Nyer
Localisation
Nyer : descriptif
- Nyer
Nyer [ɲɛʁ] est une commune française située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Têt, la Carança, la rivière de Mantet et par divers autres petits cours d'eau
Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : quatre sites Natura 2000 (le « massif du Canigou », le « massif du Puigmal », les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales » et « Puigmal-Carança »), un espace protégé (la réserve naturelle régionale de Nyer) et huit zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Nyer est une commune rurale qui compte 152 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 488 habitants en 1851
Ses habitants sont appelés les Nyérois ou Nyéroises.
Géographie
Localisation
La commune de Nyer se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Elle se situe à 54 Perpignan, préfecture du département, et à 15 , sous-préfecture.
Les communes les plus proches sont : Souanyas (1,8 Canaveilles (2,2 Olette (2,5 Escaro (3,3 Oreilla (3,4 Jujols (4,4 Thuès-Entre-Valls (4,4 Serdinya (5,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Nyer fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon.
Sur le plan physique, son territoire est délimité par la Têt au nord, avec le défilé des Graus de Canaveilles, par la Carança, affluent de Têt, à l'ouest, au sud par le pic de Serra Gallinera (2 663 rivière de Mantet (avec les gorges de Nyer) à l'est.
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Localisation en Conflent
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Situation de la commune
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 3 700 hectares. Son altitude varie de 656 à 2 645 mètres. Son point culminant est le pic de Serra Gallinera.
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne.
Hydrographie
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 14,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Formiguères à 17 vol d'oiseau, est de 7,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,.
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne, ;
- la réserve naturelle régionale de Nyer, classée en 2007 et d'une superficie de 2 347 ,.
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats :
- le « massif du Canigou », d'une superficie de 11 746 ;
- le « massif du Puigmal », d'une superficie de 8 784 Botryche simple est très importante compte tenu du faible nombre de stations en France ;
- les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales », d'une superficie de 2 437 chauves-souris d'intérêt communautaire
et une au titre de la directive oiseaux
- « Puigmal-Carança », d'une superficie de 10 260 gypaète barbu.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune :
- la « mine d'Olette » (10 ;
- la « rivière de Mantet, de Nyer à la Têt » (54 ;
- la « vallée de la Carança » (4 315 ;
- la « vallée de Mantet » (5 167 ;
et quatre ZNIEFF de type 2, :
- les « chaîne du Puigmal et vallées Adjacentes » (28 390 ;
- le « massif du Canigou » (19 263 ;
- la « vallée du Conflent » (5 742 ;
- le « versant sud du massif du Madres » (27 267 .
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
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- Stephan Georg, « », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN ), p. 194-195.
- Carte IGN sous Géoportail
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Le nom de la commune est Nyer, en français comme en catalan.
Le lieu apparaît dès le siècle sous le nom d'Angera. On trouve ensuite mentionnés valle Engerra (846), Agnerra (871), Anyerro (950), Anger (968), Angers (1030), Anyer (1163) et enfin Nyer en 1359. On rencontre également Ayer en 1395.
- lire en ligne).
- Jean Sagnes (ISBN ).
Histoire
Origines
Le village de Nyer apparaît au Château de la Roca d'Anyer (ou de Nyer), sans-doute bâti à partir d'une précédente construction militaire wisigothique, comprenant la chapelle castrale Saint-Jacques. Des paysans recherchant sa protection s'installent tout autour formant le village primitif. La proximité de profonds ravins rend le château quasiment imprenable.
La baronnie de Nyer
La baronnie de Nyer, qui relevait de la vicomté du Conflent, appartient au haut Moyen Âge à la famille de Ça Rocha (ou La Roca, Laroque).
Le château de Ça Rocha est cité en 1276, lorsque le roi de Majorque donne à Mossem Guillem Ça Rocha la juridiction civile du château de Laroque et des lieux de Porcinyans et d'Anyer (Nyer) à l'exception des justices du mère et mixte empire. Fidèle ensuite de Jacques II de Majorque, de Sanche de Majorque, puis de Jacques III de Majorque, la baronnie est confisquée à la famille de Ça Rocha lors de la conquête de la région par Pierre IV d'Aragon. Toutefois elle retrouve en 1354 la possession du château de Ça Rocha avec les justices de Porcinyans et de Nyer.
En 1340, l'unique héritière de la famille de Ça Rocha épouse Raymond IV de Banyuls de la puissante famille de Banyuls, et lui apporte en dot la baronnie de Nyer. Leur fils Bérenguer de Banyuls leur succède à la tête de la seigneurie, et décède en 1375 sans enfant.
En 1378, à la suite de la mort de son neveu, Dalmau II de Banyuls (fils de de Banyuls) prend sa succession et reconnaît les fiefs de Ça Rocha, Porcinyans et Anyer, qui lui échoient. La famille de Banyuls conserve la baronnie de Nyer jusqu'à la Révolution.
Les barons de Nyer de la famille de Banyuls sont ainsi dans l'ordre chronologique:
- Raymond IV de Banyuls
- Bérenguer de Banyuls y de Ça Rocha (+1375)
- Dalmau II de Banyuls
- Dalmau III de Banyuls (+ 1408)
- Arnau V de Banyuls (marié en 1388)
- Guillaume de Banyuls y Jorda (+ 1481)
- Jean III de Banyuls y de Montfalco (Jehan III de Banyuls de Montferrer) (+ 1527)
- Jean IV de Banyuls de Montferrer y de Pontos de Blan (marié vers 1515)
- Jean-François (Jean V) de Banyuls de Montferrer y d'Alemany
- Thomas Ier de Banyuls de Montferrer y de Llupia (1556-1627)
- François II de Banyuls de Montferrer y de Orís (1589-1649)
- Thomas II de Banyuls de Montferrer y de Orís (1619-1659)
- Charles Ier de Banyuls de Montferrer (1647-1687)
- François III de Banyuls, marquis de Montferrer (1648-1695)
- François-Gérard de Banyuls, marquis de Montferrer (1692-1762)
- Joseph de Banyuls, marquis de Montferré (1723-1801)
- Raymond VIII de Banyuls, marquis de Montferré (1747-1829)
Les Nyerros
de Banyuls (1556-1627), seigneur de Nyer est l'ennemi juré de Joan Cadell, seigneur d'Arsèguel en Cerdagne. Le château de Joan Cadell est décrit comme le niu dels bandolers de Cerdanya (le nid des bandits de Cerdagne). À cette faction, Thomas Ier de Banyuls oppose la sienne : les Nyerros, une milice de 700 hommes. Il est déclaré ennemi public de Sa Majesté en 1580 après avoir assiégé Catllar où s'étaient réfugiés ses ennemis Garau et Joan de Llupià et la bataille du pont de Prades qui fit une centaine de morts. Il faut l'intervention de troupes royales venues de Perpignan pour mettre les Nyerros en déroute. Thomas Ier ne se laisse pas faire. Il part à l'assaut des villes et des églises, agresse les gens des mas et attaque même le château de Puigcerdà. Traqué, Thomas de Banyuls se réfugie à Olette réduit en cendre par les troupes royales, puis à la Bastide, et oppose une vive résistance avec l'aide de soldats huguenots venus de France. Il est cependant amnistié en 1581, mais condamné à un semi-exil, puisqu'il doit rejoindre à Naples les armées du roi.
Les gens de Nyer sont d'ailleurs à cette époque à l'image de leur seigneur, et ils font à nouveau parler d'eux en 1592, puisqu'une troupe de seize lladres o bandolers, appelé Nyerros, vient à Olette pour y assassiner un jeune habitant du village, avec semble-t-il une grande sauvagerie.
Les Nyerros continueront à faire parler d'eux jusqu'au milieu du siècle, lors de la grande instabilité héritée d'un transfert de la région de la couronne d'Aragon au giron Français.
Les Nyerros sont dans la mouvance des groupes armés de bandolers, hantise des autorités royales à cette époque trouble d'anarchie dans la couronne d'Aragon alors que le Roussillon est encore à cheval entre l'Espagne et la France.
La seconde partie du siècle coïncide avec la découverte puis la conquête des Amériques. L'or et l'argent bruts extraits des mines au Mexique et au Pérou arrivent par bateau sur la côte ouest de l'Espagne (Séville et Cadix), puis traversent le pays jusqu'aux ports de Valence et Barcelone à partir d'où ils sont envoyés à Gênes et Florence où se trouvent les banques. Les Nyerros font alors partie des bandes de bandolers (au même titre que les Cadells, leur rivalité allant croissant au fil des années) volant les transporteurs dans la région barcelonaise, profitant de la proximité de la France alors en pleine Guerres de religion pour se mettre à l'abri. Les Nyerros se réfugiaient à Nyer tandis que les Cadells se réfugiaient à Vic. Les bandolers s'assuraient du silence de la population en reversant une partie de leurs prises aux paysans, disposant ainsi de nombreux appuis un peu partout en même temps que de nombreuses caches.
Par la suite, l'épisode des Tercios, milice espagnole sanguinaire lors de la guerre franco-espagnole de 1618 à 1648, puis la réhabilitation de la gabelle par Louis XIV en 1661, alors que celle-ci était abolie depuis 1292, donnent aux Nyerros de bonnes raisons de subsister, afin de constituer une milice d'auto-défense pour protéger les habitants de la région mais aussi d'organiser une contrebande du sel.
De nos jours, les Nyerros existent sous la forme d'une équipe, les Nyerros de la Plana, perpétuant la tradition catalane des Castells, pyramides humaines, édifices éphémères érigés à l'occasion des différentes festivités folkloriques et régionales.
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Groupe de Nyerros, au centre, Rocaguinarda
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Serrallonga, autre bandoler Nyerro renommé
La commune de Nyer
En 1789, la famille de Banyuls a à sa tête Raymond de Banyuls, marquis de Montferré. Celui-ci, député de la noblesse de Roussillon aux États Généraux de 1789, émigre comme bon nombre d'aristocrates, en 1791. Ses terres sont par la suite confisquées par l'État et revendues comme bien national. Le château est ainsi vendu à M. Roger, de Prades, puis échangé le contre le prieuré de Corneilla, acheté par M. Escanyé.
La paroisse de Nyer et le hameau d'En qui en dépendait jusqu'en 1793 obtiennent chacun le statut de commune. Cependant, malgré un léger accroissement de population, En est rattachée à la commune de Nyer dès le .
M. Escanyé ne peut faire survivre un si important domaine composé du château, mais aussi des forges de Nyer et Thuès et doit vendre en 1854 à M. Hippolyte Dussard le « domaine de Nyer, château, jardins, forges, moulin, prairies, cours d'eau, maison d'habitation et emplacement de forges de Thuès, mines de fer, métairie de Porcinyans, terre, bois, forêts et pâturages, et généralement toutes les dépendances sans aucune exception de la terre de Nyer, d'une contenance d'après le cadastre de 2500 hectares, le tout pour un prix de 100 000 francs ».
Ce dernier ne peut récupérer son bien qu'après la construction d'un canal d'irrigation des terres de Nyer, Escaro, Souanyas et Marians, canal dont la construction et la charge doit être payée par les arrosant à hauteur de 281,69 francs par hectare, puis d'un revenu annuel dépendant de la surface à arroser. M. Dussard pensait vendre les prairies et les droits d'usage, mais avant que le canal ne soit terminé les communes de Nyer et d'En réclament ces mêmes droits. La justice tranche, la commune d'En est déboutée et les droits sont déclarés appartenant à la commune de Nyer. On fait un rabais sur le prix du domaine pour dédommager M. Dussard, mais les arrosants sont mécontents car ils se retrouvent à payer la différence pour un service non encore fourni. Ils portent l'affaire en justice et gagnent. M. Dussard (après sa mort en 1879 : les héritiers Dussard) devant prendre à sa charge les frais d'entretien du canal, est obligé de revendre le château de Nyer, les dépendances de la forge et la métairie de Porcinyans, qui sont achetés en 1883 par M. Henri de Rovira, de Perpignan, descendant de Magdalena de Banyuls y de Bellissen, sœur de Raymond de Banyuls.
De nos jours, le château de Nyer a été racheté par la municipalité pour être réaménagé en maison de retraite. Le rez-de-chaussée est lui ouvert en restauration gastronomique, le service à table étant assuré par des travailleurs handicapés.
- Nyerro Wiki catalan et cet autre site
- de Michel Boeglin et Vincent Parello
- Nyerros de la Plana
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, ISBN ).
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Héraldique
Blason | D'argent à trois fasces de sable. |
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---|---|---|
Détails | Inspiré des armes de la famille de Banyuls de Montferré, barons de Nyer du XIVe siècle à la Révolution qui sont "Fascé de sable et d'argent de six pièces". |
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Nyer dans la littérature
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