Collias
Localisation
Collias : descriptif
- Collias
Collias [kɔljas] est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie
Ses habitants sont appelés les Colliassois. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, l'Alzon et par divers autres petits cours d'eau
Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2 Collias est une commune rurale qui compte 1 064 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962
Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes
Ses habitants sont appelés les Colliassois ou Colliassoises. Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la grotte des Colonnes, classée en 1931, et l'ermitage, classé en 1934.
Géographie
Localisation
Collias est dans la partie orientale du département du Gard, entre Avignon (32 Uzès 11 .
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le Gard ou Gardon, affluent du Rhône, traverse la commune d'ouest en est. Les célèbres gorges du Gardon se trouvent juste en amont (à l'ouest) de Collias : le Gard entre dans la commune à une altitude de 30 .
Sur la commune il reçoit en rive gauche son affluent l'Alzon qui vient du nord-ouest. Sa rive droite est entrecoupée de cinq vallées très encaissées, taillées par de petits affluents saisonniers. Les affluents de l'Alzon qui drainent la commune sont le ruisseau de Bordnègre, le ruisseau de Valsegane, le ruisseau de Fabrègue, le Valat de Campalong et Le Rieu qui lui se jette dans le ruisseau de Fabrègue.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 amplitude thermique annuelle de 17,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzès à 8 vol d'oiseau, est de 14,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,.
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies,.
Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « gorges du Gardon », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 339,2 .
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats :
- « le Gardon et ses gorges », d'une superficie de 7 009 Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)
et un au titre de la directive oiseaux :
- les « gorges du Gardon », d'une superficie de 7 024 Aigle de Bonelli, le Circaète Jean-le-Blanc et le Vautour percnoptère.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune : les « gorges du Gardon » (5 231 et une ZNIEFF de type 2, : le « plateau Saint-Nicolas » (15 838 .
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Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
- « », sur google.fr/maps.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
- « Collias, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes COLLIACO ; Coliaz en 1151 ; Coliacum en 1188 ; Castrum de Coliaco en 1208 ; Coliacum en 1215 ; Coliatz en 1217 ; Coliatz en 1237 ; Castrum de Colias en 1290 ; Coliacum en 1384 ; Locus de Coliaco en 1388 ; Ecclesia Sancti-Vincentii de Coliaco en 1408 ; Le lieu de Coulhas en 1618 ; Collias en 1715 ; Coillas en 1718 ; Couillas en 1746 ; La Chapelle-lez-Uzès, ci-devant Collias en 1788 ; Montpezat-lez-Uzès en 1789 ; La commune de Collias ou la Chapelle, ci-devant Montpezat en 1791 ; Coliacum, Colias, Collias en 1793 ; Montpezat-de-Collins puis Collias depuis 1801.
En occitan. Coliatz attesté par les formes anciennes : Colliaco, monn. mérov., de Coliaz, 1151, Coliacum, 1188, Coliatz, 1217 (DT) ; = NP rom. Colius (OTL) + - acum ; attr. des finales - as. TZ se prononce /s/ en occitan moderne.
- « », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
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- IEO_BdTopoc : http://bdtopoc.org
- Toponymie générale de la France, Ernest Nègre
Histoire
Préhistoire
La grotte des Colonnes, ou "Baoumo-d'en-aut", rebaptisée grotte Bayol après la découvertes de peintures préhistoriques, est l'une des cinq grottes ornées connues dans le Gard,. La grotte était connue des spéléologues, notamment Felix Mazauric qui en dresse le plan dès 1898, mais les peintures ne furent découvertes puis publiées qu'en novembre 1927 par l'abbé Jean-Frédéric Bayol (1870-1952).L’abbé Bayol a été aidé pour ses fouilles par un colliassois de souche: Raymond Ribot. Classée Monument historique dès 1931, elle contient des peintures non datées mais qui ont été attribuées par les auteurs anciens à l'aurignacien, dont quelques-unes sont remarquables sous divers aspects. Trois d'entre elles utilisent en partie des aspects de la roche (utilisation courante pour les dessins préhistoriques, voir par ex. Arcy).
Période gallo-romaine
Plusieurs inscriptions latines votives ou funéraires, des tuiles plates et des tessons d'amphores ont été trouvées sur la commune, attestant une présence romaine.
Moyen Âge
Comme la plupart des villages du pays du Pont du Gard, celui de Collias est né aux alentours de l'an mil. Il procède d'une réorganisation du maillage de l'espace rural connu sous le nom consacré d'incastallamento. Cependant, sur le site même, une forteresse publique a pu précéder le village pendant que l'habitat rural se déployait en nébuleuse dans le fond de la vallée. Le choix du site pousse dans ce sens puisqu'il ne permet pas une covisibilité totale avec les voies de communication qui traversent la vallée. D'ailleurs, il a sans doute fallu créer une motte de terre pour dresser la première tour féodale au lieudit le Castellas (ce qui correspondrait aujourd'hui au jardin du Pierrot)[Quoi ?]. Mais quoi qu'il en soit, le village, lui, naît après l'an mil. Les seigneurs d'Uzès y établissent leur résidence[Quand ?], certains testent et meurent au château de Collias. Ayant pris le parti de Raymond V de Toulouse, la guerre de conquête des Capétiens a sans doute touché le village dominé par les Uzès. Le château a pu être détruit lors d'un siège.
La guerre de Cent Ans n'épargne pas le village qui se fortifia, suivant ainsi les injonctions des autorités royales. Quatre tourelles d'angles furent bâties aux quatre coins des remparts (on retrouve d'ailleurs inscrit dans le parcellaire ce semblant de quadrilatère quasi identique à celui du village de Saint-Chaptes ce qui prouverait que d'importants travaux urbanistiques aient pu être entrepris comme ils ont pu l'être à Vers, Domazan, Saint-Hilaire-d'Ozilhan ou Saint-Laurent-la-Vernède). À cette époque, l'église (sans doute une église qui était associée à la villa de la Gaud et à laquelle on accédait via un chemin de croix)[réf. nécessaire] se trouvait dans le quartier de la Treille, sans doute à la place de maison de Bernard[réf. nécessaire]. Cet édifice devint d'ailleurs la maison commune au métairie dont on retrouve des traces dans les contrats de location passés chez Daroussin, notaire à Collias. Le village s'est étendu sous les effets de la poussée démographique qui se fait jour dès le milieu du [réf. nécessaire], la reprise se profile et accélère après 1470-1480 comme on peut le voir dans le village voisin de Castillon-du-Gard avec l'existence de 3 compoix pour le seul XVe siècle).
À Collias se produit un évènement suffisamment important pour être noté[Quand ?]. Une partie de la population du village voisin d'Argilliers est venue s'y installer. À la suite d'une saisie féodale qui visait à réorganiser la seigneurie bannière du mas de Vacqueyras les habitants du village d'Argiliers I (sis à proximité du château de Castille) sont invités à aller s'installer au nord sur le site d'Argilliers II. Une partie de la population avait néanmoins décidé d'aller s'installer à Collias, sans doute parce que leurs parcelles se trouvaient au sud du territoire de la manse d'Argilliers donc plus près de Collias que du futur village neuf d'Argilliers II. Cette arrivée de population (qui n'est pas une exception puisque le phénomène se produit à Garrigues au XVe siècle également) s'est transcrite dans le parcellaire du village par l'apparition d'un module urbain autonome au sud du village. La carrera de villanova, comme on la trouve mentionnée dans le plus ancien censier du duché d'Uzès (vers 1380), devient au siècle suivant le quartier de Villeneuve et rend compte de l'arrivée de ces nouveaux habitants.
La communauté de Collias gère une partie de sa destinée depuis au moins le [réf. nécessaire]. Le fonds d'archives locales montre que les droits de police rurale appartiennent à la communauté depuis le et surtout le XVIIe siècle, la royauté mettra au pas ces communautés qui avaient été ses alliées par le passé. La bureaucratie monarchique va homogénéiser les modes de fonctionnement, réduisant d'autant les particularismes et l'indépendance des corps municipaux. Désormais la quasi-totalité des initiatives locales est soumise à autorisation, celle-ci étant délivrée par l'intendance de Montpellier ou la subdélégation d'Uzès selon les matières.
Époque moderne
La triade méditerranéenne est cultivée à Collias depuis l'époque romaine. L'olivier est peu présent au censiers et les compoix, au statut de produit agricole à forte valeur libératoire. L'explosion de cette culture à Aramon au Moyen Âge est le point de départ d'une aventure agricole originale. Parce que situé sur le Rhône où les pondéreux sont embarqués sur les naves circulant sur le fleuve, Aramon devient un grand centre de la production d'huile d'olive irradiant dans les communes voisines. Collias voit les surfaces en olivier augmenter tout au long de l'époque moderne. Dans un mémoire du docteur Labrousse de la seconde moitié du [Qui ?] que la confiserie des olives est une pratique attestée dès le [Quand ?] bien connu des spécialistes de l'olivier.
Le vin produit dans ce village[Quand ?] n'a jamais connu la gloire de ses oliviers. Sans doute affecté à la consommation familiale, les surplus de ce vin étaient voués à être brûlés dans les alambics. La concurrence des vins de la côte du Rhône était trop forte pour qu'ait pu se développer ici une viticulture spéculative, d'autant qu'Uzès se barricadait derrière des chapelets de prohibitions pour protéger sa propre production et notamment celle de l'évêque. Les blés et notamment les froments du type Tozelle constituaient la culture principale, parfois associés aux oliviers et à la vigne[Quand ?].
Quelques registres de délibération ( – siècles) permettent d'avoir des vues assurées sur l'activité de consulat. Celle-ci est dominée par la fiscalité royale, les conflits avec les seigneurs et les affaires rurales concernant directement la communauté. Illustrons cela d'un exemple : l'affaire se déroule au début du [non neutre].
Milieu d'interconnaissance, le village est aussi un monde d'exclusion. N'habite pas là qui veut, du moins pas sans en payer le droit : jusqu'à la Révolution, les nouveaux venus doivent payer un droit d'habitanage pour être comptés au nombre des « vrays habitants ». Dans le village voisin de Vers, une série de délibérations consécutives à des malversations relatives à ce droit nous informe des procédures[Quand ?]. En fait, un nouveau venu pouvait mourir au village quarante ans après son arrivée sans jamais avoir été admis au sein de la communauté. De ce fait, il était exclu des droits communautaires (droit de dépaissance, de chasse, de pêche, de lignerage (ramassage du bois mort)...). On voit les témoins se succéder devant le notaire Longuet. Certains sont des descendants d'immigrés, nés dans le village de Vers, et pourtant non comptés au nombre des vrais de vrais. D'autres fois, l'admission est immédiate comme celle de ce maréchal à forge venu de Rochefort que les habitants fuient tant les manieurs d'argent les oppriment à cause des énormes dettes qui les écrasent. Ce maréchal paiera quelques livres et se verra illico nanti des droits si jalousement gardés habituellement. Nécessité faisant loi, il manquait un artisan de cet art au village. À Collias, le fonctionnement était identique. Et comme à Vers, le XVIIIe siècle voit les villageois se détendre vis-à-vis des biens communautaires. Il faut dire que les plus importants - les droits de pécoration - sont réduits à pas grand-chose tant la forêt a reculé depuis le XVIe siècle. Suffisait alors un geste de bonne volonté envers la communauté, une sorte de travail d'intérêt général. Tel maçon nouvellement arrivé réparait la fontaine…
Les habitants de Collias ont à leur compte un assassinat, celui du hameau de Laval perdu dans les coufines. L'affaire commence au XVe siècle quand les consuls, poursuivant une tradition vieille de plus de deux siècles peut-être, c'est-à-dire la mise en location des pâturages de la rive droite du Gardon, interdisent la traversée de la zone aux troupeaux des habitants de Laval. Ceux-là portent l'affaire devant les tribunaux royaux qui tranchent en faveur de Collias, lieu de perception de l'impôt. L'assujettissement fiscal de Laval à Collias lui valut l'assujettissement administratif dans l'ordre des affaires rurales. Laval rentrait définitivement dans le giron de son voisin. À plusieurs reprises, on voit ceux de Collias humilier ceux de Laval. Une fois on fait arrêter deux jeunes bergers de Laval et on les jette dans geôles villageoises. Une autre fois, pour les punir d'une faute non mentionnée, on change le coefficient des terres de Laval lors de la réfection du compoix. Bref on les surtaxe au mépris des usages en la matière. Cette attitude a pour conséquence de vider peu à peu Laval de ses habitants, si bien qu'au XVIIIe siècle on ne trouve plus que des métairies peuplées de locataires en rotation permanente. La politique menée des siècles durant est celle imaginée par les élites villageoises, avec en tête les gros paysans entretenant de gros troupeaux. Ce n'est d'ailleurs pas une surprise de les voir au début du XIXe siècle bâtir à qui mieux-mieux des bergeries et y entretenir des bergers à demeure. Séparé de Collias par la rivière du Gardon qu'aucun pont ne traversait encore, cette partie pouvait demeurer inaccessible lors des crues. En s'y installant de la sorte, les gros paysans l'accaparaient - c'était bien le sens de la supplique adressée par les habitants de Collias aux autorités cantonales.
Collias subit encore les affres de la guerre pendant le conflit religieux. La population essentiellement catholique est d'ailleurs à l'issue du conflit remerciée par la hiérarchie ecclésiastique pour son comportement héroïque : un abaissement du taux de la dîme s'ensuit.
Révolution française et Empire
Époque contemporaine
Depuis le Moyen Âge, Collias et Argiliers sont unis par des liens particuliers. Collias tentera d'ailleurs de s'annexer ce hameau au début du XIXe siècle puis, ayant échoué, de s'en annexer une portion vers 1880.
- Marc Azéma, Bernard Gély, Raphaëlle Bourrillon et David Lhomme, « La grotte ornée paléolithique de Baume Latrone (France, Gard) : la 3D remonte le temps », dans Jean Clottes (dir.), L’art pléistocène dans le monde, Actes du Congrès IFRAO, Tarascon-sur-Ariège, septembre 2010 – Symposium « Application des techniques forensiques aux recherches sur l’art pléistocène », Société Préhistorique Ariège-Pyrénées, LXV-LXVI, lire en ligne), p. 1222.
- Drouot 1953, p. 392.
- Édouard Drouot, « Les peintures de la grotte Bayol à Collias (Gard) et l'art pariétal en Languedoc méditerranéen », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [Persée], consulté le ), p. 394.
- Drouot 1953, p. 397.
- Christol Michel, Gazenbeek Michel. Une nouvelle épitaphe d'époque gallo-romaine à Collias (Gard). In: Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 14, 1991. Le sanctuaire protohistorique de Roquepertuse. pp. 362-367
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Héraldique
Blason | D'hermine au pal losangé d'or et d'azur,. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
- « », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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