Estarvielle
Localisation
Estarvielle : descriptif
- Estarvielle
Estarvielle est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Neste du Louron et par deux autres cours d'eau
La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Estarvielle est une commune rurale qui compte 38 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 109 habitants en 1836.. Ses habitants sont appelés les Estarviellois.
Géographie
Localisation
La commune d'Estarvielle se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Elle se situe à 53 Tarbes, préfecture du département, à 35 , sous-préfecture, et à 32 Capvern, bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau.
Les communes les plus proches sont : Armenteule (0,5 Adervielle-Pouchergues (0,9 Mont (1,1 Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors (1,2 Loudervielle (1,3 Génos (1,6 Vielle-Louron (1,9 Avajan (2,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Estarvielle fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau).
Paysages et relief
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Entrée du village
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Chapelle Saint-Antoine
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Vue du sud
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Vue en hiver.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par la Neste du Louron, L'Arrieu et le ruisseau de poudaque, constituant un réseau hydrographique de 1 ,.
La Neste du Louron, d'une longueur totale de 32 Loudenvielle et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Neste à Arreau, après avoir traversé 10 communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génos », sur la commune de Génos, mise en service en 1969 et qui se trouve à 2 vol d'oiseau,, où la température moyenne annuelle est de 7,8 . Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 54 , la température moyenne annuelle évolue de 12,2 , à 12,6 , puis à 12,9 .
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune : « la Neste du Louron et ses affluents » (145 et deux ZNIEFF de type 2, :
- les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées ;
- la « vallée du Louron » (16 472 Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées.
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Destarbiele en 1276; Starvilla en 1387 (pouillé du Comminges); Escarville en 1413; Starbielh en 1667; Estarbielh en 1740; Estarvielle en 1755, Estarvielle en 1790 (Département 2).
Il s'agit d'un type toponymique médiéval en -vielle, forme partiellement francisée de l'occitan gascon vièla « domaine rural, village », équivalent à l'ancien français vile de même sens (> français moderne ville). Il est issu ultimement du bas latin villa « grand domaine rural ».
Le premier élément Estar- représente un anthroponyme comme c'est la règle dans ce type de formations toponymiques. En général, il s'agit d'un nom de personne germanique.
Albert Dauzat identifie dans Estar- l'anthroponyme germanique (wisigothique) Asthar, autrement Astharus cité par Marie-Thérèse Morlet, hypothèse reprise par la suite sans plus de précision sur l'origine de ce nom de personne germanique. Ce nom germanique est attesté en Gascogne : Astarius abbé de Simorre au Xe siècle.
Nom en occitan gascon Estarvièla
Remarque : le nom wisigothique Asthar (ou plus largement germanique), s'il est compatible phonétiquement avec cette explication, n'est pas nécessairement la seule possibilité. En effet, les formes anciennes, trop tardives, ne rendent pas compte du passage de As- à Es-. En revanche, les formes en Star- laissent penser que c'est Star- qui a évolué en Estar-. Cette évolution correspond à un phénomène régulier d'épenthèse dans le groupe [s] + consonne dans les langues romanes de l'ouest (même chose en français, cf. par exemple : le gallo-roman STUDIA > estudie (XIIe siècle) > estuide > étude).
- LEJOSNE (Louis-Antoine), Dictionnaire topographique du département des Hautes-Pyrénées, révisé et annoté par R. Aymard, Uzos, 1992, p. 66. [1]
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 960, n° 17264 (lire en ligne) [2]
- Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
Histoire
Préhistoire
Antiquité
Moyen Âge
Temps modernes
Révolution française et Empire
Époque contemporaine
Monographie
I
La commune d'Estarvielle se trouve située sur le confins du département des Hautes-Pyrénées, au midi de la vallée du Louron. Au centre de ce gracieux et pittoresque paysage, on jouit de la vue du panorama de la vallée et à l'horizon se perd la chaîne des Pyrénées d'où se trouve le Mont Clarabide, remarquable suivant la tradition, par le col qui a donné passage à l'armée du roi d'Aragon, pour délivrer la fille de ce dernier mariée à un seigneur espagnol, Don Roger, demeurant à Arenvielle. Le château seigneurial a été assiégé par l'armée du roi d'Aragon à l'aide de radeaux qu'on a lancé sur un lac qui aujourd'hui forme le plateau où se déploie le territoire agricole de Genest et de Loudenvielle sous Philippe le Bel après la paix avec la maison d'Aragon.
Estarvielle est bornée au nord par les terres d' Anéran-Camors, à l'Est par les terres de Fréchet-Cazaux et de Mont, au midi par celles d' Armenteule et par celles de Loudervielle et à l'Ouest par la rivière Neste qui la sépare des terres d' Adervielle.
Son étendue du Nord-Ouest au Sud-Est est de 1 450 mètres, du Nord-Est au Sud-Ouest de 1 250 mètres, du Nord au Sud 900 mètres et de l'Est à l'Ouest 1 090 mètres. La distance au chef-lieu de canton est de six kilomètres 500 mètres, au chef-lieu d'arrondissement 46 kilomètres et au chef-lieu du département 67 kilomètres.
Estarvielle est située sur la rive droite de la Neste, village placé sur un terrain à pente insensible mais les terres qui se trouvent au levant présentent beaucoup plus d'inclinaison et sont accidentés de quelques monticules, d'où l'on contemple à l'horizon, le panorama de la vallée, les pics de Rouyette, de Cascarre, de Hourgade, d'Abeille et de Clarabide où le chasseur pyrénéen exerce son adresse sur le chamois, gibier de ces hautes régions.
Parmi les mamelons précités, nous citerons le Puyo de la Hourque comme légendaire. Suivant la tradition, ce lieu était désigné à l'expiation des crimes. On rapporte qu'un homme y a été pendu. Dans le temps, au bout d'une fourche, pour avoir violé les mœurs.
Le sol de cette commune, de nature calcaire et argileuse produit d'abondants fourrages pour l'alimentation des animaux domestiques ; mais les céréales ont à souffrir des rigueurs d'un hiver trop long.
Le ruisseau de la Poudaque qui traverse le territoire dans la direction de l'Est à l'Ouest, prend sa source sur la montagne de Mont. Les eaux de ce ruisseau sont utilisées pour l'arrosage des prairies, elles en favorisent le rendement, car ce sont ses eaux bienfaisantes, elles produisent les effets du Nil que le sol égyptien.
La rivière Neste qui borne le territoire à l'aspect du couchant tout en alimentant la force motrice de plusieurs moulins, aux deux rives, offre encore l'arrosage de certaines prairies contigües au courant. Son débit moyen peut être 2170 litres par seconde tandis qu'aux fortes crues, ce débit pourra être multiplié par 8 soit 17 360 litres par seconde.
Toutes les eaux qui courent dans le territoire d'Estarvielle sont potables ; mais elles ne sauraient offrir de propriétés privilégiées, pas de sources thermales.
L'altitude 720 mètres de cette commune offre une température privilégiée, en égard aux montagnes environnantes et une salubrité satisfaisante. Le climat est doux malgré la durée d'un hiver de 4 à 5 mois comparativement aux communes environnantes.
Les vents dans cette commune ne se font pas sentir avec trop d'impétuosité. Le vent du Nord est celui qui domine, celui du Midi sèche parfois la fleur de sarrasin, mais les vents d'Ouest amènent des bourrasques fâcheuses.
II
La population de cette commune d'après le recensement de 1886 s'élève à 88 habitants partagés en 20 feux ou ménages.
L'organisation municipale se compose d'un comité de six membres dont un maire président, un adjoint au maire, chargé de la police rurale et de huit membres assesseurs, ce qui constitue le conseil municipal.
La commune est desservie, pour les cultes, par le curé du lieu, pour les finances par le receveur municipal ayant sa résidence privilégiée à Arreau et pour les postes par le bureau de poste de Bordères.
La valeur du centime le franc suivant le cadastre s'élève à 0 f 21417 et le revenu en 1887 est de 1842 f 52 centimes.
III
La commune d'Estarvielle produit des céréales pour l'alimentation de ses habitants ; mais en quantité insuffisante. Le sol arable est divisé en trois assolements principaux dont un tiers environ est consacré à la culture du blé et du seigle. Le rendement moyen peut être évalué de 14 à 17 hectolitres par hectare.
Le deuxième tiers est consacré à la culture printanière, l'orge et l'avoine dont le rendement moyen peut s'élever de 14 à 18 hectolitres par hectare. L'orge est employée à la panification et produit un aliment assez savoureux ; mais peu substantiel.
Le troisième tiers est consacré à la culture du sarrasin, du lin, du chanvre, des pommes-de-terre et à celle des légumes verts. La pomme-de-terre est la culture principale dont le rendement moyen peut s'élever de 50 à 60 hectolitres par hectare. Les rendements précités sont exclusivement consacrés à l'alimentation des ménages locaux.
La moitié du sol cultivé constitue la prairie naturelle dont le rendement produit d'abondants fourrages absorbés pour l'alimentation des animaux domestiques du lieu. La commune ne possède pas de pâturages communaux.
Les habitants d'Estarvielle exercent encore le procédé de culture routinier sauf quelque amélioration pour le labourage qui se fait avec la charrue en fer nouveau système.
Pas de bois, pas de forêts, propriétés communales ?
Les animaux domestiques sont : la vache, la brebis, le cheval, l'âne, la poule, la dinde.
Pas de chasse, pas de pêche, pas de produits industriels.
La commune possède un seul moulin à farine, propriété privée.
La commune d'Estarvielle communique aux autres communes de la vallée par des chemins d'intérêt commun et par des chemins vicinaux.
Au chef-lieu d'arrondissement distant de 46 kilomètres par la route thermale n°1 qui relie Bagnères-de-Luchon à Bagnères-de-Bigorre, par la montagne, et par la route départementale et au chef-lieu du département, distant de 67 kilomètres par la route départementale. Pas de voie ferrée. La gare plus rapprochée est distante de quelques kilomètres, pas de voitures locales publiques.
Le commerce local consiste dans la vente des produits engraissés des animaux domestiques, pas de foires, pas de marchés locaux, le plus rapproché se tient à Arreau distant de 13 kilomètres.
Comme ancienne mesure locale, la commune d'Estarvielle conserve le coupeau qui correspond à 13 litres un tiers ; mais il est fait un plus grand usage des mesures nouvelles et la couperade est encore usitée pour les mesures agraires, cette mesure correspond à 182 mètres carrés.
IV
Estarvielle dont l'origine m'est inconnue doit évidemment remonter à une époque très ancienne où la féodalité a attribué, à l'époque, des titres, puisque par tradition on cite la demoiselle d'Estarvielle qui habitant des châteaux dont l'un est représenté par l'église actuelle d'Estarvielle qui conserve les murs des anciens châteaux féodaux et un autre dont les ruines ont été restaurées par la famille Fouran, aujourd'hui représentée par M. Fourette, gendre de M. Fouran et plus tard nous trouvons Adémar de Paucis, baron d'Estarvielle et de Mont qui au XIIIe siècle fit donation à la commune de Loudervielle de certains droits qu'il possédait : d'où je conclurai pour étymologie du lieu : Vielle - Villa - Séjour - Estar - Extra, (grand gala) lieu donc, où la seigneurie se réunissait pour prendre des plaisirs d'où Estarvielle lieu estival.
Il y avait, suivant la tradition, un homme à Estarvielle (Pichon) qui un jour des siècles derniers, fut invité à un banquet tout clérical. Ce Pichon possédait une instruction tout élémentaire ; mais il était doué d'un naturel privilégié.
Les prêtres qui prenaient part au banquet pour éprouver la vertu du commensal hétérogène à leur secte sociale convinrent de parler en latin, langue inconnue à ce dernier.
Le dîner fut servi dans de bonnes conditions, la conversation s'anime, seul Pichon est bouche close.
(" Nécessité pas a loi " dit le proverbe du pays) ainsi Pichon interrompt le jeu de la conversation en disant " datis vinis a Pichonis d'Estarviellis " Donnez du vin à Pichon d'Estarvielle.
La municipalité d'Estarvielle, comme la plupart des communes de la vallée, était un comité clérical. Les prêtres retenaient les actes de l'État civil et donnaient les avis administratifs aux circonstances. Depuis que l'instruction a fait des progrès, les hommes ont acquis des droits, et la commune a été administrée par un maire assisté de neuf assesseurs qui tous réunis constituent le conseil municipal.
Les habitants conservent l'idiome patois bien que le français soit assez bien compris et que la majeure partie des citoyens le parlent aux circonstances.
Comme chant légendaire, il ne m'a pas été possible de recueillir des écrits.
Les habitants d'Estarvielle doués de mœurs sociales vivent des fruits respectifs de leurs travaux et des fruits qu'ils récoltent de leurs propriétés. Les liens sympathiques qui les caractérisent font qu'ils livrent leurs propriétés, après l'enlèvement des récoltes, au parcours de la vaine pâture où les habitants du lieu conduisent leurs animaux domestiques. Ils se paient encore certains services mutuels. L'esprit local est bénévolement porté à ce genre de vis sociale.
Le culte catholique est professé par tous les habitants.
La principale alimentation locale consiste dans la consommation des céréales qu'on récolte ; seigle, froment ou blé en petite quantité et orge pour la panification. Il est fait un grand usage du blé noir (sarrasin qui peut être tire son nom des premiers peuples qui l'ont introduit. Le laitage, la pomme-de-terre et autres plantes potagères telles que pois, haricots, lentilles et fèves constituent l'entretien permanent des ménages locaux.
Enseignement
L'enseignement dans les temps primitifs était donné, suivant la tradition, par des bénédictins que les prêtres ont plus tard remplacé, et enfin des instituteurs ont été postérieurement chargés, par les communes, de l'instruction des enfants sur des traitements d'aujourd'hui dérisoires. Ces maîtres étaient payés par les parents des élèves, d'après un taux mensuel suivant les cours et les écoles n'étaient fréquentés que les quatre ou cinq mois de l'année jusqu'à l'époque où l'état est intervenu et a nommé des maîtres à titre.
Aujourd'hui, l'école d'Estarvielle bien que mixte ne reçoit pas de filles. Il existe un couvent où deux religieuses congréganistes professent l'enseignement gratuit pour les filles de la commune.
L'état de l'instruction dans le temps actuel est satisfaisant puisqu'il n'est pas de conscrits illettrés dans la dernière année, ni de conjoint qui n'ait apposé son nom.
La commune d'Estarvielle ne possède pas de bibliothèque scolaire, ni municipale. Pas de caisse des écoles, pas de caisse d'épargne scolaire, les revenus locaux ne sauraient favoriser ces institutions.
Le traitement du maître actuel s'élève à 1200 f.Cadastre napoléonien d'Estarvielle
Le plan cadastral napoléonien d'Estarvielle est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées.
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie d'Estarvielle en 1887
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d'Estarvielle en 1832
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à deux fers de lance d'or posés en pal et rangés en fasce.
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Estarvielle dans la littérature
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