispose donc pas d'une explication solide de ce nom.

Autres toponymes

  1. Par exemple sur la site de la mairie de Bressols, Histoire et patrimoine »
  2. Il existe un autre saint Brice, moins connu, du abbaye Saint-Mesmin de Micy), puis ermite dans le diocèse de Sées (actuelle Orne)
  3. Moulenq, Documents historiques, tome IV, pages 47 et 50. Voir Bibliographie.

Histoire

Un gué sur la rivière expliquerait l'attrait du site.[réf. nécessaire]

Époque gallo-romaine : le Fines de la carte de Peutinger ?

Dans l'empire romain, après la conquête de la Narbonnaise (-120), puis les conquêtes de Jules César (-58/-51), le site de Bressols se situe dans l'espace entre la cité des Volques Tectosages (chef-lieu : Toulouse, Tolosa), qui fait partie de la Gaule narbonnaise, et celle des Cadurques (Cahors, Divona Cadurcorum), qui fait partie de la Gaule aquitaine (chef-lieu : Saintes, puis Bordeaux).

Or, sur la table de Peutinger, carte des voies romaines au Cos (commune de Lamothe-Capdeville), un peu au nord de Montauban, et qui était alors un vicus important du sud de la cité des Cadurques, situé à un point de franchissement de l'Aveyron. Entre Tolosa et Cosa est indiqué un lieudit Fines, terme qui signifie « les fins » et qui marque d'une façon générale la limite entre deux cités gallo-romaines, en relation avec le toponyme gaulois fréquent *Equoranda, qui a le sens de « limite ».

L'historien local Jean-Ursule Devals (1814-1874), archiviste de la ville, puis du département, voit dans Bressols un des sites possibles de ce lieudit Fines, au passage du Tarn. La table de Peutinger indique que Fines est à 28 lieues de Tolosa et 7 lieues de Cosa (c'est-à-dire 50-55 kilomètres de Toulouse et 12-15 kilomètres de Cos et d'Ardus[pas clair]), distances qui peuvent s'appliquer à Bressols.

À ce jour, cette hypothèse n'a pas pu être confirmée par des découvertes archéologiques.

Haut Moyen Âge : une dépendance de l'abbaye de Montauriol

Au  siècle, le village et son église dépendent de l'abbaye de Montauriol (créée vers 825), à cette époque le seul établissement implanté sur le site de Montauban (ville créée seulement en 1144 par le comte de Toulouse Alphonse Jourdain comme bastide).

La première église de Bressols est dédiée à saint Martin de Tours

C'est à cette époque qu'elle aurait pris le nom de Brictius (Breis en occitan), grâce au patronage[réf. nécessaire] du successeur de saint Martin comme évêque de Tours, saint Brice (sanctus Brictius).

La seigneurie de Bressols partagée entre deux familles ( | ]

Au XIIe siècle, le fief de Bressols est partagé entre deux familles, les Brazols et les Corbarieu.

Après la création de Montauban (1144), Bressols relève sans doute du comté de Toulouse, où au maison de Toulouse s'éteint au profit de la maison de France (Alphonse de Poitiers, frère de Louis IX, puis Philippe III, fils de Louis IX, Alphonse étant mort sans descendance). En 1271, les seigneurs de Bressols prêtent donc hommage à Philippe III le Hardi.

La première moitié du fief passe par la suite aux mains des Montaut puis des Rabastens. En 1670, François de Rabastens la vend à Jonathan Garrisson, qui transmet cet héritage à ses descendants, les Daliès puis les Scorbiac.

La seconde moitié appartient en 1317 à Pierre de Galard, grand maître des arbalétriers de France, puis, en 1357, à Bertrand de Terride, et finalement à son arrière petite-fille Marguerite de Lomagne, épouse de Louis de La Roche Fontenilles. Leurs descendants, les marquis de Gensac, la transmettent jusqu'en 1789 à Anne-Thérèse de La Roche Fontenilles, épouse de Louis de Montmorency-Laval.

Époque moderne (1492-1789)

Période des guerres de religion (1561-1629)

Au  siècle le protestantisme se répand dans le diocèse de Montauban (créé en 1317). Montauban devient un haut lieu du calvinisme français. En décembre 1561, l'église Saint-Martin-et-Saint-Benoît est saccagée par des iconoclastes calvinistes et le curé est humilié en public.

L'église Saint-Jean de Brial est détruite en 1622 (dans le cadre des rébellions huguenotes du règne de Louis XIII, de 1621 à 1629).

Les deux églises sont rebâties à partir de 1647.

Administration ecclésiastique et civile à partir du règne de Louis XIII

En 1668, les revenus (notamment la dîme) des églises de Bressols et de Brial sont cédés par l'évêque de Montauban aux Lazaristes, responsables du séminaire diocésain. En 1726, le revenu de l'église de Bressols s'élève à plus de 778 livres. Celui l'église de Brial est en revanche si modeste que le dicton « désargenté comme le calice de Brial » est longtemps resté en usage dans la région pour désigner une grande pauvreté.

En ce qui concerne les affaires civiles, Bressols est une ville, qui jusqu'à la fin de l'Ancien Régime (1789), est administrée par trois consuls. Ceux-ci sont choisis par les seigneurs de la ville[pas clair] sur une liste de postulants élaborée par les consuls sortants. Bressols fait partie de la généralité de Montauban créée en 1635.

Époque contemporaine

En 1790, au début de la Révolution française (1789-1799), Bressols devient une commune et fait partie du canton de Montech et du district de Castelsarrasin dans le département de la Haute-Garonne (chef-lieu : Toulouse). En 1800, Castelsarrasion devient chef-lieu d'arrondissement (sous-préfecture), toujours dans la Haute-Garonne. Ce département s'étend en effet jusqu'au Tarn, au delà duquel commence le département du Lot.

Ce n'est qu'en 1808 qu'est créé le département de Tarn-et-Garonne à partir de territoires de Haute-Garonne et du Lot.

À l'heure actuelle, Bressols est toujours dans le canton de Montech, mais fait partie de l'arrondissement de Montauban et non plus de celui de Castelsarrasin.

  1. On trouve en France de nombreux toponymes dérivés de ce mot gaulois (reconstitué) : Ingrandes (4 communes), Ingrannes, mais aussi Aigurande, Eygurande, Eygurande-et-Gardedeuil, etc. Ces toponymes sont très souvent situés en limite de départements actuels (par exemple : Ingrandes dans le Maine-et-Loire, à la limite de la Loire-Atlantique, sur la route d'Angers à Nantes). Fines est considéré comme la traduction en latin du mot *Equoranda.
  2. Cité par Moulenq, Documents historiques, page 47 : « Le village de Bressols, selon Devals, aurait été sous la domination romaine une mansio qui figure sur la carte de Peutinger sous le nom de Fines parce qu'elle était placée sur la limite entre les Tolosates et les Tasconi » avec renvoi à un de ses ouvrages (page 21) : Etudes sur les limites des anciens peuples qui habitaient le département de Tarn-et-Garonne et sur les voies antiques du même département, Montauban, Forestié, 1862, 72 p.
  3. Notice BNF de l'ouvrage
  4. Il existe au moins deux sites représentant la table de Peutinger sur Internet et ses détails entre Tolosa (Tououse) et Divona (Cahors) : https://omnesviae.org/fr/#!iter_TPPlace755_DIVONA et https://www.euratlas.net/cartogra/peutinger/1_gallia/gaule_2_3_fr.html. On y lit la distance en lieues gauloises entre ces villes et les lieux étapes.
  5. Contrairement à Cos, où la localité romaine était beaucoup plus étendue que le village actuel, ce qui rend les fouilles plus faciles.
  6. « L'église de Bressols » sur le site du diocèse de Montauban : « La première église construite dans le village de Bressols était dédiée à Saint-Martin de Tours, on la retrouve dans des documents du 10e siècle, elle est citée dans le Cartulaire de l’Abbaye de Saint-Ser(n)in de Toulouse (844-1200). Elle fit partie des possessions de l’abbaye de Montauriol. » Un ouvrage sur le cartulaire est disponible en ligne sur Gallica.
  7. François Moulenq Documents Historiques Tome IV éditions Res Universis 1991 pages 47 à 55.
  8. François Moulenq, pages 47 à 55.
  9. En 1629, Montauban doit capituler à la suite de la prise de La Rochelle par Richelieu et cesse d'être une place de sûreté. Le protestantisme reste toléré (édit de Nantes, 1598), mais les protestants perdent toute autonomie politique.
  10. Chanoine Pierre Gayne, Dictionnaire des paroisses du Diocèse de Montauban, Montauban, Association Montmurat Montauriol, 1978, page 25.

Culture

La salle polyvalente qui organise des congrès, des spectacles, des fêtes. L'ancienne école de Brial qui sert de centre aéré l'été.

Le centre culturel La Muse a été construit en 2015. Des films, des spectacles, du théâtre, des concerts, des expositions, des congrès etc. s'y déroulent très régulièrement. Elle compte 266 places assises. Ce centre culturel accueille notamment la branche Musiques Actuelles Amplifiées du Conservatoire de musique du Grand Montauban. L'association EIDOS a ses bureaux et une grande partie de son activité au centre culturel La Muse puisqu'elle est chargée de la programmation cinématographique de ce lieu toute l'année. Le centre culturel La Muse, par l'action d'EIDOS, est ainsi une exploitation cinématographique au regard du CNC depuis 2016.

Héraldique

Blason
D'azur au chevron d'or, écimé, touchant le trait du chef, chargé d'un chevronel ondé d'azur, et enfermant en pointe trois fasces ondées et alésées d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Bressols
Communauté des Habitants de Bressols : De sinople à la bande d'argent cotoyée de deux cotices du même.
  1. , Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696. Vol. 15 : Languedoc (2ème partie), pp. 1125 - 2452. (lire en ligne), p. 2229, 3e blason.
  2. http://www.ville-bressols.fr/fr/cadre-de-vie/presentation.html

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Bressols dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/12/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-occ/39096.html

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